Critiques de David Zaoui (205)
Coup de cœur ❤️❤️ pour sois toi-même,tous les autres sont déjà pris de David Zaoui ! Un roman truculent, loufoque, pétillant, fun, enivrant de gaieté, jubilatoire.
Un roman frais, drôle, un hymne au bonheur, à la vie. Un roman léger mais jamais superficiel, et un récit parfois sérieux si on sait lire entre les lignes. Un appel à croire en sa destinée et surtout envers et contre tout et tous à croire en soi !!! A ne jamais perdre ses rêves et faire tout pour les réaliser
Quelle plaisir de lecture, vous allez sourire, rire, vous émouvoir. Un style dynamique, vivant, vibrant, une plume moderne, vraie, des personnages, singuliers, généreux, réalistes, avec un petit grain parfois et surtout profondément attachants
On y parle de la vie, de la famille, de l’amitié, de l’amour.
Alfredo Scali est un jeune homme juif non pratiquant, vivant dans une tour HLM de la banlieue parisienne sur le même palier que ses parents. C’est un artiste peintre, son rêve, que ses toiles soient reconnues et vivre de son art, mais voilà pour l’instant il peint l'inconscient des animaux et le succès n’est pas là ..Par contre , il est fort chanceux , car Bertrand Bubard son conseiller Anpe , s’occupe hyper bien de lui, certes de manière robotiser et en lui proposant des emplois qui ne lui correspondent pas et notre ami Alfrédo n’a pas la langue dans sa poche pour lui rétorquer ses vérités
La mamie d'Alfredo, Daisy, est atteinte de la maladie d'Alzheimer. Son médecin recommande une association L'Acolyte, qui s'occupe de singes, des capucins capables de lui venir en aide et c’est comme ça que va débarquer Schmidt trois kilos, quarante centimètres (prénommé ainsi par Daisy). Cette petite chose car c’est une femelle va changer leur vie , surtout celle d’Alfredo (Alfredo la recueille chez lui après que Daisy ait failli finir dans une des casseroles) car je vous confie un secret Miss Schmidt peint et elle a du talent ....chut !!! Je vous laisse découvrir la suite
Alors que vous dire de plus , juste que je vous conseille vivement ce roman plein d’amour, d'humour, d'optimisme , le tout agrémenté d’un brin de folie
Merci à Net Galley et aux éditions Jc lattes pour ce SP
Un roman frais, drôle, un hymne au bonheur, à la vie. Un roman léger mais jamais superficiel, et un récit parfois sérieux si on sait lire entre les lignes. Un appel à croire en sa destinée et surtout envers et contre tout et tous à croire en soi !!! A ne jamais perdre ses rêves et faire tout pour les réaliser
Quelle plaisir de lecture, vous allez sourire, rire, vous émouvoir. Un style dynamique, vivant, vibrant, une plume moderne, vraie, des personnages, singuliers, généreux, réalistes, avec un petit grain parfois et surtout profondément attachants
On y parle de la vie, de la famille, de l’amitié, de l’amour.
Alfredo Scali est un jeune homme juif non pratiquant, vivant dans une tour HLM de la banlieue parisienne sur le même palier que ses parents. C’est un artiste peintre, son rêve, que ses toiles soient reconnues et vivre de son art, mais voilà pour l’instant il peint l'inconscient des animaux et le succès n’est pas là ..Par contre , il est fort chanceux , car Bertrand Bubard son conseiller Anpe , s’occupe hyper bien de lui, certes de manière robotiser et en lui proposant des emplois qui ne lui correspondent pas et notre ami Alfrédo n’a pas la langue dans sa poche pour lui rétorquer ses vérités
La mamie d'Alfredo, Daisy, est atteinte de la maladie d'Alzheimer. Son médecin recommande une association L'Acolyte, qui s'occupe de singes, des capucins capables de lui venir en aide et c’est comme ça que va débarquer Schmidt trois kilos, quarante centimètres (prénommé ainsi par Daisy). Cette petite chose car c’est une femelle va changer leur vie , surtout celle d’Alfredo (Alfredo la recueille chez lui après que Daisy ait failli finir dans une des casseroles) car je vous confie un secret Miss Schmidt peint et elle a du talent ....chut !!! Je vous laisse découvrir la suite
Alors que vous dire de plus , juste que je vous conseille vivement ce roman plein d’amour, d'humour, d'optimisme , le tout agrémenté d’un brin de folie
Merci à Net Galley et aux éditions Jc lattes pour ce SP
Un livre loufoque, déjanté. Un univers unique, celui de David Zaoui, empreint d'humour, d'originalité. Un ton particulier, léger, joyeux, qui nous charme dès les premières pages. Le destin et les péripéties d'un artiste peintre qui cherche le succès... Il le trouvera par un biais surprenant, dans des circonstances particulières. Un livre envahi de bonnes ondes qui donne confiance, apporte du plaisir, du bonheur... Et qui pose la question cruciale: Qu'est-ce que réussir sa vie pour un artiste ? A lire de toute urgence. Nathalia Brignoli, journaliste culture ELLE Suisse, Paris Match Suisse.
Lien : https://www.facebook.com/uns..
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Quel plaisir de découvrir le nouveau roman de cet auteur, un roman qui est dans un style bien différent de "Je suis un tueur humaniste", mais qui arrive à nous emporter tout autant! Le titre m'a immédiatement donné envie de le découvrir, car il correspond exactement à ma philosophie de vie. Aussi, j'avais hâte de découvrir sur quels chemins l'auteur allait nous emmener aux côtés d'Alfredo, un héros proche de nous et très touchant.
Ce livre met en avant l'importance de suivre ses rêves et de tout faire pour atteindre les sommets que nous visons, même s'ils paraissent impossibles et tellement éloignés. Avec un humour qui fait mouche à chaque fois, nous suivons les péripéties d'Alfredo pour percer dans le milieu de la peinture alors que personne ne s'intéresse à ses toiles. Malgré les échecs, il essaie de se battre de son mieux et d'avancer comme il peut.
Sa vie va basculer quand Schmidt va venir s'installer chez lui. Schmidt c'est l'animal de compagnie dont tout le monde rêve. Elle est tellement mignonne, drôle et expressive, et elle va imprégner la vie d'Alfredo de sa présence, jusqu'à un point qu'il n'aurait pas pu imaginer. Qui ne rêverait pas de partager son quotidien avec ce petit singe? C'est une vraie bouffée d'oxygène!
Notre héros va donc tracer sa route entre joies et désillusions, tout en nous faisant réfléchir sur nos propres chemins et sur les voies que nous avons suivies. Avons-nous vraiment la vie que nous souhaitions? Avons-nous su nous battre pour défendre nos rêves et nos envies ou sommes-nous devenus ce que les autres attendaient de nous?
C'est une réflexion de fond et une introspection intéressante auxquelles nous invite Alfredo à travers ses propres questions et interrogations, le tout en nous donnant le sourire aux lèvres à chaque chapitre. Ce livre est donc une petite pépite qui vous fera oublier les soucis du quotidien et qui vous redonnera le sourire! Mention spéciale aux lettres échangées avec le conseiller de Pôle Emploi qui sont juste hilarantes!
En bref, je suis toujours aussi fan de la plume de l'auteur et je me suis régalée avec ce roman "feel good" qui donne le sourire.
Ce livre met en avant l'importance de suivre ses rêves et de tout faire pour atteindre les sommets que nous visons, même s'ils paraissent impossibles et tellement éloignés. Avec un humour qui fait mouche à chaque fois, nous suivons les péripéties d'Alfredo pour percer dans le milieu de la peinture alors que personne ne s'intéresse à ses toiles. Malgré les échecs, il essaie de se battre de son mieux et d'avancer comme il peut.
Sa vie va basculer quand Schmidt va venir s'installer chez lui. Schmidt c'est l'animal de compagnie dont tout le monde rêve. Elle est tellement mignonne, drôle et expressive, et elle va imprégner la vie d'Alfredo de sa présence, jusqu'à un point qu'il n'aurait pas pu imaginer. Qui ne rêverait pas de partager son quotidien avec ce petit singe? C'est une vraie bouffée d'oxygène!
Notre héros va donc tracer sa route entre joies et désillusions, tout en nous faisant réfléchir sur nos propres chemins et sur les voies que nous avons suivies. Avons-nous vraiment la vie que nous souhaitions? Avons-nous su nous battre pour défendre nos rêves et nos envies ou sommes-nous devenus ce que les autres attendaient de nous?
