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Critiques de Fanie Demeule (44)
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Bagels

Bagels, c'est un tout petit livre, de toutes petites parcelles de la vie de l'autrice. C'est toutes les personnes proches d'elle qui, par de petits gestes, l'ont aidée à surmonter son trouble alimentaire. Et c'est rempli d'espoir. §

Je n'avais jamais lu de Fanie Demeule avant de me plonger dans ce court roman, mais j'ai été complètement charmée par sa plume. Et maintenant, j'ai juste envie de lire tout son répertoire tellement j'ai trouvé belle sa façon d'expliquer les choses.

Et que dire des illustrations d'Amélie Dubois qui parsèment les pages de manière si douce.

Vraiment, si vous n'avez pas lu ce petit chef d'oeuvre, il faut vous y plonger!
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Bagels

C’est la première fois que j’ai l’honneur de lire la plume de Fanie Demeule. Ce petit roman illustré fragmenté en douze petites histoires aborde les troubles alimentaires et leurs effets néfastes sur la santé mentale. Chacun des bagels représente sa sortie hebdomadaire chez la psychologue et le rituel la suivant, avec son papa. Un livre tout en finesse, illustré par Amélie Dubois , qu’on doit savourer lentement, pour en apprécier chacune des saveurs.
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Condoléances

Je sais que je le mentionne souvent, mais que voulez-vous… j’adore lire des recueils de nouvelles. Cela me permet de découvrir de nouvelles plumes ou bien de redécouvrir mes auteurs favoris sous un angle différent.



Le sujet peut paraître bien sombre en regardant le titre de ce recueil. Ce n’est jamais aisé de parler de la mort. Et cela est d’autant plus difficile en ce temps de pandémie. Certains redouteront de lire ces nouvelles, mais je tiens à préciser que je n’ai aucunement senti de lourdeur au cours de cette lecture. Voici deux nouvelles qui ont retenu mon attention :



Tourlou! de Rosalie Roy-Boucher

J’ai découvert la plume de cette auteure en lisant le recueil D’autres mondes. Cette fois-ci, l’auteure a réussi à me sourire en créant deux protagonistes attachants. Mademoiselle Désilets doit aider Raynald Tremblay. Effectivement, ce dernier voudrait que ses funérailles sortent de l’ordinaire. Plus d’une fois, je me suis retrouvée à sourire en lisant cette nouvelle. La fin est tout simplement parfaite et le tout est abordé avec délicatesse malgré les brins d’humour qui parsèment le texte.



S’en tenir au texte de David Goudreault

Depuis le temps où l’on parle de cet auteur, il était plus que temps que je découvre sa plume. Et ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais! C’est la deuxième nouvelle du recueil et je dois avouer que j’ai ressenti quelques frissons face à la violence que j’y ai retrouvée. Il est vrai qu’il m’en faut peu car je suis une grande froussarde, mais en lisant ces quelques pages, je me suis demandée jusqu’où l’auteur pouvait aller en écrivant un roman. Cette nouvelle est très sombre et le héros est vraiment machiavélique. Chose certaine, ma curiosité est piquée. Il va falloir que je découvre les romans de cet auteur.



J’ai vraiment apprécié ce petit recueil. Certaines nouvelles sont touchantes, alors que d’autres m’ont fait sourire. Il y en a vraiment pour tous les goûts. J’y ai fait de bien belles découvertes.


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Déterrer les os

J'ai rapporté du Québec ce bouquin sans trop savoir de quoi il retournait. Il n'y a pas de quatrième de couverture à lire, puisqu'il n'y a rien au dos, hormis cette phrase :

"Quand est-ce qu'on sait quand c'est fini?"

Impossible donc de se faire une idée avant lecture. Tellement évident lorsqu'on referme le livre!

Et justement, comment en parler?

Mettons qu'il s'agit d'une sorte de huis clos entre la narratrice et elle-même, entre elle et son corps, ce tricot de chair trop large, ce poids trop lourd à porter, cette mue dont il faut se débarrasser.

