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Critiques de Durian Sukegawa (716)
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Les délices de Tokyo

Une belle parenthèse dans ce monde de brutes où l’on prend le temps d’écouter des haricots livrer leur secret et déployer leur saveur la plus exquise après bien des labeurs. Le secret des haricots se dévoile petit à petit tout comme la vie de cette petite vieille aux doigts tordus qui va tant apporter à notre cuisinier qui cherche à redonner du sens à sa vie.



Une délicieuse lecture douce-amère qui donne envie d’aller se délecter de délicieux mets japonais inconnus et exotiques. Je n’aurais pas cru un jour avoir envie de déguster une douceur sucrée au cœur de pâte de haricots rouges !



Cette transmission intergénérationnelle sur fond dramatique est une douce leçon de vie qu’on savoure page après page. Un délice !

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Les délices de Tokyo

Le temps-presque trop court- de la lecture de ce délicieux roman, je me suis attachée à cette vieille femme japonaise qui, de ses doigts tordus, façonne de petits délices, approchant son visage au plus près pour "écouter la voix des haricots", j'ai été une fois de plus étonnée par ce Japon dont la langue est tellement poétique et dont les coutumes sont déroutantes , j'ai aimé la leçon de vie qui nous est donnée ici.
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Les délices de Tokyo

Ces délices m'ont paru bien insipides !

Si les thèmes pouvaient sembler alléchants (c'est le cas de le dire), au final l'auteur a mis trop de choses dans sa tambouille, trop de bons sentiments, trop de cerisiers en fleurs, trop de vieilles dames hyper gentilles... Et des thèmes tirés par les cheveux, je trouve. Sans compter que la platitude du style nuit grandement à l'ensemble.

Un roman qui a, pour moi, raté son objectif d'émotion mais a plutôt presque frisé la niaiserie.
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Les délices de Tokyo

Résumé membres :

Pour rembourser une dette, Sentarô est devenu vendeur de Dorayakis, des pâtisseries aux haricots rouges, un métier qu'il exerce sans goût ni talent. À plusieurs reprises, une petite vieille dame, Tokue, est venue lui proposer son aide. Malgré ses refus répétés, elle persiste et un jour il finit par lui confier la confection de la pâte de haricots. C'est une révélation. Tokue va lui révéler, non seulement les secrets de sa pâtisserie, mais surtout le sens de la vie. Petit à petit il va découvrir comment et pourquoi elle a été bannie de la société. La clientèle afflue, jusqu'au jour où le secret de Tokue est révélé...



Roman bien écrit, plein de subtilité. Une belle relation entre Sentaro et Tokue.

Le jeune homme va apprendre beaucoup, et en particulier sur le sens de la vie.

Un petit bijou.
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Les délices de Tokyo

A Tokyo, il y a une petite boutique qui vend des dorayakis : Dohararu. Ces petits pancakes fourrés à la pâte de haricots sont préparés quotidiennement par Sentaro. Le jour où il rencontre une vieille dame qui confectionne une merveilleuse pâte de haricots, il espère qu'elle peut lui permettre de rembourser sa dette plus rapidement.



Cette histoire offre aux lecteurs l'occasion de développer son empathie en comprenant mieux la solitude des personnes âgées. Elle entremêle délicatement cuisine et sentiment tout en parlant d'une belle amitié entre deux personnes de générations différentes.



J'ai souvent vu ce livre mis en valeur dans les libraires. Même si certains moments m'ont semblé longs, le livre délivre un beau message qui m'a donné une bouffée de tendresse envers mes grands-mères. Alors, je suis contente de l'avoir lu.
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Les délices de Tokyo

Vous aimez la cuisine japonaise, vous aimez les histoires d'amitié, vous aimez la douce tranquillité qui se dégage très souvent des récits de ces auteurs asiatiques qui semble t-il savoure chaque petit détail anodin de la vie.

