AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Caroline Quine (194)


Comme la jeune détective réfléchit, elle entend de nouveau la sonnette de l'entrée. Son père va ouvrir et prend l'enveloppe qu'un coursier lui remet. Un instant plus tard, l'avocat revient au salon, le message à la main. L'exclamation qu'il pousse soudain fait sursauter la jeune fille.

- Qu'est-ce qu'il se passe ? s'inquiète-t-elle. Une mauvaise nouvelle ?

Sans répondre, M.Roy tend le papier à sa fille. Elle y lit ces mots:

VOUS SUPPLIE D'EMPÊCHER LES CLARK D'ADOPTER LES JUMELLES.

Le message porte pour toute signature :

COEUR Brisé
Commenter  J’apprécie          30
Alice possédait une excellente mémoire. Elle se mit à jouer la scène d'amour entre Tammi et Jim, que Marion remplaçait pour la circonstance. Exagérant à dessein les effets, elle lançait des œillades, envoyait des baisers, poussait des soupirs à fendre l'âme.
Affalée sur le lit, Bess se tordait littéralement de rire.
Commenter  J’apprécie          30
- Bien sûr. Les cachets de la poste et les adresses d'expéditeur fournissent des renseignement importants. Et dites-moi : avez-vous vu s'il y avait quelque chose d'inscrit sur le bloc-notes posé à côté du téléphone ?
- Mais ce serait de l’indiscrétion !
- Un bon détective doit se montrer indiscret, dit Alice froidement.
Commenter  J’apprécie          30
— N’est-ce pas merveilleux de songer à cette longue histoire qu’a vécue M. Sidney ? reprit Alice, songeuse. Il a connu le temps des esclaves. Il a vu la lampe à pétrole remplacer les chandelles, puis être elle-même abandonnée pour les becs de gaz. Et aujourd’hui, on trouve l’électricité partout, jusque dans les fermes les plus isolées.
— Oui, dit Peggy, et il a vu aussi l’aéroplane concurrencer le chemin de fer qui, lui, avait remplacé la diligence. Et le téléphone, la radio, le chauffage central, les réfrigérateurs,… bref, que sais-je ? C’est inouï le nombre de choses dont nous ne pourrions nous passer et qui ont été inventées de son temps !
— En revanche, je ne pense pas que la nature humaine ait beaucoup changé sous ses yeux... 
Commenter  J’apprécie          30
Désires-tu tant que cela te rendre en Écosse ?
– Bien sûr. Pourquoi cette question ?
À la grande surprise d’Alice, Ned lui raconta qu’au moment où il s’apprêtait à quitter sa maison, il avait reçu un appel téléphonique anonyme.
“Mon interlocuteur, un homme qui, de toute évidence, déguisait sa voix, m’a dit textuellement ceci : “Un bon conseil ! Si vous tenez à votre amie la détective, empêchez-la de partir pour l’Écosse.”
Les sourcils froncés, la mine sombre, Alice réfléchit. La situation était grave, inutile de le dissimuler.
Commenter  J’apprécie          30
La force du vent était relativement faible, pourtant La Gracieuse filait à bonne allure.
Commenter  J’apprécie          30
Alice : jeune détective de choc, extrêmement perspicace et courageuse pour ses dix-huit ans. Au volant de son cabriolet, elle se lance dans des enquêtes toujours trépidantes... quitte à affronter des adversaires aussi malhonnêtes que dangereux.

Marion : Le garçon manqué de la bande. Avec Bess, c'est la meilleure amie d'Alice... Grande sportive, elle a le goût de l'aventure, et ne dit jamais non à une bonne enquête !

Bess : C'est la cousine de Marion. Gourmande, coquette et aussi un peu timorée, elle finit cependant toujours par suivre ses amies dans les aventures les plus risquées...

James Roy : Le père d'Alice. Ce célèbre avocat prête souvent main-forte à sa fille dans ses enquêtes... quand ce n'est pas Alice qui l'aide à résoudre les énigmes les plus ardues !

Ned : Lorsqu'il n'est pas retenu par ses épreuves sportives ou par ses cours à l'université, ce beau jeune homme aide les trois amies à résoudre les mystères les plus ténébreux... pour le plus grand plaisir d'Alice !
Commenter  J’apprécie          30
Surtout ne vous laissez pas abattre par la fâcheuse expérience d'aujourd'hui. Les jours se suivent et ne se ressemblent pas.
Commenter  J’apprécie          30
"Je vois que vous lisez une de mes oeuvres", dit elle au bout d'un instant.
Alice regarda la voyageuse avec curiosité.
Commenter  J’apprécie          30
[...] ... - "Ça, par exemple !" s'écria-t-elle, interloquée. "C'est l'adresse des Doll !"

Très agitée parce qu'elle venait de découvrir, elle se précipita au téléphone et appela Bess, puis Marion. Elle les pria de venir la rejoindre. Les deux cousines n'eurent même pas besoin de presser sur le bouton de la sonnette. Alice, qui les guettait avec impatience, leur ouvrit dès qu'elles eurent posé les pieds sur le perron. Elle les fit entrer dans le salon et leur montra l'adresse écrite sur une page du carnet.

- "Villa Bellerive, Criqueville !" lut à voix haute Bess comme si elle ne parvenait pas à en croire ses yeux. "Mais c'est l'adresse des Doll !

- Eh bien ! Voilà qui complique l'affaire !" déclara Marion.

