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Critiques de James Herbert (410)
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Les rats

« C'en est donc fait de ton impassibilité, hein ? Tu as peur ! de moi ! »



Je vous présente le premier roman de James Herbert ! Premier tome d'une histoire qui l'a propulsé au sommet, suivie de peu par Fog. Il est également l'auteur de « Fluke », roman adapté au cinéma !



Levons-nous et remercions-le pour ce Chef-d'oeuvre.

Bien. Merci.



Revenons aux rongeurs ! Il ne faudrait pas qu'ils prennent l'ascendant. C'est qu'ils sont rusés, en plus d'être imposants! Non seulement énormes, mais bien plus intelligents ! Du mordant! Eux, vous griffant! Ajouter à cela, leur reproduction rapide, et PAF, les emmerdes arrivent.



James ne badine pas! Il aime nous faire entrer rapidement dans l'action. Ce fut le cas pour Fog, et là encore avec « Les rats ». IL n'aime pas se perdre en ce qui pour lui, équivaudrait à des niaiseries, en description, ni-même en sentiment. (Ce qui pourtant, n'est pas sans saveurs. ) Il va droit au but, et c'est sa façon d'écrire. L'avantage, c'est que nous sommes rapidement exaltés, le désavantage... c'est le manque d'émotions que l'on peut éprouver (parfois). Peut-être justement à cause de ce manque de description et de temps sur les sentiments.



De la satisfaction en terme d'action : oh ça oui ! IL ne laisse pas place à l'ennuie, et ça, c'est un sacré point fort!



On n'éprouve AUCUNE envie de prendre l'air ! Pourquoi le faire, quand il nous fait tant de bien ? Mm ? Oui, j'aime cet auteur. J'AIME ses idées, ses scénarios, ses mises à mort ! Massacre à l'école ; Massacre dans le métro ; Massacre dans le zoo ; Capitale assiégée de bêtes noires à la queue repoussante! CHECK!



Le héro du roman est sympathique, bien qu'il se montre parfois (à mon goût), un peu trop dictatorial devant l'uniforme. le professeur qui dit quoi faire aux pompiers, etc. Sa petite amie est... inutile, mais gentille. A mes yeux, cette dernière n'a rien apportée au roman. Ni même de motivation particulière à son compagnon. C'est pourquoi, il aurait tout autant gagné à être célibataire.



Une fin au top, qui laisse entrevoir, bien évidemment, un tome 2 !

(Le repaire des rats).



Merci Jamie.
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Fog

Gare au brouillard!



Car....:



.... si de hasard, vous deveniez une menace?

Qui protégerait vos proches de.... vous-même?



Je découvre James Herbert, à travers Fog. Quel plaisirs ! Quelle surprise ! Je friserais presque la déraison, si je devais m'aventurer à trop vous en dire. Pardonnez-moi, j'ai l'esprit « embrumé ».



Si son histoire de rongeur, est aussi palpitante que Fog,

Je n'ai que plus de curiosité à découvrir la trilogie qui l'a propulsée au sommet.



Stephen King aime prendre son temps pour la mise en place. Mais Herbert nous attrape par le col, et nous jettes à la flotte ! Pas même passé le chapitre 1, que le ton est donné ! Mieux encore, il poursuit ce rythme, nous tenant en haleine. Pas de passage creux ! A peine a-t-on le temps de se faire la réflexion que BOUM, il nous en remet une couche.



Fog, est l'histoire d'un brouillard échappé du sol, lors d'un tremblement de terre. Celui-ci rend "démentes" toutes personne entrant à son contact, avec un effet immédiat, ou à retardement. Selon l'organisme de tout à chacun. Les morts se suivent et se succèdent, prenant plus d'ampleur. Il décrit les faits d'un franc « écrire » électrisant. Je pense au passage d'un révérend qui urine sur sa congrégation, D'un ancien militaire (aux tendances pédophile) qui ne demande qu'à avoir son sexe cisaillé, (pourvu qu'on lui touche!), des animaux effarouchés... etc.



C'est qu'il a de la suite dans les idées !



Il est capable d'émouvoir également.



Du reste, Herbert maintient beaucoup de cohérence. J'aime ça !



Des défauts ?



Oh, peut-être simplement le premier passage chez la flicaille, aux niveaux des dialogues et réaction. Mais rapidement repris en main, et soigneusement poursuivi. MERCI ! Globalement les personnages sont bien décris, et leurs histoires suffisamment établie. Petit +, pour sa manière brève mais combien plaisante, de nous en dire sur qui étaient les victimes avant que drame vienne.



