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Critiques de Cornelia Funke (415)
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Reckless

En lisant la quatrième de couverture, cette saga me semblait très ciblée pour un jeune public. Mais je connaissais cette autrice pour sa trilogie Coeur d'Encre, lue il y a un moment mais que j'avais beaucoup aimé, donc je me suis dit pourquoi pas tenter. de plus, la trilogie était disposée au complet devant moi à la bibliothèque, alors raison de plus de l'emprunter !



Je ne m'attendais pas à ce que le personnage principal ait 12 ans, mais encore moins à ce qu'on ait une ellipse de douze ans juste après ! Premier tome d'une trilogie fantasy jeunesse, et on se retrouve avec deux personnages qui ont la vingtaine passée !! Cela me paraissait très surprenant, j'étais complètement perdue en lisant ce début de saga :') (bien que pas du tout gênant par la suite !)



On retrouve donc Jacob, jeune homme qui connaît ce monde depuis des années et qui a déjà vécu des dizaines d'aventures et d'épreuves dont nous lecteur n'en savons pratiquement rien. Ce monde nous est toujours autant inconnu et je mourrais d'envie de savoir ce que Jacob avait vécu ces dernières années. C'était extrêmement perturbant et frustrant, quelque part !



J'ai mis un peu de temps avant de finir par être dedans et à rentrer réellement dans le récit. J'ai bien accroché à cet univers de contes, riche et intriguant (parfois très étonnant, comme les termes de "tramways" et "calèches" dans la même phrase, comme si tout était normal), mais j'ai été longtemps un peu frustrée de ne pas en savoir davantage.

Mais finalement ce roman me plut ! L'autrice sait raconter avec fluidité et efficacité, mettre du suspense et de l'action là où il en faut et rendre attachants ses personnages. Ces derniers sont très chouettes ! (et j'adore Fox !!) Si c'est une trilogie écrite pour un jeune public, cela reste très bien écrit ! Je dirai d'ailleurs que c'est davantage une oeuvre 'pour ados', enfin personnellement je ne me suis pas du tout ennuyée alors que je pensais que c'était ciblé pour un public plus jeune que moi... Bon après je suppose que cela dépend de chacun ! (La Guerre des Clans restera toujours ma saga chouchou, et pourtant elle est notée "à partir de 9 ans"...)



Je suis contente d'avoir commencé cette saga en tout cas, je lirai la suite avec plaisir ! :)
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Le cavalier dragon, tome  2 : La plume du g..

très beau roman, il m aura pris du temps car j ai beaucoup moi accrocher que le tome 1 , mais j ai quand meme hate de lire le dernier tome !!

je le recommande car il n est pas surréaliste pour une livre fantastique .

les personnages sont très attachant, l ecriture est fluide .
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Coeur d'encre

Comme tous lecteurs, qui se connait, a envie que les livres prennent vie devant leurs yeux.

J'ai adoré ce premier tome, qui aborde le pouvoirs des mots dans la bouche de Mo .

Les livres, ou plutôt les personnages de romans, prennenet vie. Un tome qui se lit facilement.

Un livre jeunesse tout bonnement magnifique. A mettre entre les mains de jeunes lecteurs comme adultes. On jalouse les personnages qui ont des milliers de livres.
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Le labyrinthe de Pan

Ok, je ne fais JAMAIS ça. Jamais, jamais, jamais je ne lis de novélisation (adaptation en bouquin d'un film random ou pas suivant sa place dans le box office), mais là j'ai succombé. Comme un gosse après la piscine devant une putain de vitrine de boulangerie. Happé. Genre je le veux sinon je vais faire une crise d'hypolittérature (quand t'as les doigts qui deviennent moites, que t'as la tête qui tourne et que t'en as pu rien à foutre de la taille de ta pile qu'il te reste à lire).



En plus c'est le réal qui s'y colle (et quel réalisateur), associé à Cornelia Funke qui n'a plus rien à prouver en matière de succès niveau littérature jeunesse.



Cette putain d'édition en anglais est un pur bijoux. Le livre est beau, on sent le grain sur la pulpe des doigts sans que ça bave, même quand il fait sa race de 40°, l'illustrateur a chiadé ses dessins (je peux pas dire ce qu'a fait Allen Williams avant je connais pas du tout mais wow). Bref rien que par l'objet déjà t'es conquis.



Édition anglaise oblige, j'ai lu à côté de Google Trad. au cas où et même si j'ai un niveau d'anglais proche de "j'me démerde ça va j'ai regardé tous les épisodes de GoT en VO", la langue est à la fois riche et accessible, le genre de conte qui se veut onirique ET bien écrit (c'est devenu trop rare en contes jeunesse, à l'instar de certains contes pour adultes que je peux vous recommander chaudement plus tard si tu veux).



L'histoire est hyper fidèle au film, d'ailleurs pour ceux qui l'ont vu la pellicule défile directement sous vos yeux, la musique avec, les personnages du film étaient déjà bien joués, le fait de leur donner une âme ici rend le tout parfait. PAR-FAIT.



