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Critiques de David Eddings (530)
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La Belgariade - Intégrale tome 2

On retrouve, avec un certain plaisir, Garion et ses acolytes poursuivre et conclure leurs aventures au royaume du Ponant, et dans les territoires Angaraks.



A part quelques temps morts nécessaires, on garde le même rythme que le précédent tome.

Notre équipe poursuit sa traversée du monde d' Eddings, et pousse même jusqu'en Mallorée, suivant la prophétie de l'enfant de lumière.



L'histoire est toujours aussi bien ficelée, et on se laisse embarquer une nouvelle fois sans rechigner, aux côtés de personnages toujours aussi (trop?) sympathiques.

On appréciera leurs évolutions personnelles durant cette quête, où chacun y tracera sa voie.



Mais, surtout (et enfin), ca cogne un peu! Merci...

C'est toujours très poli et très guindé, mais on passe la seconde: les batailles d'envergure sont de la partie dans ce 2e volume, avec force stratégies et politiques.



J'ai dévoré ces 2 tomes, happé par cette épopée, mais probablement avec quelques années de retard. J'ai parfois eu l'impression, pendant ma lecture, que cette oeuvre etait principalement réservée à un jeune public.
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La Belgariade - Intégrale, tome 1

Au terme des 3 tomes regroupés dans cette intégrale, on a hâte d'enchaîner et de poursuivre cette épopée.

Une intrigue bien menée, des personnages attachants et un univers incroyablement riche, la recette est prometteuse.

Oeuvre majeure de la fantasy, on se laisse aisément embrigader par l'auteur et son style simple et efficace.



Ceci dit, tout n'est malheureusement pas parfait à mon goût . Très inspiré de Tolkien et sa Terre du Milieu (l'auteur ne s'en cache pas), il n'est pas rare de faire le rapprochement, même si on est loin d'avoir à faire à une grossière copie.

Pour ceux qui, comme moi, démarrent cette saga plus de 30 ans après sa première sortie, il faut également savoir qu'on est sur de la fantasy bien polie et qui ne tâche pas. Pas de langage fleuri, de rares effusions de sang, ce roman à l'avantage d'être accessibles aux plus jeunes amateurs du genre.



Bon, il faut reconnaître que je pinaille un peu, ces quelques déceptions ne risquent pas de m'empêcher de découvrir, rapidement, la suite et la fin de cette aventure.



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La Belgariade - Intégrale, tome 1

Les éditions Pocket vous proposent l'intégrale (numéro 1) de La Belgariade ! J'ai découvert cette série grâce à ma grande sœur qui l'adorait.



C'est indéniablement une de mes meilleures lectures dans le genre de la Fantasy, à mettre au panthéon avec Terremer ou encore L'épée de vérité.



La puissance de cette série littéraire repose sur sa perfection intrinsèque. Il y a tous les ingrédients qu'on recherche dans la Fantasy, il y a une grande richesse et variété dans les lieux, les intrigues, les personnages, il y a forcément un élément qui plaira particulièrement à chaque lecteur et qui fera en sorte qu'il soit obnubilé par sa lecture.



On comprend aussi très rapidement à quel point l'univers de La Belgariade est travaillé et vaste. On ressent tout le travail en amont qui permet à l'écrivain de connaitre parfaitement son monde, de le présenter progressivement au lecteur tout en mettant en place une histoire passionnante. Et je peux vous assurer que vous ne voyez pas les pages défiler en raison de l'écriture immersive de l'auteur, traduite par Dominique Haas.
Lien : https://leatouchbook.blogspo..
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Le pion blanc des présages est le premier tome de la série La Belgariade. Il s’agit d’un tome d’introduction qui permet à l’auteur de poser le décor, l’univers, les personnages et l’intrigue.



Dans ce tome 1 (et dans toute la série je suppose), nous suivons les aventures du jeune Garion. C’est un jeune garçon, nous pouvons même dire un jeune adolescent qui ne sait pas qui il est; il ne sait pas qui sont ses parents et à donc été élevé par une de ses tantes nommée Pol. Le récit est écrit à la première personne du singulier, le narrateur est Garion et donc nous non plus nous ne savons pas qui il est; nous découvrons son histoire en même temps que lui.

