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Citations de Jean Dufaux (1681)


- Elle voudra s'achopper !
- À chacun ses occupations. Je lui laisse les siennes. Moi, j'ai mon Épictète à terminer.
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Chacun, dans cette histoire, tombera dans son piège. Le mien m'engloutit sans grande résistance de ma part !
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Sanctus est l'enjeu d'une bataille décisive entre les forces du Bien et du Mal, entre les Moriganes et ceux qui veulent libérer l'île de toute trace de sorcellerie. C'est pourquoi, je suis prêt à affronter le Guinea Lord. Car il n'est pas question de lui livrer qui que ce soit.
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Jean Coupe-Droit: Vous marchez d'un bon pas d'homme...
Emilio: Je n'ai jamais oublié que j'en suis un.
Jean Coupe-Droit: Vous portez bien la robe, cependant...
Emilio: Les atours féminins me conviennent. Je leur dois la vie.
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Fine Flamme: Tu n'as pas de chance avec les femmes. A chaque fois, elles te tirent dessus! Mais tu as la peau dure. A chaque fois aussi, tu en réchappes. L'expérience doit te plaire... Tu aurais dû me prévenir que tu aimais mélanger le plaisir et la douleur...
Raffy: Du plaisir!... je n'en ai jamais eu en ta compagnie!
Fine Flamme: Hmm... tu me permettras d'en juger autrement. Quoi que tu prétendes, tu aimais te trouver dans mes bras. Jusqu'à ce que tu rencontres cette idiote qui t'a ensorcelé par ses titres et ses prétentions à je ne sais quoi...
Raffy: Dona Maria Del Scuebo. Ma douce Maria...
Fine Flamme: La femme d'un marchand d'esclaves, une catin comme moi, prête à tout pour sauver sa peau. Et elle s'en est tirée, ma foi. Pas comme toi qui te retrouves à ma merci... ce qui n'était guère souhaitable.
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Ferrango: Mais... dites donc... j'ai l'impression de vous connaître. Nous nous sommes déjà rencontrés, pas vrai?
Emilio: Exact. Mais je m'étais présenté sous un aspect différent...
Ferrango: Vous étiez un ami du capitaine Flynn?
Emilio: J'ose le croire.
Ferrango: Je lui ai vendu une donzelle, au capitaine, vous savez pas ce qu'elle est devenue?
Emilio: Mr Flynn lui a rendu sa liberté. Je la croise parfois. La liberté, c'est ce que nous désirons tous. Mais je suppose que le marchand d'esclaves que vous êtes éprouve quelque difficulté à comprendre cela...
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Mange-Brèche: Ah! Ce sont mes chérubins qui vont être contents! Voilà la nourriture!! Mais... y saigne!! Il est blessé! C'est fort embêtant. Mes petits chérubins, y pourront pas se retenir... Viens! Que je te présente, y sont deux... Croque-Misère et sa fille, Dent-de-lait, c'est d'elle qu'il faut se méfier. Si j'ai une jambe arrachée, c'est à elle que je le dois. Mais je ne lui en veux pas. Elle aurait pu prendre la carcasse entière... j'étais mal engagé, faut avouer.
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Jean Coupe-Droit: Quoi?! Ferrango a surpris son épouse alors qu'elle le trompait!
Goudron: ça durait depuis un petit moment, paraît-il... mais quelques billets anonymes l'ont prévenu de son infortune!
Jean Coupe-Droit: Et qui profitait des charmes de l'épouse, de Dona Maria?
Goudron: Le jeune Raffy. Celui-là, il va passer un mauvais quart d'heure...
Jean Coupe-Droit: A savoir?
Goudron: Ferrango a demandé que l'on ouvre la cuve aux ailerons.
Jean Coupe-Droit: La cuve?... il y avait bien longtemps... Il faut faire vite! Retourne-toi. Je ne suis pas d'humeur à ce que tu me vois ce matin! Je ne veux pas que l'on exécute Raffy. Ont-ils oublié que c'est le fils de Blackdog? Et ce que nous devons tous, à ce dernier?
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De La Loya: Lâches! Il faut donc que vous soyez aussi nombreux pour m'abattre?!!
Raffy: Non! Un seul suffira! J'en fais mon affaire!
De La Loya: Un gamin?!
Blackdog: Ce gamin est mon fils et il m'apportera ta tête!
De La Loya: C'est ce que nous verrons!
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Depuis la mort de notre fille, il doute. Mon ambition m'avait poussée à épouser un dieu, je me retrouve avec un homme. Un homme qui se prend pour un dieu. Ce n'est pas la même chose. Et il se fait que cet homme...j'ai appris à l'aimer.
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J'ignore le mal qui le ronge. C'est comme un grand feu en lui, un feu qui dévore tout.
Vie de feux. Flammes des amertumes.
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Devant Rome, il n'est que deux solutions possibles: s'humilier ou se révolter.
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Parmeno : Mon pauvre maître ! Quel pitié que de le voir dans cet état...
Chevalier : C'est un poète !... Il connaît la souffrance des poètes...
Giovanni : Bah, messieurs... Tant que l'on peut payer le prix de ses souffrances...
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Caterina : Dis... Tu ne trouves pas que je vieillis ? Ce matin, je me sentais laide... Je crois même que j'ai attrapé une ride près du nez...
[…]
Giacomo : Tu ne vieilliras jamais, ma Caterina... Jamais les rides ne te prendront... Car, dorénavant, chaque matin, tu penseras ainsi à moi...
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Murena : Elle a déjà joui plusieurs fois. Elle ne réagit plus.
Krisea : Continue. Elle aime ça.
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- Je ne suis pas Anaktu, tu le sais.
- Pourtant, tu m'as guéri...
- Et pour cela, j'ai sacrifié la vie d'un homme... Un homme qui m'a aimé autrefois... dans une autre vie
- Oublie-le ! A présent, que tu le veuilles ou non, tu appartiens à mon peuple... tu m'appartiens !
- Vraiment ?... Alors, c'est que la malédiction du djinn a encore frappé.
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Une perle... juste une perle !
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Et alors ? Tu n'as pas à avoir honte de ton corps. Qu'ils te désirent tous... cela te rendra plus belle encore.
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- Le voilà !... Dieu soit loué...
- Dieu n'a rien à voir dans cette histoire, M. Bloodgast. Qu'il en reste éloigné le plus longtemps possible serait même dans nos intérêts.
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Dis donc, vieux rat, tu n'es tout de même pas amoureux de cette vipère?!

Que nenni! Que nenni! Qui...Qui suis-je pour oser seulement y penser?!!!

Mouais! Je préfère! On ne se méfie jamais assez de Miranda. Le temps d'un soupir et elle vous a déjà entortillé dans ses déhanchements lascifs...

Ahhhh...mais je veux bien être entortillé, moi!
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