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Critiques de Gilda Piersanti (239)
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Un amour parfait

À 18 ans, ils s'aiment passionnément. Lorsqu'elle met un terme de façon abrupte à leur histoire d'amour, il sombre. 30 ans plus tard, alors qu'il est un mari heureux et un père comblé et qu'il occupe un prestigieux poste à responsabilités à Rome, elle se rappelle à son bon souvenir.



Elle, c'est Laura. Galeriste renommée à Milan, mariée à un riche et tyrannique époux, elle réapparaît un jour de façon fracassante dans la vie bien rangée de son amour de jeunesse. Lui, c'est Lorenzo. Un homme au sommet de la gloire qui n'hésite pourtant pas une seconde à risquer tout ce qu'il a construit pour une double vie et une nouvelle histoire avec celle qu'il n'a jamais cessé de considérer comme son véritable amour.



Secrets, tromperies, manipulations... Avec Un amour parfait #GildaPiersanti signe un thriller psychologique machiavélique dans lequel la passion amoureuse rime avec obsession, soumission et destruction.



Si les descriptions relatives à la fascination et à l'obsession de Lorenzo pour Laura m'ont semblé un peu trop longues et répétitives, il n'en reste pas moins que l'analyse psychologique des personnages est fine et l'écriture efficace. Par ailleurs, l'ambiance italienne et le dénouement -inattendu et surprenant- m'ont beaucoup plu.



En bref: une lecture agréable qui m'a donné envie de découvrir les précédents romans de Gilda Piersanti.

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Illusion tragique

J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une critique de masse sur Babelio que je remercie ainsi que les éditions le Passage qui m'ont envoyé le livre.





J'ai beaucoup aimé cette lecture à l'ambiance un peu malsaine et glauque. C'est l'histoire du petit Mario qui épie et surprend son voisin dans sa salle de bain en compagnie d'une jeune femme ... Au départ : l'innocence des enfants qui va vite se transformer en quelque chose d'horrible ou la culpabilité, la peur, l'angoisse seront omniprésentes.





Puis il y a la maman chez qui on va découvrir la dépendance à l'autre, les manipulations de l'un sur l'autre, la soumission.





J'ai aimé qu'au fil de l'histoire il y ait des chapitres avec l'écrivain qui écrit ce polar, c'est assez curieux et ça donne un plus à l'histoire ...





Je ne connaissais pas cette auteure, j'ai son style d'écriture, je lirai d'autres livres d'elle c'est certain ...
Lien : http://theflyingbookmark.blo..
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Les liens du silence

«  Les liens du Silence » ou un drame Shakespearien en Calabre, «  une terre où les règles ne sont pas celles d'ailleurs ». Tous les ingrédients sont réunis ! Des familles ( mafieuses avec un air du film «  Le Parrain » ) qui se détestent, un Roméo et sa Juliette , jalousie, vengeance «  il y a des infamies qui ternissent l'honneur d'un homme et que seul le sang peut effacer », tromperie...

Un vrai régal que ce policier ! Gilda Piersanti manie bien la plume et rend les émotions palpables.
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Bleu catacombes

Pendant une visite des Catacombes commentée par la sublime Pamela Casadei, la plus recherchée des guides, un touriste qui flânait un peu à l'écart fait une macabre découverte : une tête coupée dans un sac de jute.

C'est l'été et la plupart des policiers ont réservé leurs vacances le plus loin possible de la questure. Aussi le commissaire D'Innocenzo est-il bien embarrassé.

Mais au fait, l'inspecteur principal Mariella De Luca n'est-elle pas en train de bronzer à la plage d'Ostie ? La voilà l'enquêtrice toute désignée pour cette mystérieuse tête.

Au même moment, alors qu'elle suivait distraitement des yeux une sexagénaire en maillot jaune canari, Mariella la voit s'effondrer dans un grand cri. Dans sa cabine, artistement présentée dans un mutin panier orné de grosses marguerites trône une tête de femme. Deux têtes. Pas de corps. Et ce n'est qu'un début !

Cet été est particulièrement torride. Mariella va devoir mener l'enquête quasiment seule. Heureusement, elle a sa coéquipière, Silvia Di Santo et Paolo, son compagnon, un archéologue qui la mettra sur une intéressante piste en lien avec le monde de l'art.