C'est une réflexion de fond et une introspection intéressante auxquelles nous invite Alfredo à travers ses propres questions et interrogations, le tout en nous donnant le sourire aux lèvres à chaque chapitre. Ce livre est donc une petite pépite qui vous fera oublier les soucis du quotidien et qui vous redonnera le sourire! Mention spéciale aux lettres échangées avec le conseiller de Pôle Emploi qui sont juste hilarantes!
En bref, je suis toujours aussi fan de la plume de l'auteur et je me suis régalée avec ce roman "feel good" qui donne le sourire.
= Juste être soi-même.=
Alfredo Scali, personnage principal du roman est un jeune peintre aux peintures original.
Il se dévoile peu à peu tout au long du roman.
Le lecteur va découvrir un jeune homme au passé, une vie d’enfant qui a fait de lui aujourd’hui une personne généreuse et au grand cœur, mais aussi un personnage qui n’a pas confiance en lui.
‘‘-Ne te démoralise pas, Alfredo. Les plus grands, personne ne croyait en eux au départ. Regarde mon grand-père, il était bottier à Constantine. Il ne vendait pas de bottes, au début. Il n’en a jamais vendu, en fait. Mais…il est mort avec l’espoir d’en vendre un jour ! Toi tu peins quoi en ce moment ?
-Le rêve d’un ours bipolaire.
Nassim m’a regardé avec des yeux aussi vides que ceux d’un hareng qui lirait du Dostoïevski.
-Pourquoi tu ne peindrais pas la raie de mon cul ?
Il a piqué un fou rire, et j’ai rigolé à mon tour. Après tout, il ne connaissait rien à la peinture. Et peut-être qu’avec mes œuvres, j’étais un peu à côté de la plaque moi aussi.’’
Alfredo vit une vie banale jusqu’au jour où il va faire la rencontre d’un singe nommé Schmit.
L’auteur utilise le ‘‘Je’’ pour sa narration, ce qui a pour effet de rapprocher son lecteur au personnage. Une écriture fluide, un livre qui se li tel un page-Turner avec des personnages les uns plus originaux que les autres.
Au-delà de l’histoire, il y a cette question que chacun de nous se pose ou s’est poser un jour qui est de savoir ce que nous voulons dans la vie et surtout : Qu’est-ce que réussir sa vie et être heureux ?
L’auteur garde son style particulier déjà rencontré dans son roman : Je suis un tueur humaniste, roman que j’ai beaucoup aimé.
Ne jamais tomber dans le mélo, de l’humour, et je vous avertis préparez vos zygomatiques, ils seront très sollicités.
Un roman très original, avec un auteur qui manie sa plume telle une baguette magique pour vous emmener dans une histoire dont le sujet est et sera toujours d’actualité.
Un roman dans laquelle folie, humour, mais aussi toutes vos émotions seront sollicitées.
Une bouffée d’air frais dans notre quotidien étouffant. Un pur moment de détente vous attend avec ce roman.
Je vous le recommande sans retenue.
Lien : https://livresdeblogue.blogs..
Alfredo Scali, personnage principal du roman est un jeune peintre aux peintures original.
Il se dévoile peu à peu tout au long du roman.
Le lecteur va découvrir un jeune homme au passé, une vie d’enfant qui a fait de lui aujourd’hui une personne généreuse et au grand cœur, mais aussi un personnage qui n’a pas confiance en lui.
‘‘-Ne te démoralise pas, Alfredo. Les plus grands, personne ne croyait en eux au départ. Regarde mon grand-père, il était bottier à Constantine. Il ne vendait pas de bottes, au début. Il n’en a jamais vendu, en fait. Mais…il est mort avec l’espoir d’en vendre un jour ! Toi tu peins quoi en ce moment ?
-Le rêve d’un ours bipolaire.
Nassim m’a regardé avec des yeux aussi vides que ceux d’un hareng qui lirait du Dostoïevski.
-Pourquoi tu ne peindrais pas la raie de mon cul ?
Il a piqué un fou rire, et j’ai rigolé à mon tour. Après tout, il ne connaissait rien à la peinture. Et peut-être qu’avec mes œuvres, j’étais un peu à côté de la plaque moi aussi.’’
Alfredo vit une vie banale jusqu’au jour où il va faire la rencontre d’un singe nommé Schmit.
L’auteur utilise le ‘‘Je’’ pour sa narration, ce qui a pour effet de rapprocher son lecteur au personnage. Une écriture fluide, un livre qui se li tel un page-Turner avec des personnages les uns plus originaux que les autres.
Au-delà de l’histoire, il y a cette question que chacun de nous se pose ou s’est poser un jour qui est de savoir ce que nous voulons dans la vie et surtout : Qu’est-ce que réussir sa vie et être heureux ?
L’auteur garde son style particulier déjà rencontré dans son roman : Je suis un tueur humaniste, roman que j’ai beaucoup aimé.
Ne jamais tomber dans le mélo, de l’humour, et je vous avertis préparez vos zygomatiques, ils seront très sollicités.
Un roman très original, avec un auteur qui manie sa plume telle une baguette magique pour vous emmener dans une histoire dont le sujet est et sera toujours d’actualité.
Un roman dans laquelle folie, humour, mais aussi toutes vos émotions seront sollicitées.
Une bouffée d’air frais dans notre quotidien étouffant. Un pur moment de détente vous attend avec ce roman.
Je vous le recommande sans retenue.
Lien : https://livresdeblogue.blogs..
Bonjour à toutes et à tous…
Le 9 mars 2017, je découvrais David Zaoui avec son premier roman “Je suis un tueur humaniste”.
Ce fut MA révélation 2017 !
Un roman tendre, poétique, humaniste, drôle et tout en émotion. Le genre de romans qui m’ont marqué, au même titre que “Le parfum” ou “Des souris et des hommes”.
Depuis c’est un roman que j’ai acheté plusieurs fois, relu, donné, prêté à maintes occasions…
Entre temps, j’ai eu l’occasion d'échanger régulièrement avec David et j’ai très vite compris que ce premier roman n’était pas un hasard.
J’attendais impatiemment son second roman !
Il sortira le 30 janvier 2019.
David a eu la gentillesse de me le livrer très vite, pour mon plus grand bonheur.
La magie a fonctionné une seconde fois…
Qu’est-ce que j’ai ri, aux éclats même !
Qu’est-ce que j’ai été ému et triste aussi…
Le héros, “Alfredo Scali” est encore un artiste, mais ici on ne parle pas de meurtres, mais de peinture.
Alfredo se cherche, professionnellement.
Les “aides” du pôle-emploi lui seront-elles utiles ?
Il se cherche dans sa vie amoureuse, mais ce n’est pas gagné !
Se cherche, mais n’ose pas.
Les quelques proches qui l’entourent sont son seul univers, au-delà, tout est flou et compliqué.
Heureusement un singe capucin “engagé” pour aider sa grand-mère “Daisy” atteinte de la maladie de Alzheimer va lui changer sa vie et ouvrir certaines portes en lui donnant des clés qu’il n’imaginait pas, mais qu’il avait déjà en lui…
Roman détente, roman bonheur mais pas seulement. David glisse ici ou là, des messages qui s’adressent à nous tous.
Des messages qui bien décodés nous permettront de relever le buste, et d’affronter la vie, l’extérieur.
Puisque tous les rôles sont déjà pris, il ne nous reste plus que d’être “soi-même”…
À lire absolument, en cette période grise et compliquée.
J’ai souri, j’ai ri et pour finir j’ai lâché une larme à la fin du roman…
À offrir aux gens que vous aimez.
Votre âme vous en remerciera !
÷÷÷÷÷÷÷
Extrait :
“Bernard Bubard
Conseiller Pôle Emploi
188, avenue Jean-Lolive
93500 Pantin
Pantin, le 24/02/2017
Monsieur Scali,
J’ai bien reçu votre courrier. Pardonnez-moi pour le retard avec lequel je vous réponds, mais nous sommes débordés en ce moment.
Je saisis parfaitement votre requête mais sachez que peintre, du point de vue de Pôle emploi, ça n’est pas vraiment un métier. Il n’y a d’ailleurs aucun code ROME concernant cette activité.
Je vous invite à mettre en ligne votre CV afin d’améliorer vos chances de trouver un emploi.
Je vous prie d’agréer Monsieur, mes salutations distinguées.
Bernard Bubard
…….
Alfredo Scali
24, rue Étienne Marcel
93500 Pantin
Pantin, le 27/02/2017
Réf. dossier : 158954 MJV 891
À l’attention de mon conseiller Pôle emploi qui de toute façon ne lis jamais ses courriers.
Monsieur Bertrand Bubart,
Je crois que vous êtes atteint du syndrome du fonctionnaire autiste programmé pour dire des conneries à répétition. Je le pense vraiment.