Vous aimerez comme quoi Les délices de Tokyo où l'on suit Sentarô, jeune homme un peu perdu, embauché comme employé d'une échoppe de dorayaki. Les dorayaki pour les non-initiés ce sont des sortes de petits crêpes épaisses fourrées à la pâte de haricots sucrée. Bref un délice à la lecture ça met l'eau à la bouche. Un brin désabusé Sentarô assume son boulot pour payer une ancienne dette. Jusqu'au jour où débarque dans sa vie une vieille femme, Tokue Yoshii, qui semble parler aux haricots asuki. Elle lui apprend les ficelles de la pâtisserie et bien d'autres choses sur une autre façon d'appréhender la vie. Car elle cache elle aussi un lourd passé.

Tout en douceur et en tendresse pour ses personnages, l'auteur décrit deux époques du Japon et un phénomène peu connu mais important et assez dur dans tout ce qu'il implique.

Un livre frais qui donne le sourire et accroche un fil de mélancolie au coin des lèvres comme seuls savent le faire les auteurs talentueux d'histoire de vies.
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Les délices de Tokyo

Dans une capitale japonaise aussi moderne qu'intemporelle, une petite échoppe de dorayaki, des pâtisseries traditionnelles à la pâte de haricots rouges, périclite.

La faute à Sentarô, un cuistot plus porté sur le saké que sur l'excellence. Arrive une vieille dame étrange, Tokue, qui a préparé cette pâte toute sa vie et qui va apporter son immense savoir-faire.



Mais elle cache un secret qui la fera disparaître des fourneaux.



Amateur de cuisine sucrée, de découvertes et à quelques mois de partir au Japon, j'aurais tant voulu apprécier les Délices de Tokyo. Mais malgré une évidente poésie et un propos positif et touchant, je dois quand même confesser m'être trop souvent ennuyé pendant le déroulement du récit. Cela dit, ma curiosité est éveillée et que je suis désormais en chasse de dorayaki: il faut que j'essaie !
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Les délices de Tokyo

Un savoureux moment de lecture qui me donne terriblement envie de goûter aux dorayaki (si vous ne connaissez pas, il faut visualiser une sorte de macaron, mais avec des pancakes à la place du biscuit et de la pâte de haricots rouges à la place de la crème). Ils sont vendus dans une échoppe tenu par un jeune garçon, Sentarô, un peu triste et déprimé. Il est obligé d’y travailler après un passé compliqué, afin de rembourser ses dettes auprès du propriétaire.



Un jour, il fait la rencontre d’une mystérieuse dame, Tokue Yoshii, aux mains visiblement abîmées, qui exprime avec persévérance plusieurs jours d’affilé son envie de confectionner des dorayaki avec Sentarô.



De là, commence une belle aventure entre ses deux personnages très attachants. On se régale, surtout pendant la première partie où la popularité de l’échoppe grimpe en flèche auprès des collégiennes qui s’y rendent régulièrement. Puis, on part également à la découverte du lourd passé de Tokue.



C’est une sorte de fable douce et légère au départ, puis l’histoire prend une tournure plus profonde et sérieuse, et c’est surprenant, un peu comme les nouvelles variétés de dorayaki que confectionnera Sentarô vers la fin du récit...

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Les délices de Tokyo

Depuis le temps que j'entendais parler de ce petit roman, c'est enfin chose faîte, je l'ai lu !



Ce roman semble n'être que douceur mais comme souvent dans la littérature japonaise derrière cette douceur se cache beaucoup de noirceur et de critiques.



J'ai adoré suivre le quotidien de cet homme dont le métier ne le passionne pas et qui découvre petit à petit les coulisses et secrets de la pâtisserie grâce à une vieille dame. Cette vieille dame est très touchante de par sa volonté d'aider ce jeune homme, de parler aux jeunes filles venant à la petite échoppe. Elle avait contracté la lèpre et était guéri pourtant les gens continuent de la regarder, de vouloir l'éviter et de la mettre au ban de la société comme elle le fut pendant quasiment toute sa vie. Il est triste de voir comment le gouvernement a traité les gens atteint de la lèpre, les a arraché à leur foyer, à leurs familles sans qu'ils ne puissent jamais les revoir. C'est très impressionnant surtout quand on voit l'époque où les camps d'internement ont été enfin fermés.



