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Critiques de Hugo Pratt (571)
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Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la me..

Le 1er novembre 1913 le capitaine Raspoutine et ses marins venus des îles Fidji recueillent deux rescapés de La Jeune Fille d’Amsterdam, une jolie goélette de milliardaires. Raspoutine y voit aussitôt un bon moment de gagner de l’argent en les monnayant.

Ils les repêchent au large des îles Salomon alors qu’ils étaient en route pour Kaiserine.

Les deux rescapés sont Pandora Groovesnore, fille de Taddeo, le grand armateur de Sydney et son cousin, Caïn.

Puis Raspoutine repêche Corto Maltese, jeté à l’eau par les mutins de son bateau, qui est loin de lui être inconnu.

Ils sont tous deux à la recherche d’un bateau hollandais, rempli de charbon, qu’ils convoitent. Il ne faut pas oublié que la guerre est proche et l’Allemagne a besoin de charbon.

Tableau de la situation dressé : les manipulations et autres entourloupes de pirates dans les eaux de l’Océan Pacifique, bien décidés à profiter de la guerre qui se profile.

Sympathique lecture sans véritable coup de cœur.

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Corto Maltese, tome 14 : Equatoria

Corto est la recherche d'un mystérieux objet, le miroir du prêtre jean qui aurait été rapporté lors des croisades.



Un voyage qui débute à Venise pour terminer en Afrique Équatoriale en passant par l'Égypte ou Zanzibar.



Il va rencontrer 3 femmes, il y a d'abord Aïda journaliste qui va interviewer Winston Churchill à qui elle prédit une courte carrière politique (si seulement elle avait). Ensuite il y a Ferida qui recherche son père disparu. Et enfin Afran une esclave trouvée en pleine mer. Bien qu'ayant un but différents leurs histoires vont converger vers un même point.



Deuxième album du duo Juan Diaz Canalès (scénario) et  



Rubén Pellejero (dessin) d'après l'oeuvre d'Hugo Pratt. L'univers de ce dernier est à nouveau respecté.



Mythologie, femmes, vieux livres, Venise, les voyages et même un peu de poésie à l'image de l'île qui lui parle.



L'album est bon j'ai apprécié la lecture  mais ne respecte t'il pas trop cet univers ? N'est ce pas trop figé ?  Car pour moi le dessin de Pratt l'était déjà quand il dessinait des personnages entiers et j'ai l'impression que c'est exactement la même chose ici. Par contre la couleur rajoute un plus à la lecture c'est plus vivant.



Lu et commenté sur izneo
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Corto Maltese, tome 6 : Corto Maltese en Si..

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Cuisiner à bord avec Corto

Un livre de recettes qui rappelle les voyages de mon marin préféré à travers les mers du globe, avec une poétique introduction de Michel Pierre et d'Antonio Mazzitelli (à qui l'on doit les alléchantes bouteilles proposées pour accompagner les plats) pour accompagner les toujours splendides aquarelles du maître Hugo Pratt.



De beaux voyages culinaires à venir pour cette année !
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Corto Maltese, Tome 3 : Toujours un peu plu..

Troisième volume des aventures de Corto Maltese, Toujours plus loin nous offre cinq nouveaux récits tous autant plus intéressants les uns que les autres.



Même si cet ouvrage peut être lu de manière indépendante (au prix cela dit de quelques révélations et incompréhensions), il est fortement recommandé de respecter l’ordre de parution, ce qui facilitera grandement la lecture. Nous allons ici composer avec les problèmes de mémoire de Corto mais également avec des personnages secondaires déjà croisés par le passé et très appréciés.



Têtes et champignons nous offre une belle histoire d’aventures, avec à la clé une confrontation avec les jivaros. La conga des bananes est un récit d’action : Corto devra affronter des truands et tenter de récupérer une valise convoitée par beaucoup de monde. La lagune des beaux songes est le récit le plus émouvant et le plus étrange, évoquant avec talent ce que l’on nomme aujourd’hui le stress post traumatique sur fond de mysticisme.



Fables et grands-pères est la plus belle histoire de ce volume, avec des surprises plus au moins prévisibles, mais surtout un récit basé sur la recherche d’un enfant qui ne laissera personne indemne. Quelle richesse et quelle force ! Bien que d’une intensité moindre, Vaudou pour monsieur le président, est l’autre grande histoire forte de cet album. Il s’agit ici d’un récit qui mêle émotions, agacement, amusement, manipulation, surprises… bref de nombreuses surprises.