Garion est apparemment un adolescent pas du tout banal et je suppose qu’il va devenir quelqu’un d’important dans ce monde ou plusieurs dieux cohabitent. J’ai hâte de lire la suite de la saga !



Ce tome 1 est entrainant et la plume de l’auteur est fluide. Il m’a cependant demandé pas mal de concentration afin de comprendre l’univers, l’histoire et la mythologie. Il est nécessaire de bien comprendre tout cela afin d’appréhender parfaitement la quête présente dans l’intrigue.

La quête justement ma tenue en haleine, on veut savoir qui à volé quoi, à qui, pourquoi et où est-il maintenant?



Bilan :

Vous l’aurez compris, j’ai beaucoup aimé ce premier tome de la Belgariade et j’ai très hâte de lire les quatre autres tomes !
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

La Belgariade n’est pas le premier cycle de Fantasy que j’ai lu, mais le premier qui m’en a fait comprendre l’intérêt. Avant ça, je pense que la fantasy était forcément quelque chose de sérieux, voire de carrément pompeux. Alors que ça peut aussi être léger et drôle. C’est un de mes cycles doudoux, ces livres que je relis quand je suis fatiguée ou que je n’ai pas le moral. Je les ai relus récemment, donc je me suis dit que j’allais vous en parler plus en détails, mais gardez ça à l’esprit parce que je vais peut-être manquer d’objectivité sur certains points.



En soit, ce premier tome n’est pas très intéressant, on ne va pas se le cacher. Garion se contente de suivre le reste de la troupe sans comprendre ce qu’on cherche ni pourquoi sans y prendre une part réellement active (le lecteur sait, grâce à un prologue qui explique bien trop de choses, mais on en reparle). D’ailleurs, l’aventure met très longtemps à démarrer, on reste un bon tiers du roman à juste suivre l’enfance assez banale de Garion. Cela contribue à nous y attacher et à nous faire comprendre sa personnalité, mais c’pas non plus très passionnant. A propos du prologue, donc , je regrette qu’il explique autant de choses, du coup il n’y a aucun mystère à propos des identités de Garion, de Pol ou de Sire Loup, ou même de ce qu’ils cherchent et pourquoi. Je pense que ça aurait été plus intéressant d’avoir les infos dans l’histoire elle-même.



Alors, pourquoi ça marche quand même ? Principalement grâce aux personnages et à l’atmosphère.



Les personnages, pour commencer, sont tous des stéréotypes (oui, je sais ça part mal, mais attendez). Cela les rend d’office compréhensibles, du coup on s’attache très vite à eux. Leurs interactions sont vraiment très drôles, j’aime toujours autant Silk, le voleur/espion Drasnien, j’adorerais le voir discuter avec Tyrion du Trône de Fer. Et ces stéréotypes permettent aussi explorer (superficiellement, hein, faut pas déconner non plus) quelques thématiques sociétales, pas forcément dans ce premier tome, mais plus loin dans le cycle.



Les personnages féminins sont par ailleurs très chouettes, peut-être grâce à Leigh Eddings. Dans ce premier tome on voit surtout Pol, l’un des meilleurs personnages de la série, une sorcière très puissante à la fois bienveillante, mais qu’il ne faut pas emmerder, qui adore la couture, les beaux vêtements et la cuisine. On est loin de l’héroïne qui est badass parce que n’ayant aucun « attribut » jugé féminin. C’est une femme, une femme « féminine », mais qui est forte quand même. A noter aussi qu’on a un personnage de roi qui est un excellent cavalier et guerrier… mais qui ne peut pas marcher, et il n’est pas montré comme faible, ou quoi. J’aime aussi le fait que la simplicité et la gentillesse de Durnik, le forgeron, soient considérés de façon très positives, et pas comme des faiblesses là encore.



J’apprécie aussi que les personnages ne soient pas des saints, même si c’est traité de façon superficielle. Plusieurs personnages ont un passif de voleur, voire d’assassin, et dans ce tome, on apprend que l’un des personnages est responsable de viol conjugal, rien que ça (c’est minimisé, mais pas montré comme quelque chose d’anodin non plus. Pour un récit à l’attention des ados, je trouve que c’est déjà un premier pas de dire que ça existe et que c’est pas bien).