Ce court roman traite de l'anorexie mais sans jugement de valeur ni misérabilisme. Il ne se veut pas non plus un décrypteur du mécanisme bien que l'on glisse avec la narratrice vers cette maladie.

Il ne s'agit pourtant pas d'un cauchemar. Du moins il n'est pas là on le croit.

Le sujet est ici amené comme une limonade sans eau, ni sucre.

Et cette acidité on la retrouve dans l'écriture. La plume est incisive, mais pas corrosive. Elle percute mais ne brise pas. Définitivement, elle tranche dans le lard.

Et surtout, elle est éminemment poétique.
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Déterrer les os

J'ai eu de la difficulté plonger dans le roman. Le style épuré de l'auteure, remarquable par ses tout petits paragraphes, ne me donnait pas l'impression qu'on me racontait quelque chose, mais plutôt qu'on me jetait des faits divers sur sa vie de jeune fille prise dans ses troubles alimentaires. Le roman fesse à quelques endroits lorsqu'il est question de son principal tourment, mais les autres passages sont très survolés. Le style de l'auteure n'est pas assez poignant pour me rassasier en résumant un fait en une phrase , en un paragraphe.



Cependant je recommande la lecture à celles et ceux faisant face à un trouble alimentaire. Il est bon de lire nos maux dans les mots d'autrui. Je crois que l'identification peut mener à une appréciation significative.
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Déterrer les os

Un sujet délicat comme les pulpes d'un pamplemousse amer. J'ai adoré la fin!
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Déterrer les os

Ce livre est un roman angoissant et oppressant.

Nous suivons la vie de la narratrice inconnue (autofiction?) dès sa tendre enfance jusqu'à sa vie adulte.

Nous parcourons certaines étapes charnières de sa vie et certains moments particulièrement importants de manière positive ou négative.

C'est à travers sa relation avec la nourriture, avec son corps, avec les hommes et avec sa famille et amis que nous allons comprendre comment elle a sombré dans son trouble alimentaire et psychologique.



C'est puissant et bouleversant.
Lien : https://youtu.be/QhAH6pCmvqk
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Déterrer les os

Une histoire qui fesse du début à la fin. Une histoire dans laquelle je me suis retrouvée à plusieurs instants, aussi. Je tuerais pour le talent de Fanie Demeule, mais je suis bien trop sage pour ça.
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Déterrer les os

Dans un style minimaliste (texte fragmenté, phrases courtes,chapitres encore plus courts) l'auteur aborde de manière originale le problème des troubles alimentaires, de l'enfer de la haine du corps et arrive avec succès à nous faire entrer dans la tête d'une jeune anorexique.
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Épidermes

Le commentaire de Martine :



Quatorze écrits qui sont vivants, qui nous relatent des événements reliés à des sentiments, à des émotions, à des rencontres, à des besoins, à des souvenirs, à des moments remplis d’imagination que les auteurs partagent avec le lecteur.

Un recueil qui s’imprègne dans la peau, qui démontre différentes façons de démystifier et de manipuler la peau. On y retrouve des poèmes, de courts textes, des nouvelles qui se démarquent par des récits réalistes, oniriques et imaginatifs. C'est une belle lecture, l’ensemble des écrits est bien rythmé et maintenu du début jusqu’à la fin.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
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Highlands