Merci à Greg, mon tendre à moi, de m'avoir fait découvrir ce livre.





L.G ....

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L'empire des rats

"Le cauchemar réalisé."



Carte sur table, je vous dis que c'est le moins bon des trois tomes.

Or, j'avais vraiment hâte de le parcourir et le début était bon.

Un petit laisser-aller peut-être? Trop d'holocauste, pas assez de Rats?

Tentation de tourner les pages réduite au fur et à mesure de l'histoire.

Oui, James Herbert a toujours eu un faible pour ce genre de sujet :



Le gouvernement, la politique, les complots! Il en fait souvent référence.

Alors, que dire exactement sur cette histoire qui me laisse confuse?

Non, je n'ai pas détesté. Tout de même, loin de là.

Avec son style et sa plume, il faudrait être difficile.



L'histoire commence avec l'attaque nucléaire qui touche Londres de plein fouet, tuant des centaines de milliers de personne. C'est l'hystérie, il faut trouver un lieu sûr, survivre. Ce début de roman, m'a captivée car je ne pouvais que me mettre dans le bain! M'imaginer, sachant mes enfants à l'école, loin de moi, avec cette alarme au son tonitruant qui annonce l'arrivé d'un missile! Que faire? Me cacher, ou partir à la recherche de mes petits? Choix évident, même s'il annonce la mort inévitable.



Dans cette partie, James nous dévoile ses talents d'écrivain à nous plonger dans la peau de personne tel que vous, tel que moi. Des gens de tous les jours, qui essaient simplement de s'en sortir, de faire face à l'annonce terrible qui plane au dessus de leur tête. Voila comment nous faisons la connaissance de notre protagoniste : le gentil héros qui veut sauver la terre entière. Celui-ci, par chance, sauve justement un employé du gouvernement qui lui fait part d'une cachette sous terre, un abris, dans lequel ils seraient en sécurité. Encore faut-il atteindre celui-ci.



Viennent ensuite les différentes péripéties.

(Inondation, radiation, rats, rage, attaques d'humains...)



Le problème ne vient pas tant de l'idée de ce Chaos, ni du problème de radiation. Car dans les débuts, il arrivait à placer correctement les rats, leur laissant leur importances. Mais au fur et à mesure de l'histoire, les rats sont devenus un problème parmi tant d'autre. Si on se réfère au second tome, où il avait placé la barre très hauts, nous présentant des centaines de milliers de rats, dont certains aux sens protestataire et anarchiques se rebellaient ==> il n'en est rien ici.



Déçue de ne pas avoir retrouvée le fameux rat à la crête, qui s'était enfui dans le second volet, et déçue aussi de ne pas avoir éprouvé à nouveau l'ampleur de leur force, de leur intelligence, leur suprématie qui m'avait fascinée, effrayée. Alors « OUI », il y a bien des rongeurs. On les voient par épisodes anéantir tel ou tel groupe de personne. Mais tout ceci est bien moins impressionnant.



Les raisons de cette guerre, ne sont pas claires. ON a du mal à savoir si c'est le monde entier qui à été attaqué, ou juste L'Angleterre. Cela était peut-être voulu, mais ça laisse un sentiment de confusion. du reste, l'histoire en gros c'est de survivre à l'attaque... survivre au radiation, survivre à la folie humaine, survivre aux rats. SURVIVRE !



Il y a donc, oui, des défauts à cette ouvrage, contre-balancés aux talents de l'auteur. Je ne le déconseillerais pas, car j'ai passé de bons moments. le héros est sympa, bien que typique. Les autres le suivent comme des moutons. (Scénario habituel, du gars qui prend tout en main, défenseur de la veuve et de l'orphelin). Mais je ne le conseille pas non plus...



Disons que c'était... divertissant.



L.G

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Les rats

Trop court, trop simple, trop fade.



Londres, les années 70. Apparitions de gros rats bodybuildés, visiblement plus intelligents et nettement plus agressifs. Ils n'ont peur de rien et surtout pas d'attaquer les hommes. La morsure est mortelle en 24h. Une course contre la montre s'engage entre les dératiseurs et les rats. (un couple de rat peut engendrer 5.000 descendants en une année).



