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Critiques de André Malraux (276)
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La Voie Royale

Faut-il présenter André Malraux ? Non, bien sûr, Homme de grand talent dans divers domaines. En 1930 paraît, « La voie royale », un roman autobiographique, sur ses mésaventures au Cambodge. Précisons que l’aventure, sert aussi à porter des questionnements sur l’existentialisme, thème cher à Malraux ; « l’existence précède l’essence », en l’occurrence l’homme se créer et détermine son destin par ses actes…



Claude Vannec jeune architecte breton, et Perken Danois, décident de prendre la voie royale (qui reliait Angkor et les lacs du Ménam) pour des motivations différentes. Voler des bas-reliefs pour l’un et retrouver un vieil ami, Grabot, pour l’autre.



Si les péripéties ne manquent pas, André Malraux décrit parfaitement les lieux et l’atmosphère étouffante de leur périple dans la jungle, avec les multiples dangers inhérents. Comble de l’horreur, quand enfin ils parviennent à retrouver Grabot, détenu par les Stiengs, territoire des Moïs, guerriers cruels armés d’arbalètes.



Aventure asiatique, certes, mais évolution de la destinée, que tout être humain forge de ses choix. Sans omettre, bien présents dans ce roman, les notions : de la soumission, du sexe et de la mort.

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La Voie Royale

Sur le navire qui le conduit en Indochine, Claude Vannec, jeune archéologue breton avide d'aventure, fait la connaissance de Perken, un baroudeur danois qui s'est taillé un petit royaume dans les territoires non contrôlés par la France. Vannec propose à Perken de participer à une expédition sur la Voie royale au Cambodge, afin de voler des bas-reliefs dans les ruines de temples qui la bordent et de les revendre en Europe. Y voyant une opportunité de retrouver la piste de Grabot, un autre Occidental dont la trace se perd dans le territoire des Moïs, Perken accepte. De plus, le pillage de temples lui permettrait de rassembler des fonds suffisants pour acheter des armes et conforter son pouvoir sur "son" territoire aux confins du Cambodge.



En 1923, Malraux avait eu dans l'idée de se refaire après une débâcle financière en allant voler des sculptures sacrées khmères au Cambodge, pour les revendre ensuite à des amateurs d'art américains.

Arrêté à Angkor avec son équipe et quelques sculptures pillées, il avait été condamné à trois ans de prison, ramenés à un an avec sursis.

Loin de le mettre au ban de la société en France, cette lamentable histoire avait permis au contraire à un Malraux auréolé d'une réputation un peu sulfureuse de se réinventer, et de décrocher ensuite le premier Prix Interallié avec le roman que lui avait inspiré son périple, La Voie royale.

Il avait d'ailleurs poursuivi quelques années une activité dans le commerce d'oeuvres d'art provenant d'Asie, qui l'avait mis à l'abri du besoin.



C'est dire si le respect des vestiges archéologiques et/ou sacrés ne bouleversait pas les foules à l'époque. Ca ne s'est pas tellement amélioré depuis, d'ailleurs...



Mais le propos de Malraux n'est pas là. Il ne se signale pas non plus par une considération excessive pour les "sauvages" auxquels ses héros sont confrontés ( ce que contredit sa participation active à la création du quotidien "L'Indochine" devenu ensuite "L'Indochine enchaînée" dénonçant le régime colonial , il faut tout de même le souligner).



Non, ce qui fait frémir Malraux, ce dont il veut parler, c'est d'aventure, d'anti-conformisme, d'érotisme, et de la mort qu'on regarde dans les yeux, qu'on veut apprivoiser ou qu'on méprise.

A travers le parcours du jeune Vannec, de l'expérimenté Perken et de Grabot le héros brisé, il exprime toute son admiration pour un monde d'hommes virils, courageux, se lançant dans de folles entreprises pour la beauté du geste. Dans le style lyrique, volontiers incantatoire qui fait sa marque de fabrique, il raconte cette expédition qui les mènera tous au bout d'eux-mêmes.



Le roman publié en 1930 porte haut les préjugés de son époque. Certaines descriptions sont fabuleusement évocatrices, d'autres sonnent moins juste à quatre-vingt dix ans de distance, et certains termes ne passent plus guère qu'en gardant bien présent à l'esprit et le contexte et l'auteur.

Cela étant, si l'on adhère à cette soif d'aventure, d'exotisme et de réalisation de soi qui anime les personnages, La Voie royale tient ses promesses dans la profusion verbale chère à Malraux, embarquant le lecteur dans les profondeurs tropicales écrasées de chaleur, grouillant d'insectes et d'une humidité irrespirable.