Pour ceux qu'auraient piqué un somme d'une décennie et qui viendraient juste de se réveiller Le Labyrinthe de Pan est pour moi le meilleur film de del Toro. On y suit l'histoire d'Ofelia, jeune fille de 12 ans venue rejoindre son beau père, militaire qui agit sous les ordres de Franco pendant la Seconde Guerre mondiale, venu squatté en forêt pour traquer les rebelles anarchistes faisant tort au général. La mère d'Ofelia attend un fils de Grand Méchant Loup (El Capitan Vidal), et Ofelia sent que sous ses airs propre et sévère, ce type est une sacrée pompe à merde.



Ofelia vacille entre deux mondes et va être l'objet d'une vieille légende (qu'on nommera prologue dans le roman), celle d'une petite fille venue d'un pays imaginaire à force d'aimer les humains, morte d'avoir voulu leur ressembler mais dont l'âme continue de se réincarner afin que son véritable père (le Faune) puisse la retrouver.



Ce conte est cruel, de quoi terroriser pas mal de gosses en bas âge si tu veux mon avis. Si vous voulez les calmer d'un coup promettez leur un "j'te jure que si t'es pas sage j'te lis Le Labyrinthe de Pan", effet garanti. C'est violent-sombre mais pourtant il n'y a que du délice là dedans.



Dévoré en quasi une nuit avec aucune envie de me pieuter, flippant à cause de cette putain de forêt qui ressemble aux forêts allemandes hyper denses dans les série Netflix qui servent à envoyer le générique du début sur une musique so 2020.



Voilà de quoi fermer mon caquet en ce qui concerne les novélisations, en tout cas la version originale t'éclate la rate et tout ce qui s'ensuit. Pas besoin de bénédiction vous pouvez direct vous la procurer elle remplit pas mal de fonctions olfactives à elle toute-seule et vous plonge dans l'envie de basculer vous aussi dans un monde où les règles sont certes cruelles, mais qui paraissent douces à côté d'un monde où l'Humain l'est encore plus.



Ceux ont vu ont pas intérêt à l'ouvrir et spoiler à tout va, pour les petits veinards encore vierges de cette oeuvre, accrochez vous bien ça va secouer.



Si t'arrives à gérer ta patience (level "tu verras quand tu seras grand" tellement c'est intenable), le livre sortira aux Editions Michel Lafon le 28 novembre 2019, ma main montre et mon billet que tu vas t'ajouter ça à ta petite liste d'étrennes de fin d'année. Reste à prier très fort pour que le travail éditorial soit aussi good que celui d'origine.



C'était long dézo mais putain que c'était bon. La berceuse qui te berce et te traumatise en même temps laisse tomber ...



See ya !
Lien : https://www.instagram.com/lo..
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Le labyrinthe de Pan

Espagne, 1944, Espagne franquiste. Ofelia, enfant douce et rêveuse, doit suivre sa mère enceinte et rejoindre son beau-père, le cruel capitaine Vidal qui s'acharne contre les maquisards et la population locale. Elle rencontre un faune dans les bois, comme ça hop, qui lui annonce qu'elle est la Princesse Moanna, fille de la reine et du Roi des Elfes et qu'elle devra accomplir plusieurs tâches pour rejoindre ses vrais parents qui la pensent disparue. Sans se poser de question, ou presque, elle accepte.



Rêve ou réalité? On retrouve le conte merveilleux avec une trame fictionnelle forte et ses 3 quêtes à réussir, le faune comme guide, les personnages humains très manichéens… et en même temps, difficile de ne pas se dire qu'Ofelia n'a que son amour des contes et son imagination pour faire barrière à la violence de la guerre et de Vidal, à sa souffrance quant à la perte de son père, quant à l'avenir qui se dessine pour elle.



Mon avis avant cette lecture était biaisé : j'aime l'univers de Guillermo del Toro. Le labyrinthe de Pan est un de mes films préférés, l'un des rares qui me tire des sanglots et me fait hoqueter pendant le générique de fin avec la musique qui me prend les tripes (que je laisse bien sûr, pour bien évacuer tout ça). J'ai toujours plus de mal avec les monstres humains que les monstres issus de l'imaginaire. Ici, on a le choix : Vidal et les soldats (la cruauté humaine) et les créatures sorties de l'imaginaire de Guillermo del Toro : fées insectiformes, crapaud géant et gluant, faune sympathique mais glaçant, aux dents aiguisées et ressemblant à du bois moussu, créature sans yeux qui attend que vous touchiez à son banquet dans une salle souterraine (la violence et les règles de la nature).



Je ne l'ai pas revu depuis quelques années (marre de ruiner mon mascara et je n'ai plus de petit rat pour m'essuyer les yeux et faire déferler une vague de tendresse sur son bidon), mais…j'ai vraiment eu l'impression que tout était respecté. C'est l'avantage d'un livre adapté d'un film et non l'inverse. Alors certes, il n'y a pas de grand intérêt si on a déjà vu le film mais j'avais envie de me replonger dans cet univers. Et, bien évidemment, j'ai envie de revoir le film maintenant…sortons les mouchoirs!