L’exotisme reste ici prépondérant. Les aventures de Corto se déroulent toujours dans des endroits étranges. Les croyances y jouent un rôle important et les intrigues s’en ressentent. Si les personnages secondaires peuvent paraitres plus en retrait, l’espace reste bien occupé. Les histoires sont assurément bien composées, envoutantes au possible.



Toujours plus loin est une nouvelle réussite, un voyage vers d’étranges rivages… et un grand classique de la bd.
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Corto Maltese, tome 2 : Sous le signe du Ca..

Il est devenu aujourd’hui difficile de dissocier Corto Maltese de ses deux aventures les plus connues : La balade sur la mer salée et bien entendu, le deuxième volume, non moins (sinon plus) connu que le précédent : Sous le signe du capricorne.



Une première lecture, après autant de décennies de distance, révélera bien des surprises. La première d’entes-elles, restera le format. Il ne s’agit pas d’un album d’un seul tenant mais d’un recueil de six récits, certains liés aux précédents, mais sans que cela soit une règle absolue. Paradoxalement, nous affaire à quelque chose qui tient ensemble sans faire preuve d’une unité complète. L’approche est originale.



Corto va devoir dans un premier temps défendre (à la suite d’événements assez curieux) un jeune homme qui doit faire face à des difficultés sans nombre. Si le petit Tristan Bantam et sa sœur sont bien vite attachants, ce sont surtout les personnages secondaires ou futurs personnages récurrents qui retiendront l’attention : Steiner, Bouche dorée… Les deux premières histoires forment un tout cohérent avant de laisser la place à un récit d’attente, pourtant intéressant en lui-même, notamment grâce à l’étrange tir Fixe et à sa conclusion.



Raspoutine sera brièvement de la partie, au cours d’une chasse au trésor elle aussi composée en deux temps. Il s’agit assurément ici du temps fort de cet album. La dernière histoire, déroutante au possible est une porte ouverte sur l’avenir.



Voici donc un ensemble passionnant, intéressant d’un point de vue scénaristique avec des personnages attachants. L’exotisme est ici une force, tout particulièrement appréciable en ces temps de crise où les voyages paraissent devenus bien plus lointains.



En revanche, il faudra ici composer avec le trait du dessinateur. Si celui-ci est une belle réussite lorsqu’il s’agit de faire interagir des personnages, de dévoiler des panoramas uniques, des couchers ou levers de soleil… il n’en est pas de même pour les séquences d’action. Il faudra ici clairement s’adapter à cette approche rigide… tout comme il faut apprécier les histoires longues avec un texte omniprésent.



Sous le signe du capricorne est bien davantage qu’un album. Il s’agit tout à a fois d’un grand classique de la bd mais également d’une autre manière de voyage dans l’imaginaire, dans le temps et dans un espace perdu…
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La lune

La Lune est mini recueil publicitaire. Hugo Pratt y évoque la Lune vue par différentes civilisations. Les courts textes sont accompagnés par des illustrations du maître. Ce n'est pas forcément indispensable mais la lecture est instructive et les dessins magnifiques.
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Corto Maltese, tome 6 : Corto Maltese en Si..

J'aime étaler dans le temps mes lectures de Corto Maltese, pas plus d'un ou deux albums par an, et c'est avec un réel plaisir que je retrouve à chaque fois notre aventurier.

On ne comprend pas tout dans celui-ci, la géographie de la région nous reste floue et mystérieuse, et les enjeux politiques et les imbrications entre toutes les factions sont parfois difficiles à saisir, du moins pour le novice en histoire asiatique du début du XXe siècle que je suis. Il est vrai qu'on a vite fait de se perdre entre les Rouges, les Blancs, les révolutionnaires mongols, la triade chinoise, les sociétés secrètes plus ou moins indépendantes, les seigneurs de la guerre, les Japonais, les Américains, etc. Mais c'est l'occasion d'apprendre des choses, comme toujours avec Corto, et j'adore ça ! Et puis certes, on se perd un peu, mais, comme dit l'autre, là n'est pas la question ! Une aventure de Corto Maltese se doit d'être un brin insaisissable ! J'ai savouré chaque planche.
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Corto Maltese, tome 7 : Fables de Venise

Poétique, onirique, séduisant, mystérieux... Comme tous les Corto Maltese, non?

Alors quel est le charme particulier de cet épisode de Corto Maltese? Venise bien sur, dont les canaux et le charme particulier sont rendus tout au long de l'histoire. De nombreux personnages secondaires incarnent eux aussi la ville, des hommes passionnés, des femmes intriguantes ou mystérieuses, une étrange loge maçonnique où tout le monde est masqué, le fascisme en toile de fond (c'est l'époque qui veut ça) et une chasse au trésor à travers la ville, avec des messages laissés sur des statues de lion, beaucoup de faux semblants, de complots vite abandonnés, de rêves qui ne prennent pas vraiment forme, d'inachevé.