L'aventure, la vraie.
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La condition humaine

La Condition Humaine est un roman engagé qui a trait à la révolution communiste en Chine au début du XXème siècle. Insurrection, arrivée des troupes militaires, grèves et trafics d'armes sont ici racontées de manière romanesque avec le style littéraire bien particulier de Malraux. En effet, pour cet auteur, l'œuvre littéraire doit nécessairement porter témoignage, illustrer une réflexion mais encore conclure à une leçon, le tout en tentant d'aborder les fondements d'un humanisme moderne. Il y décrit l'homme d'aujourd'hui, pris dans l'engrenage des nécessités de l'Histoire et la rigueur (fatalité?) du destin. Tel est le cas de Kyo, l'un des protagonistes de La Condition Humaine qui s'acharne pour arracher ses compagnons à leur humiliante servitude.

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La condition humaine

Peut-être n'ai je pas lu ce livre au bon moment car je suis passé complètement au travers... Recommandé à l'unanimité par un groupe de lecteurs qui partage généralement mes goûts littéraires, la condition humaine m'a ennuyé.

Avec ses phrases à la syntaxe perturbante et au développement interminable, avec ses descriptions psychologiques qui n'ont absolument pas résonné en moi, avec ses ellipses de plusieurs mois... je me suis ennuyé à la lecture de ce roman dont les thèmes m'intéressent pourtant (le primat d'une idée politique sur l'individu, l'ardeur des combats révolutionnaires...), et ce malgré une entrée en matière palpitante (un assassinat politique dont le meurtrier ne voit que le pied de la victime endormie).

Je pense que je relirai cette oeuvre de Malraux dans les prochaines années... Difficile de comprendre pourquoi ce livre, qui a marqué la littérature française, m'a laissé profondément indifférent.
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La Voie Royale

Il est un peu gonflé, le Malraux ! Après avoir été pris la main dans le sac en train de voler un bas-relief d'un temple d'Angkor, il écrit ce roman. Refilant à son personnage son propre délit ! En y greffant bien sûr certains éléments exotiques pour appâter son lecteur. Faut avouer que tout cela se tient assez bien. Entre Loti et Conrad, on y croit à cette aventure ! Pour qui a visité le site, c'est encore plus parlant, même à quasiment un siècle de distance.

De la belle aventure !
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La condition humaine

Il m'a fallu subir cet ouvrage pour une épreuve littéraire du bac scientifique en 1997.

La condition humaine est tout à fait le genre de livre qui, selon moi, font beaucoup de mal à la littérature et à l'humain.



Mal à la littérature lorsqu'on impose la lecture de ce genre d'oeuvres à des adolescents qui ne sont pas suffisamment outillés pour les comprendre et qui ne sont pas encore assez âgés pour avoir suffisamment vécu de plaisir à la lecture d'un livre et savoir qu'une écriture Malresque n'a rien de représentatif de la littérature. J'ai survécu à cette épreuve, mais pour un de sauvé, combien n'ont pas survécu et ne connaîtront pas le bonheur de lire.



Mal à l'humain quand on ne sait pas décrire la condition humaine avec plus de positif. A t-on besoin d'un Malraux pour savoir que nos vies sont difficiles et tristes ? N'a t-on pas plutôt besoin d'écrivains capables de faire d'une goutte de pluie, un océan de beauté plutôt qu'un tas de boue ?

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La Voie Royale

Roman intéressant pour quiconque peine à se représenter ce que pouvait être l'Asie du Sud-Est et ses monuments en début de siècle, la Voie royale, malgré ses réflexions profondes sur la mort, le succès et le sens qu'un aventurier pourrait donner à sa vie, est une lecture plombante, qui fatigue au fur et à mesure du périple de ses protagonistes. Ce n'est pas la première fois que je retrouve cet "engluement" macabre et déprimant dans un roman de Malraux, sans que cela me marque comme dans la condition humaine par exemple.



La Voie royale ne se laisse finalement pas lire aisément, et l'on soupire de soulagement une fois le livre clos.
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Les chênes qu'on abat...

Luchini et D’Ormesson disaient que « la droite qui avait de la gueule manquait, celle de De Gaulle et Malraux, celle de la culture ». .

Dans Les chênes qu’on abat, on assiste à un échange entre les deux !

Un savoureux dialogue entre celui qui sauva l’honneur des français et celui qui fut son bras droit et penseur en matière de culture.

Vous voici plongé dans un ensemble de sujets de discussions, de politique, d’anecdotes, de guerre, d’histoire et de société. Les références culturelles sont incroyables et trouvable nulle part ailleurs.

Ce n’est pas un simple déjeuner et échange d’avis, c est un Ping pong sur la vision qu’avaient les deux hommes sur la France et le monde.