Vous savez, c’est comme quand vous allez dans une administration, que vous posez une question et que le type vous récite sa fiche. Vous lui reposez votre question et il persiste. Mot pour mot. Encore et encore. Vous êtes de cela Bubard !
J’ignore si vous avez bien lu mon courrier. Je le pense pas. Peut-être que vous avez éternué, que vous n’aviez pas de mouchoir sous la main et que vous avez pris ma lettre pour un Kleenex ?
J’ai l’impression - que dis-je, la très nette certitude - de parler un robot increvable ! Vous m’avez encore dirigé vers une offre d’emploi totalement inadaptée : cette fois dans une usine de jouets à Clichy-sous-Bois afin de tester les toupies. Je suis PEINTRE, merde ! Inscrivez-le dans votre cerveau !
Bubard, ça rime avec renard, qui rime avec calamar, qui rime avec gros lard, qui rime avec...
Alfredo Scali
…….
Bernard Bubard
Conseiller Pôle Emploi
188, avenue Jean-Lolive
93500 Pantin
Pantin, le 13/03/2017
Monsieur Scali,
J’ai bien reçu votre courrier. Pardonnez-moi pour le retard avec lequel je vous réponds, mais nous sommes débordés en ce moment.
Je saisis parfaitement votre requête mais sachez que peintre, du point de vue de Pôle emploi, ça n’est pas vraiment un métier. Il n’y a d’ailleurs aucun code ROME concernant cette activité.
Je vous invite à mettre en ligne votre CV afin d’améliorer vos chances de trouver un emploi.
Je vous prie d’agréer Monsieur, mes salutations distinguées.
Bernard Bubard”
Lien : https://leressentidejeanpaul..
Le 9 mars 2017, je découvrais David Zaoui avec son premier roman “Je suis un tueur humaniste”.
Ce fut MA révélation 2017 !
Un roman tendre, poétique, humaniste, drôle et tout en émotion. Le genre de romans qui m’ont marqué, au même titre que “Le parfum” ou “Des souris et des hommes”.
Depuis c’est un roman que j’ai acheté plusieurs fois, relu, donné, prêté à maintes occasions…
Entre temps, j’ai eu l’occasion d'échanger régulièrement avec David et j’ai très vite compris que ce premier roman n’était pas un hasard.
J’attendais impatiemment son second roman !
Il sortira le 30 janvier 2019.
David a eu la gentillesse de me le livrer très vite, pour mon plus grand bonheur.
La magie a fonctionné une seconde fois…
Qu’est-ce que j’ai ri, aux éclats même !
Qu’est-ce que j’ai été ému et triste aussi…
Le héros, “Alfredo Scali” est encore un artiste, mais ici on ne parle pas de meurtres, mais de peinture.
Alfredo se cherche, professionnellement.
Les “aides” du pôle-emploi lui seront-elles utiles ?
Il se cherche dans sa vie amoureuse, mais ce n’est pas gagné !
Se cherche, mais n’ose pas.
Les quelques proches qui l’entourent sont son seul univers, au-delà, tout est flou et compliqué.
Heureusement un singe capucin “engagé” pour aider sa grand-mère “Daisy” atteinte de la maladie de Alzheimer va lui changer sa vie et ouvrir certaines portes en lui donnant des clés qu’il n’imaginait pas, mais qu’il avait déjà en lui…
Roman détente, roman bonheur mais pas seulement. David glisse ici ou là, des messages qui s’adressent à nous tous.
Des messages qui bien décodés nous permettront de relever le buste, et d’affronter la vie, l’extérieur.
Puisque tous les rôles sont déjà pris, il ne nous reste plus que d’être “soi-même”…
À lire absolument, en cette période grise et compliquée.
J’ai souri, j’ai ri et pour finir j’ai lâché une larme à la fin du roman…
À offrir aux gens que vous aimez.
Votre âme vous en remerciera !
÷÷÷÷÷÷÷
Extrait :
“Bernard Bubard
Conseiller Pôle Emploi
188, avenue Jean-Lolive
93500 Pantin
Pantin, le 24/02/2017
Monsieur Scali,
J’ai bien reçu votre courrier. Pardonnez-moi pour le retard avec lequel je vous réponds, mais nous sommes débordés en ce moment.
Je saisis parfaitement votre requête mais sachez que peintre, du point de vue de Pôle emploi, ça n’est pas vraiment un métier. Il n’y a d’ailleurs aucun code ROME concernant cette activité.
Je vous invite à mettre en ligne votre CV afin d’améliorer vos chances de trouver un emploi.
Je vous prie d’agréer Monsieur, mes salutations distinguées.
Bernard Bubard
…….
Alfredo Scali
24, rue Étienne Marcel
93500 Pantin
Pantin, le 27/02/2017
Réf. dossier : 158954 MJV 891
À l’attention de mon conseiller Pôle emploi qui de toute façon ne lis jamais ses courriers.
Monsieur Bertrand Bubart,
Je crois que vous êtes atteint du syndrome du fonctionnaire autiste programmé pour dire des conneries à répétition. Je le pense vraiment.
Vous savez, c’est comme quand vous allez dans une administration, que vous posez une question et que le type vous récite sa fiche. Vous lui reposez votre question et il persiste. Mot pour mot. Encore et encore. Vous êtes de cela Bubard !
J’ignore si vous avez bien lu mon courrier. Je le pense pas. Peut-être que vous avez éternué, que vous n’aviez pas de mouchoir sous la main et que vous avez pris ma lettre pour un Kleenex ?
J’ai l’impression - que dis-je, la très nette certitude - de parler un robot increvable ! Vous m’avez encore dirigé vers une offre d’emploi totalement inadaptée : cette fois dans une usine de jouets à Clichy-sous-Bois afin de tester les toupies. Je suis PEINTRE, merde ! Inscrivez-le dans votre cerveau !
Bubard, ça rime avec renard, qui rime avec calamar, qui rime avec gros lard, qui rime avec...
Alfredo Scali
…….
Bernard Bubard
Conseiller Pôle Emploi
188, avenue Jean-Lolive
93500 Pantin
Pantin, le 13/03/2017
Monsieur Scali,
J’ai bien reçu votre courrier. Pardonnez-moi pour le retard avec lequel je vous réponds, mais nous sommes débordés en ce moment.
Je saisis parfaitement votre requête mais sachez que peintre, du point de vue de Pôle emploi, ça n’est pas vraiment un métier. Il n’y a d’ailleurs aucun code ROME concernant cette activité.
Je vous invite à mettre en ligne votre CV afin d’améliorer vos chances de trouver un emploi.
Je vous prie d’agréer Monsieur, mes salutations distinguées.
Bernard Bubard”
Lien : https://leressentidejeanpaul..
Ce premier roman de David Zaoui interpelle.
Babinski est un tueur insomniaque qui rend heureuses ses victimes avant de les dégommer. Soit. le pitch est particulier et annonce une comédie à l'humour noir.
Ce sera néanmoins bien plus que cela.
Babinski est un enfant de la DASS, généreux et empathique, qui devient tueur à gages suite à une rencontre. Méticuleusement, il exécute ses contrats et aggrave, malgré lui, son sentiment de culpabilité et son mal-être.
Quel sens donner à sa vie ? Lui ne sait faire le bonheur des autres qu'au détriment du sien.
Ses relations avec un psy excentrique tout d'abord, puis avec l'une de ses futures victimes, vont progressivement lui apporter la reconnaissance et l'amour/amitié auxquels il aspire, grippant l'engrenage dans lequel il s'enlisait.
"Pour aimer les autres, faut s'aimer soi-même..."
Ce roman est le parcours initiatique de Babinski pour atteindre le bonheur. Avec talent, David Zaouri nous incite à le suivre.
Babinski est un tueur insomniaque qui rend heureuses ses victimes avant de les dégommer. Soit. le pitch est particulier et annonce une comédie à l'humour noir.
Ce sera néanmoins bien plus que cela.
Babinski est un enfant de la DASS, généreux et empathique, qui devient tueur à gages suite à une rencontre. Méticuleusement, il exécute ses contrats et aggrave, malgré lui, son sentiment de culpabilité et son mal-être.
Quel sens donner à sa vie ? Lui ne sait faire le bonheur des autres qu'au détriment du sien.
Ses relations avec un psy excentrique tout d'abord, puis avec l'une de ses futures victimes, vont progressivement lui apporter la reconnaissance et l'amour/amitié auxquels il aspire, grippant l'engrenage dans lequel il s'enlisait.
"Pour aimer les autres, faut s'aimer soi-même..."
