Anna Godbersen

Les couvertures de cette saga sont vraiment très belle. Concernant les personnages, je trouve comme dans les tomes précédents que Elisabeth n'est pas assez présente, son personnage manque de relief. Diana par contre est exquise, j'ai beaucoup aimé la scène avec Grayson et tant mieux que Henri les ait vus, ça a au moins le mérite de le faire réfléchir. Henri est un idiot, il enchaîne les bourdes et en plus, il est incapable d'assumer, franchement, j'espère de plus en plus que Diana ne finira pas la saga avec lui ! J'ai hâte de découvrir le dernier tome et connaitre la destinée de chacun des personnages. Je dis tous, parce que Carolina, Teddy et Grayson ont pris une place de choix dans mon cœur à travers ce troisième tome.

J'ai lu ce livre du 29/04/2016 au 02/05/2016.

Un livre qui m'a attiré à la média pour sa couverture et son titre (et facultativement sa 4ème page de couverture), j'ai mené une petite enquête avant de l'emprunter : que des choses positives dessus et qui allaient me plaire.

Chouette, en le lisant j'avais au départ du mal à m'y plonger dessus (peut-être à cause de mon ancienne lecture qui m'a encore marquée).

J'ai adoré la façon de comment sont présentés les chapitres à travers des citations d'articles de journaux, de livres... mais aussi son intrigue remplit de rebondissements même si la fin laissait présager qu'Elizabeth "meurt" mais qu'en fait c'est pour retrouver son bien-aimé qui n'appartient pas à la noblesse, des persos avec chacun un caractère différent ainsi qu'une psychologie. Et surtout de nombreuses trahisons, scandales dans les USA du XIXème-XXème siècle.

Honnêtement, j'ai juste envie de lire la suite de ce roman (à ma prochaine sortie à la média alors).



Ma note : 8/10

Cette saga est très addictive, je veux savoir ce qu'il va se passer maintenant ! Quelle fin horrible, pour Will, pour Lizzie, Diana et Henri j'en avais les larmes aux yeux ! Que vont faire les filles Holland ?

Un superbe premier tome, le démarrage est lent mais c'est normal, ce livre est fait pour nous apprendre à connaitre les personnages. Evidemment j'ai eu un coup de cœur pour Diana ainsi que pour Henry. Elisabeth est un peu terne et donc je suis contente du choix qu'elle fait à la fin. Quand à Pénélope et Carolina j'ai hâte de découvrir ce qui va arriver à ces deux chipies !

Je viens de terminer ce premier tome issu d'une trilogie de Anna Godbersen. J'aime beaucoup cette auteure qui mélange chick litt et roman d'époque. J'ai lu les quatre tomes de la saga Luxe et j'ai adoré me plonger dans le Manhattan de 1899. Dans Tout ce qui brille, nous faisons une halte dans les années 20, entre ambiance cabaret et gangsters, au temps où la Prohibition fait rage. Nous faisons la connaissance de Letty, qui aspire à devenir actrice, Cordelia, qui se donne pour mission de retrouver son père (célèbre bootlegger de Manhattan), et Astrid, jeune fille riche élevée par une mère vénale qui aspire à une autre vie que celle dictée par celle-ci.

Ce premier tome m'a beaucoup plu, bien que j'aspirais à connaitre un peu plus en profondeur la personnalité des personnages. Mais avec le cliffhanger offert à la fin du tome, je pense qu'il y aura beaucoup matière à traiter pour le deuxième tome, qui se trouve déjà dans ma PAL.

Je viens de terminer le dernier tome de la saga The Luxe, intitulé Vénéneuses. Lire le dernier tome d'une saga, c'est toujours un peu triste: il faut dire adieu à des personnages, voir quelle fin leur a été réservée...



Nous retrouvons ici tous les personnages des tomes précédents, avec leurs rêves, leurs désirs inavoués, et chacun va connaître une fin plus ou moins heureuse.