Les scènes de confection de pâtisseries sont très agréables à lire, très poétiques. J'ai beaucoup aimé la relation entre la vieille dame et le jeune homme, la façon dont ils se confient peu à peu l'un à l'autre avec beaucoup de pudeur.



Petit bémol concernant la fin où je me serais bien vu lire encore plusieurs pages.


Lien : https://labullederealita.wor..
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Les délices de Tokyo

Joli petit conte, cette histoire de pâte de haricots.



Le boulanger Sentarô profitant honteusement du secret de la vieille Tokue Yoshii, augmente ses ventes mais fait face à un dilemme en apprenant qu'ancienne lépreuse, elle va faire fuir toute sa clientèle.

Et qui va garder le petit oiseau à l'aile cassée?



Ah la bonne recette! Un petit peu de culinaire à la Ito Ogawa, des petits oiseaux à la ...Ito Ogawa, léproserie à la Victoria Hislop, mais j'ai trouvé que cette soupe manquait un peu de saveur.

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Les délices de Tokyo

Alors que Sentarô, tenant une boutique de dorayakis, pâtisserie japonaise, ne pense qu'à rembourser sa dette au gérant et partir, il rencontre Tokue.

Tokue est âgée et a, depuis toujours, préparé la pâte de haricots qui fourre ces pâtisseries. D'ailleurs, elle écoute les haricots, c'est là son secret. Sentarô décide alors de l'embaucher, il remboursera encore plus vite.



C'est l'histoire d'une rencontre, qui changera les perceptions. Tokue et Sentarô se ressemblent. Ils ont tous les deux des secrets, un lourd passé.

Nous participons au voyage des sens des personnages, à leur vie douce amère au fil des saisons symbolisé par le cerisier près de la boutique.

L'auteur nous montre de façon très poétique que la vie est fugace comme un pétale de fleur de cerisier et qu'il faut savoir voir de l'avant, ne rien regretter et surtout croire en soi.

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L'enfant et l'oiseau

Voici mon retour de lecture sur L'Enfant et l'Oiseau de Durian Sukegawa.

Johnson, tombé du nid, est le seul survivant de sa fratrie.

A bout de forces, le jeune corbeau est recueilli par Ritsuko, femme de ménage et mère célibataire, qui décide de le ramener chez elle au mépris de l'interdiction d'héberger des animaux dans son immeuble.

Bien lui en prend, car son fils adolescent, Yôichi, se passionne pour l'oiseau qu'il entoure de mille soins.

Un jour, le gardien fait irruption chez eux et Johnson, que Yoîchi avait caché sur le balcon, s'envole.

C'est le début pour lui d'une longue errance. Il sait qu'il ne peut retourner auprès de son ami et cherche à survivre dans une ville hostile. Une rencontre va lui sauver la vie..

L'Enfant et l'Oiseau est le second roman que je lis cet auteur. Ayant adoré Les délices de Tokyo, j'avais hâte de lire celui-ci.

Le principal est un corbeau, Johnson. On le découvre dès ses débuts dans le nid, en compagnie de sa fratrie. Il va être le seul survivant alors qu'il n'est pourtant pas le plus vaillant.

Johnson va faire un tour parmi les humains.

Alors que les animaux sont interdits dans l'immeuble HLM où ils habitent (surtout les corbeaux, considérés comme nuisibles), Ritsuko ramène l'oiseau chez elle. Son fils Yôichi est un ado turbulent, que rien ne passionne. Pourtant, il va se prendre d'affection pour le corbeau dont il va s'occuper du mieux possible. Cela lui fait du bien de s'inquiéter pour l'animal, espérant qu'il va s'en sortir car il est bien faible.

Malheureusement, Johnson ne pourra pas rester bien longtemps avec eux car en reprenant des forces il fait du bruit.

Il est intéressant de suivre principalement le corbeau, ses difficultés pour survivre dans une ville hostile à cet animal.

J'ai aimé découvrir ce qu'il ressent quand il aperçoit "ses" humains dont nous avons quelques nouvelles ici et là.

Je comprends que les corbeaux fassent des dégâts au Japon et qu'ils soient mal supportés en ville.