Tout d'abord, je remercie Babelio pour ce deuxième Service-Presse ainsi que l'édition qui l'as permis, Québec Amérique. Merci aussi à Fanie Demeule qui a écris ce roman et qui a pu me le faire découvert en l'écrivant.Une première pour eux et pour l'instant j'ai reçu dans les jours promis, alors espérons que ça continue, un gros merci. Je n’ai pas tout compris de ce livre, mais le peu que j’ai lu m’a laissée attristé. Ce n’est pas le genre que je lis habituellement, je ne dirais pas que je n’ai pas aimé car j’ai apprécié en général mais je n’ai pas tout compris ou pense n’avoir pas tout compris. La mère d’après ce que j’ai pu suivre n’est pas une vraie mère, sa façon d’agir est assez frustrante. J'ai adoré la plume très facile à suivre malgré les bouts anglais parce que je me débrouille, mais je suis pas une bilingue. Les descriptions des paysages on s'y croyait, j'avais l'impression de rouler et de voir des champs et quand ils ont fait la randonnée wow le paysage que je me suis fais. Puis parlons de la couverture, vraiment très belle sans aucun doute. Je le conseille aux gens qui veulent découvrir des coins de pays de l'écosse et si vous aimez les romans courts ça se lit bien. Je fais une fixation la couverture est trop belle alors acheter-le juste pour ça mdr.
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Highlands

Comme toujours, Fanie nous donne froid dans le dos avec son écriture hors du commun.  Ici nous accompagnons les protagonistes en Écosse, dans les montagnes et les paysages glacés très bien décrits.  Trois femmes voyageuses qui ne se connaissent pas, qui font face à leurs spectres et leurs peurs.
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Highlands

Bon, je dois avouer que c'était parti pour être un bon gros coup de coeur mais qu'au fil des pages, c'est devenu de plus en plus flou. La structure est intéressante, on a trois points de vue différents, trois femmes dont les problèmes et les doutes les poussent en Écosse, plus précisément dans les Highlands, et qui vont s'y débattre avant d'obtenir des réponses.



Les paysages à couper le souffle sont admirablement retranscris, c'est le point fort de ce court roman. Ça, les dialectes, périples et autres folklores minutieusement rapportés par l'auteur qui connait visiblement très bien cette région et passe de l'anglais au français avec facilité.



Mon principal problème vient du changement de point de vue. Le livre est court, les chapitres brefs et chaque changement de pov arrive trop vite à mon goût, au point de nous laisser dans la frustration et le manque d'information.



Dommage, toute la première partie est passionnante, on tourne les pages à toute vitesse, on dévore les passages qui mettent la nature au premier plan, on s'interroge sur ce qui lie (forcément) ces trois femmes, leurs secrets, leur mystère, les moments d'ombre et de lumière qui se succèdent, l'instant où leurs destins vont entrer en collision... Et puis, ça retombe. Le voile se lève et je suis restée un peu dubitative. J'ignore si ça vient des réponses apportées ou de la manière dont elles sont présentées. J'avoue que je suis passée à côté de la portée du message. Certains actes m'ont parus incompréhensibles, certaines personnalités trop complexes. Le mélange de réel et d'iréel – quoique subtil – n'a pas aidé.



L'autre problème vient aussi de l'intrigue ou plutôt des intrigues et des personnages dont j'avoue n'avoir pas saisi toutes les motivations. Sans parler de la fin qui m'a laissée sceptique.



Pour conclure, ça reste une belle lecture, écrite dans un style magnifique, qui ravira les amoureux de l'Écosse qui veulent en apprendre plus. Mais attendez-vous à une histoire sombre et complexe assez inattendue.
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Highlands

Roman court que je n'ai pu lâcher. Ce fût une lecture perturbante par moment, sombre à d'autres et lumineuse quand je ne m'y attendais pas.



Seul petit bémol, je ne suis sûre d'avoir bien compris le sens de l'histoire. En refermant le livre, je reste dans le flou. Tout le contraire des sentiments forts que cette lecture a éveillé en moi. Je pense que c'est le genre de récit que l'on lit et relit au court de sa vie et qui nous font à chaque poser de nouvelles questions, découvrir de nouvelles choses. Sur nous principalement, mais aussi sur la vie.
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Highlands

Chaque chronique que j’écris est un peu comme si je dévoilais la personne que je suis. Mes goûts, mes attentes, mes appréciations. J’aime sortir de ma zone de confort et chaque fois que je lis un roman ou un recueil de nouvelles de La Shop, j’explore un peu plus.