Un roman assez rapide à lire (180 pages). L'auteur essaye de développer un peu ses personnages, leur donner une histoire, mais on a sincèrement l'impression que c'est du remplissage. (C'est peut être une peinture de la société de l'époque, mais je suis resté dehors).

Les rats attaquent joyeusement et le sang coule, mais le compte n'y est pas. En matière d'horreur, le frisson est absent. C'est fade. Un rat avec une morsure mortelle, ça vaut bien un zombie, mais l'histoire de Herbert manque d'enjeu plus global. Et son style (la traduction ? ) ne rend pas le côté horrifique.

Le roman pêche aussi par l'absence d'explications, un peu plus de science (ou pseudo science hein, je ne suis pas trop regardant) n'aurait pas nui.



Trop court, trop simple, trop fade.
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Le secret de Crickley Hall

En me promenant dans ma bibliothèque préférée, je suis tombée sur ce livre.... gentillement rangé dans le rayon des 13 ans.. Je crois avoir ouvert des yeux comme des ronds de courgettes (pour les puristes je sais que cette expression n'existe pas.. mais cette petite aparté m'évitera de répondre a des commentaires). Et oui parce que James Herbert pour des jeunos parfois mal dans leurs baskets j'ai trouvé ça étrange. Il n'en a pas fallu plus pour que ma curiosité soit titillée et que je mette le livre dans mon panier.



L'histoire en soit n'a rien d'originale : une maison hantée, des fantômes, une famille ayant subit un fort traumatisme. Mais tout se trouve dans la qualité d'écrivain de l'auteur qui nous balade une fois à droite une fois à gauche mais qui au final nous fait voyager et dans l'espace et dans le temps avec ses différentes histoires qui s'entrecroisent

Par contre par rapport à d'autres écrits de James Herbert celui reste soft. : pas d'hémoglobines, un peu de frissons mais pas de quoi changer de tee-shirt. Je comprends donc pourquoi ce roman était chez les jeunes ados.. néanmoins je pense malgré tout qu'il faut être suffisamment mur pour lire ce livre sans être hanté la nuit .

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Les rats

Certains critiques prétentieux à l'esprit étriqué prennent de haut la littérature d'horreur, prétendant que c'est un genre facile. Ils pensent sans doute qu'il suffit d'aligner les scènes sanguinolentes pour écrire un tel roman. Pourtant le registre horrifique demande beaucoup de savoir-faire. Et James Herbert n'en manque pas et propose avec "Les rats" un récit de terreur de haute volée.



"Les rats" est à la fois un roman d'horreur et un roman-catastrophe. Dans ce registre de roman-catastrophe, l'utilisation des lieux est primordiale. Ici, c'est une réussite totale. L'auteur intègre parfaitement Londres dans son récit. Les paysages londoniens, les quartiers populaires, les rives de la Tamise, sont judicieusement exploités.



A cette utilisation maîtrisée de la géographie s'ajoute une galerie de personnages réussis, en particulier le personnage principal qui est intéressant et bien campé. En choisissant comme héros, un professeur, un type ordinaire, l'auteur fait fonctionner à fond l'identification.



Herbert imprime à son récit un rythme haletant ne laissant aucun répit à son lecteur. Il parvient à maintenir une tension permanente en alternant suggestion et gore explicite. Les morceaux de bravoure et les séquences intenses s'enchaînent à toute allure. A ce titre, les passages se déroulant dans le métro sont tout à fait exceptionnels, des chefs-d’œuvre d'angoisse et de tension.

Et je suis ravie de savoir qu'il existe deux suites à ce roman, c'est avec plaisir que je retrouverai la menace grouillante et mordante de Herbert.



Challenge Petits plaisirs 41
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Les rats

Un court thriller horrifique narrant l'apparition et l'invasion londonienne de gros rats noirs aux dents comme des coupe-choux, porteurs d'un virus fulgurant.



Ce n'est pas que l'intrigue, somme toute banale -mais absolument accrocheuse- qui fait qu'on reste scotché aux pages qui défilent. C'est également le style d'écriture, naturel et surtout très visuel, de l'auteur qui nous amène à voir et à vivre ce quartier de l'East End où James Herbert est né en 1943.



On s'attache tout aussi facilement aux personnages "vivants" de ce quartier populaire. Mais ne fraternisez pas trop... les rats sont à l'oeuvre et vous raviront vite l'espoir de vous en faire un jour des amis...