Comment gouverner, quels arguments a la France, quelle est son histoire, son image, ses valeurs et son message pour le monde ? Napoleon, Saint Bernard, les politiques du 20eme siècle, la nature, les arbres, les artistes, tout est passé en revue. Comprendre des expressions et des automatismes dans l’inconscient des peuples, l’écriture de Malraux est décousue, on passe sans cesse d’une idée à l’autre. Ça fuse. Mais à la fin du livre on se rend compte que ce furent deux hommes d’exception. Tournés vers les autres et surtout vers la grandeur. Celle des hommes et par dessus tout de la France.
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La tentation de l'Occident

Je me suis plongée avec délice dans cette correspondance entre un jeune intellectuel européen et un jeune mandarin chinois, rêvée par Malraux qui les fait dialoguer et échanger sur les différences culturelles entre ces deux entités que sont l'Occident et la Chine, abordant des sujets qui semblent se confirmer aujourd'hui.



Une lecture particulièrement édifiante et fine.
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Les Conquérants

Emportant le lecteur dans les méandres de la Chine révolutionnaire des années 20, Les Conquérants intrigue, tient en haleine, et perd son lecteur qui navigue entre les personnages, les factions, les trahisons et les espoirs individuels.

Le fond est intéressant par l'esquisse qu'il fait des hommes et de leur nature, mais la lecture n'est pas aisée, et pas aussi prenante que la célèbre Condition humaine.
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La condition humaine



[Livre audio lu par Éric Herson-Macarel]



Toute l'habileté d'Eric Herson-Macarel n'y aura pas suffit : telle le chat, je me suis enfuie pour sauver ma peau à la quatre-vingt sixième minute. Ampoulée, morbide, d'une tristesse écrasante, cette philosophie-là butte contre mes veines sans pouvoir être absorbée. le couteau de Tchen a rebondit contre ma peau.


Lien : http://versautrechose.fr/blo..
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Les chênes qu'on abat...

Indigeste (dans la forme).

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La condition humaine

Livre politique qui m'a été parfois difficile à comprendre, voire m'a un peu perdue.

Malgré tout, certains passages et certaines scènes sont marquantes et m'ont touchées.

J'ai beaucoup aimé le tout début qui nous fait entrer directement dans le livre, et aussi la fin qui est marquante.
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La condition humaine

Voici des hommes tiraillés par la révolution communiste en Chine, dans l'entre-deux guerres.

D'un côté, la masse laborieuse ; de l'autre le gouvernement, sa police, l'armée... Et pêle-mêle, une poignée de chefs terroristes convaincus, le président d'un consortium, etc...

Les positions sont parfois floues, à l'image du Kuomintang, cette "Chine soviétique", qui hésite "entre la démocratie et le communisme".



C'est sur cette toile de fond, sur ce fil rouge politico-guerrier que vont s'accrocher tels des wagons sur le train en marche, participant à un foisonnement dense, des réflexions existencielles vivifiantes sur des sujets aussi divers que : les limites de l'altérité, la souffrance, et le sens - ou non - qu'elle peut revêtir, un certain rapport homme / femme, le sacrifice d'une vie au nom d'une idéologie, etc...

Dans ce vivier en sept parties, il n'est pas rare de dénicher des aphorismes, surtout dans les dialogues.



"Frères dans l'ordre mendiant de la Révolution : chacun de ces hommes avait rageusement saisi au passage la seule grandeur qui pût être la sienne."



Parfois terrible, non dénué de poésie, ce roman à la psychologie des personnages très fouillée, au style riche, simple et limpide, est d'une grande portée humaine.
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La condition humaine

André Malraux dans La Condition humaine décrit la prise de Shangaï par le Kuomingtang en 1927 avec l'aide des communistes de la ville.

L'histoire débute dès les premiers mots: Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire? Frapperait-il au travers? L'angoisse lui tordait l'estomac....".

Donc je me suis dit ouah. Quel incipit!

Mais c'est tout malheureusement. Souvent obligé de relire des passages entiers en raison de son style d'écriture (sujets inversés, à de grandes distances des verbes.....), je n'ai pas réussi à capter l'histoire dans son ensemble.

Par contre, j'ai admiré la description de ce que ressent par exemple Tchen après avoir tué une être humain pour la première fois. Il se sent profondément transformé, muté et changé pour le restant de sa vie... brève.