Nous retrouvons Diana à Cuba, enchaînant les petits emplois, jusqu'au jour où elle retrouve Henry. Penelope, toujours aussi hautaine, réussit à impressionner le prince de Bavière, à tel point qu'elle semble prête à accorder le divorce à Henry. Elizabeth, elle, découvre de lourds secrets concernant son passé avec Will. Quant à Carolina, devenue une richissime héritière, il ne lui manque que l'amour de Leland pour que son bonheur soit total...



Chacun aura la fin qu'il mérite, ce qui donne une petite note déprimante à ce livre: il y a très peu de happy end au final, et seule Elizabeth aura droit à sa part de bonheur.

Diana est la seule à avoir vraiment évolué tout au long de cette série, comme en témoignent sa coupe de cheveux très courte, ses choix amoureux (sa fierté d'être la maîtresse d'un homme marié) et sa soif d'indépendance.

L'autre grande évolution de ce livre, c'est celle de la société, et elle est représentée par les sœurs Broad: place désormais aux nouveaux riches, ils sont l'avenir quand les autres familles plus anciennes restent tournées vers le passé.



Au final, cette saga a été plutôt agréable, facile et rapide à lire. Les personnages étaient attachants chacun à leur manière, même si pour certains il a fallu attendre ce quatrième tome pour qu'ils se révèlent vraiment...
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Je viens de terminer le tome trois (sur quatre) de la saga The Luxe d'Anna Godbersen, intitulé Tricheuses. N'ayant pas chroniqué le tome 2, je me rattrape donc avec celui-là!



Nous retrouvons dans ce tome tous les personnages de la saga (sauf Will, malheureusement), dont les situations ont bien évolué.

Henry Schoonmaker a épousé Penelope Hayes, et ce malgré qu'il ne l'ait jamais aimée. Diana, qui aime toujours Henry, a bien sûr le cœur brisé; quant à sa sœur Elizabeth, elle refuse toujours de paraître en public. Carolina Broad, qui a trouvé refuge auprès d'un riche protecteur, gravit un à un les échelons qui la mèneront au sommet de la bonne société new-yorkaise.

Tout ce petit monde se retrouve en Floride, aux frais de la famille Schoonmaker. Henry rêvait d'un voyage tranquille avec son ami Teddy, mais suite aux manigances de sa femme tous embarquent pour des vacances on ne peut plus piquantes. Diana aimerait reconquérir le cœur de Henry, Penelope espère consommer son mariage, et Teddy vit toujours son amour impossible pour Elizabeth.



Il n'y a pas grand chose de neuf dans ce tome: Penelope est toujours aussi venimeuse, jalouse et détestable, elle manigance à tour de bras, mais cette fois le retour de manivelle n'est pas bien loin...

Diana et Henry jouent au jeu du "je t'aime moi non plus": incapables de se faire confiance, ils ne cessent de se faire souffrir l'un l'autre sans comprendre qu'ils sont manipulés par Penelope et son frère Grayson.

Elizabeth quant à elle reste bien passive face à son destin, sauf quand une nouvelle inattendue viendra bouleverser son avenir...



Carolina, insouciante et quelque peu ingrate (là je pense notamment au destin qui attend son protecteur), est la seule à tirer son épingle du jeu.

Le seul personnage à m'avoir déçue est Henry: qu'il paraît bien faible et pâle, comparé au fringant et séduisant jeune homme du tome 1! Il se laisse totalement mener par le bout du nez par sa femme, et passe son temps à se lamenter et à boire. Il faudra attendre la fin du roman pour qu'il réagisse quelque peu...



Au final, rien de bien nouveau à l'horizon pour ce Gossip Girl à l'ancienne, seule la fin réserve quelques surprises. Malgré cela, j'ai une fois encore apprécié ma lecture, et quand le quatrième et dernier tome, Vénéneuses, sortira en poche le 21 de ce mois, je n'hésiterai pas à l'acheter pour connaître la fin des aventures des sœurs Holland. Il reste juste à espérer qu'il nous réservera un peu plus d'action...
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ce livre me donne extrêmement envie....