Exception faite du protagoniste, professeur de dessin et témoin, dès le départ, des événements horrifiants et sanglants qui iront en s'intensifiant. Est-ce que Harris, le prof', est un alter ego de l'auteur qui s'interroge (e.a.) sur la situation sanitaire déplorable dans la capitale anglaise, encore tant d'années après la 2e guerre mondiale ? On sympathise rapidement avec cet homme qui sait réfléchir, décider et agir. C'est d'ailleurs lui qui nous conduit vers l'élément fantastique dans ce 1e roman de l'auteur... à moins qu'il s'agit encore d'autre chose ? Il n'y a qu'une façon de le découvrir, il va falloir lire le deuxième tome sans trop tarder !
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L'empire des rats

Il convient en préambule de dire que ce troisième tome n'est pas vraiment une suite et que les rats n'en sont, cette fois-ci, pas le sujet principal. Ainsi le titre de ce roman est un peu trompeur et son contenu forcément inattendu.



L'empire des rats est en fait un roman post-apocalyptique qui se déroule à Londres.



Cinq bombes nucléaires déciment la ville et pratiquement tout ce qu'il s'y trouve mais des groupes d'humains ont réussis à survivre aux explosions et tentent de trouver au plus vite un moyen de s'abriter des futures retombées radioactives.



C'est dans ce contexte que nous suivons notre héro, Steve Culver, dans ce livre d'horreur à l'état pur. Il sera confronté aux hordes rats mutants mais également aux milliers de cadavres en putréfaction où de mourants qui, tels des zombies, jonchent les rues et les bâtiments, réclamants de l'aide. Mais ce n'est pas tout, il faudra composer avec les animaux enragés, les inondations, la maladie, les groupes d'humains armés et dangereux... bref, un cocktail qui vous entraînera au plus profond de la terreur humaine. Certains passages dont en particulier les cents dernières pages ne sont pas à mettre entre toutes les mains. Âmes sensibles s'abstenir.



Mon avis reste néanmoins relativement mitigé car l'histoire est un peu "simplette", pas très brillante, juste à peine divertissante. Les personnages ont des réactions et des comportements assez peu logiques et font toujours les choix les plus idiots. C'est un peu le cliché du film d'horreur ou il faut toujours que les personnages se jettent bêtement dans la gueule du loup et meurent.



Note 3/6

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Le repaire des rats

Cinq ans après que les énormes rats noirs aux dents d'hachoirs avaient confronté les londoniens, voici qu'ils réapparaissent dans une réserve naturelle fortement boisée, non loin de Londres, dans l'unique but de se repaitre succulemment de chair humaine...

Autres lieux, autres personnages (en dehors d'un politicien toujours aussi patelin et un scientifique-commercial avide de gloire)... même histoire...



Herbert nous a concocté une ragoûtante génoise sanglante garnie de deux scènes érotiques, surmontée d'une romance (qui se construit en trois semaines, peuh !). Sexe et sentiments mis à part (parce que ce n'est pas ce que je cherche dans un livre d'horreur), l'histoire se lit agréablement mais n'est certes pas aussi captivante que le tome précédent. On connaît désormais les bestioles monstrueuses que des valeureux essaient de trucider par tous les moyens et l'effet de surprise est passé.

D'autant que, dans ce 2e tome de la trilogie, l'auteur a mijoté allègrement sur la même intrigue que dans "Les Rats" et ne nous sert au bout du compte rien de nouveau hormis quelques délicieux frissons bienvenus.

Et donc, au final... même pas peur !
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La Conspiration des fantômes

James Herbert est un des maîtres en la matière quand il s'agit de décrire l'horreur indicible. Il le confirme une fois de plus avec ce roman.



Il a une façon bien a lui de nous plonger dans les bas fonds de l'espèce humaine. Mais pas que, puisqu'il aime également s'entourer de revenants. J'avoue qu'il a réussi a me donner la nausée lors de certains passages tellement c'était criant de vérité et quasi inimaginable pour une mère (quoique tout être humain sain d'esprit, parent ou non, doit être révulsé par de telles choses) .



Même si le fond de l'histoire ne m'attire généralement pas plus que ça.. j'aime lire les choses sur le paranormal mais je suis d'un tempérament plutôt cartésien...ce qui fait que j'ai beaucoup de mal a croire à certains éléments de ce roman.