Ce roman est le parcours initiatique de Babinski pour atteindre le bonheur. Avec talent, David Zaouri nous incite à le suivre.
Quel plaisir que de retrouver la plume de David que j'avais découvert avec son premier livre "Je suis un tueur humaniste" que j'avais beaucoup aimé. Je suis heureuse qu'il me fasse confiance une fois de plus en me confiant "Sois toi-même, tous les autres sont déjà pris", un titre qui me parlait de suite étant donné qu'elle est tirée d'une citation d'Oscar Wilde.
Alfredo, juif non pratiquant vit sur le même palier que ses parents dans une HLM. Il est un artiste peintre qui peine à percer. Il a vécu dans une famille qui a toujours aimé les animaux. Son père a travaillé au zoo et c'est naturellement qu'Alfredo peint les animaux, enfin pour être plus précise, il peint les rêves des animaux ! Il se plaît à imaginer ce que les animaux peuvent rêver une fois endormis sauf que voilà, personne ne croît en Alfredo, personne ne croit en son talent, personne ne veut de ses toiles. Pour autant qu'il perd confiance en lui.
Il oscille de travail en travail pour payer ses factures car ce n'est avec ses peintures qu'il va pouvoir mettre du beurre dans ses épinards. Mais Alfredo en a marre de travailler dans des emplois qui ne correspondent pas à ses aspirations alors il va écrire une lettre à son conseiller pôle emploi qui lui enverra une lettre lui indiquant qu'il faut travailler quoi qu'il arrive. Soit il accepte le job soit on lui coupe ses indemnités auxquelles il a le droit. Le choix est vite fait, vous vous doutez sauf que le moral en prend un sacré coup ! Exit l'épanouissement professionnel et bonjour le premier job venu. Ce qu'Alfredo veut, c'est très simple, il veut pouvoir s'épanouir dans un travail qui lui conviendrait, qu'il voudrait exercer. Pourquoi tant de haine ?! Travailler, oui mais si on peut lier l'utile à l'agréable, pourquoi s'en priver !
Pour couronner le tout, il se voit confier Schmidt, un capucin que sa grand-mère a essayé de cuisiner bien malgré elle ! En effet, la pauvre dame est atteinte d'Alzheimer, elle ne savait pas qu'il ne fallait pas cuire ce pauvre animal. Ce que ne se doutait pas notre cher artiste-peintre en accueillant chez lui Schmidt, c'est que sa vie allait changer grâce à ce singe très particulier...
Le côté décalé de l'intrigue met en lumière la réalité et les envies profondes de chacun. J'ai beaucoup aimé le message que dégage ce livre : be happy (être heureux), tout simplement. Il faut prendre la vie du bon côté et profiter de ce qu'elle a à nous offrir.
La plume de l'auteur est fraîche, tendre, touchante, humoristique, fluide, agréable à lire. L'auteur nous fait vivre le temps de quelques pages une histoire improbable, drôle mais tellement déjantée que l'on ne peut que se laisser prendre au jeu. La correspondance entre pôle emploi et Alfredo est à lire, vous ne devez manquer ça sous aucun prétexte !
Tout ça pour vous dire David nous offre une belle histoire en nous rappelant qu'il ne faut pas renoncer en ses rêves. N'oubliez pas, soyez vous-même, les autres sont déjà pris 😉.
Lien : https://leslecturesdeladiabl..
Alfredo, juif non pratiquant vit sur le même palier que ses parents dans une HLM. Il est un artiste peintre qui peine à percer. Il a vécu dans une famille qui a toujours aimé les animaux. Son père a travaillé au zoo et c'est naturellement qu'Alfredo peint les animaux, enfin pour être plus précise, il peint les rêves des animaux ! Il se plaît à imaginer ce que les animaux peuvent rêver une fois endormis sauf que voilà, personne ne croît en Alfredo, personne ne croit en son talent, personne ne veut de ses toiles. Pour autant qu'il perd confiance en lui.
Il oscille de travail en travail pour payer ses factures car ce n'est avec ses peintures qu'il va pouvoir mettre du beurre dans ses épinards. Mais Alfredo en a marre de travailler dans des emplois qui ne correspondent pas à ses aspirations alors il va écrire une lettre à son conseiller pôle emploi qui lui enverra une lettre lui indiquant qu'il faut travailler quoi qu'il arrive. Soit il accepte le job soit on lui coupe ses indemnités auxquelles il a le droit. Le choix est vite fait, vous vous doutez sauf que le moral en prend un sacré coup ! Exit l'épanouissement professionnel et bonjour le premier job venu. Ce qu'Alfredo veut, c'est très simple, il veut pouvoir s'épanouir dans un travail qui lui conviendrait, qu'il voudrait exercer. Pourquoi tant de haine ?! Travailler, oui mais si on peut lier l'utile à l'agréable, pourquoi s'en priver !
Pour couronner le tout, il se voit confier Schmidt, un capucin que sa grand-mère a essayé de cuisiner bien malgré elle ! En effet, la pauvre dame est atteinte d'Alzheimer, elle ne savait pas qu'il ne fallait pas cuire ce pauvre animal. Ce que ne se doutait pas notre cher artiste-peintre en accueillant chez lui Schmidt, c'est que sa vie allait changer grâce à ce singe très particulier...
Le côté décalé de l'intrigue met en lumière la réalité et les envies profondes de chacun. J'ai beaucoup aimé le message que dégage ce livre : be happy (être heureux), tout simplement. Il faut prendre la vie du bon côté et profiter de ce qu'elle a à nous offrir.
La plume de l'auteur est fraîche, tendre, touchante, humoristique, fluide, agréable à lire. L'auteur nous fait vivre le temps de quelques pages une histoire improbable, drôle mais tellement déjantée que l'on ne peut que se laisser prendre au jeu. La correspondance entre pôle emploi et Alfredo est à lire, vous ne devez manquer ça sous aucun prétexte !
Tout ça pour vous dire David nous offre une belle histoire en nous rappelant qu'il ne faut pas renoncer en ses rêves. N'oubliez pas, soyez vous-même, les autres sont déjà pris 😉.
Lien : https://leslecturesdeladiabl..
Cher David,
Pendant très longtemps, Darwin et sa théorie sur l’évolution des espèces et en particulier celle concernant l’Homme a été mal comprise et je conseille à tous ceux qui auraient encore le moindre doute de lire ton roman. Maintenant j’en suis certaine, l’homme ne descend pas du singe, parce que quand Schmidt, capucin femelle entre dans la vie d’Alfredo et sa Grand-mère on comprend vite quelle est l’espèce la plus évoluée….
Alfredo, c’est cet adulte qui vit en face de chez ses parents et qui cherche encore quelle direction donner à sa vie. Cet artiste peintre, incompris de Pôle Emploi, s’accroche à ses rêves sans parvenir à les concrétiser…Sa destinée va se mettre en marche lorsque Schmidt s’installe chez lui. Parce que cette femelle capucin c’est tout ce que n’est pas Alfredo…C'est la réussite dans ce qu’elle entreprend, c’est obtenir un travail de saltimbanque qui rapporte, c’est être une artiste talentueuse, c’est vivre une vraie et longue histoire d’amour…Mais c’est peut-être également la chance d’Alfredo, l’élément déclencheur qui va lui permettre d’être celui qu’il veut devenir…
Ton récit nous emmène sur les traces de ce duo improbable. On rencontre une famille attachante et je te l'avoue, j’ai rêvé d’avoir comme père celui d’Alfredo. Sa bande de copains est une ode à l’amitié, et leur côté loosers de service, un vrai régal parce qu’ils sont là, sincères, généreux et nous offrent des moments joyeux et parfois dingues, et qu’avec eux on peut être soi-même. .
J’ai adoré lire leurs échanges, j’ai aimé la fantaisie dont tu as fait preuve, ces instants déjantés où tout est possible, cet optimisme plus fort que les doutes, ces rires et ces sourires parsemés, cette tendresse doucement exprimée.
Et surtout, lire les péripéties d’Alfredo ça a été l’assurance de voir qu’il ne faut jamais rien lâcher, et que les rêves finissent toujours par se réaliser
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Pendant très longtemps, Darwin et sa théorie sur l’évolution des espèces et en particulier celle concernant l’Homme a été mal comprise et je conseille à tous ceux qui auraient encore le moindre doute de lire ton roman. Maintenant j’en suis certaine, l’homme ne descend pas du singe, parce que quand Schmidt, capucin femelle entre dans la vie d’Alfredo et sa Grand-mère on comprend vite quelle est l’espèce la plus évoluée….
