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Critiques de Anthony Burgess (144)
L'orange mécanique

Critique du Time à la parution de L'orange mécanique en 1962 :



(...) sous ses aspects provocateurs, ce petit livre de Burgess est une perle rare dans la littérature britannique : un roman philosophique. On peut facilement passer à côté de sa morale, parce que le héros nous raconte tout en « nadsat », ce qui le place à la fois à l’intérieur et à l’extérieur de la race humaine. Le voyage du pèlerin de Stavogrin beatnik de Burgess est un essai moraliste grave et réussi. Burgess démontre simplement qu’il y a plus d’humanité chez Alex mauvais humain que chez Alex bon zombi. Les ressorts d’une société mécanique ne sauront jamais reproduire la vitalité originelle du choix moral. Le bien n’est rien si l’on n’accepte pas la nécessité du mal.



Extrait de, Anthony Burgess Si mon temps m'était compté, Paris, Grasset, 2000. Page 76.



Il a de la golosse ce bézoumni de Burgess, un bratchni qui passe son temps avec sa dévotchka à faire guiliguilivice.

Son biblio m'a foutu un sacré coup sur le gulliver. J'en ai eu pour mon lollypop.

Je vais m'envoyer un moloko au spoutnik pour spater.

Appy polly loggy
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L'orange mécanique

Vous connaissez forcément le film, sorti en 1971, qui a été tiré de ce livre. Le chef-d'œuvre de Stanley Kubrick est encore dans toutes les mémoires, autant pour la maîtrise parfaite du sujet et la perfection de la réalisation que pour le dérangement que constitue le thème même du film - et du roman, c'est à dire l'ultra-violence.

Au départ c'est du vécu : en 1944, la femme d'Anthony Burgess se fait agresser et violer par quatre soldats déserteurs. De ce drame, Burgess va tirer un roman à la fois éprouvant et profondément déroutant, L'Orange mécanique. Pourquoi "orange", pourquoi "mécanique" ? il semblerait qu'une expression d'argot "clockwork orange" qualifie quelque chose d'à la fois bizarre et inquiétant. Ces deux qualificatifs correspondent on ne peut mieux au roman - et au film.

L'Orange mécanique est un roman de science-fiction, bien que le propos dépasse largement ce cadre-là. Ecrit en 1962, il est encore aujourd'hui, 60 ans plus tard, d'une actualité brûlante.

Nous sommes donc à Londres dans un futur pas si éloigné. Une bande de voyous, dont la violence est la seule raison d'être, passe son temps à se battre, voler, violer, peut-être même tuer, à l'occasion. Leur chef Alex finit par être un jour trahi par ses copains, et arrêté. En prison, on lui fait subir une expérimentation destiné à l'éloigner des pulsions violentes. Mais une fois libéré et confronté à son ancienne vie, de bourreau il devient victime.

Les questions que posent le roman sont multiples. La violence, d'abord. Comment la combattre, la canaliser, est-elle parfois justifiée, quelles formes peut-elle revêtir ? L'expérimentation médicale ensuite. Quelle est sa légitimité ? Donne-t-elle le choix au "cobaye"? Enfin l'être humain garde-t-il son essence quand la science l'amène à devenir une machine ?

Ce roman, on le voit, donne à réfléchir. Mais l'autre intérêt, tout aussi remarquable consiste dans la forme : le narrateur, Alex, s'exprime dans un argot particulier le Nadsat, composé hétéroclite de russe, d'anglais et d'idiomes divers (un lexique est proposé à la fin de l'ouvrage). Ce parti-pris d'écriture donne au roman un aspect particulier : on est constamment sur le point de vue du narrateur (ce qui nous permet de constater son évolution) et en même temps le langage dessine l'atmosphère générale du roman (et du film), bizarre, déconnectée de la réalité, et au total beaucoup plus inquiétante que fantaisiste.