Du côté de l’atmosphère, je crois que c’est un des cycles de fantasy les plus feel good que je connaisse. Beaucoup d’humour, les personnages ne semblent jamais réellement inquiets malgré les enjeux, on n’a pas peur pour eux. Et franchement, je trouve ça rafraichissant. Mais on n’est pas non plus dans le monde des bisounours, ça trucide quand même à tour de bras, hein, sans parler des fameuses thématiques, mais globalement il y a une atmosphère assez légère.



Bilan

Il ne se passe pas forcément grand chose dans ce tome, mais on a déjà un bon aperçu de ce que sera le cycle dans son ensemble, entre humour, magie, aventures et super personnages.
Lien : https://limaginaerumdesympho..
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La Belgariade - Intégrale, tome 1

Publié dans les années 1980, la série créée par David Eddings est comparable à plus d’un titre à l’œuvre maîtresse de J.R.R. Tolkien et constitue l’une des meilleures portes d’entrée dans l’univers de la “fantasy”.
Lien : https://www.telerama.fr/livr..
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Une entrée en la matière réussie...en quelque sorte.





Ici nous faisons la connaissance de Garçon, un garçon orphelin qui vit avec sa tante Pol sur le domaine d'un petit seigneur où celle-ci fait la cuisine. Au fil du temps, il se rends compte qu'il est surveillé mais n'y prête pas attention car il est plus préoccupé par ses déboires d'adolescent. Quand Sir Loup, un vieil homme qui conte les histoires des grands dieux arrive un jour, il est grand temps de partir avec tante Pol à la recherche de quelqu'un ou d'un objet. Au cours de leur périple, ils vont se joindre à un petit groupe d'hommes qui au premier abord ne payent pas de mine, mais qui s'avèrent être des gens à qui il ne faut pas chercher de noises. Ils vont tous parcourir un peu de chemin pour se retrouver à chaque fois dans le collimateur d'un espion. Mais qui est donc cet homme, et surtout quels rôles ont-ils tous à jouer dans cette histoire. Pourquoi Garion ne sent il pas à sa place? Et surtout que lui cache tante Pol, et pourquoi à t'il ce sentiment de trahison envers elle.





Bon on ne va pas se mentir, j'ai adoré l'univers que David Eddings nous dépeint.

Après le début où on est noyé sous une multitude de personnages, de dieux et de prophétie, on entre vite dans le récit. En effet la plume de l'auteur est d'une fluidité parfaite, très poétique par moment et sans longueurs là où peut-être il en aurait fallut.

J'ai aimé le destin du garçon qui ne nous est pas encore totalement dévoilé mais dont on en apprends un peu par-ci par-là mais j'ai surtout aimé cette quête où chacun a son rôle à jouer.

Les personnages sont tous attachants, ils ont tous leur petit truc qui fait qu'on ne veut pas se séparer d'eux.

On prends aussi plaisir à écouter Sir Loup conter les histoires des royaumes, mêlant mythologie et prophétie, mais toujours sous couvert d'anonymat.

En effet ici, certains personnages ne sont pas ceux qu'ils prétendent être mais on le sais dès le départ même si les mots ne sont pas mis.

Et c'est d'ailleurs ce petit point qui me chiffonne, on voit les choses venir dès le début de leur quête avec tout les indices qui sont disséminés tout au long du récit.

J'ai surtout aimé ici le sens de la répartie des personnages et leur humour, on ne s'ennuie jamais tellement il y a de l'action. Le roman se lit très vite, surtout grâce aux nombreux dialogues qu'il comporte. J'ai vraiment hâte de retourner dans cette saga pour retrouver tous nos héros, pour voir comment va évoluer Garion maintenant un peu au courant de son histoire.





En bref, parfait pour commencer dans la Fantasy malgré le trop grand nombre de personnages qui pourrait faire perdre la tête. Mais un fantasy qui se lit très vite, très bien, avec une touche d'humour mais dont on voit les choses arriver très rapidement.
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La Mallorée, tome 5 : La Sybille de Kell

Je viens de refermer l'ultime tome de cette décalogie fascinante qu'est le merveilleux travail du couple Eddings (il faut rendre à césar ce qui est à césar et j'aime assez l'idée de réhabiliter tout le mérite de Leigh Eddings de par sa contribution – bref). Que dire de plus si ce n'est que le monde de la Belgariade et plus particulièrement ici de la Mallorée est incroyablement géniesque ? Cette histoire vous prend et vous emporte toujours plus loin, bercé par les codes fondamentaux pour ne pas dire très classiques de la fantasy initiale. Et même si vous n'accrochez pas forcément à cette logique → Quête improbable – groupe héroïque – fin du monde, avec Eddings vous risquez bien de vous faire embrigadé contre votre gré dans l'aventure !