En lisant Highlands, j’ai vraiment eu l’impression de partir en voyage sur une terre que je ne connaissais pas du tout. L’auteure sait nous faire voyager via les mots et ce fut un élément que j’ai grandement apprécié.



La structure du roman est intéressante. Elle est scindée bien évidemment via les trois femmes, mais également via les villes de ce pays. Cela ajoute un élément très intéressant puisque j’ai pu découvrir les us et coutumes de l’Écosse. La description de ces montagnes m’a grandement charmée.



Un autre élément que j’ai apprécié au cours de cette lecture, c’est l’authenticité qu’on y retrouve. L’auteure joue entre le français, l’anglais et les dialectes que l’on retrouve en Écosse. C’est singulier et j’ai trouvé que cela démontre une grande marque de respect.



Le principal bémol quant à moi vient essentiellement des personnages. Je n’ai pas réussi à bien saisir leurs personnalités. L’aura de mystère qui les entoure est dense et le fait que le roman soit si court, ne permet pas d’aller en profondeur. Certaines scènes m’ont laissé perplexes et je n’ai pas tout saisi.



Dans l’ensemble, ce fut une jolie découverte des Highlands et j’ai apprécié la plume de cette auteure. Il manquait un petit quelque chose pour que je sois totalement charmée, mais je dois avouer que ce roman m’a complètement sortie de ma zone de confort!
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Highlands

Ce livre s’est glissé dans ma liste d’envies sur recommandation de Stéphane Dompierre dans un podcast Radio Canada. Je m’y suis plongée sans chercher à en savoir plus et j’ai été profondément surprise de la direction prise par l’ouvrage. L’écriture est limpide et poétique, on se sent profondément attachés aux personnages et les événements nous émeuvent. L’élément fantastique s’insinue doucement et reste une interrogation jusqu’au bout du récit (répondant ainsi parfaitement aux exigences du genre: « le fantastique se distingue du merveilleux par l'hésitation qu'il produit entre le surnaturel et le naturel, le possible ou l'impossible et parfois entre le logique et l'illogique »). J’ai été touchée, émue et dérangée par cette lecture. Je suis certaine que cette sensation continuera à m’habiter et à contribuer à ma réflexion. Une autrice intéressante dont je vais vais certainement continuer à explorer l’univers.
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Highlands

J'ai découvert ce roman de Fanie Demeule grâce à une opération Masse Critique Québec de Babélio et je ne peux que remercier l'équipe Babelio pour cette découverte !

De toute évidence, ce n'est pas un livre ni une autrice vers lesquels je me serais tournée sans cette opération et pourtant j'ai passé un moment de lecture particulièrement intense et plutôt déstabilisant.



L'autrice m'a donnée l'impression de ne pas vouloir se conformer à des règles convenues tout en usant d'un style d'écriture très maîtrisé.



Je serai bien en peine de faire un résumé de ce livre sans recopier tout simplement la 4e de couverture, c'est donc vers celle-ci que je vous oriente si vous voulez en connaître davantage sur l'histoire.



Je vais donc me concentrer sur mes sentiments suite à la lecture de ce livre.

Le premier mot qui m'est venu à l'esprit en tournant la dernière page est "insaisissable": depuis lors, il me hante, m'obsède, voire me dérange... mais tout cela dans un sens bizzarement positif !



Ce roman est à la fois très ancré dans la réalité tout en mêlant des aspects de science-fiction de façon particulièrement habile. Ce mélange si bien géré ne me permet pas de démêler le vrai du faux, ou plutôt le réel de l'irréel.



Ce flou ponctué de moments très sombres et d'autres plus heureux et tendres, m'a inspiré parfois de la peur, ou de la tristesse, comme à d'autres moments des envies de voyage et de découvertes.

Le final est, quant à lui, à la fois horrible et magnifique, en somme à l'image de l'entièreté du livre.



Il me faudrait donc une lente relecture pour saisir toutes les subtilités de ce roman et pouvoir l'apprécier à sa juste valeur.