Alfredo, c’est cet adulte qui vit en face de chez ses parents et qui cherche encore quelle direction donner à sa vie. Cet artiste peintre, incompris de Pôle Emploi, s’accroche à ses rêves sans parvenir à les concrétiser…Sa destinée va se mettre en marche lorsque Schmidt s’installe chez lui. Parce que cette femelle capucin c’est tout ce que n’est pas Alfredo…C'est la réussite dans ce qu’elle entreprend, c’est obtenir un travail de saltimbanque qui rapporte, c’est être une artiste talentueuse, c’est vivre une vraie et longue histoire d’amour…Mais c’est peut-être également la chance d’Alfredo, l’élément déclencheur qui va lui permettre d’être celui qu’il veut devenir…
Ton récit nous emmène sur les traces de ce duo improbable. On rencontre une famille attachante et je te l'avoue, j’ai rêvé d’avoir comme père celui d’Alfredo. Sa bande de copains est une ode à l’amitié, et leur côté loosers de service, un vrai régal parce qu’ils sont là, sincères, généreux et nous offrent des moments joyeux et parfois dingues, et qu’avec eux on peut être soi-même. .
J’ai adoré lire leurs échanges, j’ai aimé la fantaisie dont tu as fait preuve, ces instants déjantés où tout est possible, cet optimisme plus fort que les doutes, ces rires et ces sourires parsemés, cette tendresse doucement exprimée.
Et surtout, lire les péripéties d’Alfredo ça a été l’assurance de voir qu’il ne faut jamais rien lâcher, et que les rêves finissent toujours par se réaliser
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Merci au libraire qui a conseillé d’écrire le livre que David Zaoui cherchait et qui n’existait visiblement pas. En effet pari réussi, ce roman est frais, léger, un anti-dépresseur à lui tout seul. Alfredo et son singe font un duo d’étonnante. Nous voudrions tous avoir un singe comme Schmidt surtout s’il est le coup pouce pour réaliser nos rêves. Car Alfredo est un rêveur, un artiste incompris qui va réussir à sortir de sa torpeur grâce à ce singe qui à la base devait aider sa grand-mère malade mais la maladie ayant pris le dessus, Alfredo a dû récupérer Schmidt pour lui éviter de cuire dans un bouillon.
L’histoire burlesque vous promet des moments hilarants pour ma part j’ai adoré les correspondances d’Alfredo avec son conseiller Pôle Emploi, M. Bubard, un régal!
La plume de l’auteur est moderne, fluide. Dans la famille Scali, je demande la mère toujours aux petits soins, le père généreux et compréhensif, la grand-mère un brin loufoque, le grand-frère absent et Alfredo le rêveur sans oublier Schmidt! Un panel de personnages tout en couleur, tous attendrissants pour notre plus grand plaisir.
J’ai vraiment passé un moment agréable avec cette lecture qui m’a permis de me détendre. Je ne peux que vous le conseiller pour un moment plein de peps.
Lien : https://leslecturesdemamanna..
L’histoire burlesque vous promet des moments hilarants pour ma part j’ai adoré les correspondances d’Alfredo avec son conseiller Pôle Emploi, M. Bubard, un régal!
La plume de l’auteur est moderne, fluide. Dans la famille Scali, je demande la mère toujours aux petits soins, le père généreux et compréhensif, la grand-mère un brin loufoque, le grand-frère absent et Alfredo le rêveur sans oublier Schmidt! Un panel de personnages tout en couleur, tous attendrissants pour notre plus grand plaisir.
J’ai vraiment passé un moment agréable avec cette lecture qui m’a permis de me détendre. Je ne peux que vous le conseiller pour un moment plein de peps.
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Deuxième roman de David Zaoui et second coup de coeur pour cet auteur.
Ce roman est une bouffée d'air frais. Entre humour premier et second degré, folie douce, de grandes émotions et surtout de l'originalité.
Tout comme son premier roman "Je suis un tueur humaniste" David Zaoui sait toucher là où il faut au moment où il faut. J'ai dévoré ce second roman comme le premier d'une traite.
Des personnages hauts en couleurs, atypiques et attachants.
Un message de bienveillance "vivez vos rêves et soyez vous même". La pleine conscience de soi, du monde qui communique pour répondre et non pour écouter avec ce conseiller Pôle Emploi, qui montre le monde actuel "je ne vois rien, je n'entends rien et je ne dis rien".
David Zaoui fait partit des auteurs vers lequel il faut aller, oser aller. Il donne des messages d'espoirs avec une énorme dose d'empathie, de gentillesse et d'ouverture d'esprit.
Hâte de lire ses futurs romans.
Ce roman est une bouffée d'air frais. Entre humour premier et second degré, folie douce, de grandes émotions et surtout de l'originalité.
Tout comme son premier roman "Je suis un tueur humaniste" David Zaoui sait toucher là où il faut au moment où il faut. J'ai dévoré ce second roman comme le premier d'une traite.
Des personnages hauts en couleurs, atypiques et attachants.
Un message de bienveillance "vivez vos rêves et soyez vous même". La pleine conscience de soi, du monde qui communique pour répondre et non pour écouter avec ce conseiller Pôle Emploi, qui montre le monde actuel "je ne vois rien, je n'entends rien et je ne dis rien".
David Zaoui fait partit des auteurs vers lequel il faut aller, oser aller. Il donne des messages d'espoirs avec une énorme dose d'empathie, de gentillesse et d'ouverture d'esprit.
Hâte de lire ses futurs romans.
Alfredo Scali est un artiste peintre. Comme tous les artistes, il se confronte au jugement des autres, à une vie liée à celle du regard des autres, à la mouvance culturelle. Evidemment, son succès n’est pas immédiat, et Alfredo continue à se chercher : prend-il la bonne direction ? Son conseilleur Pôle emploi ne manque pas de lui rappeler que peintre, ce n’est pas vraiment un métier… Pour aider sa grand-mère, atteinte d’Alzheimer, une aide à domicile va lui prêter main forte. Ce n’est pas n’importe quelle aide, c’est un petit singe, femelle, Schmidt. Afin d’éviter à Schmidt de finir comme élément principal d’un plat confectionné par sa grand-mère qui ne va pas mieux, Alfredo entame une collocation avec Schmidt. Le petit singe va prendre une place prépondérante dans la vie d’Alfredo…
Ce roman est un condensé de notre monde moderne, avec ses qualités et ses défauts. Une jolie dose d’humour, une pincée de folie, et quelques grammes des valeurs morales qu’on a tendance à oublier de nos jours. Evidemment, avec son métier d’artiste peintre, Alfredo ne rentre dans aucune case. Aucun code ROME ne correspond à son activité d’artiste ! La correspondance entre Alfredo et son conseiller Pôle Emploi, digne du théâtre de l’absurde, rappelle qu’aujourd’hui, la construction de soi est un périple. On ne construit pas pour soi, mais en fonction de la société. La voix du père d’Alfredo apparaît alors comme un Sage, avec ses réflexions sur la vie, sur la richesse qui est humaine et non pas financière. Parce qu’aujourd’hui, plus que jamais, on a tendance à oublier l’Humain. David Zaoui, à travers les lignes de cette histoire hors du commun, remet au centre de la réflexion la question de l’Humain. Que fait-on de l’Humain aujourd’hui ? Un roman qui vous rappelle que vous êtes Vous, et que c’est votre plus grande richesse.
Ce roman est un condensé de notre monde moderne, avec ses qualités et ses défauts. Une jolie dose d’humour, une pincée de folie, et quelques grammes des valeurs morales qu’on a tendance à oublier de nos jours. Evidemment, avec son métier d’artiste peintre, Alfredo ne rentre dans aucune case. Aucun code ROME ne correspond à son activité d’artiste ! La correspondance entre Alfredo et son conseiller Pôle Emploi, digne du théâtre de l’absurde, rappelle qu’aujourd’hui, la construction de soi est un périple. On ne construit pas pour soi, mais en fonction de la société. La voix du père d’Alfredo apparaît alors comme un Sage, avec ses réflexions sur la vie, sur la richesse qui est humaine et non pas financière. Parce qu’aujourd’hui, plus que jamais, on a tendance à oublier l’Humain. David Zaoui, à travers les lignes de cette histoire hors du commun, remet au centre de la réflexion la question de l’Humain. Que fait-on de l’Humain aujourd’hui ? Un roman qui vous rappelle que vous êtes Vous, et que c’est votre plus grande richesse.
Ce roman est vraiment touchant et humain. Il m’a fait beaucoup rire. Difficile de continuer d’avancer lorsque toutes les portes se ferment devant nous. Alfredo a cette force de continuer d’y croire, encore. Pourtant, comment vivra-t-il ce mensonge qu’il s’est imposé malgré lui ?