Il y a trop de raisons qui me poussent à adorer cette saga pour que je puisse en faire l'énumération ici, mais du Eddings c'est, certes une aventure toujours pleine de rebondissement, mais surtout une qualité de personnages ! On s'accroche à tout le monde, héros comme anti-héros, gentils comme méchants, le couple Eddings parvient à nous immerger totalement dans l'aventure, il y a un humour constant qui est bienvenu et très rafraîchissant, en somme on arrive à se déconnecter de tout pour passer un vrai moment comme énième membre de la compagnie ou des compagnies.



Avec la Mallorée, le récit se porte sur l'après Belgariade mais c'est à la fois très différent et très ressemblant. On comprenait déjà depuis les premiers tomes que l'histoire devait en quelque sorte se répéter pour se rejouer et si j'ai un peu appréhendé la perspective d'un « remix » de la Belgariade, cela s'est fait avec brio tout au long de ces 5 derniers volumes. Mon Sadi et son serpent ronronnant, Garion toujours un peu perdu mais courageux, Ce'Nedra princesse au grand cœur sous ses faux airs hautains, Velvet drasnienne complètement folle qui va de pair avec notre cher et tendre Silk, Zakath que j'ai adoré rencontrer, Belgarath, Pol et Durnik, il y a aussi le grand retour d'un personnage connu, une Zandramas toujours aussi détestable et pourtant victime de sa propre aventure, un Essaïon étrange et petit sage, notre Beldin grand sensible dans l'âme, et tant d'autres !



La Sybille de Kell donne la touche finale, c'est l'aventure qui se clôture enfin, et détient en cela une certaine part de nostalgie. Pas facile de dire adieu à nos petits personnages. Ce n'est donc pas mon préféré des 5 mais j'ai toujours du mal avec les fin de saga (que voulez-vous, je sais qu'il n'y en aura plus ensuite et ça me rend triste !) On retrouve aussi les autres personnages de la Belgariade qui font leur grand retour. La fin, bien que potentiellement prévisible était quand même surprenante sur plusieurs aspects que je ne citerai pas pour ne rien spoiler.



Je ne peux que recommander tout le travail d'Eddings, que ce soit la Belgariade et la Mallorée mais aussi la « suite » dirons-nous avec les volumes dédiés aux vies de Belgarath et de Polgara. Qui se dit aimer le genre de la fantasy ne saurait passer outre David et Leigh Eddings et ce chef d'oeuvre qu'est leur décalogie. Je ne peux rien ajouter de plus, à lire et à conseiller sans tarder !
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La Mallorée, tome 5 : La Sybille de Kell

Bon la fin est sans surprise, la lumière triomphe et les méchants sont anéantis, mais ce qu’il y a de bien avec Eddings, outre qu’il sait faire monter la pression, c’est que ça ne s’arrête pas brutalement, on a le temps de savourer la victoire, de profiter du bonheur de tous les protagonistes, et toujours avec beaucoup d’humour et de dérision, et une vraie empathie pour tous les personnages, même les plus faibles.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

En tant que premier tome d'une saga de fantasy, ce livre est un véritable modèle. Le monde est décrit progressivement, de même pour les personnages. On entre dans ce monde immense et dans l'histoire sans jamais se sentir dépasser, on les découvre petit bout par petit bout comme le fait Garion (le héros). De même, pour les révélations, elles interviennent toujours au bon moment pour rythmer le récit et faire avancer l'histoire. Et même si ces révélations n'en sont pas vraiment pour un lecteur habitué à la fantasy (on se doute que Sire Loup n'est pas qu'un simple conteur, on se doute que Tante Pol n'est pas qu'une cuisinière ordinaire qui élève son neveu, on se doute que Garion n'est pas qu'un simple enfant...) elles fonctionnent et nous plongent dans l'intrigue. C'est peut-être ça qui est le plus remarquable : savoir ce qui va nous être révélé mais quand même vouloir l'apprendre !
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La Mallorée, Tome 2 : Le roi des Murgos

On se dit que c’est toujours pareil, une poursuite désespérée après un ennemi insaisissable, et puis on est happé par les péripéties, les personnages nous font rire car tous ont des bons et des mauvais côtés, des forces et des faiblesses, qui les rend attachants. Dommage que le machisme soit aussi présent malgré où à cause de la contribution de la femme de l’auteur, les clichés sur le genre sont vraiment datés et finissent par irriter.