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Le cavalier du dragon

publié en 1997 bien avant la saga coeur d'encre, cornélia Funke offre ici un moment d'aventure jeunesse tendre et invite a rêver ! ce roman de low fantasy est une petite pépite qui confirme le talent de son autrice qui en fera une suite en 2016 soit près de 20 ans après



une intrigue simplissime et un rythme enlevé :



nous suivons ici les aventures de Long accompagné de Fleur de Soufre une kobolde afin de trouver la Lisière du Ciel un endroit "magique" loin de tout danger rappellant la vallée des merveilles de le petit dinosaure. ils sont rejoint par ben et bien d'autres compagnons tous loufoques les.uns les autres.



nous faisons face a une intrigue formatée pour la jeunesse. elle est extrêmement simplissime mais a le mérite de faire entrer directement le lectorat au coeur de l'action que ce soit le debut du voyage de long la decouverte de ben, les peripéties a travers l'arabie saoudite , le tibet etc. le rythme est particulièrement soutenu et a le don de ne pas ennuyer le lecteur.



l'histoire est riche en action et ne faiblit pas en intensité et ce malgré l'absence de péripéties épique (le formatage pour la jeunesse obligeant :pas de sang de combats bourrins et de gros muscles sauf pour le mechant).

cornelia funke a ce don de ne pas s'attarder sur des details et a engager des discussions pour faire "de la.parlotte" et les.péripéties et retournements de situation s'enchaînent donc sans temps morts. les nombreuses anecdotes de ce monde alternatif au notre sont distillées avec savoir faire de sorte a ne pas perturber ce rythme trépident





plume concise , humour bon enfant et personnages attachants :





la plume de cornelia funke est tres accessible et le récit ne gagne nullement en difficulté de lecture lors des passages au tibet en langue étrangère. l'autrice , grâce à son intrigue internationale et son goût pour les créatures fantastiques a même ce don de faire intéresser le lecteur a divers sujets qu'elle aborde.

que ce soit le tibet, s'interesser aux koboldes, l'autrice visiblement veut distiller l'amour du fantastique, des dragons et autres creatures enchantées a tout enfant adolescent ou adulte qui aurait l'idée saugrenue de lire les lignes de ce livre ^^



s'ajoute un humour que j'ai trouvé bon enfant pas trop validiste voir pas du tout mais par moment ca s'enchaîne trop vite notamment les râleries de Fleur de Soufre qui sont insupportables dans le roman et finissent parfois par l'être par dela les pages...le plus drôle c'est quand la kobolde insulte de nom de champignon hihihi



ben est un garçon que j'ai trouvé attachant de par son introversion et sa réserve. il a un coeur en or et on sent sa profonde sensibilité de pas son vécu que je ne divulgerai pas.

long est le cote plus extraverti de ben et Téméraire aussi bien qu'il.conserve un coeur grand comme sa taille et le reste des personnages ont une personnalité propre (craintive , forte tête).

le petit bémol reste le méchant tres cliché notamment dans ses acces de colere et en affirmant sa dominance envers ses serviteurs. et parfois il est trop laxiste et perd en charisme et inspire moins voir pas du tout la peur.



petit bonus et non des moindres : l'autrice a inséré quelques illustrations de son crayon dans son roman. c'est très rare a souligner et si seulement plus de romans étaient comme ça !



ne boudons pas notre plaisir malgré tout , cavalier du dragon sorti précédemment en 2005 chez hachette sous le titre le cavalier du dragon est un roman doux anti déprime qui fera passer un bon moment et est idéal pour les enfants qui souhaitent s'initier a la lecture ou pour leurs parents qui veulent les initier ;)
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Cavalier du dragon

publié en 1997 bien avant la saga coeur d'encre, cornélia Funke offre ici un moment d'aventure jeunesse tendre et invite a rêver ! ce roman de low fantasy est une petite pépite qui confirme le talent de son autrice qui en fera une suite en 2016 soit près de 20 ans après



une intrigue simplissime et un rythme enlevé :



nous suivons ici les aventures de Long accompagné de Fleur de Soufre une kobolde afin de trouver la Lisière du Ciel un endroit "magique" loin de tout danger rappellant la vallée des merveilles de le petit dinosaure.

ils sont rejoint par ben et bien d'autres compagnons tous loufoques les.uns les autres.



nous faisons face a une intrigue formatée pour la jeunesse. elle est extrêmement simplissime mais a le mérite de faire entrer directement le lectorat au coeur de l'action que ce soit le debut du voyage de long la decouverte de ben, les peripéties a travers l'arabie saoudite , le tibet etc. le rythme est particulièrement soutenu et a le don de ne pas ennuyer le lecteur.