J'ai beaucoup apprécié ma lecture puisqu'elle a réussi a me plonger carrément dans un univers étrange et parfois glauque.



Alors pour ceux qui aiment se plonger dans les roman d'horreur foncez , car avec celui-ci vous ne serez pas déçus. Il y a quelques scènes ou la hantise montre son "vrai" visage et ou Herbert réussi un coup de maître car on se croirait réellement au milieu d'un film. Quand aux pulsions malsaines de certains humains c'est aussi une vraie réussite.
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Le secret de Crickley Hall

James Herbert, cet auteur doué, il écrit des bonnes histoires, qu'est-ce qui nous offre dans ce livre ?



Est-ce qu'il existe bien un secret, au coeur de Crickley Hall ?



On dit que Crickley Hall est une maison hantée, dès qu'on franchit le seuil, on ressent une sorte de crainte.



Lorsque ton chien Chester se sauve, est-ce que ce n'est pas un indice suffisant, qu'il se passe quelque chose d'anormal, dans la maison ?



L'histoire :

James Herbert nous amène dans le quotidien d'une famille éprouvée par un drame. On ressent l'angoisse qui monte, lorsqu'il survient des incidents inhabituels.

La famille demande de l'aide et elle se met à enquêter sur l'histoire et l'origine de la maison.

Qu'est-ce que c'est vraiment Crickley Hall ?

On ressent l'emprise se refermer sur la famille, est-ce qu'elle va découvrir la vérité ?

Est-ce qu'elle va s'en sortir à temps ?



Mes impressions :

Je suis à la fois conquise par l'atmosphère, les décors et les personnages qui hantent cette histoire.

Je suis d'une manière déçue par les répétitions, les longueurs et le surplus de détails fourni par l'auteur.



Lorsque j'ouvre un livre de James Herbert, j'aime toujours découvrir ses histoires. C'est difficile parfois de faire un choix, car il y en a beaucoup. C'est un livre que je lis avec AlbertHenri, j'aime partager avec lui mes impressions.



Je constate encore une fois le talent de cet auteur, il déborde d'imagination et il sait maintenir son intrigue tout au long du roman.



Ma conclusion :

Je trouve que son histoire est un peu longue mais c'est un bon moment de lecture. C'est un récit qui se lit facilement malgré quelques petits défauts. Tu ne peux pas être indifférente par cette famille qui est attachante. L'auteur sait donner une vie propre au décor et il rend les personnages intéressants et complexes.



Je n'oublierai pas cette impression de malaise et je repense à ses légers vertiges que l'auteur a su faire naître chez moi.

J'avertis le lecteur que tu peux être un peu portée à la paranoïa lorsque tu entends des bruits, que tu suspectes quelqu'un derrière toi mais il n'y a personne. Est-ce que tu penserais que c'est un fantôme, un rat, une souris ou un écureuil ? Pourquoi on pense toujours à ses rongeurs ?



Ma note 3.5/5



Sia
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Le survivant

Un crash d'avion au dessus D'Eton, et il ne reste qu'un survivant, le copilote. Depuis cet accident,des choses anormales se passent dans le secteur....



Herbert est un conteur incroyable. Ce livre a été écrit vers 1975, et j'avoue avoir ressenti grâceà son talent d'écriture tous les frissons et le dégoût que j'ai pu avoir lors des attentats du 11 septembre. A côté de ça il est quand même un maître pour le frisson. Il sait jouer avec les mots, pour nous faire resentir l'horreur, l'angoisse.. enfin il vaut mieux dans ce style de bouquin.



Mais à côté de ça l'histoire, en elle même, est bateau et ne tient pas debout. Pour moi la fin est baclée et au final je suis assez déçue.

Alors je mets 3 étoiles quand même pour le côté frisson, mais l'histoire n'en mériterait que 2
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La Conspiration des fantômes

Un bon moment de lecture.

James Herbert est un auteur que je découvre, car je n'ai pas lu la précédente aventure de son courageux personnage David Ash dans Dis-moi qui tu hantes. (D'ailleurs, c'est dommage que sa fin soit révélée dans ce tome car j'aurai bien aimé le découvrir également).



Ici, il a pour mission d'enquêter dans un village de campagne anglaise appelé Sleath. Même si ce petit coin de paradis semble bien tranquille, les premières manifestations ne se font pas attendre.

J'ai aimé suivre David dans son enquête et découvrir la vie de certains habitants de ce village qui subissent ces hantises.