Un livre à lire, et un film à voir (même si tous les deux sont dérangeants), à la fois pour la forme et pour le fond

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L'orange mécanique

La violence devenue esthétique, sans but, gratuite…pour la beauté du geste !

L’orange mécanique, paru en 1962, est un roman visionnaire si l’on considère l’état de nos sociétés occidentales, lesquelles ont normalisé ladite violence, considérée comme une fatalité avec laquelle il faut composer.

Alex, le « héros » du livre, débride ainsi tous ses instincts, se joue des règles de vie en communauté, parle, avec ses drougies, sa langue propre – le Nadsat – pour creuser encore sa différence.

A cette violence répond celle, institutionnelle, de l’Etat, pour qui peu importent les moyens, seul le résultat compte.

Alors Alex est-il plus ou moins coupable que la société, capable à son tour de violences inouïes et surtout de générer des êtres tels que lui ? Si Burgess nous incite à ce questionnement, je m’y refuse car l’homme est doué de raison, donc de libre-arbitre. Quels que soient les cahots du « chemin de notre vie » (Dante), nous avons le choix de succomber à nos pulsions ou de les juguler.

Aussi, la rédemption d’Alex me semble une excuse trop facile, et je préfère de loin le parti-pris de Kubrick dans son adaptation au cinéma : Alex ne peut changer car – et c’est peut-être insupportable à entendre pour beaucoup – il aime sincèrement nuire.

Il n’en reste pas moins que le texte de Burgess est assez dérangeant et d’une grande maîtrise pour mériter le nom d’œuvre littéraire majeure.

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L'orange mécanique

Un de ces livres que tout le monde croit connaître mais que peu ont lu. La faute au cinéma et à Stanley Kubrick. On pourrait dire la même chose du Vol au dessus d’un nid de coucou, qui est un excellent film de Milos Forman mais ne fait pas oublier le roman éponyme de Ken Kesey. Il y en aurait d’autres, Fahrenheit 451 peut-être…



Bref, L’orange mécanique, c’est l’histoire d’Alex (antihéros par excellence), adepte de l’ultra-violence gratuite et de Ludwig Van, qui sème la terreur avec ses potes (droogs) parmi les bandes rivales, les filles seules, les clochards mais aussi un couple de braves (?) intellectuels un soir de délire et d’abus de boissons sur-vitaminées ! Jusque là tout va bien (enfin, si l’on peut dire !) et on est quand même très en dessous d’un Tarentino en pleine forme ! C’est ensuite que ça se complique quand le jeune Alex est arrêté et pris comme cobaye pour une cure de désintoxication expérimentale (une sorte de thérapie fondée sur l’aversion) destinée à le libérer de ses pulsions violentes. On quitte alors le fait-divers pour entrer de plain-pied dans les questions de société et l’on est presque amené à s’apitoyer sur un Alex réduit à l’état de pantin par des individus peut-être pas au dessus de tout soupçon. La fin justifie-t-elle les moyens ? Décérébrer un individu est-il le remède que la société doit appliquer pour endiguer la violence ? Des questions pour un roman souvent considéré comme une simple apologie de la violence (rappelons que le film a été longtemps retiré des écrans au Royaume-Uni).



Dans ce thriller glaçant, Anthony Burgess a mis beaucoup de lui-même, de son histoire personnelle mais aussi de son amour des mots, de la langue et de la musique. Il a aussi réfléchi aux dérives des sociétés futures (cf. 1985). Un très grand livre sur un monde déshumanisé et déshumanisant dans lequel l’individu peine à se positionner. Une des brillantes dystopies du 20ème siècle.