Toutefois, les solutions apportées par les humains sont cruelles. Les pièges tuent les oiseaux, éradiquent leurs nids alors qu'ils n'ont rien demandés !

Ils sont considérés comme des animaux sales et porteurs de maladie qui font peur. Pourtant, les morsures de chien ou les piqures de moustique sont au final plus dangereux, comme le souligne à un moment un des personnages.

J'ai été touché par certains passages car je suis mise à la place de ce corbeau. Par moment c'est insoutenable d'imaginer ce qu'il a pu ressentir. Je ne supporte pas les cruautés envers les animaux du coup j'ai eu parfois un peu de mal à lire ce roman.

Je n'ai pas été totalement convaincue par la fin, totalement différente de ce que j'imaginais.

Par contre, j'ai aimé l'ambiance très particulière, très japonaise, qui se dégage de cette lecture. On sent une tension dès le début, qui s'accentue au fur et à mesure que les pages se tournent.

Je garderais un souvenir mitigé de L'enfant et l'oiseau car même si j'ai aimé une grande partie, je n'ai pas accroché au dénouement. J'ai été un peu déçue.

Ma note : 3.5 étoiles.
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Les délices de Tokyo

Un livre délicieux qu’on savoure tranquillement avec gourmandise tout comme les « dorayaki », ces friandises fourrées de pâte de haricots rouges, le « An », qui se trouve être au coeur du récit.



Trois personnages principaux, trois générations, qui malgré tout se complètent et vont créer entre elles un lien indestructible.

Sentarô, la quarantaine, déjà fatigué et désabusé, est responsable d’un magasin de rue proposant ces pâtisseries traditionnelles japonaises. Il y travaille par la force des choses, sans conviction, utilisant des produits industriels. On apprend qu’il a fait de la prison et doit solder une dette antérieure.

Tokue, une septuagénaire mystérieuse aux doigts étrangement déformés, possède des dons inégalés pour la pâtisserie, en particulier pour la confection des « dorayaki ». Elle y met toute son âme et elle offre ses talents à Sentarô qui l’embauche.

Wakana, une lycéenne un peu esseulée et mélancolique, fait partie de la clientèle. Elle se lie d’amitié avec les deux adultes tout en les aidant à la boutique.



Comme une ode à la cuisine traditionnelle japonaise l’auteur nous décrit avec minutie l’art et la manière de fabriquer avec « amour » les « dorayaki » . Il nous révèle généreusement des secrets culinaires. Mais en même temps, il nous offre un récit philosophique plein d’empathie et de beaux sentiments.

J’ai aimé l’atmosphère feutrée de ce roman, son rythme lent et paisible, la douceur et la poésie de l’écriture. On ferme les yeux et l’on déguste de loin les saveurs particulières des crêpes et de la pâte de haricots, on en sent presque l’odeur de cuisson légèrement sucrée. Et puis, pour le plaisir des yeux, on imagine les cerisiers japonais qui marquent les saisons.



Gastronomie, transmission, amitié, générosité, don de soi mais aussi vieillesse, maladie, handicap, isolement, intolérance, injustice… tels sont les thèmes abordés avec subtilité et sensibilité par l’auteur.

Durian Sukegawa, est à la fois diplômé de philosophie et de l’Ecole de pâtisserie du Japon. Ce roman touchant, écrit avec douceur, délicatesse et poésie est le reflet de ses multiples compétences et qualités.

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Les délices de Tokyo

On avait innocemment cru qu'il s'agissait d'un roman culinaire, une sorte de Festin de Babette à la japonaise, ou bien une histoire autour des mets les plus raffinés du pays du soleil levant. Alors, oui, ça parle de la confection d'une pâtisserie japonaise, les dorayaki, mais au delà de cela, c'est une extraordinaire histoire de respect et d'amitié entre des personnages éloignés en presque tout. Age, vécu, situation sociale, relation avec le quotidien, rien n'aurait pu les rapprocher, à part finalement les fameux dorayaki. Car préparer la pâte de haricots dont ils sont faits, c'est tout un programme, et c'est surtout un véritable acte de liberté. Pour échapper à la maladie, aux haies de houx et au confinement, pour oublier la prison, la honte et la redevance, et finalement pour fuir un mal être et une jeunesse triste et désabusée. Une leçon de vie, tout compte fait plutôt optimiste, à lire sans modération, avec un thé et une pancake à la pâte de haricots à portée de main.
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Les délices de Tokyo