Pour le reste que du bonheur.
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La Mallorée, Tome 1 : les gardiens du Ponant

On retrouve Belgarion roi au prise avec les difficultés de la vie conjugale, beaucoup d’humour malgré un peu de misogynie et des personnages toujours attachant.

Que du plaisir grâce à une écriture fluide et un univers de fantasy crédible.
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La Belgariade, tome 4 : La Tour des maléfices

Le tome 4 de la Belgariade se lit bien mais c'est loin d'être mon tome préféré. Même si les éléments relatés sont nécessaires pour le développement des personnages et l'avancée de l'histoire, le fait est qu'il ne se passe pas grand chose. Après les péripéties des trois premiers tomes, je me suis presque ennuyée.







Plus qu'un tome pour le dénouement, j'espère qu'il aura un rythme un peu plus soutenu !
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La Belgariade, tome 5 : La fin de partie de..

Dans la première partie du livre nous suivons Garion, Belgarath et Silk en route pour Cthol Mishrak, la cité de Torak. J'ai trouvé que cette première partie était la plus ennuyante du livre, il ne se passe rien du tout à part peut-être le moment avec Yarblek (le chapitre 4) et le combat qui se passe vers la fin, sinon rien, ils traversent juste les pays des Angaraks et c'est tout donc rien de bien passionnant, on n'apprend rein de plus sur les personnages.

Dans la deuxième partie qui est la plus intéressante selon moi (heureusement pour 180 pages) on suit le reste du groupe avec les différents combats pour faire diversion et aider Garion. Bizarrement j'ai commencé a m'attacher a la princesse Ce'Nedra alors qu'au début je ne la supportais pas, c'était l'un des pires personnages selon moi et là je l'ai trouvé plus développé et plus « humaine ». Les combats sont assez bien mais on a l'impression que les « gentils » vont gagner dés le début et c'est assez énervant, aucun personnages comme Barak ou autre, même un roi, ne meurt et c'est dommage. Je disais « gentils » puisque dans cette partie on peut voir qu'ils ne sont pas tout blancs, je pense surtout aux villages et au raids fait sur les différents villages et la violence des forces du Ponant et j'ai trouvé ça dérangeant puisque c'est censé être les forces du bien contre le mal. Sinon rien a redire, j'ai même aimé retrouver les personnages de Detton et Lammer même si ce ne sont pas les plus importants de l'histoire.



Et enfin dans la dernière partie c'est enfin le combat final. On rencontre enfin Zedar et Torak. Malheureusement le moment que tout le monde attendait depuis le premier tome (environ depuis 2000 pages) se fini en seulement 10 pages, je m'attendais a beaucoup plus.



On s'attache a plusieurs personnages comme Silk ou même Barak mais ils ne sont pas assez développés a mon goût, il y en a beaucoup trop pour une histoire assez courte, on les mélange tous (je pense surtout aux rois et autres). Les histoires d'amour si on peut appeler ça comme ça ne sont pas beaucoup travaillées, a un moment j'ai même été surpris deux fois par l'histoire de plusieurs personnages. Les deux points les plus négatif sont que le livres a énormément de longueurs, quand un moment est banal voir ennuyant il dure plusieurs chapitres (comme la première partie) alors que les meilleurs se passent en seulement quelques pages et on a l'impression de moments bâclés. Et l'autre pont négatif est que tout paraît beaucoup trop simple pour les personnages, un coup d'épée et hop fin de l'histoire. En conclusion le livre est assez bien mais la qualité de l'histoire baisse au plus on avance dans les 5 livres.

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La Belgariade, tome 3 : Le Gambit du magicien

Dans ce troisième volume de la série, nous quittons la Nyissie pour rejoindre le Val d'Aldur avec un bref passage par le Maragor, avant de récupérer un nouveau compagnon à Prolgu et enfin atteindre le Chtol Murgo. Garion développe ses pouvoirs et en découvre les limitations. On découvre également le reste de la "famille" des disciples d'Aldur. Le personnage de Silk s'étoffe aussi (c'est mon préféré).