Mariella n'est pas une super-women. Très marquée par des mésaventures qui lui sont arrivées dans le passé, elle souffre de divers maux plus ou moins handicapants. Elle est aussi mal à l'aise face à la morgue et à la condescendance de Mme Ronca, la mère de Paolo. Elles ne font pas partie du même monde et Mme Ronca le lui fait sentir !

Silvia lui est d'une aide précieuse. Pourtant, elle a des faiblesses, elle aussi. Et quand elle se laisse fléchir par le charme de certains suspects, les choses deviennent vraiment compliquées.

Le roman est ponctué de références littéraires, picturales, architecturales et j'ai écouté les morceaux préférés de Mariella, surtout « Sit down. Stand up. » de Radiohead que j'ai trouvé envoûtant.

Hélas, tous les artistes ne sont pas sympathiques. La performance photographique de Massimiliano Fegiz, réalisée en 1973, nous est décrite de manière tellement réaliste qu'on redoute qu'elle n'existe vraiment, car elle met mal à l'aise et donne envie de vomir. Il a une conception de la femme qui me fait bondir : « les filles, dans sa vie d'artiste, ne sont que des croquis jetés sur une page blanche. Quand il en a griffonné assez pour y voir clair sur l’œuvre qu'il veut créer, il chiffonne la feuille et l'envoie à la poubelle. »

Ses manières d'agir et de penser nous le rendent particulièrement odieux et on n'éprouve pas vraiment de pitié pour le sort atroce qui lui est réservé.

Arès nous avoir montré Rome sous la neige ou la pluie, Gilda Piersanti nous la présente sous une canicule qui nous donne envie de nous réfugier dans les Catacombes. Quoique... Est-ce bien prudent ?

Cet épisode des « Saisons meurtrières » est celui que j'ai préféré. Je l'ai lu presque d'une traite. Ce qui est particulièrement astucieux, c'est que le lecteur en sait plus que les policiers. Certains chapitres le mènent près de Mariella et Silvia, mais d'autres lui montrent ce qui se passe chez les assassins et expliquent leurs raisons d'agir.

J'ai adoré.
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Rouge abattoir

Se promenez dans les rues de Rome à la recherche d'un tueur en série. Mais est ce vraiment un tueur en série ? Le commissaire d'Innocenzo accompagné de la mystérieuse inspecteur principal Mariella De Luca.
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Rouge abattoir

Rome, 26 décembre. Une vendeuse de journaux découvre une main dans la neige, alors qu’elle va ouvrir son kiosque. C’est le troisième de jeune femme de en l’espace de quelques mois. L’expérimenté commissaire d’Innocenzo se voit adjoindre la célèbre inspectrice Mariella Di Luca pour mener l’enquête…



Ce roman policier italien est le premier tome des « Saisons meurtrières » de Gilda Piersanti. Les ingrédients d’un bon polar sont là : style efficace, thèmes et enquêteurs intéressants (même s’ils manquent d’originalité). Mais la construction du polar manque de rigueur, provoquant plus l’ennui que titillant la curiosité du lecteur. Au final, Rouge abattoir est cruellement dénué de suspense et de rythme. Une déception. Peut-être que les autres tomes de la série sont meilleurs ?

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Vengeances romaines

Bof......Une intrigue qui était alléchante au départ et qui se noie dans des digressions philosophiques chez la commissaire, sans donner la clé de quelques éléments d'enquête saillants....Re-bof......



A conserver dans sa bibliothèque pour les 2 recettes de cuisine romaine...:-)
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La Maison de la plage

Le titre stéréotypé ne stimule pas l'imagination du lecteur car des maisons sur des plages, dans des dunes ou des ports, au bord d'océans ou mers sur tous les continents, il n'en manque pas dans la littérature blanche en général et noire en particulier. La couverture illustrée par un détail d'un tableau d'Edward Hopper intitulé Hills, South Truro n'annonce pas une ambiance méditerranéenne. C'est bête car la neutralité du décor choisi – ici du côté de Fiumicino - ne contribue pas à ce que l'on mémorise ce roman de Gilda Piersanti, et ce d'autant moins que la propriétaire des lieux n'est guère encline aux longues promenades sur le sable, limitant les descriptions du décor environnant.