l'histoire est riche en action et ne faiblit pas en intensité et ce malgré l'absence de péripéties épique (le formatage pour la jeunesse obligeant :pas de sang de combats bourrins et de gros muscles sauf pour le mechant).

cornelia funke a ce don de ne pas s'attarder sur des details et a engager des discussions pour faire "de la.parlotte" et les.péripéties et retournements de situation s'enchaînent donc sans temps morts. les nombreuses anecdotes de ce monde alternatif au notre sont distillées avec savoir faire de sorte a ne pas perturber ce rythme trépident.





plume concise , humour bon enfant et personnages attachants :





la plume de cornelia funke est tres accessible et le récit ne gagne nullement en difficulté de lecture lors des passages au tibet en langue étrangère. l'autrice , grâce à son intrigue internationale et son goût pour les créatures fantastiques a même ce don de faire intéresser le lecteur a divers sujets qu'elle aborde.

que ce soit le tibet, s'interesser aux koboldes, l'autrice visiblement veut distiller l'amour du fantastique, des dragons et autres creatures enchantées a tout enfant adolescent ou adulte qui aurait l'idée saugrenue de lire les lignes de ce livre ^^



s'ajoute un humour que j'ai trouvé bon enfant pas trop validiste voir pas du tout mais par moment ca s'enchaîne trop vite notamment les râleries de Fleur de Soufre qui sont insupportables dans le roman et finissent parfois par l'être par dela les pages...le plus drôle c'est quand la kobolde insulte de nom de champignon hihihi



ben est un garçon que j'ai trouvé attachant de par son introversion et sa réserve. il a un coeur en or et on sent sa profonde sensibilité de pas son vécu que je ne divulgerai pas.

long est le cote plus extraverti de ben et Téméraire aussi bien qu'il.conserve un coeur grand comme sa taille et le reste des personnages ont une personnalité propre (craintive , forte tête).

le petit bémol reste le méchant tres cliché notamment dans ses acces de colere et en affirmant sa dominance envers ses serviteurs. et parfois il est trop laxiste et perd en charisme et inspire moins voir pas du tout la peur.



petit bonus et non des moindres : l'autrice a inséré quelques illustrations de son crayon dans son roman. c'est très rare a souligner et si seulement plus de romans étaient comme ça !



ne boudons pas notre plaisir malgré tout , cavalier du dragon sorti précédemment en 2005 chez hachette sous le titre le cavalier du dragon est un roman doux anti déprime qui fera passer un bon moment et est idéal pour les enfants qui souhaitent s'initier a la lecture ou pour leurs parents qui veulent les initier ;)
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Le labyrinthe de Pan

�itation: « C'est justement parce que Carmen Cardoso aimait follement son enfant qu'elle s'était remariée. Le monde était dirigé par les hommes - sa fille ne l'avait pas encore compris et seul un homme pourrait leur offrir la sécurité. Sans le savoir, elle aussi croyait aux contes de fées. Carmen Cardoso croyait au plus dangereux de tous : celui du prince charmant censé la sauver. »🧋



Ce livre se passe en 1944, en Espagne sous le régime de Franco, une jeune demoiselle nommée Ofelia suit sa mère qui se remarie avec un Capitaine de l'armée de Franco.



Dès le début, Ofelia n'apprécie pas du tout son beau-père et elle s'en méfie. Pendant la route qui l'amène vers le maudit moulin où elle devra vivre en compagnie de sa mère, enceinte et son beau-père elle ramasse un cailloux. Mais ce caillou est en réalité un oeil, l'oeil d'un Faune.



Lorsqu'elle le touche elle aperçoit une fée, qui viendra la chercher dans la nuit pour l'amener auprès du faune qui lui confieras trois missions à réaliser.



J'ai trouvé ce livre absolument poétique, on voit bien que les missions du compte de fée d'Ofelia est une réalité déformée de ce qu'elle vit chez elle. Avec ce Capitaine sans coeur et agressif, qui ne semble pas avoir d'âme.



Elle se liera d'amitié avec une bonne qui est en réalité un mouchard de la résistance. Ofelia réussira-t-elle toutes ses épreuves pour pouvoir rentrer chez elle, là où elle est princesse?



Je me suis énormément attachée à Ofelia qui vit en enfer, sans avoir le moindre espoir de s'enfuir. Qui est contrainte d'appeler ce monstre « père » alors que ce dernier n'en a rien à faire ni de sa mère ni d'elle, tout ce qui l'intéresse c'est le bébé qui doit être un garçon. Son héritage.



J'ai lu le livre d'une traite tellement j'ai été happée par le style d'écriture et le parallèle entre les deux univers. C'est clairement l'imagination de la petite qui lui permet de survivre dans ce monde affreux. 🎏
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Le prince des voleurs

Une lecture agréable ! La petite bande de gamins est attachante ! Après cela reste assez enfantin et jeunesse, mais c'est une bonne petite lecture ! J'ai passé un bon moment! Sinon, l'écriture est fluide, simple. Ca se lit bien!