Malgré le fait que personnellement, je n'aurais pas choisi les mêmes "fins" que l'auteur pour les quatre héroïnes, je pense que la fin est magnifiquement écrite.On suit l'évolution de Lina, Diana Penelope et Liz depuis quatre tomes et elles ont grandement mûri depuis le premier tome; mon personnage préféré reste Diana, libre, féminine et féministe. Puis Pénélope, petite fille gâtée qui cache plus de failles qu'elle n'en laisse paraître.

Très belle fin, pour un roman trouvé dans le rayon ado mais qui n'en est pas moins un roman initiatique, de petites filles, elles sont devenues femmes dans la dure société du Manhattan du début du 20è.

Secrets, mensonges, trahisons... Quand j'ai vu e résumé de ce livre je me suis dit, il me le faut ! Après l'avoir lu, je me dis bonne lecture mais ce n'est pas LA lecture de l'année. J'ai aimé ce livre, vraiment, mais je suis tout de même un peu déçue... Avec un résumé aussi prometteur, je m'attendais à quelque chose... d'explosif alors qu'au final, c'est un peu mièvre sur les bords et l'action n'est pas vraiment au rendez-vous.



Nous faisons donc la connaissance de trois jeunes filles issues de la haute société New-yorkaise au XIXème siècle: Pénélope, Elisabeth et Diana. Tout ce petit monde évolue dans une société où se mêle trahisons et scandales.



J'ai aimé découvrir cette société et il faut tout de même avouer que l'auteur nous la décrit vraiment bien ! Au fil de ma lecture, je pouvais imaginer sans difficulté les réceptions et les vêtements. L'auteur prend le temps de nous décrire les scènes et c'est peut-être ce qui m'a autant gênée que plu. Anna Godbersen s'attarde par moment trop sur les détails au risque d'en oublier ce pour quoi on lit ce livre et c'est dommage. Ce qui par moment nous fait tourner en rond et je me souviens m'être plusieurs fois demandée si l'auteur savait où elle allait...



Je suis assez mitigée en ce qui concerne les personnages. D'un côté nous avons Pénélope que j'ai détesté à un point que vous n'imaginez même pas ! Je l'ai trouvé hypocrite, manipulatrice sûr d'elle... Bref tout les défaut possible et imaginaux et c'est justement ça qui n'est pas réaliste, une personne n'est pas tout noire où toute blanche. C'est aussi le reproche que je ferai à Elisabeth que j'ai trouvé trop passive et c'est ce qui m'a profondément exaspérée. Cependant, je trouve que le personnage de Diana et celle qui à la plus grosse et la réaliste, évolution. Au début, je l'a trouvais trop puérile et agaçante mais au final, elle se révèle plus mature et adulte qu'elle ne le laisse paraître. J'ai vraiment aimé ce personnage assez complexe et imprévisible.



Et enfin, cette fin ! Bon, je l'a voyais un peu venir surtout vers la moitié du roman mais ça ne pas empêchée d'être surprise et c'est tant mieux ! Au final ça reste une bonne lecture qui m'a fait passer un bon moment.



Ma note: 4/5

On aime: le style de l'auteur, la complexité de certains personnages

On regrette: le surplus de détails, des personnages peu réalistes.
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Résumé :



1899, New York.

Elizabeth est amoureuse de Will.

Penelope est amoureuse d’Henry.

Diana est aussi amoureuse d’Henry.

Henry doit épouser Elisabeth.

Mais Elizabeth aime Will.



J'ai beaucoup eu de mal à finir ce premier tome d’une série de 4.



On en parle et on en reparle de cette fameuse couverture avec une jolie robe, mais suffit pas qu’un gâteau soit beau pour qu’il soit bon...

Et à l'intérieur ?



Les personnages sont évanescents et caricaturaux à souhait (la soeur ainée obéissante, la soeur cadette rebelle, la meilleure amie peste, le don Juan, le beau domestique).



Elizabeth et Diana sont de très pales copies de Elinor et Marianne.



Les événements sont légers, sans épaisseurs que c’en est ennuyeux.

L’intrigue est tellement cousue de fil blanc que des le premier chapitre, je savais à quoi m’en tenir.



Aucune mention sur le New York du gilded age qu’est censé représenter ce roman.



Si vous voulez un roman qui parle de cette société new yorkaise élitiste, Edith Wharton est pour moi «The Artist» à lire.