Tout cela contribue à donner un charme à cet épisode, tout autant qu'une incroyable galerie de personnages, rassemblés comme dans un théatre de marionnettes un peu ampoulé.

Peut-être un peu trop de texte parfois, mais c'est vraiment le seul reproche qu'on peut lui faire...
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Saint-Exupéry : Le dernier vol

L’album mêle des bribes de la vie de Saint-Exupéry, extraits de ses livres, scénettes rêvées par Hugo Pratt et voyages de par le monde, le tout raconté et dessiné de manière délicatement poétique. Une commande des ayants droit de l’écrivain qui restera comme la dernière parution du vivant de Pratt.
Lien : https://www.bdencre.com/2021..
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Un été indien

Magnifique collaboration entre Hugo Pratt et Milo Manara. L'esthétisme du scénario fusionne parfaitement avec la beauté du dessin. Les couleurs sont douces et rendent parfaitement cette saison. On est pas dans un western type, avec les stéréotypes du genre, chevauchées, opposition, violence ordinaire, incompréhension entre deux cultures, c'est plutôt un malentendu. La plume lyrique et moins bavarde qu'à l'accoutumée de l'un mêlé au dessin hyper précis et figuratif sans oublier la puissance érotique propre à l'autre donne une oeuvre très poétique à mon sens.

Super5
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Corto Maltese, tome 13 : Sous le soleil de ..

Un nouveau rêve avec Raspoutine, une bonne dose de Jack London, pas mal de scènes dans les forêts glacées de l’arctique, deux naufrages, un inuit féru de littérature scientifique, un trésor mystérieux, une femme courageuse et militante a délivrer, c’est une belle et riche aventure qui attend le flegmatique Corto Maltese au long de ces quatre-vingt pages pleines de poésie.



incarnation moderne d’Hermès, le dieu messager, Corto Maltese parcourt le monde pour y délivrer des messages précieux, relier des individus éloignés, ramener une bague à une morte de la part d’un boxer décédé, tant de choses symboliques et inutiles à la fois. La poésie tient autant de la beauté des paysages, des visages, dans la sobriété du ton, dans une sorte de respect des indigènes, des femmes, des exclus, des révoltés, par un pied de nez à tous ceux qui les soumettent.



Il lui arrive parfois de faire demi tour, au bout de son voyage, ou de jeter la carte au trésor tant convoitée au vent du large. Insensible aux avidités, aux brutalités, aux concupiscences qui s’étalent autour de lui chez ces hommes soumis à leurs passions tristes, Corto tend la main aux vrais héros, ceux qui disent non à la cruauté du monde.



Lumineux.
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Sandokan et autres histoires brèves

On ne peut que constater l’étendue du talent de Pratt. De la Malaisie au grand nord en passant par la Corée, des histoires courtes mais passionnantes qui vous laisseront sur votre faim … Dommage.
Lien : https://www.bdencre.com/2021..
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Corto Maltese, tome 5 : Les Ethiopiques

Jusqu'à maintenant, je n'avais jamais réussi à lire entièrement une BD de Corto Maltese, tout en ayant le sentiment de passer à côté de quelque chose, restant très attirée par ce personnage et les nombreuses louanges au sujet d'Hugo Pratt. Cette fois-ci, je me suis plongée dans Les Ethiopiques, et c'est vrai que j'ai encore une fois eu du mal à vraiment m'intéresser à l'histoire. En revanche, j'ai beaucoup aimé le graphisme et certains dialogues... cela me donne envie de retenter l'expérience avec un autre album.
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Fanfulla

Les libertés que s’accorde Hugo Pratt sur la représentation du personnage devenu quasi mythique le rendent presque sympathique. Toujours prêt à se battre dans des situations désespérées, Fanfulla trouve toujours un moyen de s’en sortir. Les décors sont réduits à leur plus simple expression dans une mise en page des plus détonante qui se prête bien au sujet. Une belle découverte à faire ou à refaire dans des aventures dignes de Don Quichotte mais sans le moulins.
Lien : https://www.bdencre.com/2021..
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Sandokan et autres histoires brèves

Avec toutes ces courtes histoires qui n'ont pas été publiées depuis très longtemps, l'amateur va pouvoir se délecter de ces travaux de Pratt et découvrir des "inédits" en quelque sorte.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Fanfulla