Enfin, c'est plutot cliché et simpliste mais ça marche assez bien pour une lecture légère et pas prise de tete!
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Coeur d'encre

Pour reprendre une expression chère à mon arrière-grand-mère, lorsque j’étais enfant, je lisais « sans sentiment » : je lisais absolument tous les livres qui me passaient sous la main, sans même les choisir, sans vraiment les apprécier. Une vraie boulimie livresque : tout ce qui m’importait, c’était de me repaître de lettres, d’emplir mon esprit de mots, de me gaver de phrases, pour ne pas entendre les mots moqueurs, les phrases mesquines de mes camarades de classe. Les livres n’étaient alors pour moi que des boucliers pour repousser le monde extérieur, mais je ne leur avais pas encore ouvert les portes de mon jardin intérieur : j’avais encore trop peur pour laisser quoi que ce soit se frayer un chemin dans mon petit cœur, pas même un personnage de roman. J’ai donc très peu de souvenirs de mes toutes premières lectures : elles forment un immense agglomérat d’histoires sans queue ni tête, sans consistance. Seuls quelques-uns émergent de cet amas informe, car ils ont su ébrécher la barrière pour venir faire vibrer mon petit cœur (je pense à Comme un coquelicot, à Mon drôle de petit frère ou encore à L’enfant qui caressait les cheveux) … ou bien parce que, pour une raison ou une autre, je n’ai même pas pris la peine d’aller au bout. Et je pense ici à Cœur d’encre : notre première rencontre s’est finie par un abandon sans état d’âme. Ennui ou agacement, je ne saurais le dire. Toujours est-il que j’ai longuement hésité avant de lui redonner une chance : d’un côté, il semblait avoir tout pour me plaire, mais de l’autre, l’ombre de cet abandon enfantin me bloquait. Finalement, j’ai décidé de tenter le coup … et j’ai bien fait !



Meggie a été élevée dans le plus profond respect des livres, ce qui est fort logique, puisque son père, Mo, est relieur et restaurateur de livres – même si elle a toujours trouvé plus juste de le qualifier de « docteur des livres », lui qui soigne si amoureusement tous les ouvrages, souvent rares, vieux et précieux, que lui apportent ses clients, qu’ils soient antiquaires, collectionneurs ou bibliothécaires. D’aussi loin qu’elle se souvienne, elle a toujours été entourée de livres de toutes tailles, de toutes couleurs, de tous genres : leur petite maison est envahie de livres, empilés au petit bonheur la chance dans toutes les pièces, comme autant de portails vers des mondes tantôt merveilleux, tantôt haletants, tantôt émouvants. C’est donc très naturellement que Meggie est devenue une grande lectrice passionnée, comme son père : où qu’elle aille, quoi qu’elle fasse, elle a toujours un livre avec elle, et il ne lui faut que quelques minutes pour se laisser entrainer par les aventures et mésaventures qui se cachent au creux des pages. Mais voilà que c’est par la faute d’un livre, un livre très mystérieux dont elle ne connaissait même pas l’existence, et dont elle ne connait même pas le titre, que tout bascule soudainement : à la seconde même où un homme fait irruption dans leur cour pour prévenir son père qu’un certain « Capricorne » veut à tout prix récupérer ce fameux livre, Meggie est plongée dans une aventure – ou plutôt une mésaventure – qui n’a absolument rien de merveilleux ni de palpitant. C’est surtout effrayant, très effrayant … et ce n’est encore que le début.



Qui n’a jamais rêvé de voir sortir un personnage de son roman préféré, voire même eu envie de l’extirper soi-même de sa prison de papier ? Qui n’a jamais rêvé de vivre une aventure extraordinaire à l’instar de son héros favori, n’a jamais eu envie de devenir soi-même le héros d’une histoire ? Qui n’a jamais rêvé de quitter notre monde, sombre et monotone, et eu envie d’explorer l’univers, exotique et fabuleux, de son roman préféré ? Meggie est une lectrice comme tous les autres lecteurs : tous ces rêves, toutes ces envies, elle les partage avec tous les autres lecteurs, et sans doute plus encore avec celui-là même qui est présentement en train de lire ses aventures en se disant « ça serait merveilleux de rencontrer Meggie, de vivre ses aventures, d’explorer son monde » … Il y a une mise en abime un tantinet vertigineux qui se tisse lorsqu’on se plonge dans ce roman : Meggie est à la fois héroïne et lectrice, et l’on en vient à se demander si, nous aussi, on ne serait pas en même temps lecteur et héros d’une autre histoire. Après tout, comment pourrions-nous le savoir ? Meggie elle-même semble bien inconsciente du fait que ses terribles mésaventures ne sont en réalité que les péripéties d’un simple roman ! Tout ce qu’elle sait, c’est que sa vie s’est soudainement transformée en véritable aventure de roman, et que c’est loin, très loin d’être aussi incroyable qu’elle ne l’imaginait. Désormais, elle est en convaincue : les aventures, c’est bon pour les personnages de romans, pas pour les vraies personnes … Tout ce qu’elle veut, c’est retrouver sa petite vie d’avant, sa petite vie parfaitement normale !