Maintenant si vous voulez passer le temps en lisant une bluette sentimentale avec de jolies robes ce roman est adéquat.



Je ne lirais pas la suite. (Mais je zieuterais les couvertures.)

C’est avec un grand plaisir que j’ai retrouvé les sœurs Holland pour la conclusion de la saga The Luxe, qui m’a fait faire un saut dans le temps et m’a enchantée par ses descriptions minutieuses de la haute société new-yorkaise du début du 20e siècle.



Ce dernier tome ne fait pas exception à la règle. Portée par l’excellente plume d’Anna Godbersen, j’ai de nouveau plongé dans le quotidien de ces familles pour qui l’apparence et la réputation sont tout. J’ai frémi, tremblé, espéré, ri avec ces héroïnes d’un autre temps qui ne sont pourtant pas si éloignées des préoccupations actuelles.



Les personnages ont évolué depuis le premier tome et quel chemin ! Certains sont mis devant le résultat de leurs manipulations, d’autres accèdent au succès tant espéré pour mieux dégringoler, certains trouvent l’amour pendant que d’autres le perdent... Mais chuuuut, je ne dirais rien pour ne pas gâcher le suspens...



J’ai tourné les pages à vitesse grand V, avalant les chapitres les uns après les autres, surtout qu’ils sont courts et qu’il est facile de se dire « encore un et après j’arrête », tellement je voulais connaitre le dénouement (et j’ai croisé les doigts aussi parce que personne n’est jamais vraiment épargné dans cette saga...). Si je suis un peu déçue par la fin, parce que ce n’est pas celle à laquelle je m’attendais, je ne peux malgré tout que recommander cette série fabuleuse tant elle m’a fait voyager et rêvé !
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Ce que j'ai trouvé fascinant dans cette série c'est l'évolution tant sur l'histoire, l'écriture et les personnages.

On a un premier tome plutôt léger, on devine ce qui va se passer au bout de 10 pages environ, une introduction.

Le deuxième tome est déjà mieux tourné, on commence à accrocher, le troisième on est accro!

Le quatrième! c'est THE final! j'ai adoré! tout y est, les personnages ont muris, l'histoire avec!

un final grandiose!

J'ai bien aimé ce livre. Maintenant ce n'est pas le meilleur que j'ai lu mais j'ai passé un très beau moment en lisant l'histoire d'Elizabeth et des autres. Et puis, un petit point spécial pour la couverture que j'adore, sûrement grâce à la magnifique robe portée.

Ce livre d'Anna Godbersen me faisait de l’œil depuis un bon moment déjà... Il faut dire que j'aime beaucoup l'époque à laquelle il se situe, fin du XIXè siècle: l'élégance des plus hautes sphères, leurs traditions, leurs codes, leurs ambitions et leurs secrets... Je dois aussi avouer que la robe que l'on voit sur la couverture de l'édition brochée n'est pas pour rien dans mon choix et il est même dommage qu'elle n'ait pas été conservée pour la version poche...



Ce roman nous plonge dans l'univers de ce que l'on pourrait considérer comme l'ancêtre de notre actuelle "jet set".

Chaque chapitre débute avec un extrait soit de journal, soit de lettre, ou encore de billet échangés entre les personnages. On y apprend dès la première page la disparition tragique d'une jeune fille issue d'une de ces grandes familles: Elizabeth Holland. Le livre s'ouvre donc sur une scène de funérailles, toute la bonne société new-yorkaise est en deuil.

Dans les chapitres suivants, nous remontons le temps de quelques mois, et apprenons les évènements qui ont conduit à ce drame.



Les défauts que l'on peut reprocher à ce livre sont une fin trop prévisible (on peut la deviner dès le moment où Elizabeth et Henry se retrouvent fiancés), et des personnages parfois un peu caricaturaux.

L'héroïne (Elizabeth, donc), élégante, bien élevée, est polie à en être presque trop lisse; le séducteur (Henry) est riche, beau et cynique; et la peste (Penelope) est prête à tout pour arriver à ses fins. Mais sous leurs dehors policés se cache leur vraie nature...