Alice approuva de la tête. Elle avait parfaitement conscience d'être tombée sur un indice précieux, mais des plus troublants. Serait-il possible que le père de Christine eût mis le feu à la maison Raibolt ? Et, dans ce cas, quels eussent pu être ses mobiles ? Quelque chose disait à la jeune détective qu'en exploitant cet indice elle allait briser le coeur de la petite fille et de sa mère.

Le trouble de leur amie était si visible que Marion et Bess la supplièrent de leur en dire la cause. Alice leur fit part de son inquiétude et de la chevalière que Ned lui avait apportée. Puis, posant le doigt sur l'adresse qu'elle venait de leur montrer, elle ajouta avec un soupir :

- "Jusqu'ici, c'est tout ce que ce carnet nous a révélé. Et je frémis en songeant aux conséquences possibles." ... [...]
Commenter  J’apprécie          30
- Le petit dernier de ma sœur a la varicelle, fit Terry d'un air sombre.
- Et moi, je ne l'ai jamais eue ! triompha Amy. Papa ne peut pas prendre le risque de m'exposer à la contagion.
- A la place, je t'expose à un fou dangereux qui a déjà tiré sur ma voiture avec un Colt 45, pénétré chez moi par effraction à trois reprises, failli tuer Alice sur la route et réduit en miettes une de mes œuvres ! Je dois être fou moi aussi.
- Au moins, je n'attraperai pas la varicelle...
Commenter  J’apprécie          30
Disparue depuis bientôt dix ans, Floriane, une danseuse étoile, n’a jamais acquis les biens que lui a légués son fiancé. Pourtant, si le château et les secrets qu’il renferme ne sont pas réclamés au plus vite, l’héritage sera perdu pour toujours ! Alice se lance donc à la recherche de la ballerine...
Commenter  J’apprécie          30
j'ai bien aimee se livre prse qu'une fille se fait adopter et que il y a de l'action
Commenter  J’apprécie          30
Laï sourit et prononça quelques mots dans sa langue.
- Que dit-elle ? demanda Alice en se tournant vers M. Tsui.
- Elle vous explique ce vase a été fait par son père et par elle-même. La jeune fille à la cuirasse, c'est vous. Les trois Chinois sont Moï, Laï et moi-même, que vous protégez du dragon, lequel symbolise Lou, Carr et sa femme. Regardez bien : il y a trois griffes à chaque patte.
- Mais que vois-je ici ? demanda la jeune fille en retournant le vase. Oui, là, à côté de leurs signatures.
- C'est le nom que Laï vous a donné. On le prononce Tsiou Lan et il veut dire : Gracieuse Orchidée.
- Gracieuse Orchidée, répéta lentement Alice. Quel beau nom !
- Oui, et combien mérité ! Nous vous devons la vie et le bonheur !
Et avec un sourire ému, le vieil homme s'inclina.
Commenter  J’apprécie          30
— Cette aventure me donne grande envie de me mettre à écrire un journal, moi aussi, dit soudain Ned.
- Et pourquoi ne le feriez-vous pas, après tout ? demanda étourdiment le jeune détective.
Elle prit conscience du regard que Ned fixait sur elle.
- Je vais le faire, mais prenez garde ! Votre nom y sera bien souvent cité. Alice feignit de n'avoir pas entendu.
- Merci de l'aide que vous m'avez apportée dans l'éclaircissement de ce mystère. Peut-être aurons-nous encore l'occasion de travailler tous ensemble ?
Commenter  J’apprécie          30
Alice venait de rentrer chez elle quand elle reçut un coup de téléphone de Linda Sedley. Celle-ci s'excuse de n'avoir pu se trouver chez Mme Linnell, comme convenu.
"C'est la faute de M. Tombar, dit-elle. Au dernier moment, il m'a chargée de faire une course et il s'est rendu boulevard des Erables à ma place. J'ai l'impression qu'il ne me croyait pas capable de tenir mon rôle."
Alice fit alors remarquer qu'en dépit de la présence de M. Tombar, tout ne s'était pas passé pour le mieux, et elle raconta le vol dont l'hôtesse avait été victime.
Commenter  J’apprécie          30
- Quoi? Que se passe-t-il? Lançai-je en me retournant sur mon siège pour suivre son regard. Par cette fin d'été plutôt languissante, il n'y avait presque personne dehors. Il faut dire qu'en plus on était lundi et que c'était l'heure de la sieste. En fait, je ne voyais sur le trottoir, devant la boutique de Lucia, qu'un couple afro-américain d'apparence ordinaire.
Commenter  J’apprécie          20
La secousse ébranla tous les occupants de la voiture. Liz, qui était assise à l’arrière avec tante Harriet, eut cependant la présence d’esprit de regarder par la portière pour voir qui avait jeté cet objet. Un homme descendait la rue en courant.
Commenter  J’apprécie          20
- Comme d'habitude il arrive plus de choses à Alice et ses amies en deux heures, commenta Daniel, qu'il pourrait en arriver en deux ans à un autre.
Commenter  J’apprécie          20
Avant de quitter la librairie, Alice téléphona au commissaire ; elle lui dit combien elle regrettait que les suspects n'aient pu être appréhendés. Il lui répondit avec philosophie :
« La vie des détectives comporte de nombreuses déceptions ! Mais il ne faut jamais se considérer comme battu. »
Commenter  J’apprécie          20



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Caroline Quine Voir plus


{* *}