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La Voie Royale

Un chef d'oeuvre de Malraux qui n'est pas un écrivain toujours facile à lire mais, lorsque l'on se laisse emporter par son talent, on adhère à ses oeuvres. Celle-ci raconte des aventures humaines en Asie au milieu des temples d'Angkor où le lecteur peut appréhender l'âme d'une nature sauvage dont les enchevêtrements préservent quelquefois les merveilles qu'elles recèle. Belle réflexion également sur les thèmes chers à Malraux tels que la destinée humaine et sa finalité.
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Hôtes de passage

Tome 2 de son roman autobiographique - à la suite des Antimémoires -, on ne peut que constater qu'André Malraux a bien mérité sa désignation de premier ministre d’État chargé des Affaires culturelles : le volume foisonne de références littéraires, théologiques, historiques et géographiques que l'auteur a emmagasinées tout au long de ses pérégrinations à travers le monde. On y découvre également une figure discrète, qui ne se donne à voir qu'à travers différents échanges décousus (et dans lesquels n'apparait qu'essentiellement le discours de l'interlocuteur), et quelques réflexions qu'il livre mais qui se destinent peut-être davantage à lui-même qu'à nous, lecteurs...
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Les chênes qu'on abat...

Dialogues entre Malraux et De Gaulle après que celui-ci ait quitté le pouvoir. Tous les thèmes sont abordés entre les deux hommes dont l'amitié sera restée indéfectible jusqu'au bout. A lire autant pour la transcription de l'un que la grandeur de l'autre et la dimension immense des deux.
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La Voie Royale

La Voie royale c'est la route qui relie Angkor et les lacs du bassin de la Ménam, la route qui chemine de Dangrek à Angkor, la route qui obsède Claude Vannec, jeune archéologue.



Dans les années 20, Claude, "mandaté" par l'institut français de Saigon part chercher fortune muni de l'Inventaire, ouvrage qui décrit les temples khmers déjà découverts et laisse présager de la beauté des sites brahmaniques inexplorés.



Au-delà du roman d'aventure à caractère historique qui nous conduit du Vietnam vers le Siam en passant par les contrées insoumises et sauvages du Cambodge et du Laos, la Voie royale est une réflexion sur l'amitié et surtout sur la mort, fin inéluctable de tout explorateur.



Nous sommes plongés dans la chaleur de la forêt vierge et inhospitalière, fourmillant d'insectes, à la forte odeur de terre et de mousse spongieuse. Nous progressons à la merci des tribus Moïs et Stiengs.



Une écriture parfois ardue, néanmoins instructive sur la période où sévissaient les pilleurs de temples. On peut aujourd'hui admirer certains de ces vestiges au musée Guimet.
Lien : http://partageonsnoslectures..
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L'Espoir

Il y a longtemps que j’ai terminé « La condition humaine » d’André Malraux. Ce livre n’a pas fait une grande impression sur moi à l’époque. Je me souviens que l’histoire était un peu déroutante. Je le trouvais peu captivant, son sujet était ennuyeux, je n’aimais pas le style réservé et je pensais que les personnages étaient froids et sans intérêt.



C’est pour cette raison que j’ai hésité longtemps à aborder « L’espoir », le deuxième ouvrage du même auteur pour moi. Le livre se trouvait déjà sur ma « liste à lire » pendant quelques années. Finalement, je n’ai pas pu remettre la lecture plus longtemps. J’ai emprunté le livre de nouveau et ce temps j’ai effectivement commencé la lecture.



L’histoire se déroule en Espagne pendant la guerre civile. En fait, on suit quelques histoires différentes dans lesquelles les personnages principaux luttent contre les forces fascistes. Le lecteur assiste aux événements par les yeux de chaque personnage principal, il y a un aviateur, un commandant, et cetera. Ils sont surtout des étrangers.



L’auteur ne donne pas une vue d’ensemble sur le déroulement de la guerre civile. C’est alors que le lecteur fait un plongeon dans chacun de ces histoires diverses sans introduction. Il suit les événements et les combats dans lesquels le personnage principal est impliqué, ensuite on abandonne cette histoire et on plonge dans une autre pour revenir plus tard à la première, et ainsi de suite.



Malheureusement, l’auteur ne donne pas des informations sur les personnages principaux, sur leurs milieux et sur leurs motivations non plus. Par conséquent, on ne comprend pas toujours toutes les raisons pour lesquelles ils sont là, tous ces étrangers en Espagne, et pourquoi ils se battent contre les fascistes. Le livre contient beaucoup des personnages. C’est aussi pour cette raison que je ne me suis pas identifié à quelqu’un de cette collection de personnages principaux. C’est dommage, avec plus des informations sur les personnages principaux, le livre aurait été probablement plus captivant.



Dans son ensemble, j’ai quand même bien aimé le livre. On perçoit l’ambiance de cette époque d’une façon authentique. Le style de la narration est fluide et les conversations sont vives. Pour conclure, je trouve « L’espoir » intéressant et bien écrit. Il m’a aussi poussé à chercher plus des informations sur le contexte historique de cette guerre civile affreuse.



Après cette bonne expérience, devrais-je relire « La condition humaine » ? Peut-être je l’apprécierai plus …
Lien : http://nebulas-nl.blogspot.c..
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