Une fois encore, il ne s'agit pas ici de grande littérature, mais d'un roman jeunesse, que pour ma part j'ai trouvé bien écrit, dans un style fluide et rythmé. Je peux même avouer en toute honnêteté avoir passé un très agréable moment, et je pense continuer l'aventure avec les prochains tomes (Rumeurs, Tricheuses et Vénéneuses).
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J'avais un opinion ambigue sur le premier tome. Je n'étais pas certaine de vouloir lire le deuxième tome. Je l'ai finalement commencé et je peux dire que je n'ai pas pu arrêter de le lire. Malgré le fait qu'à mon avis il y a beaucoup trop de descriptions pour le nombre de dialogues et d'actions, cette histoire m'a emporté. La fin m'a surprise énormément, beaucoup plus que celle du premier tome. Quand je l'ai fini, j'ai tout de suite commencé le troisième parce que l'intrigue est vraiment très intense à mon avis. Malgré que j'aurais le goût de jeter, littéralement, Penelope en bas d'un pont, j'ai eu beaucoup de bonheur à lire les amours d'Elizabeth et Diana. Par contre, je trouve que comme le premier tome, le prologue révèle une importante intrigue et s'il n'y en aurait pas, le suspense à la fin serait doubler. Pleins d'émotions vous parcourerons, même pour un livre de moins de 500 pages!

En commençant à lire ce livre, je dois avouer que je les trouver très complexe. L'auteure nous bombarde de personnages, qui sont très importants à comprendre pour le reste du roman. Plus le livre avance, on assimile les noms et les caractéristiques de chacun et chacune assez facilement quand même. J'ai vraiment embarqué dans le roman à partir d'environ des pages 100-150 donc j'ai difficilement embarqué dans le roman dès le début. Plus le roman avance par contre, moins nous pouvons le lâcher. J'aime l'ambiance dans laquelle l'auteure nous a mis c'est-à-dire dans la haute société à New York vers la fin du 19ième siècle. Tous les éléments à mon avis sont crédibles. Pour finir, je dois avouer que j'ai commencé le deuxième tome directement après avoir fini ce livre. La fin est très intrigante(pour ne rien dévoiler). Par contre, elle est prévisible car le prologue nous donne beaucoup d'indices. Mais ce qui se passe après la fin est très intrigant.

Nous voilà catapultés dans un New York méconnu, celui 19 siècle.





L’histoire commence sur un prologue décrivant l’enterrement de la jeune Elizabeth Holland, qui vient de mourir tragiquement. (intriguant, n’est-ce pas ?)

Ce prologue est assez difficile à suivre et à comprendre à cause de l’avalanche de noms que nous dévoile l’auteur. Nous vous conseillons de vous munir d’un crayon et de papier!





Quand le premier chapitre commence, nous remontons le temps d’un mois avant le décès de Elizabeth. Vous l’aurez compris, l’auteur va nous raconter pourquoi la jeune fille est morte.

Mais Elizabeth n’est pas la seule héroïne de l’histoire: sous les projecteurs, sont également présentes Diana, la soeur benjamine d’Elizabeth, pleine de vie, de charme et surtout très cache; Carolina, leur servante, qui bien que peu présente, se découvrira un caractère très effronté; et enfin Penelope, une amie d’Elizabeth, dont le dicton “Garde tes amis près de toi, tes ennemis encore plus” conviendrait plus à leur drôle de relation.

Bien que tout cela semble très alléchant, les personnages sont plutôt ternes, ils manquent un peu de vivacité.





L’alternance de points de vues entre ces différents protagonistes, ainsi que leurs différentes façons de penser, permet de mieux saisir l’intrigue, la rendant par ailleurs bien plus complexe et captivante. Nous comprenons aussi ainsi mieux les quatre filles.Le livre ne contient que très peu d’actions: l’intrigue est basée uniquement sur les sentiments de nos jeunes héroïnes mais ça n'a rien d'étonnant vue qu'il s'agit de Chick-Lit.





Tout ce gratin de la société Américaine du XIXème vit dans un monde où le protocole et les convenances (par ailleurs, chaque chapitres débutent avec un extrait de texte tiré d’un manuel sur le protocole des jeunes dames) cohabitent avec coups bas et mesquineries en tout genres.