J’ai aimé partager le rêve d’Alfredo de devenir cet artiste d’un tout nouveau genre. J’ai souris en visualisant Schmidt, le capucin, s’imposer dans la vie d’Alfredo. J’ai ressenti une force incroyable, cette force de toujours croire en soi, c’est cette croyance qui nous ouvre les bras du bonheur. Un beau roman pour une belle leçon de vie.
Si j’ai adoré cette lecture, j’aurais souhaité un peu plus de rebondissements autour de ce secret qu’Alfredo garde en lui. (Je ne peux pas en dire plus, sinon j’en dévoilerais trop)
Une histoire à découvrir et surtout… soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris !
Lien : https://www.bouquiner.ch/831..
J’ai aimé partager le rêve d’Alfredo de devenir cet artiste d’un tout nouveau genre. J’ai souris en visualisant Schmidt, le capucin, s’imposer dans la vie d’Alfredo. J’ai ressenti une force incroyable, cette force de toujours croire en soi, c’est cette croyance qui nous ouvre les bras du bonheur. Un beau roman pour une belle leçon de vie.
Si j’ai adoré cette lecture, j’aurais souhaité un peu plus de rebondissements autour de ce secret qu’Alfredo garde en lui. (Je ne peux pas en dire plus, sinon j’en dévoilerais trop)
Une histoire à découvrir et surtout… soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris !
Lien : https://www.bouquiner.ch/831..
Tout d’abord, merci à NetGalley et les éditions JC Lattès pour ce service presse !
Quelle belle découverte que ce roman ! Je m’attendais à un livre de développement personnel, un feel-good avec des clés pour « être soi-même », et j’ai découvert une histoire tendre, drôle, émouvante, « barrée » juste comme il faut, profondément humaine.
On suit les aventures d’Alfredo, artiste peintre qui aimerait bien vivre de sa peinture mais qui pour le moment est au pôle emploi et enchaine quelques boulots alimentaires qui ne lui correspondent pas. Alfredo est bien entouré, entre sa grand-mère qui entre dans la maladie d’alzheimer, des parents présents, des amis et… un singe.
Alfredo peint « l’inconscient des animaux à travers leurs rêves » et autant dire que les galeries ne se battent pas pour exposer ses toiles.
J’ai adoré l’humour pince sans rire de l’auteur, les phrases déposées ici et là qui m’ont sans cesse fait sourire, le naturel déconcertant du héros quand il raconte. J’ai adoré les échanges entre le conseiller pôle emploi et Alfredo, vraiment, parce que qui n’a pas rêvé un jour de pouvoir se lâcher comme ça en répondant à des courriers administratifs. En bref, j’ai tout aimé dans ce roman, je l’ai lu d’une traite en une soirée. Et j’ai eu le sourire au lèvres tout du long.
Ce roman est un vrai coup de coeur. Il sort le 30 Janvier 2019 et je le recommande chaudement. L’histoire est prenante, drôle, humaine, fluide, simple et naturelle. Pas de conseils prodigués tout du long avec des « étapes » pour réaliser ses rêves mais on comprend exactement ce qu’il faut comprendre et c’est vraiment parfait !
Lien : https://www.lamarchandedecai..
Quelle belle découverte que ce roman ! Je m’attendais à un livre de développement personnel, un feel-good avec des clés pour « être soi-même », et j’ai découvert une histoire tendre, drôle, émouvante, « barrée » juste comme il faut, profondément humaine.
On suit les aventures d’Alfredo, artiste peintre qui aimerait bien vivre de sa peinture mais qui pour le moment est au pôle emploi et enchaine quelques boulots alimentaires qui ne lui correspondent pas. Alfredo est bien entouré, entre sa grand-mère qui entre dans la maladie d’alzheimer, des parents présents, des amis et… un singe.
Alfredo peint « l’inconscient des animaux à travers leurs rêves » et autant dire que les galeries ne se battent pas pour exposer ses toiles.
J’ai adoré l’humour pince sans rire de l’auteur, les phrases déposées ici et là qui m’ont sans cesse fait sourire, le naturel déconcertant du héros quand il raconte. J’ai adoré les échanges entre le conseiller pôle emploi et Alfredo, vraiment, parce que qui n’a pas rêvé un jour de pouvoir se lâcher comme ça en répondant à des courriers administratifs. En bref, j’ai tout aimé dans ce roman, je l’ai lu d’une traite en une soirée. Et j’ai eu le sourire au lèvres tout du long.
Ce roman est un vrai coup de coeur. Il sort le 30 Janvier 2019 et je le recommande chaudement. L’histoire est prenante, drôle, humaine, fluide, simple et naturelle. Pas de conseils prodigués tout du long avec des « étapes » pour réaliser ses rêves mais on comprend exactement ce qu’il faut comprendre et c’est vraiment parfait !
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Nous voici aux côtés d’Alfrédo qui est en mal de démarrer dans la vie. Il veut devenir artiste peintre mais cumule les petits boulots proposés par Pôle Emploi. Une rencontre va changer sa vie, Schmidt le singe domestique mis à disposition de sa grand-mère qu’il va récupérer. Cela combiné à une rencontre amoureuse aussi passionnée que brève, va lui ouvrir les portes de ses rêves. Mais comment va-t-il gérer cette soudaines notoriété et quelles vont en être les conséquences ?
Schmidt un singe doté d’une intelligence, va bouleverser la vie d’Alfrédo.
Les parents d’Alfrédo sont très présents dans sa vie, ils habitent en face de chez lui. Ils partagent de nombreux moments ensemble. Le lecteur ressent que le regard de sa famille est très importante pour lui.
Je dois reconnaître que la vie de ce personnage ne m’a pas vraiment emballée toute la première partie. En effet, je l’ai trouvé pleurnichard sur sa vie, dans l’apitoiement, sans qu’il fasse en sorte de s’en sortir ; tout en faisant parfois preuve d’arrogance et de dénigrement. L’arrivée d’une providence va le rendre encore plus dépendant des autres. Par contre, dès le départ de Schmidt, là, Alfrédo se prend enfin en main et il m’a captivée. Sa soudaine prise de conscience et ce qu’il va faire de sa vie m’ont beaucoup plu. De plus un certain appel téléphonique à son père a été un tournant dans ma lecture. Il prend ses responsabilité et son destin entre ses mains.
Une lecture rafraîchissante qui met du baume au cœur. L’auteur dans ce livre met en lumière que tous les rêves sont possibles à partir du moment où l’on saisit correctement les occasions qui se présentent. Une plume fluide et de nombreux dialogues rendent la lecture très agréable.
Lien : https://www.facebook.com/les..
Schmidt un singe doté d’une intelligence, va bouleverser la vie d’Alfrédo.
Les parents d’Alfrédo sont très présents dans sa vie, ils habitent en face de chez lui. Ils partagent de nombreux moments ensemble. Le lecteur ressent que le regard de sa famille est très importante pour lui.
Je dois reconnaître que la vie de ce personnage ne m’a pas vraiment emballée toute la première partie. En effet, je l’ai trouvé pleurnichard sur sa vie, dans l’apitoiement, sans qu’il fasse en sorte de s’en sortir ; tout en faisant parfois preuve d’arrogance et de dénigrement. L’arrivée d’une providence va le rendre encore plus dépendant des autres. Par contre, dès le départ de Schmidt, là, Alfrédo se prend enfin en main et il m’a captivée. Sa soudaine prise de conscience et ce qu’il va faire de sa vie m’ont beaucoup plu. De plus un certain appel téléphonique à son père a été un tournant dans ma lecture. Il prend ses responsabilité et son destin entre ses mains.
Une lecture rafraîchissante qui met du baume au cœur. L’auteur dans ce livre met en lumière que tous les rêves sont possibles à partir du moment où l’on saisit correctement les occasions qui se présentent. Une plume fluide et de nombreux dialogues rendent la lecture très agréable.
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Dans ce roman, raconté par Alfredo, nous découvrons son univers : il vit dans un petit studio en face de l'appartement de ses parents. Il est au chômage depuis un moment : il ne fait que de courtes missions, toutes plus invraisemblables les unes que les autres. Avec humour et patience, Alfredo envoie régulièrement des mails à Bertrand Bubard, son conseiller Pôle Emploi pour lui faire part de son insatisfaction. C'est un vrai dialogue de sourd qui s'est instauré entre eux, car Bubard ne lui répond qu'avec des messages automatiques. Cela attise l'agacement d'Alfredo et le motive davantage à percer en tant qu'artiste peintre pour montrer qu'il est capable d'atteindre son objectif. Alfredo passe souvent voir Daisy, sa grand-mère atteinte d'Alzheimer. Celle-ci vit avec un capucin femelle depuis quelques années, Schmidt, qui l'aide dans les tâches de la vie courante. L'état de santé de Daisy est de pire en pire; de ce fait, Alfredo préfère prendre Schmidt chez lui. L'animal apportera du piment et de la gaieté dans sa vie, mais il n'en oublie pas pour autant son objectif. Parviendra-t-il à réussir ?