Le style de narration m'a un peu fait penser à du Stephen King, où chaque personnage à sa petite histoire. Ils sont bien développés et cela nous mène à plusieurs petites intrigues très prenantes.

J'ai trouvé l'écriture assez fluide donc agréable.

Par contre, pour une histoire de fantômes et de paranormal, je m'attendais à plus de frissons. C'est le seul bémol selon moi, sinon l'histoire est très plaisante.

A lire.
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Les rats

Fuyez pauvres fous !



Ces énormes rats sont particuliers, ils ont goûté au sang humain et maintenant plus question de se nourrir des restes, l’homme est un met noble et savoureux, une nourriture riche et abondante et l’homme ne leur fait plus peur, ils le narguent, ils ont faim, ils sont des milliers et se reproduisent en masse. Fuyez pauvres Londoniens. (vous avez de la chance les Parisiens, ce n’est pas encore votre tour ! :-)) euhhh je m’égare…. Fuyez pauvres Londoniens disais-je, les rats sont organisés et efficaces, ils attaquent en groupe. Bientôt une école, un cinéma, c’est terrifiant… imaginez qu’en pleine séance, un tapis de rats se mettent à dévorer les chevilles des spectateurs. Un carnage.



Une aventure au comble de l’épouvante menée de main de maître par James Herbert. Le roman est très court et très dynamique, difficile de le fermer en cours de route car la tension, le suspens et l’angoisse sont présents tout au long de ce page turner de bonne facture.



Je vous disais que le roman est très court mais vous pourrez toujours vous jeter sur « Le repaire des rats » pour le deuxième tome de la trilogie des rats. Enfin pour autant que vous soyez encore capable après cette lecture de vous endormir dans votre lit en laissant votre tête déborder de la couverture…… moi personnellement, depuis, je dors dans un sac de couchage totalement étanche avec une bouteille de plongée et un détendeur dans la bouche pour respirer. Ca laisse une haleine de phoque au réveil mais j’ai toujours mes deux oreilles !



Merci à Greg320i pour son conseil de lecture et cette plaisante initiation dans le domaine de l’horreur.

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Fog

J'avais ce livre dans mes pense-bêtes depuis fort longtemps… J'ai fouiné, recherché sur mes sites d'achat et je l'ai enfin trouvé accompagné de plein d'autres amis…

C'est grâce à @nicolak (et je t'en remercie), qui avait fait une critique sur un coffret « fin de siècle » que j'ai eue envie de lire cet ouvrage. C'est même grâce à cette critique que nous nous sommes rencontrés… Arrêtons là mon histoire personnelle et parlons du livre…



Un récit qui m'a tenu en haleine tout le long du recueil, j'adore James Herbert que j'ai découvert avec le roman « les autres » que je vous conseille vivement.

Une fin évidente, mais bienvenue, des enchaînements d'événements inattendus entrecoupés de terreur, d'humour, de rage et de course-poursuite… Tout ce qu'il faut pour passer un très bon moment de détente et d'angoisse :-).



Bonne lecture !
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Fluke

James Herbert ne faisait pas partie des auteurs de SFFF que j’avais envie de découvrir dans l’immédiat. J’adore la SF, j’aime beaucoup la fantasy mais j’ai très peu d’affinités avec le fantastique.



C’était sans compter le petit défi que m’a lancé Senna, lire Fluke. J’ai vu le film il y a très longtemps (il est sorti en 1995).



Pour résumer l’histoire, un homme s’est réincarné en chien. Il va progressivement se souvenir de son ancienne vie et, convaincu d’avoir été assassiné, décide de retrouver son meurtrier pour se venger.



Rien de terrifiant, mais je dois avouer que je me suis un peu ennuyée. Je ne me souvenais plus de la fin. Finalement, c'est aussi bien comme ça.



Je n’ai pas trouvé l’écriture de l’auteur mémorable mais le roman se lit facilement.









Challenge SFFF 2022

Challenge XXe siècle 2022 (1977)

Challenge mauvais genres 2022
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Le sombre

Ce roman de James Herbert à tout du style « Masterton » !

On y trouve pèle-mêle des crimes affreux, des suicides, des actes de barbarie, des flots de chair et de sang, du sexe assez cru, et encore de la violence sous toutes ses formes…

Tout commence dans une maison anglaise, où plus d’une trentaine de personnes sont mortes assassinées ou suicidées.