Mais les choses sont loin d’être aussi simples : elle découvre que son père a la faculté de faire sortir les personnages des romans simplement en lisant à voix haute … Déracinement insoutenable pour certains, qui ne supportent pas leur nouveau monde et donnerait n’importe quoi pour retourner chez eux, mais jouissance pour certains qui profitent pleinement de ce nouveau terrain de jeu. On s’en doute bien, le grand méchant de cette histoire – et donc aussi de l’histoire dans l’histoire – fait partie de cette seconde catégorie. Capricorne a vraiment tout du « grand méchant » tel qu’on en trouve dans les livres pour enfants : son seul rôle, c’est d’être méchant. Il aime distiller la peur autour de lui, il aime la richesse et la puissance, il aime faire mal aux gens, il aime donner des ordres, il aime le mal. Un méchant pareil ne devrait exister que dans les livres … car quand on se retrouve face à eux pour de vrais, on aimerait qu’ils soient un petit peu moins méchants. Un peu moins effrayants. Quand un personnage de roman nous fait trop peur, il suffit au lecteur de fermer le livre et d’en ouvrir un autre pour … mais Meggie ne peut pas refermer le livre, elle est dans le livre ! Bien obligée de faire face à ce méchant tout droit sorti d’un autre livre. Et le lecteur est tiraillé entre l’excitation – comme toujours quand une petite héroïne se retrouve face à un terrible méchant assoiffé de cris et de larmes – et l’effroi : plus que jamais, on se dit « et si j’étais à la place de Meggie, comment réagirai-je, comment m’en sortirai-je ? ». Plus que jamais, on se dit que la frontière entre le récit et la réalité se tient plus qu’à un fil …



Et c’est bien là toute la magie d’un bon roman, finalement : Cœur d’encre n’est pas seulement une épopée palpitante, pas même seulement une mise en abime époustouflante, c’est bien plus une véritable ode à la littérature. Une formidable lettre d’amour aux livres … et à leurs écrivains, sans qui rien ne serait. Il y a certes quelque chose de magique dans le fait de se « plonger » dans un livre, de laisser de simples mots faire naitre en nous des images, des sons, des sensations, mais aussi des émotions …. mais il y a assurément quelque chose de plus magique encore dans le fait d’écrire des livres, dans le fait de glisser dans de simples mots des images, des sons, des sensations, des émotions. Oui, les auteurs sont de véritables magiciens ! Et c’est assurément ce qui m’a le plus profondément touchée dans ce roman, cet hommage aux livres et à leurs créateurs, à ce qu’ils nous apportent. Trop souvent, on oublie que derrière chaque roman se cache un auteur, on oublie tout ce qu’on leur doit … et on ne les remercie donc pas assez. Et c’est un tort. Alors faites-moi plaisir : allez remercier un auteur, aujourd’hui. Envoyez-lui un petit mot pour lui dire que son travail est génial, pour lui prouver qu’il n’écrit pas dans le vide, qu’on lit ses histoires, qu’on les aime, et donc qu’on l’aime à travers elles. Nourrissons nos auteurs de remerciements et d’encouragements, sinon nous n’aurons plus rien à nous mettre sous la dent, plus de nouveaux récits pour nous faire rêver et trembler, plus de nouveaux personnages à souhaiter rencontrer, plus de nouveaux univers à vouloir explorer !



En bref, vous l’aurez bien compris, je suis fort heureuse d’avoir finalement accepté de laisser une seconde chance à ce roman. Et cela d’autant plus que je ne parviens décidemment pas à comprendre pourquoi je l’ai abandonné la première fois, et pourquoi il m’avait laissé ce si désagréable souvenir. Car même si ce n’est pas le roman du siècle, même si on reste dans quelque chose de relativement enfantin, classique, pour ne pas dire banal sur le plan de l’intrigue en elle-même – il n’y a pas de réel suspense, on se doute bien que d’une façon ou d’une autre, ce sont les gentils qui gagneront à la fin, et que ça se finira même très bien –, c’est un roman qui mérite amplement le détour ! C’est en quelque sorte un roman qui s’adresse à l’enfant que nous étions, l’enfant que nous sommes encore un petit peu quel que soit notre âge, l’enfant qui se laisse bercer par une histoire sans se poser de question, qui se laisse aspirer par cette histoire sans opposer la moindre résistance. C’est un roman qui nous ramène à ce qui fait l’essence même de la relation (très intime) entre un livre et son lecteur : cette envie de se laisser pleinement, totalement, complétement happer par l’histoire au point d’avoir le sentiment de la vivre en même temps que les personnages, un peu comme si nous étions ces personnages. Lire, c’est sortir un petit peu de soi-même pour entrer un petit peu dans le livre. Et c’est oser se laisser surprendre par un livre que l’on n’avait pas forcément envie de lire au premier abord, parce qu’être lecteur, c’est savoir que les livres sont vraiment magiques et donc toujours surprenants !
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Loup-garou !