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L'orange mécanique

C'est le récit d'un jeune homme qui s'intéresse essentiellement à la violence, qui tue et qui viole. Le livre va bien au-delà de ce raccourci rapide pour parler d'une société qui entend transformer chaque individu en agneau et le modeler à sa guise. Renvoyant dos à dos les extrêmes, Anthony Burgess n'est pas de ceux qui pense que le peuple vendra sa liberté pour une existence formatée. Place à l'homme capable de songer par lui-même, quitte à s'engouffrer dans le pire chemin ...
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L'orange mécanique

Si la narration est un chouilla vieillie (mais moins que l’adaptation cinématographique), ce roman reste la dystopie adolescente la plus étonnante et la plus détonante du genre. Dans une langue rétrofuturiste qui semble le mariage bâtard du verlan adolescent et d’une influence bolchevique, Alex et ses drougs nous emmènent dans leurs nuits sauvages. Alex a quatorze ans, c’est un garçon incompris de ses parents, mais ses divertissements sont des provocations disproportionnées à l’ordre social. Il agresse, il vole, il détruit, il viole, tout cela avec la plus déroutante gaminerie. Attrapé et envoyé dans une sorte de centre de redressement expérimental, Alex subit un traitement violent qui le rend allergique à ses anciens comportements : la violence le rend malade. Ainsi dénaturé, il est rendu au monde…



L’orange mécanique est une lecture fascinante et puissante, par sa langue, et par son étude des modifications comportementales. C’est (aussi), l’histoire d’un adolescent qui grandit.



Un roman assez décoiffant.
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L'orange mécanique

Alex, Notre Humble Narrateur, aime Ludwig van B. Et pour aller avec, vols, viols, bagarres... jusqu'au meurtre de trop.

Un récit sur le passage à l'âge adulte, un conte philosophique qui questionne sur la violence, le conditionnement. On en éprouve même de la sympathie pour le héros après son traitement. Qui sont les brutes quand les vieux crêvent de faim, les policiers bastonnent les passants, les scientifiques n'ont plus d'éthique, les politiciens ne pensent qu'à leurs intérêt. Beau travail sur le nasdat, l'argot de la jeunesse dépravée.
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L'orange mécanique

J'ai été emportée par la lecture de ce livre dont le langage m'a d'abord surprise. Mais l'auteur utilise les mots avec une habileté qui m'a conquise et je n'ai pu lâcher le roman. Cette histoire a été écrite il y a déjà soixante ans, et pourtant elle est tellement d'actualité. L'orange mécanique, en cockney, signifie bizarre. Un jeune à la tête d'une bande tue, torture et viole sans remords. En prison, il subit un traitement qui va le rendre doux. La suite? je ne vous le dis pas, ce serait dommage de gâcher votre plaisir. Je rends hommage aux traducteurs qui ont accompli une prouesse et vous le saurez en lisant le livre.
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L'orange mécanique

Je n'ai pas pu aller au bout du livre. Je l'ai trouvé malsain. J'avais un sentiment de mal être que je suppose que l'auteur voulait nous faire ressentir mais c'était trop pour moi. Courage à tous
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L'orange mécanique

Un classique. Lu après avoir vu le film dans ma jeune adolescence. Relu pour le plaisir et le frisson de ses mots qui "gliffent" encore en moi.
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La folle semence

Lu pour faire plaisir a une amie qui insistait depuis quelques temps (pour ne pas dire deux bonnes années..) pour que je le lise. Il faut dire que le titre n'est pas accrocheur, c'est bien dommage car le contenu est riche et passionnant a certains moments.

L'idée de base est géniale, les cycles de phases qui se répètent toujours de la meme façon, le monde qui s'embrase puis soudain se calme et les hommes presque blasés par l'absence de surprises. Tout ça soulève des questions métaphysiques incroyables qui ne sont ici pas assez traitées a mon gout. Il n'empêche que le récit est dense et on le suit avec plaisir et intérêt. La fin est un peu bâclée et laisse sur sa fin mais je recommande pour les fans de SF "soft".