Non, elle préfère mettre sa fillette de 2 ans et demi devant la cassette du film Les 3 petits cochons, que la gamine connaît par coeur puisqu'elle la visionne en boucle tandis que sa maman s'adonne à sa vie sexuelle alternativement avec ses deux amants de l'autre côté de la cloison. La fillette grandit, elle a oublié que sa maman a été assassinée sous ses yeux et qu'elle a passé une treizaine d'heures auprès de son corps avant sa découverte, baignant pratiquement dans son sang. Son grand-père l'a élevée, lui a révélé la vérité pour ses 15 ans, puis un journaliste est venu lui proposer de collaborer à l'écriture de la genèse d'un meurtre. Il a récupéré les archives de son père sur l'affaire, commissaire qui au moment de la commission des faits, a échoué à découvrir le meurtrier d'Inès.





J'aurais aimé adorer ce roman car j'apprécie beaucoup le travail de Gilda Piersanti, ainsi que son érudition artistique, dont elle restitue fréquemment des éléments dans ses intrigues ; dans La maison de la plage, elle fournit de nombreuses informations instructives sur l'art de la photographie. Son style est également irréprochable, quoique simple. Alors ? Qu'est-ce qui a cloché dans cette lecture ? Peu de choses à vrai dire, sauf la vraisemblance de l'ensemble. Pour adhérer, il faut y croire, et j'ai eu du mal à croire aux objectifs des 3 membres de ce triangle amoureux. Je me suis demandé sans cesse comment Inès – femme intellectuellement, financièrement indépendante - peut être raide dingue de son premier amant qui n'est qu'un salaud ordinaire, marié et père de famille se rêvant en Andy Warhol et pourquoi elle humilie son second amant jusqu'à l'indécence. Dans les deux relations, les raisons de ses comportements sont restées obscures pour moi. Je ne parle pas de ce qui pourrait être des mobiles de meurtre pour eux mais bien de ses motivations à elle !





Sur le plan pratique, de nombreux détails m'ont semblé peu rigoureux : la scène de crime piétinée par plusieurs acteurs ; la fillette prostrée que l'on garde dans la maison du meurtre en attendant que son grand-père vienne la chercher, au lieu de l'exfiltrer en toute hâte vers des services sociaux, aptes à la protéger ; l'enquête qui se limite à entendre les vérités des deux amants ; le commissaire gardant chez lui après sa retraite, les pièces du dossier comme si elles lui appartiennent ; son fils qui reprend l'enquête pour des motifs flous et enfin la maturité d'un bébé de 30 mois qui, la couche pleine et en rampant à moitié, tente de préparer pour réveiller sa mère un café dans une Bialetti.... What else ?





Pour autant, La maison dans les dunes, pardon, de la plage, est une lecture agréable et intéressante, qui selon mes critères subjectifs, manque de caractère.
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Un amour parfait

Voilà un livre que je déconseillerai à mes amis.

300 pages (heureusement pas plus) : Il ne se page rien pendant les 100 premières pages et l'épilogue arrive 40 pages avant la fin. Si l'on ajoute que le récit ne cesse de tourner et de se répéter, il ne reste pas grand chose.



Le livre est vendu comme un thriller. Honnêtement, j'ai n'ai pas beaucoup haleté, palpité ni tourné compulsivement les pages. On sait dès l'introduction qu'il va y avoir meurtre et par qui. Le héros est tellement inexistant qu'on se désintéresse de son sort et le seul rebondissement du livre n'apporte pas grand

chose au récit.



Sur le plan psychologique, il y a un personnage sous l'emprise de sa passion et sous emprise tout simplement. Mais on est mis devant le fait accompli, et le récit est très pauvre dans la description de la mise en place de cette emprise. Le sexe a bon dos, mais même à cet égard, tout cela reste assez fade.



Aimant l'Italie, je me suis dit que j'allais respirer Rome ou Milan. Mais on ne respire pas grand chose à part les couloirs à répétitions des beaux hôtels.



Il y a aussi un volet économique, business, dans le roman, mais assez peu crédible, ou plutôt assez peu cohérent.