Les personnages sont uniques et attachants, à commencer par Alfredo. L'homme n'est pas totalement épanoui : il n'arrive pas à vivre de sa passion. Pour autant, il relativise assez bien et prend les choses avec beaucoup d'humour. Cela semble l'aider à avancer et à persévérer. Malgré des déceptions, il ne se laisse pas couler. Un de ses exutoires, ce sont les mails à Bubard. Ce dernier applique les directives de son employeur et propose de vrais emplois à Alfredo, qui désespère à chaque proposition. Les parents d'Alfredo sont aussi un grand soutien pour lui. Présents, ils sont de bons conseils et bienveillants. Malgré son état de santé, Daisy est aussi un repère indispensable pour Alfredo. Elle est très touchante, et on ne peut pas s'empêcher de rire de ses répliques. Et que dire de Schmidt ? Animal de compagnie improbable, terriblement attachant et amusant : je l'ai adorée ! Cette femelle, surprenante et douce, a certainement plus de qualités que certains Hommes.
Dans une joyeuse ambiance, j'ai pris plaisir à lire les frasques d'Alfredo et Schmidt. Le récit est léger, parfois loufoque, mais il a également une touche de sérieux. En effet, son côté développement personnel nous interroge sur la réussite, sur ce que l'on veut faire et être dans la vie. Nous suivons donc le cheminement d'Alfredo plus ou moins difficile : il aura des doutes, des remises en question mais aussi des décisions à prendre, des choix à faire... Cette histoire divertissante m'a fait passer un bon moment de lecture. Émouvant et agréable, ce livre est entraînant grâce à la plume fluide de l'auteur.
Lien : https://leslecturesdangeliqu..
Les personnages sont uniques et attachants, à commencer par Alfredo. L'homme n'est pas totalement épanoui : il n'arrive pas à vivre de sa passion. Pour autant, il relativise assez bien et prend les choses avec beaucoup d'humour. Cela semble l'aider à avancer et à persévérer. Malgré des déceptions, il ne se laisse pas couler. Un de ses exutoires, ce sont les mails à Bubard. Ce dernier applique les directives de son employeur et propose de vrais emplois à Alfredo, qui désespère à chaque proposition. Les parents d'Alfredo sont aussi un grand soutien pour lui. Présents, ils sont de bons conseils et bienveillants. Malgré son état de santé, Daisy est aussi un repère indispensable pour Alfredo. Elle est très touchante, et on ne peut pas s'empêcher de rire de ses répliques. Et que dire de Schmidt ? Animal de compagnie improbable, terriblement attachant et amusant : je l'ai adorée ! Cette femelle, surprenante et douce, a certainement plus de qualités que certains Hommes.
Dans une joyeuse ambiance, j'ai pris plaisir à lire les frasques d'Alfredo et Schmidt. Le récit est léger, parfois loufoque, mais il a également une touche de sérieux. En effet, son côté développement personnel nous interroge sur la réussite, sur ce que l'on veut faire et être dans la vie. Nous suivons donc le cheminement d'Alfredo plus ou moins difficile : il aura des doutes, des remises en question mais aussi des décisions à prendre, des choix à faire... Cette histoire divertissante m'a fait passer un bon moment de lecture. Émouvant et agréable, ce livre est entraînant grâce à la plume fluide de l'auteur.
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Un très bon feel good book qui m'a permis de passer un moment léger et drôle. Les personnages sont originaux et attachants, j'adore l'idée centrale mais je ne peux pas en dire plus, j'aurais peur de spoiler. En conclusion : à découvrir :) !
Quel merveilleuse surprise que ce livre ! Une vraie pépite ! Un roman feel-good intelligent voilà ce qui qualifie ce livre. J'ai adoré me plonger dans les aventures rocambolesques d'Alfredo et sa famille. Mais attention parce que une fois que vous aurez ouvert ce livre, vous ne pourrez plus le lâcher avant de l'avoir fini ! 😊
Lien : https://serial-book-addict.b..
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Intriguée par un résumé qui classe ce roman dans des catégories que je ne lis que très peu, j'ai quand même décidé de me lancer. On part donc à la rencontre d'Afredo , et de sa femme peu conventionnelle . Entre le héros, gentil garçon aux rêves de grandes peintures et de gloire, son père soigneur, sa grand-mère à la mémoire flanchante, et Schmidt le capucin savant de cette dernière , une chose est sûre on ne s'ennuie pas.
Une fois passée la première impression qui fait se demander dans quel monde étrange on a bien pu tomber , j'ai été séduite par des personnages , pleins de candeur, qui touchent et font rire parfois bien malgré eux.
Entre chronique de la vie réelle, déboires "Pôle emploi" incarné par le loufoque "Mr Bubard", conte moderne et amour familial , j'ai passé un bon moment .
Car au delà de la littérature sérieuse, dans un paysage littéraire sérieux et parfois morose, cela fait du bien parfois de tomber sur un roman qui certes n'a pas de profondeur, de thématiques très développées, mais qui permet simplement de passer quelques heures de détente, le sourire aux lèvres. Entre tour de banlieue et zoo, on entre sans problème dans la vie de ces personnages, qui ouvrent bien volontiers leurs portes, avec générosité et facilité.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce petit roman rempli bien le job, et si vous cherchez le feel-good de la rentrée de janvier, arrêtez-vous, vous l'avez trouvé.
Lien : http://livresforfun.overblog..
Une fois passée la première impression qui fait se demander dans quel monde étrange on a bien pu tomber , j'ai été séduite par des personnages , pleins de candeur, qui touchent et font rire parfois bien malgré eux.
Entre chronique de la vie réelle, déboires "Pôle emploi" incarné par le loufoque "Mr Bubard", conte moderne et amour familial , j'ai passé un bon moment .
Car au delà de la littérature sérieuse, dans un paysage littéraire sérieux et parfois morose, cela fait du bien parfois de tomber sur un roman qui certes n'a pas de profondeur, de thématiques très développées, mais qui permet simplement de passer quelques heures de détente, le sourire aux lèvres. Entre tour de banlieue et zoo, on entre sans problème dans la vie de ces personnages, qui ouvrent bien volontiers leurs portes, avec générosité et facilité.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce petit roman rempli bien le job, et si vous cherchez le feel-good de la rentrée de janvier, arrêtez-vous, vous l'avez trouvé.
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En découvrant ce roman j’ai tout d’abord été attirée par le titre, en effet, comment peut-on être à la fois tueur et humaniste ?
Intriguée, je me suis donc laissée tenter par ce livre. On y fait la connaissance de Babinsky, orphelin, qui cherche par-dessus tout à rendre les gens heureux.
Il est également pourvu d’un don très particulier, il sait parfaitement viser et tirer : billes, fléchettes, tir à l’arc, armes à feu… peu importe l’outil utilisé, il visera toujours juste.
Ce don va lui valoir d’être repéré par un professionnel d’un genre spécial, devenant ainsi, un peu par hasard, tueur à gages. Cependant Babinsky a une éthique : avant de tuer sa victime, il cherche à tout prix à la rendre heureuse, qu’elle meurt en pouvant dire « c’est le plus beau jour de ma vie ».
On suit donc la vie de ce personnage, et finalement, malgré son métier, on s’y attache très vite. D’autres personnages viennent agrémenter ce roman, Cyrus le gros (allusion à Cyrus le grand ?), l’homme ayant repéré Babinsky à l’orphelinat, dont les échanges par mail sont tout simplement tordants. Le psychanalyste, Simon Shprinzel, rencontré au hasard de l’annuaire à la suite de l’exécution du premier contrat, où Babinsky éprouvera du remords, et qui devient par la suite un protagoniste majeur, adoptant un ton dépassant la relation médecin-patient.
Mais également tous les personnages à côté, qui constituent une belle mosaïque : Fang, le propriétaire du bistro où va parfois boire Babinsky (et toujours du cognac !), Fabio, le pizzaiolo, et même l’énigmatique Pavel « yougo psychopathe, sans âme et dénué de toute émotion, était le spécialiste attitré des poisons en tout genre dans la profession. »
Babinsky est un personnage attachant et cette volonté de vouloir rendre heureux les gens avant qu'il ne les tue est surprenante et rend le personnage encore plus intéressant ! De plus sa passion pour la philosophie surprend et amuse, j’ai bien aimé ce côté intellectuel « apporte quelque chose au monde, avant d’attendre de lui qu’il te donne tout ce que tu en voudrais » (p 68). Et finalement on se pose cette question essentielle « qu’est-ce que le bonheur au fond ? ».