Un soir Matt, un jeune garçon, se fait mordre par un loup…

il devint alors un loup-garou. Pour ne pas être loup-garou toute sa vie, Matt va devoir vite trouver un remède, car la pleine lune approche… J’ai bien aimé le livre car il est intrigant. Dommage qu'il soit un peu court. (Mélina, 6ème)
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Le labyrinthe de Pan

Une bonne lecture, j'étais vraiment dedans quand je le lisais, pour autant phénomène étrange j'ai mis 2 semaines à le lire.

J'ai vu le film il y a quelques années mais il ne m'a pas marqué plus que cela alors cette lecture avait une saveur particulière, dans la mesure où le conte se mêle à l'horreur.

J'ai aimé le fait que l'histoire se passe durant la guerre civile espagnole.

J'ai eu un petit manque d'attachement aux personnages mais dans l'ensemble c'est une bonne expérience de lecture.
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Coeur d'encre

En attendant de vous offrir mon retour sur cette trilogie et donc de lire les tomes 2 et 3, je peux déjà faire un retour de ce premier tome. Je l’avais déjà lu, peu de temps après ma découverte du film qui me plaît autant que le roman, si ce n’est plus pour une raison très simple : les longueurs qui donnent un effet de lenteur pas toujours agréable. Cela étant dit, j’ai passé un bon moment avec ce premier tome, ma relecture de celui-ci n’a pas entaché mon enthousiasme et j’ai hâte de me plonger dans Sang d’Encre.



L’intrigue est un poil longue, mais dans ses grandes lignes elle me plaît énormément. C’est tout ce que j’aime avec des affaires de familles, beaucoup de références livresques ou au monde du livre (relieur, écrivain, conteur, collectionneur de livres), une aventure hors du commun avec de chouettes péripéties et un final grandiose. Une intrigue qui a ses bons ingrédients à base d’émerveillement et de drames, d’émotions et d’actions, il y a largement de quoi maintenir son intérêt éveillé et le final m’a entièrement séduite.



L’univers même de Cœur d’encre me fascine, j’adore les ouvertures de chapitres avec ces références littéraires – ça me donne très envie de lire Princesse Bride, de relire le Hobbit et le Seigneur des anneaux. Tout ce monde à la fois féerique et dangereux donne de la matière à l’autrice qui nous offre une belle histoire fantastique, aussi belle que terrifiante. J’ai beaucoup aimé ce monde de Cœur d’encre, protagonistes comme antagonistes sont très intéressants à suivre, j’aime beaucoup Meggie et son père Mo, Doigt de poussière est fascinant, Capricorne est terrifiant.



L’autrice a su créer un monde entre réalité et fantasy qui s’avère passionnant à découvrir au fil des pages, elle a su donner vie à ses personnages, elle sait créer des ambiances très prenantes avec des descriptions très fouillées. Cœur d’encre possède pour moi cette part d’aventure avec des codes propres aux contes, un subtil mélange entre la magie qui fait rêver et des instants qui nous plongent dans l’effroi.
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Coeur d'encre

Ce livre je ne l'ai pas choisi, je l'ai trouvé à la bibliothèque. Je ne voulais pas le lire mais la couverture m'a convaincue de lui donner sa chance. Et quelle chance !



Ce roman est addictif, bien écrit, bien construit. Il dégage tellement de choses en terme d'émotions, de sentiments, de poésie que l'on ne peut pas s'en lasser.



On y découvre le pouvoir des mots, le pouvoir des livres... On plonge dans ce livre et dans tous les livres dans lesquels les personnages plongent.



C'est un livre d'aventure, un livre fantastique, un livre poétique, un livre qui fait vibrer. En bref un excellent récit sur la beauté et l'amour des livres à lire et relire !
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Le labyrinthe de Pan

Une fillette se retrouve prise dans la guerre d'Espagne enfin avant au début de franco. Sa mère épouse un général aléatoire (général envoyé dans une forêt-cambrousse quelconque) à la mort de son père. Il est extrêmement violent et la force à le rejoindre sur le front au moment d'accoucher, elle meurt en couche dans d'atroces souffrances - rien de neuf c'est dans le film aussi.Heureusement en arrivant la fille découvre un labyrinthe des fées et un faune qui lui font miroiter un royaume souterrain dont elle serait la princesse enfuie. Elle remplit tant bien que mal les 3 épreuves pour prouver sa valeur, et finit par mourir tuée pour sauver son frère... Ce qui lui ouvre le royaume en question puisqu'elle a protégé l'innocent au détriment de sa vie. Le livre est entrecoupé du récit conte de ce royaume ce qui permet de souffler un peu dans l'horreur des tortures et mauvais traitements de ce fou. Les illustrations sont très prenantes, et vraiment un développement bienvenu ! plus que le film, le livre montre l'horreur humaine (virilisme absurde) à hauteur d'enfant.Ce général a d'ailleurs une vision de la paternité totalement cringe. Encore une masculinité cassée... Mais il y a, et cest surprenant venant de Cornelia Funke, des sorties bien sexiste, notamment sur l'instinct maternelle obligatoire des femmes. Étrange?Je retiens la grande douceur aussi dans le personnage de Mercedes, la servante. Qui essaie de protéger tout le monde mais est en réalité une espionne infiltrée aupres de ce militaire random et complètement dingue. Le papier est exceptionnellement doux...
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Coeur d'encre