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Je suis celle qui veut sauver sa peau

Le commentaire de Martine :

Au fil des quinze nouvelles, Fanie Demeule analyse et examine tous les recoins de la peau. Celle que l'on veut sauver, celle qui meurt, celle qui souffre, celle que l'on brutalise, celle qui transmute, etc. Elle nous raconte des histoires qui mettent en scène beaucoup de souffrance, elle comporte la vie et la mort, elle en parle honnêtement, sincèrement et de façon réaliste. Pour certains, on pourrait dire que ce sont des histoires horrifiques, mais moi, je pense que cela amène une consistance intéressante des récits qui pourraient entrer dans l'univers des cauchemars ou bien des histoires d'esprits tordus.

J'ai adoré ma lecture, c'est un recueil qui m'a fait passer un agréable moment de lecture, pour moi, qui aime les histoires qui font peur, qui épouvantent, qui ébranle et surtout qui font réfléchir. C'est tout ce que m'ont offert ces quinze nouvelles, c'est pourquoi, je dis que c'est un voyage extraordinaire dans l'imaginaire glauque de Fanie Demeule.
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Monstres et fantômes

Je ne sais pas ce qu'elle a trouvé dans ce livre mais je crois que Chantal Guy du journal La Presse à surévalué les talents des dites auteures. Comme très souvent au Québec, on prône les bonnes critiques partout, c'est rare que des journalistes ce mouille sur les oeuvres. Moi, depuis je remarque une certaine constance, vous vous demandez sûrement laquelle. Eh bien ! Les Québécois n'aiment pas l'horreur, la vraie celle qui donne des cauchemars et des nuits blanches. Non, nous c'est la version pour enfant malgré des sujets très adultes. Je viens de terminé, cet ouvrage où je me suis ennuyé un autre constance. Il y a sûrement deux nouvelles qui peuvent se définir dans le titre soit: celle de Le poids et St Kilda. Le reste, on a parle pas tellement il n'y avait rien d'intéressant ni de marquant. Pour le poids cela ma rappeler les documentaires sur les fantôme que j'ai lu tel que Ces fantômes qui hantent notre monde de Diane Canwell et pour St Kilda on dirait une sorte de mélange entre la créature du Mothman ou La prophétie des ombres de John A. Keel et le film de Jeepers Creepers sorite en 2001 avec l'acteur Justin Long. Là vous aller me dire, mais il n'aime pas les femmes qui écrivent de l'horreur ma pareil. Erreur sur toute la ligne mes amis, il y a pas plus qu'on le croit en voici quelques exemples pour ceux en manquent d'idées: Jeanne Kalogridis qui a écrit Le Pacte avec le vampire, Brigitte Aubert avec Ténèbres sur Jacksonville, Susan Hill avec L'ombre du tableau, Jennifer McMahon avec Les visiteurs de l'autre rive, plus deux qui m'ont marqué Elizabeth Hand L'Éveil de la lune et Cathy Cash Spellman avec Les griffes du Diable. Si un jour, vous le voyez sur les tablettes, vous aurez deux choix qui s'offrent à vous; le lire ou le laisser prendre la poussière.
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Monstres et fantômes

Ce recueil de nouvelles d'horreur a la particularité de n'avoir été écrit que par des femmes – par quinze autrices québécoises –, qui sont généralement sous-représentées dans ce genre littéraire.



Les textes réunis sont un peu éclectiques, ce qui en fait une lecture un peu inégale, mais diversifiée! Il y en a pour tous les goûts! J'ai aimé certaines histoires, tandis que d'autres m'ont moins plu, mais l'ensemble de l'exercice m'a semblé assez réussi. Les autrices ont su apporter une touche féminine à leurs histoires – mais, dans ce cas-ci, n'allez pas croire que féminité rime avec douceur et sensibilité! le titre serait par ailleurs à revoir, selon moi, car il y a beaucoup plus de gore, de torture porn et de tueurs psychopathes que de fantômes dans ce livre!



Coeurs sensibles s'abstenir!
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