Nous sommes à Tokyo dans une boutique traditionnelle qui fabrique et vend des dorayakis, des gâteaux sucrés fourrés à la pâte de haricots. Sentarô s’occupe seul de cette boutique jusqu’au jour où une vieille dame Tokue lui demande de l’embaucher. D’abord réticent, il comprend qu’elle va lui amener son magnifique savoir faire pour fabriquer la pâte de haricots. Nait alors une relation humaine forte tout en pudeur, à la japonaise. On découvre le passé de chaque protagoniste, leurs souffrances, leurs espoirs, leurs visions de la vie… Très beau livre adapté au cinéma de belle manière par Naomi Kawase. Lecture et visionage à recommander !

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Les délices de Tokyo

Une jolie histoire pleine de poésie dans cet univers japonais très respectueux Tokue saura faire entendre sa philosophie d'écoute auprès de Santaro entre autres.

Un livre au rythme lent...de l'empathie, de la bienveillance et du respect comme on aimerait que l'humanité en ait toujours.
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Les délices de Tokyo

Finalement, l'intérêt du train, c'est son retard. Hier donc, le trajet qui prend habituellement deux heures m'a pris quatre heures et demie. Et m'a laissé le temps du voyage à Tokyo: je reconnais le record de vitesse.

Sentarô tient une échoppe de dorayaki, une pâtisserie traditionnelle à base de haricots rouges. Pas vraiment passionné, Sentarô se contente d'assembler des ingrédients. Il embauche, à sa demande insistante une vielle femme, Tokue, qui se révèle cuisinière hors pair. Mais bien sûr, l'un et l'autre ont un secret, l'un et l'autre ne sont pas exactement ce qu'ils semblent.

Un joli récit, un peu doucereux , un peu mélancolique, tendre et gourmand. Agréable à lire en tout cas.
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Les délices de Tokyo

Quelle belle histoire, toute pleine de finesse, d'émotion et de poésie.

Une histoire qui donne du sens à la vie, de l'espoir.

En plus , j'ai découvert l'univers des pâtisseries japonaises....j'irais presque acheter des haricots azukis pour tenter une pâte😉

Et j'ai découvert la sordide destinée des lépreux du Japon

Vraiment un très beau livre qui s'avale et se hume en un rien de temps.....de fleurs de cerisiers....
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Les délices de Tokyo

Un roman doux-amer à propos d’un jeune homme qui ouvre une pâtisserie de Dorayaki, et qui rencontre le succès grâce à une petite mamie venu lui partager l’amour des produits, qui entraîne la magie de la consommation. De la transmission entre générations, de l’accomplissement de soi, du retour à l’essentiel.
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Les délices de Tokyo

« Les délices de Tokyo » est un pur régal. Un gros coup de cœur pour cette histoire qui éveille les sens, sous la plume délicate de Durian Sukegawa. Un roman subtil et gracieux, au rythme paisible si typique de la littérature japonaise, à la lisière de la poésie gustative. Attention, en le lisant, vous prenez le risque d’entendre les borborygmes de votre estomac qui vous déclarera son envie de dorayaki…



Durian Sukegawa nous conte l’histoire de Sentarô, vendeur de dorayaki, ancien taulard, qui vend ses pâtisseries japonaises pour éponger ses dettes, plus que par plaisir. Sans amour particulier pour ce délice sucré, il succombe à la facilité de fabrication : la pâte de haricots rouges industrielle. Cependant, sa rencontre avec Tokue va changer sa vie et surtout la fabrication de cette fameuse pâte de an que la vieille dame souhaite lui transmettre. Au-delà de ce nouveau savoir, cette énigmatique vieille dame lui transmettra bien d’autres mystères. Des révélations qui changeront le cours des évènements.



Un délice littéraire à n’en pas douter et à ne pas manquer !

(cf recette de la pâte de an sur mon blog !)
Lien : https://avoslivreschroniques..
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