De vagues souvenirs du film en tête, j’ai longtemps été curieux d’en savoir plus sur cette trilogie. Les jolies éditions Folio Junior m’ont enfin motivées.



Si j’ai été quelque peu déçu de l’aspect fantastique, parce qu’en retrait par rapport à mes attentes, la déclaration d’amour à la littérature, aux livres et au pouvoir des mots vient contrebalancer cela.



Le tome est un véritable pavé et j’ai cru m’essoufflé à certains moments du récit. Mais dans l’ensemble, j’ai bien aimé l’aventure. Toutefois, je ne me sens pas d’enchaîner avec les pavés suivants dans l’immédiat, notamment du fait de mon appréhension sur l’orientation du récit.
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Coeur d'encre

Souvent cité comme référence dans la littérature de jeunesse, j’ai décidé de découvrir à mon tour Coeur d’encre avec un peu de retard. Le rythme du récit est véritablement le point noir de ce roman : les péripéties tardent à arriver et les creux sont nombreux. En outre, le manque de repères chronologiques et spatiaux empêche de rentrer facilement dans l’histoire. Le personnage de Maggie concentre certainement l’intérêt du roman mais pas assez pour avoir envie de lire les deux autres tomes. Dommage !
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Le labyrinthe de Pan

Il était une fois le Labyrinthe de Pan de Guillermo Del Toro & Cornelia Funke, illustré magnifiquement par Allen Williams.



Il était une fois une lectrice qui n'a pas vu le film et qui succombe simplement à la beauté du livre objet et à ce titre enchanteur et fort prometteur.



Il était une fois une lecture qui a dérouté sa lectrice.



Il était une fois une histoire qui nous emmène dans des dédales oniriques et enchanteurs, flouttant sans cesse la frontière entre monde réel et imaginaire.



Il était une fois tous les ingrédients d'un conte traditionnel réunis : la forêt sombre et mystérieuse, la jeune héroïne douce et attachante, l'horrible Loup cruel et sans coeur, le faune qui mène le jeu, les fées qui virevoltent, les quêtes à accomplir pour accéder à un monde meilleur, les dangers qui sont omniprésents, la menace et les monstres terrifiants.



Il était une fois une histoire pas du tout traditionnelle et très originale, mais surtout une histoire sombre et parfois faite de terreur.



Il était une fois un homme pâle qui est venu hanté mes nuits.



Il était une fois une lectrice qui n'est pas prête d'oublier sa lecture mais qui n'est plus si sûre que ça de vouloir visionner le film.
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Mort d'encre

Un troisième tome qui termine cette magnifique série en apothéose. J'ai été heureuse d'être retourné dans le pays d'Encre où on ne sait pas qui contrôle exactement l'histoire (Fenoglio, Orphée ou l'histoire avance d'elle-même).



L'univers est extrêmement sombre, beaucoup plus que dans les premiers. Mais il n'en devient pas étouffant, au contraire, il donne toute son importance aux mots!



Nous avons enfin le dénouement de l’intrigue, le mot de la fin. L’histoire de Cornelia Funke est drôlement bien ficelée.

Il semble qu’aucun détail ne soit laissé au hasard.

Cette histoire est riche en détails, en suspens, en rebondissements.



Je me suis attachée aux personnages, surtout à Doigts de Poussière 🥰



Ce dernier tome clôt en beauté cette saga faite d’encre et de papier et c’est le cœur serré que je quitte ces personnage devenus si familiers.
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Sang d'encre

Quel plaisir de retrouver les héros laissés à regret après la lecture du premier tome !



Sang d'Encre était vraiment la suite que j'attendais. Les personnages principaux ont évolué dans le bon sens, d'autres, secondaires, mais néanmoins fouillés, ont fait leur apparition, le récit se durcit, gagne en intensité.



L'aventure et les rebondissements sont toujours au rendez-vous ! Mais on y trouve aussi un suspense plus soutenu, du sang et quelques scènes de combat tout à fait bienvenues !



Un livre vraiment M.A.G.I.Q.U.E. il n'y a pas d'autre mots, cet univers qui nous envenime de plus en plus, qui nous attire dans le livre, on aimerait faire comme les personnages, rentrer dans ce livre. Un liver qui va vous subjuguer!
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