Fanfulla reste une oeuvre intéressante. Nous pouvons sentir le plaisir qu'a dû ressentir Pratt à dessiner ces costumes, ces scènes de combats, et surtout ce personnage de Fanfulla : un personnage qui n'a pas le type du héros tel que nous le connaissons, beau, musclé... Ici, il est borgne, sale, grand, barbu, un peu chauve. Un "héros" digne d’intérêt et très crédible.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Corto Maltese, tome 4 : Les Celtiques

Comme dans Mû, le mystique se lie ici au réel pour emmener ce cher Corto sur les chemins de l'histoire. Mais à la différence de l'opus plus tardif, l'irréel se lie ici au tragique pour raconter des histoires qui nous emmènent dans le côté noir de l'histoire du XXème siècle. Corto le traversera, toujours avec la même nonchalance, laissant un peu de lui et remportant aussi bien plus en retour en monnaie de poésie. Pratt est magique, lisons-le.
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Saint-Exupéry : Le dernier vol

Graphiquement, Hugo Pratt va à l'épure. Les planches sont belles et efficaces. Il n'a pas besoin d'en faire trop. Un trait, une ombre, un point ... le lecteur comprend où il veut en venir et son imagination fait le reste. Les scènes du vol du lightning apportent beaucoup d'émotion visuelle à cette histoire.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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De l'autre côté de Corto

Voici un ouvrage de référence que je recommande vivement d’avoir à portée de main pour mieux apprécier les bandes dessinées d’Hugo Pratt, qui y commente chacun de ses ouvrages, sans se limiter à Corto Maltese, au travers d’une série d’entretiens avec Dominique Petitfaux. Avec « Le désir d’être inutile », il constitue une lecture passionnante à propos de la personne d’Hugo Pratt et de son oeuvre.



Dominique Petitfaux est un spécialiste de bande dessinée et en particulier de l’oeuvre d’Hugo Pratt. Il a eu l’occasion de passer plusieurs journées à s’entretenir avec Hugo Pratt entre 1987 et 1991. À ses dire, les premières rencontres ont été difficiles, mais les suivantes ont été plus détendues et les deux hommes sont devenus bons amis. Les conversations ont été enregistrées et Dominique Petitfaux en a publié les transcriptions, légèrement adaptées.



J’ai déjà commenté « Le désir d’être inutile », paru en 1991, qui est consacré à la vie d’Hugo Pratt et à quelques thèmes généraux qui lui sont chers. La première édition de « De l’autre côté de Corto » était parue en 1990. Après le décès d’Hugo Pratt en 1995, Dominique Petitfaux l’a complétée ajoutant ses commentaires personnels, faute d’autres entretiens, sur les oeuvres postérieure à 1990.



« De l’autre côté de Corto » est principalement constitué d’une suite de commentaires d’Hugo Pratt sur chacune de ses oeuvres, dans l’ordre chronologique. Pour l’instant, mais je ne compte pas en rester là, je n’ai lu que quelques uns des volumes de Corto Maltese. Mais cela ne m’a pas empêché de prendre plaisir à lire les réflexions d’Hugo Pratt sur ses autres livres. C’est intéressant en soi d’apprendre ses sources d’inspiration, sa façon de travailler et de collaborer avec d’autres auteurs ou dessinateurs, ses démelés avec les éditeurs, etc. Petit-à-petit, on mesure également l’étendue de sa culture (il possédait une bibliothèque de 30.000 livres) et le volume de sa production. Mais bien entendu, la structure du livre permet facilement de retrouver des informations sur un ouvrage au moment où on le lit; de ce fait-là, « De l’autre côté de Corto » est un ouvrage de référence précieux.



Pour ce qui concerne Corto Maltese, Dominique Petitfaux a effectué un travail de recherche minutieux qui lui a permis d’établir une biographie (datée) de la vie du marin, approuvée par son auteur. Cette biographie forme un chapitre de référence fort utile. Et précédant la biographie du héros, on trouvera celle de son créateur, information qui ne se trouve pas dans « Le désir d’être inutile ».



Enfin, le livre comporte également les transcriptions de discussions plus générales avec Hugo Pratt sur son métier, sur Corto Maltese et sur la place de la bande dessinée dans l’art, avant de se terminer par une bibliographie détaillée.



Le livre est illustré de dessins, d’aquarelles et de photos en noir et blanc, ainsi que de reproductions en couleurs de quelques couvertures et de quelques planches inédites. Néanmoins, c’est un moins bel objet que « Le désir d’être inutile ».



Les deux livres de Dominique Petitfaux se complètent, vous l’aurez compris. Si vous souhaitez simplement faire connaissance avec Hugo Pratt, je vous recommanderais plutôt « Le désir d’être inutile », dont la lecture est réellement passionnante !
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