Un enquêteur s’occupant de phénomènes paranormaux va être mandaté pour mener une enquête à ce sujet.

Et à partir de là, des actes tous plus ignobles les uns que les autres vont avoir lieu autour de cette maison.

J’ai bien aimé ce roman si ce n’est que j’ai trouvé la fin complètement ratée, elle arrive très vite, en quelques pages c’est réglé, n’a aucun sens après tout ce qu’on a lu avant et dégouline de bons sentiments.

A noter que la couverture du livre montre une créature alors qu’il n’y en a pas une seule dans le roman, encore une belle prouesse des éditeurs !

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Les rats

Comme chacun sait, l’homme est au sommet de la chaine alimentaire. Il est le plus grand prédateur que la terre ait jamais connu. Le plus grand prédateur ? Une nouvelle race de rats, plus futés et un tantinet plus gros, des rats hyper-vitaminés, bodybuildés, viennent de faire leur apparition dans les quartiers déshérités de Londres et paraissent bien décidés à ravir à l’homme son leadership. Inutile de préciser que si la race humaine se retrouve déclassée du jour au lendemain par ces maudites bestioles, ce ne sera pas sans quelques tracas pour elle.

Tel est le postulat du livre de James Herbert.

Il raconte l’histoire de gens normaux qui doivent faire face à cette invasion spectaculaire et sanglante. La plupart en meurent dans des conditions effroyables. D’autres survivent, non sans avoir perdu au passage un doigt ou une oreille grignotés par les affreux voraces. En passant, l’auteur égratigne les autorités et les politiques qui ont sous-estimé le danger et laissé la « vermine » se répandre dans les quartiers pauvres.

J’ai beaucoup aimé le dernier combat des grands fauves échappés du zoo ; tigres, lions, panthères, tous réunis dans une dernière lutte héroïque contre cette multitude rampante, tandis que les hommes fuyaient à toutes jambes.

Si ce livre ne m’a pas foutu les boules, j’ai quand même écarquillé les yeux à de nombreuses reprises, et quand il fallut, au milieu de la nuit, rejoindre mon lit, je n’ai pas osé, pour y déposer mon verre sale, faire un détour vers la cuisine plongée dans la plus totale obscurité. Un coup de paresse probablement…

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Les rats

Les rats, de James Herbert, premier tome d'une trilogie, est le roman de l'auteur anglais qui m'a fichu le plus la trouille.



L'histoire en elle-même est très simple : des personnes à Londres se font mordre par de gros rats noirs aux dents affûtées comme des rasoirs. Celles-ci (les personnes mordues, pas les dents) décèdent peu de temps après morsure, foudroyées par un mystérieux virus.

L'angoisse puis la panique augmente en même temps que le nombre d'attaques. Les rats pullulent et ne semblent plus craindre les humains.



Et c'est parti pour quelques centaines de pages bien flippantes. Même pas besoin d'être musophobique, James Herbert, par son écriture quasi cinématographique et son sens du thriller, se charge parfaitement de répandre l'épouvante chez ses lecteurs.



Je déconseille fortement la lecture des Rats avant de partir en camping... Je n'ai pas beaucoup dormi à l'époque à cause de ce fichu bouquin!

Finalement c'est plus sympa Ratatouille!
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Hanté

J'avais envie d'un livre "qui fait peur" et ce roman m'a comblé.

Nous suivons le quotidien de David Ash, qui travaille pour un institut s'occupant de tout ce qui touche au paranormal, il tente de démasquer toutes les supercheries qui pullulent dans ce domaine.

Pour cela, il se rend dans des églises, des maisons réputées hantées, ils assistent à des séances de pseudo-médiums etc.. David Ash est un personnage vraiment attachant, il est réaliste, ne croit pas du tout aux fantômes et autres apparitions mais est pourtant à l'écoute de ceux qui requièrent son aide.

Je ne peux pas réellement dire que j'ai ressenti de la peur pendant ma lecture mais il règne une ambiance malsaine très particulière tout au long du roman, le décors est très visuel, les scènes étranges se succèdent à un bon rythme et les personnages sont vraiment intrigants.

Ce n'est pas l'histoire la plus originale que j'ai lu dans ce genre mais elle tient bien la route et j'ai très envie de lire " La conspiration des fantômes" dans lequel on retrouve David Ash pour de nouvelles aventures.
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