Au passage la bio de l'auteur est assez surprenante (apprend qu'il va mourir et s'est mis a écrire comme un acharné. Finalement il n'est pas mort et a totalement changé de vie pour devenir un écrivain reconnu).
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La folle semence

une bonne idée de cet éditeur de rééditer Burgess, qui est resté moderne! Dans cette contre-utopie, il n'y a plus assez de nourriture pour toute la population, du coup les naissances sont limitées, l'homosexualité encouragée et la nourriture est devenue entièrement chimique (et on le suppose fabriquée comme dans "soleil vert" à partir de cadavres humains). Le récit en lui-même est moins intéressant que la vision de la société. Le héros, prof d'histoire, et sa femme, vont traverser ses différents états. L'histoire est cyclique: après une phase de limitation, d'austérité et de contrôle, le peuple se rebelle et se le sexe devient la distraction de tous, des fêtes sont organisées qui finissent en partouzes géantes... puis c'est le retour de la sévérité, avec des pseudos guerres organisées entre les deux grands Etats qui demeurent (roman écrit pendant la guerre froide); avantages des guerres: éliminer de la population. Enfin, retour de l'ordre comme au début du roman.

tout cela semble plutôt réaliste quand on voit, en période d'austérité, les gens en demander encore plus: plus de police, plus de contrôles...
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La folle semence

Le britannique Anthony Burgess — également auteur de "Orange mécanique" — imagine ici une Angleterre du futur surpeuplée, et une société au bord de l'asphyxie qui fonctionne à l'envers ; et qui pour s'en sortir, se dévore elle-même. On y suit les destins croisés de trois personnages, Tristram, Derek et Beatrice-Joanna. Les deux premiers sont frères et s'opposent sur leur vision de la société. Beatrice-Joanna bien que mariée à Tristram, couche avec Derek. Bientôt, celle-ci se retrouve enceinte alors que les lois contre la surpopulation l'interdisent et sans savoir avec certitude l'identité du père.

Une bonne histoire, empreinte de cette atmosphère sixties si particulière que l'on retrouve dans "Orange Mécanique", dont certaines thématiques ne sont pas sans rappeler celles abordées dans "Les fils de l'homme". Un récit sombre, qui pose la question de savoir jusqu'à quel point l'Homme peut refouler ses instincts naturels mais aussi un puissant hymne à la vie.
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La folle semence

Pelphase, interphase, gusphase : l'histoire se répète selon un cycle immuable où alternent libéralisme et autoritarisme de l'Etat. C'est ainsi que Tristram Foxe enseigne l'histoire dans un lycée de Londres, capitale d'une union anglo-saxonne qui est l'un des deux derniers Etats du monde. C'est un monde d'ailleurs surpeuplé que celui de La folle semence, un monde dans lequel l'homosexualité est vivement encouragée et dans lequel chaque femme a droit à une seule grossesse, qu'elle aboutisse ou non. 



L'infertilité des hommes contamine bientôt le monde : les récoltes ne donnent plus rien. La famine menace. Tandis que le système s'écroule alors que le monde entre dans une interphase, Tristram est emprisonné par erreur, séparé de sa femme qui, apprend-il, entretenait une relation avec son frère, Derek, haut-fonctionnaire appelé aux plus hautes responsabilités. Les événements qui suivent donnent un caractère presque odysséen au destin de Tristram, errant dans une Angleterre livrée aux forces de la destruction.



Evidemment dystopique, le roman de Burgess est une satire funestement grand guignolesque de thématiques habituellement chères à la science-fiction : la surpopulation, l'autoritarisme politique, le militarisme. Épopée terrifiante et grotesque à la fois, le parcours de Tristram est un triste éloge à la folie des hommes : entre propagande sexuelle et politique et cannibalisme primitif (justifié par un christianisme dans lequel la communion perpétue le souvenir de la Cène), c'est au spectacle de la décrépitude du genre humain que nous invite Burgess.