L’écriture est franche, décalée. L’humour est présent tout au long du roman. L’auteur va directement au cœur du sujet, sans se perdre dans des explications en vrac, rendant la lecture agréable, fluide et directe.
On est très vite plongé au cœur du quotidien de cet étrange personnage, et on ressent l’envie de mieux le connaitre, de devenir son ami.
Ce roman est sans conteste une belle découverte, j’en ai adoré sa lecture. Et pour un premier roman, je salue la virtuosité de l’auteur d’avoir su mener à bien cette histoire au sujet si particulier, en réussissant à rendre un tueur à gages aussi sympathique !
Intriguée, je me suis donc laissée tenter par ce livre. On y fait la connaissance de Babinsky, orphelin, qui cherche par-dessus tout à rendre les gens heureux.
Il est également pourvu d’un don très particulier, il sait parfaitement viser et tirer : billes, fléchettes, tir à l’arc, armes à feu… peu importe l’outil utilisé, il visera toujours juste.
Ce don va lui valoir d’être repéré par un professionnel d’un genre spécial, devenant ainsi, un peu par hasard, tueur à gages. Cependant Babinsky a une éthique : avant de tuer sa victime, il cherche à tout prix à la rendre heureuse, qu’elle meurt en pouvant dire « c’est le plus beau jour de ma vie ».
On suit donc la vie de ce personnage, et finalement, malgré son métier, on s’y attache très vite. D’autres personnages viennent agrémenter ce roman, Cyrus le gros (allusion à Cyrus le grand ?), l’homme ayant repéré Babinsky à l’orphelinat, dont les échanges par mail sont tout simplement tordants. Le psychanalyste, Simon Shprinzel, rencontré au hasard de l’annuaire à la suite de l’exécution du premier contrat, où Babinsky éprouvera du remords, et qui devient par la suite un protagoniste majeur, adoptant un ton dépassant la relation médecin-patient.
Mais également tous les personnages à côté, qui constituent une belle mosaïque : Fang, le propriétaire du bistro où va parfois boire Babinsky (et toujours du cognac !), Fabio, le pizzaiolo, et même l’énigmatique Pavel « yougo psychopathe, sans âme et dénué de toute émotion, était le spécialiste attitré des poisons en tout genre dans la profession. »
Babinsky est un personnage attachant et cette volonté de vouloir rendre heureux les gens avant qu'il ne les tue est surprenante et rend le personnage encore plus intéressant ! De plus sa passion pour la philosophie surprend et amuse, j’ai bien aimé ce côté intellectuel « apporte quelque chose au monde, avant d’attendre de lui qu’il te donne tout ce que tu en voudrais » (p 68). Et finalement on se pose cette question essentielle « qu’est-ce que le bonheur au fond ? ».
L’écriture est franche, décalée. L’humour est présent tout au long du roman. L’auteur va directement au cœur du sujet, sans se perdre dans des explications en vrac, rendant la lecture agréable, fluide et directe.
On est très vite plongé au cœur du quotidien de cet étrange personnage, et on ressent l’envie de mieux le connaitre, de devenir son ami.
Ce roman est sans conteste une belle découverte, j’en ai adoré sa lecture. Et pour un premier roman, je salue la virtuosité de l’auteur d’avoir su mener à bien cette histoire au sujet si particulier, en réussissant à rendre un tueur à gages aussi sympathique !
Un grand merci à Babelio qui me fait déjà confiance lors d'une masse critique pour la seconde fois ! Et merci aux éditions Paul & Mike qui m'ont permis de lire ce livre. J'ai choisi ce livre pour le titre totalement racoleur ! Tout comme le résumé. De plus, la couverture est plutôt jolie et elle me plaît bien, on retrouve les différents éléments qui forment le récit avec Paris, l'arme, l'appartement allumé... Enfin, pour moi, c'est un bon point.
Dès les premières pages, j'ai beaucoup aimé le fait de rentrer dans le vif du sujet, de ne pas s'étendre un peu partout... Et j'ai tout de suite apprécié l'écriture de l'auteur dont ce livre est le premier ! Cette sensation a perduré pendant tout le livre. Cependant, une chose m'a dérangé, en dehors de mon habitude des pavés... Je trouve que le livre est bien trop court, pas assez développé. J'ai aimé voir les différents contrats que devait accomplir Babinsky, j'ai aimé suivre son avancement petit à petit dans sa vie, dans ses lectures, mais pour moi ce n'était pas assez développé, j'en attendais encore plus. Néanmoins, j'ai aimé l'écriture de l'auteur, une écriture simple, directe, courte qui mène directement au vif et qui ne fait pas passer par 4 chemins ! J'ai bien aimé l'emploi des quelques figures de styles que j'ai pu apercevoir, ou encore les dialogues brefs, et très bien menés, qui ne sont pas amenés là pour un rien ! Ils apportent un plus à l'histoire, au personnage... D'ailleurs en parlant de personnage, non seulement j'adore Babinsky, son côté intellectuel, altruiste... Mais aussi le personnage du psy que j'ai trouvé très intéressant ! De ce fait, il n'y a aucun personnage que je n'ai pas aimé. Pour ce qui est de la fin, sans spoiler, pour moi elle est prévisible vis-à-vis du contrat ! Pour ce qui est de la fin complète du roman... Ca m'a touché, c'est un peu prévisible aussi, mais c'est touchant, réellement. J'ai beaucoup aimé le côté s'occuper des autres, altruiste, érudit du roman... (Pourtant après 3 ans de philosophie, je pensais que j'en aurai vraiment ras les pâquerettes !)
Pour moi c'est un premier roman positif, qui mérite d'être lu, parce qu'il nous fait penser à autre chose, parce qu'il permet de se remettre un peu en question, de se demander où est le bonheur et à partir de quand on l'atteint. Cependant, il méritait d'être plus égayé, plus construit, et plus détaillé. J'espère voir d'autres romans que David Zaoui, peut-être un peu plus gros, et en tout cas, je les lirai probablement si on reste dans cette optique d'écriture.
Lien : https://www.facebook.com/Aur..
Dès les premières pages, j'ai beaucoup aimé le fait de rentrer dans le vif du sujet, de ne pas s'étendre un peu partout... Et j'ai tout de suite apprécié l'écriture de l'auteur dont ce livre est le premier ! Cette sensation a perduré pendant tout le livre. Cependant, une chose m'a dérangé, en dehors de mon habitude des pavés... Je trouve que le livre est bien trop court, pas assez développé. J'ai aimé voir les différents contrats que devait accomplir Babinsky, j'ai aimé suivre son avancement petit à petit dans sa vie, dans ses lectures, mais pour moi ce n'était pas assez développé, j'en attendais encore plus. Néanmoins, j'ai aimé l'écriture de l'auteur, une écriture simple, directe, courte qui mène directement au vif et qui ne fait pas passer par 4 chemins ! J'ai bien aimé l'emploi des quelques figures de styles que j'ai pu apercevoir, ou encore les dialogues brefs, et très bien menés, qui ne sont pas amenés là pour un rien ! Ils apportent un plus à l'histoire, au personnage... D'ailleurs en parlant de personnage, non seulement j'adore Babinsky, son côté intellectuel, altruiste... Mais aussi le personnage du psy que j'ai trouvé très intéressant ! De ce fait, il n'y a aucun personnage que je n'ai pas aimé. Pour ce qui est de la fin, sans spoiler, pour moi elle est prévisible vis-à-vis du contrat ! Pour ce qui est de la fin complète du roman... Ca m'a touché, c'est un peu prévisible aussi, mais c'est touchant, réellement. J'ai beaucoup aimé le côté s'occuper des autres, altruiste, érudit du roman... (Pourtant après 3 ans de philosophie, je pensais que j'en aurai vraiment ras les pâquerettes !)
Pour moi c'est un premier roman positif, qui mérite d'être lu, parce qu'il nous fait penser à autre chose, parce qu'il permet de se remettre un peu en question, de se demander où est le bonheur et à partir de quand on l'atteint. Cependant, il méritait d'être plus égayé, plus construit, et plus détaillé. J'espère voir d'autres romans que David Zaoui, peut-être un peu plus gros, et en tout cas, je les lirai probablement si on reste dans cette optique d'écriture.
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