Vous l'aurez compris, je n'ai pas aimé ce livre qui s'apparente plus à une romance un peu cynique qu'à de la littérature...
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Un amour parfait

Lorenzo a tout pour être heureux : directeur d’une entreprise florissante de chocolats de luxe, son travail remplit ses journées, sa famille le comble, … Jusqu’au jour où il retrouve – par hasard, le croit-il – Laura son amour de jeunesse. Même si à l’époque, elle lui avait brûlé les ailes, il retombe immédiatement dans ses filets. Et la passion aveugle est bien mauvaise conseillère. Car, pour Laura, il le sait, il est prêt à tout, même à tuer. Sa liaison interdite et secrète l’amène au paradis ; elle aura tôt fait de le conduire droit en enfer…



« Un amour parfait » est un roman écrit par Gilda Piersanti. La quatrième de couverture nous promet « un thriller psychologique d’une puissance redoutable ».



Il s’agit bien d’un thriller psychologique qui mêle les ingrédients du genre : une femme fatale, un homme crédule rattrapé par sa passion d’enfance, puis par son enfance tout court et qui, mettant le doigt dans l’engrenage de cette liaison, va sombrer corps et âme.

Quant à la puissance redoutable promise, cela reste à voir. Les ingrédients sont un peu trop classiques à mon goût, les personnages bien trop caricaturaux, manquant d’épaisseur. Au premier coup d’œil, on a l’impression de les avoir cernés, la suite le confirmant. Alors, on attend un rebondissement, un coup fourré, un piège que l’auteure nous aurait habilement tendu au détour d’un paragraphe. Las…

L’ensemble demeure assez prévisible et même le final ne parvient à rattraper l’intrigue qui semble s’étirer à l’infini.



Et pourtant, « Un amour parfait » reste d’une lecture plaisante et facile, au long de laquelle on savoure le spectacle malsain d’un piège qui se referme lentement sur sa proie. Mais la construction bien trop huilée et sans surprise, les personnages lisses rendent la lecture un peu longue…
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Un amour parfait

Quelle histoire!! Quand un homme est sous l'emprise de son amour de toujours, de sa maîtresse.... il rentre dans une relation toxique et manipulatrice! Quand l'amour devient passion, folie, il nous pousse à la folie! Jusqu'à quel point ?

J'ai trouvé ce livre tellement beau et triste à la fois! Il vaut la peine d'être lu, il nous transporte page après page...
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Un amour parfait

Un très bon thriller psychologique abordant la passion amoureuse destructrice sur fond de suspense. L'écriture est fluide et les chapitres sont plutôt courts, si bien qu'on tourne les pages sans s'en rendre compte. Le personnage principal est détestable (égoïste, macho, manipulateur,...) mais bizarrement attachant en même temps.

Rongé par sa passion envers Laura, son amour de jeunesse retrouvé, Lorenzo va lentement glisser dans la mythomanie et même bien pire. Cette véritable descente aux enfers va mettre en péril tant sa famille que son travail. Mais que ne ferait-on pas par amour ?

Un récit assez noir qui se lit très rapidement. Pas de grands rebondissements mais le tout est tellement bien amené qu'on ne voit pas le temps passer.
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Illusion tragique

Je ne vais pas vous raconter de nouveau la quatrième de couverture que vous venez de lire donc entrons dans le vif du sujet. Mario aime espionner son voisin, M. Ruper, qui tous les soirs donne un bain à sa femme. Cette femme que personne ne voit jamais. Mario et Ricardo se faufilent chez M. Ruper pour délivrer la dame qui pour eux est prisonnière. Mais, voilà, M. Ruper rentre plus tôt que prévu et là, c’est le drame... Mario ne cessera de se remémorer ce jour tragique et il se renfermera de plus en plus sur lui-même surtout lorsque son voisin commence à faire la cour à sa maman et que celle-ci semble réceptive. Mario arrivera-t-il à dépasser tout ça et à grandir comme tous les garçons ? En parallèle, nous avons l’avis de l’écrivain sur son personnage de Mario, elle nous parle de ses personnages et comment elle a appris à vivre avec eux... J’ai aimé ce livre et ma curiosité a fait que je voulais impérativement savoir la fin. Fin très surprenante, c’est sûr ! Vous me comprendrez en le lisant.
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Illusion tragique

Mario est un garçon âgé de dix ans qui s’amuse à épier son voisin, Monsieur Ruper, par la fenêtre de sa salle de bain. Mais la curiosité est un vilain défaut et il se pourrait qu’elle ait de dramatiques conséquences. Je n’en dirais pas plus au sujet de l’histoire car, dès le deuxième chapitre, Gilda Piersanti nous prépare un rebondissement qui change la donne ! Illusion tragique est un roman bien construit et étonnant qui mêle fiction et réalité. Notre auteure italienne nous réserve de nombreuses surprises et nous mène par le bout du nez, j’adore !
Lien : http://romansurcanape.fr/les..
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Illusion tragique

Un roman avec une intrigue bien menée mais il manque quelque chose pour que je le trouve parfait...