Forcément excessif, le roman est une promenade dans un futur désenchanté où l'humanité, littéralement, s'entre-dévore. Le machiavélisme règne et tous les moyens sont bons pour limiter la population. Même lorsque les instincts naturels de l'homme semblent reprendre le dessus, les illusions et leurs brutalités prennent la suite des règles établies puisque, au final, rien ne peut ni ne doit changer. Cependant, même dans la féroce noirceur d'un récit sanglant, l'espoir demeure : l'humanité garde en elle des ilots protégés et inatteignables.
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La folle semence

C’est un livre plutôt prenant, qui a un bon rythme. On ne perd pas le fil et on ne croule pas sous une tonne de détails, bien que l’ouvrage expose quand mème certaines théories et idées très avancées et qui demandent qu’on s’y penche bien pour les saisir. En somme, le style d’écriture est assez simple, plutôt impersonnel.

Ce qui est plus poussé et recherché, c’est le message derrière l’ouvrage qui vient directement nous parler, et dont on retrouve les prémices inquiétants dans notre réalité actuelle, d’un ouvrage qui est pourtant de la fiction…mais une fiction lucide : propagande de l’homosexualité en partie pour réduire le taux de natalité qui coûtent des frais, prennent de la place, invitation au travail acharné, à la soumission et à l’acceptation totale de ce cadre imposé.

Pour un ouvrage qui a été publié il y a un peu plus de 50 ans, je pense que c’est ce que nous pouvons appelé un ouvrage visionnaire.
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La Symphonie Napoléon

Antony Burgess n'est pas simple à lire. Mais c'était l'occasion, de voir la vision anglaise de la vie de notre empereur.

Les pages concernant la traversée de la Bérézina.( page 185 à page196). sont mémorables car c'est un pontonnier qui raconte ce chapitre le plus glorieux de l'histoire de la campagne de Russie.

Sans doute je le relirais ce roman, dés que j'arrive à bien connaitre la vie de Napoléon, car Antony Burgess écrit pour des érudits ...
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Le docteur est malade

L'univers étrange d'un patient dans un service de psychiatrie, entouré par des personnages deroutants. L'univers psychiatrique à bien changé, je pense, mais est toujours difficile à comprendre. Assez dur à lire si on pense aux personnes concernées
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Le docteur est malade

Bof ! Un peu déçu ! Le début promettait une histoire palpitante ! Le thème avait de quoi rendre attentif le lecteur ! Rien à voir avec "Orange mécanique" !
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Le pays où poussent les glaces

Il est si facile de se faire piéger par le titre d’un livre. Ça m’est arrivé plus d’une fois. Encore il y a quelques jours. Il faut dire qu’avec un titre comme Le pays où poussent les glaces, j’étais déjà séduite. Mais hélas! c’est tout ce qui est réussi dans ce roman destinée aux jeunes lecteurs. Anthony Burgess, l’auteur d’Orange mécanique, avait pourtant une idée : celle de nous entraîner dans un pays où on trouve des cornets géants et des eskimos. Mais il n’a pas su nous faire rêver tant l’histoire nous est contée platement, sans style, sans finesse, à la manière d’un fait divers banal. Quant à Fulvio Testa, responsable des illustrations, il n’a pas réussi à sauver le bateau du naufrage. Pas une minute vous n’aurez envie de goûter ces glaces qui s’offrent sans relâche aux personnages de cette courte histoire. Celles-ci sont fades, moches, sans intérêt.



Il faut plus qu’un semblant d’histoire et un titre pour un livre réussi. Le pays où poussent les glaces nous montre à quel point un livre peut être raté de A à Z.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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Le royaume des mécréants

l'empire romain se déglingue, le christianisme prend naissance. Burgess nous propose un monde romain violent, barbare, dépravé loin des livres scolaires. Il présente les apotres apportant la bonne parole, il les montre face à leurs doutes, leurs questionnements...époustouflant, le plaisir de lire
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The Mechanical Orange
The Clockwork Testament
A Clockwork Orange
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