C'est de manière générale un excellent roman pour adolescents et jeunes adultes, qui trouve le bon ton et a juste la bonne longueur pour ne pas décourager des lecteurs moins mordus d'heroic fantasy. La traduction française est, de mémoire, très satisfaisante.

La seule raison pour laquelle je ne mets pas 5 étoiles est que je trouve le nombre d'intervention divines bien trop important dans ce tome...
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La Belgariade, tome 2 : La Reine des sortilèges

On découvre dans ce second tome trois autres royaumes du monde, l'Arendie (on se croirait dans Robin des Bois avec le conflit entre saxons et normands), la Tolnédrie (bienvenue dans l'empire romain) et enfin la Nyissie (j'hesite... la Perse ?). On récupère également quelques héros supplémentaires et l'intérêt romantique de l'histoire (à qui on a envie de mettre des claques).

Garion commence à grandir un peu (pas trop, il y a encore 3 tomes !) et à montrer des signes de sa véritable identité. La magie s'invite de plus en plus à la partie mais sans recouvrir toute l'histoire. L'auteur a trouvé une bonne raison pour ne pas tout régler magiquement.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Une relecture en VO très longtemps après la première lecture... Et j'accroche toujours autant ! C'est bien écrit, les personnages sont plutôt crédibles (quelques léger problèmes que je n'avais pas repéré la première fois), les éléments sont bien introduits... Bref, un très bon roman jeunesse.

Le personnage principal, Garion, a 14 ans au début du roman et ne semble pas destiné à quoi que ce soit de grandiose : il est garçon de cuisine à la ferme de Faldor. Sa tante Pol l'élève depuis son enfance. A 12 ans, j'avais dévoré le livre.

En tant qu'adule, je trouve que Garion est trop enfantin pour 14 ans, surtout pour quelqu'un élevé dans une ferme. Surtout, je regrette le manque de nuances : les méchants sont très méchants et manquent de personnalité. On retrouve également beaucoup d'éléments du Seigneur des Anneaux.
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Le Codex de Riva

Depuis 1992 je lis et relis (5 ou 6 fois je crois) la Belgariade et la Mallorée. Ce sont mes bouquins préférés (tant que j'y suis j'en profite aussi pour re-re-re...lire les "Joyaux" et les "Périls"). Et bien je n'avais jamais rencontré ce Codex. C'est pas mal, une sorte de mode d'emploi de l'écriture du livre, une histoire de l'histoire. Et même des conseils pour écrire un ivre de fantasy. A lire donc... si l'on est fan !
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La Belgariade, tome 5 : La fin de partie de..

Fin de partie, au terme d'un voyage qui commençais doucement à durer un peu trop, et de batailles qui se dénouent par enchantement.

Par contre, on sait gré à l'auteur de nous épargner les récits trop gores et de garder un regard amusé et ironique sur ses héros qui ont tous des bons et des mauvais côté, et des faiblesses malgré leurs pouvoirs.

Les genres sont représentés de façon un peu caricatural mais ont tous leur importance.

Bref à la fin de ce cycle on est content de l'avoir lu et que ce soit fini, mais je recommande.

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Les Rêveurs, Tome 1 : Le réveil des anciens dieux

Mon premier livre de David Eddings, je découvre donc cet auteur. A priori je n'ai pas forcément commencé par la bonne saga à la vue des différentes critiques sur ce premier tome.

Ne connaissant pas du tout l'auteur, ce premier opus des rêveurs se laisse lire sans difficulté. L'histoire est plaisante, beaucoup de questions sur les rêveurs et leurs veritables pouvoirs. Les Dieux ne savent pas vraiment eux même ce qu'est le Vlagh, difficile de combattre un ennemi dont on ne connaît pas tout. Le fait de les rendre limités dans leurs pouvoir justifie bien le fait de devoir faire appel aux Hommes pour mener ces batailles contre le maître des terres ravagées. Un bon tome d'exposition même si l'histoire est un peu longue par moment, je pense lire la suite tout de même.

Pas le meilleur roman de high fantasy que j'ai lu, mais ma curiosité est assez attisée pour continuer
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