La style de l’auteur est intéressant, quoi que au début un peu difficile à comprendre (en raison de la tournure des phrases assez compliquée). Mais très vite nous nous y adaptons et cela ne pose plus aucun problème.



Bref, un roman facile, pour ceux qui sont fan de gossip girl et qui adore l’ambiance si particulière du 19 siècle.;)


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Il n'y a pas que la couverture du livre qui soit sublime. L’histoire est de très bonne facture. On entre dans l’intimité de la haute société new-yorkaise de la fin du 19e siècle, à travers le regard de sa jeune génération. Le thème, en lui-même, n’est pas des plus original, mais Anna Godbersen arrive à captiver le lecteur.



J’ai d’abord trouvé son style un peu chargé avec des phrases très longues, mais je m’y suis faite et ai pris un vrai plaisir à cette lecture. Le style va parfaitement avec le conteste et, la lecture est fluide et agréable. Il y a beaucoup de chapitres, mais il sont très courts, prenant à chaque fois le point de vue d’un personnage. Le prologue, qui n'est autre que le dénouement met, tout de suite dans l’ambiance. On n’échappe donc pas à la tentation, de vouloir connaitre les évènements ayant conduit à une telle situation.



Les personnages sont charismatiques et cohérents. J’ai eu un coup de cœur pour celui d’Élisabeth qui est, je trouve, le moins superficiel de tous et aussi le plus courageux. Sa sœur, Diana, est plutôt naïve et m’a agacée par son comportement au début, mais par la force des choses elle n’aura d’autre choix que de se remettre en question. En voyant les comportements d’Élisabeth et de Diana, je n’ai pas pu m’empêcher de penser aux sœurs Dashwood, du roman Raison et Sentiments de Jane Austen. Je leur ai trouvé quelques similitudes comportementales. Mais je trouve les personnages de Rebelles moins creux. Les autres personnages ne sont pas en reste et sont tous aussi intéressants et captivants.



En tout cas, je lirais la suite de la saga avec beaucoup de curiosité.

Déniché sur une brocante, j'ai acheté la saga complète pour 10€ et je ne regrette pas.



Honnêtement je m'attendais à un peu plus d'action et d'addiction mais c'est tout autre chose que j'ai découvert.



Nous sommes en 1899, il y a les Lady de grandes familles et les domestiques. Des célibataires prisés et des cochers. Mais aussi

des soirées coûteuses, des robes onéreuses, des coups bas et des histoires d'amour.



Nous suivons plusieurs personnes et de classes différentes ce qui permet d'enrichir l'histoire : d'abord et principalement Miss Elizabeth Holland, déchirer entre faire

le bien pour sa famille et épouser le plus riche célibataire ou écouter son cœur. Douce et naïve, on peut facilement s'y comparer. Cependant c'est sa sœur Diana que j'ai préféré : l'âme ouverte et moderniste, elle apporte vraiment un côté frais.



Miss Peneloppe Hayes, la garce de la bande : jalouse et prétentieuse de la popularité de son "amie" Elizabeth. Vous l'aurez compris elle est le personnage qu'on ne peut pas apprécier.



Il y aussi le point de vue de domestiques, de garçons et des parents des jeunes gens : une diversité de caractères bienvenue.



A chaque début de chapitre il y a une coupure de presse, un petit mot ou un morceau de lettre : on comprend vite que les apparences sont importantes mais aussi trompeuses. C'est un vrai plus apporté au livre !



Dans l'ensemble l'histoire est lente et on peut y trouver quelques passages ennuyeux parce qu'avec un si grand nombre de personnages l'auteure qui a pourtant un style sympathique doit installer et développer beaucoup d'histoires parallèles à celle d'Elizabeth.



De plus la fin est prévisible à des kilomètres à la ronde. Si ce premier tome avait fini quelques paragraphes plus tôt nous aurions plus envie de lire la suite : là ce tome pourrait se suffire à lui même.



Conclusion : Un premier tome agréable mais pas extraordinaire.
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