Le personnage du psychopathe est bien trouvé assez bien défini, mais l'auteur aurait pu pousser le bouchon un peu plus loin. le donner un peu plus de folie, le poussé dans ses retranchements de fou....



Et le personnage du petit 10 ans, je sais pas mais peut être le rendre plus fort au fur et à mesure... je sais pas moi !!!



Bref dans l'ensemble, l'histoire se lit bien, on entre bien dans l'histoire, elle est assez captivante mais j'aurais aimé une Fin un peu plus recherché.......... parce que là c'est un peu BOF BOF pour ne pas dire ennuyeux.
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Illusion tragique

Quelle belle surprise ! 

Dès le deuxième chapitre le lecteur est surpris. Et ce n'est pas fini.



C'est très fort de la part de l'auteur car l'illusion touche les personnages mais pas seulement car elle atteint aussi le lecteur. C'est tragique mais tellement bien mené.



Il ne faut pas en savoir plus avant de commencer ce roman pour ne pas gâcher le plaisir de lecture. 
Lien : https://pagesdelecturedesand..
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Un amour parfait

Un très bon thriller psychologique. Jusqu'où peut-on aller par amour, par passion ? L'amour rend il aveugle ?



C'est très bien écrit et pages après pages, on doute, on se pose des questions, on s'interroge. Très belle performance pour Gilda Piersanti qui nous promène entre amour, illusion, manipulation, trahison, amour et désir. Une très bonne lecture.
Lien : http://leslecturesdemarie.ho..
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Illusion tragique



Il m'a fallu une trentaine de pages pour rentrer dans l'histoire, avant d'y plonger tête baissée, brutalement, complètement. Au début, je me disais que ça ramait un peu, et tout à coup, paf, le choc. Un thriller intelligent sur plusieurs sujets, le mensonge, l'enfance et ses traumatismes, la perversité humaine. L'intrigue est très bien menée, c'est une très belle découverte et une très bonne lecture.
Lien : https://leslecturesdemarie.h..
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Illusion tragique

Je viens de finir de lire ce roman policier et je suis assez surprise voire un peu perplexe..

C'est un roman policier construit comme nul autre : des histoires imbriquées et une question en fil rouge : quelle est la part de réalité et de fiction en littérature, où l'auteur va t il puiser ses idées, quelle est la place du réel, de la vie de l'auteur etc...bref de quoi s'inspire t-il ?

A côté de cela il y a une intrigue pour le moins surprenante dans son déroulement je n'en dirai pas plus. La construction du récit qui en découle peut nous perdre un peu disons..

Alors au final j'ai bien aimé mais sans plus, je n'ai pas eu ce frisson qui accompagne la fin d'un super polar, je ne me suis pas totalement laissée emmener et je ne sais vraiment pourquoi...
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Le saut de Tibère

Marielle De Lucas est une inspectrice italienne qui vient d'intégrer une cellule spéciale d'Europol. Plusieurs meurtres horribles la lance sur les traces d'un serial killer. Sur l'idée de départ, le scénario était très intéressant, la recherche de l'identité du coupable était intense, un méli-mélo de question et de réponse qui arrivait au compte goutte, bien dosé et judicieux, le jeu de cache cache entre le meurtrier et l'inspectrice était bon mais finalement quelle déception, la fin est plate, certes il y a une surprise mais absolument pas celle que j'attendais et bon sang tellement "bof", je m'étais imaginé une fin explosive, quelque chose qui me fasse sursauter et me dire waouh mais au lieu de ça, j'ai refermé ce livre avec un gout amer au fond de la gorge. L'histoire avait un bon potentiel, c'est vraiment dommage, je tenterais peut être une autre lecture de cette autrice, à voir.
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