Jean-Pierre Andrevon

Un roman très particulier mais si bon, une ambiance folle, une très bonne histoire, un livre qui se lit d'une traite et qui m'aura vraiment marqué, débutant mon amour pour Andrevon.

Très bon roman de zombies, avec beaucoup d'humour, un humour noir, un fond écologique, des idées très originales autour des zombies, du grand Andrevon.

Une courte histoire fantastique qui fait froid dans le dos. L'écriture de Jean-Pierre Andrevon est toujours si plaisante, un auteur dont je recommande vraiment de faire connaissance.

Grâce à une écriture précise et sensuelle, Jean-Pierre Andrevon développe des histoires passionnantes mais dures et à déconseiller aux plus jeunes.
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J'ai eu du mal à terminer ce livre qui est pourtant court. Dans ce petit roman, Jean-Pierre Andrevon explore la thématique du cauchemar et de la perte de repères entre le rêve et la réalité. L'idée de base est bonne, mais je n'ai pas réussi à y croire, ni a être prise dans le suspens. Je pense que cela est dû au fait que le récit est très prévisible. Les scènes gores m'ont semblé artificielles, un peu "gratuites" et répétitives. Ce n'est pas la première fois que je lis des romans de Jean-Pierre Andrevon et j'ai vraiment du mal avec son style d'écriture. Le vocabulaire et les métaphores utilisées sont très redondantes tout au long de ces oeuvres (même s'il a globalement beaucoup de vocabulaire, ce qui rattrape un peu).

Du même auteur, j'ai largement préféré "Zombies, un horizon de cendres" et "Le monde enfin".

Ce livre constitue une bonne porte d'entrée pour découvrir l'univers d'Andrevon. A travers des nouvelles recueillies au cours de 40 ans de carrière, on a une vue d'ensemble de ce que peut être l'originalité de cet auteur dans le paysage imaginaire français. Ces histoires indépendantes, plus ou moins longues, semblent toutes reliées entre elles par les thèmes et la manière de les aborder. Je recommande vivement ce recueil à quiconque est curieux du travail d'Andrevon ou qui veut s'essayer à une fantasy plus atypique.

Un court roman sur une Terre du XXIIIe siècle, sur laquelle une catastrophe dont on ne parle pas plus que ça a eu lieu. Agréable à lire, ça n’est pas le roman que l’on retiendra. Son roman « Le monde enfin », sur une Terre après une catastrophe est autrement plus réussi et magnifique.

Une nouvelle histoire de paradoxe temporelle bien foutue, courte, sans chichis ni développement.

Un groupe humain part de la Terre à la recherche de nouvelles planètes pour s’y implanter, la Terre ne pouvant plus supporter indéfiniment sa surpopulation. Il va finir par arriver sur une planète où résident déjà des êtres humains, tout pareil à eux, ayant mis en place une drôle de religion et un drôle de dieu. Le paradoxe ne fait que commencer.

Rien à vraiment dire de plus. On passe un bon moment à lire ce roman court que l'on oubliera assez vite certainement. Idéal pour les vacances.

Un roman SF assez sympathique et plutôt amusant

Le meilleur livre postapocalispe !

premier roman que je lis de cet auteur et j'avoue que c'est une bonne surprise et que j'ai passé un agréable moment à le lire

La fragilité de la nature et la nécessité de la protéger.

Lecture facile 10-12ans

Fabien, Ludo et Kofi traînent leur ennui entre les barres grises de la cité où ils habitent. Au milieu de l'hiver glacial, on dirait que la neige a étouffé les bruits habituels du quartier. La semaine qui débute pourrait presque ressembler aux autres, si les trois garçons n'avaient entendu une rumeur d'enlèvements étranges. Il faut dire qu'ils ont vu de leurs propres yeux une voiture noire très louche se glisser silencieusement dans les rues désertes…



L'avis d'Antoine, 15 ans : Il faut du temps pour s'approprier l'histoire, car le suspense tarde à venir. J'ai trouvé ce roman trop court, et la résolution de l'intrigue très décevante.





L'avis de la rédaction : L'auteur ménage si bien le suspense au début du roman, qu'on regrette la résolution trop hâtive de l'énigme. Dommage, car le cadre de l'intrigue est original et bien campé.

Très loin de ce à quoi je m'attendais !

Un livre de zombie intéressant, un autre style que de l'horreur bien sanglante que j'ai l'habitude de lire ou de voir !

On est au commencement de l'invasion des morts-vivants ! Voilà un thème bien peu abordé et qui suscite beaucoup de questions !



L'histoire commence le plus normalement du monde dans une famille de banlieue...

Au début, on croise un voisin au détour d'un trajet qui n'aurait jamais dû y être puisqu'il est mort depuis quelques semaines

Puis on apprend de par les informations que les morts reviennent à la vie de manière apathique et rentre chez eux, un miracle de la vie ou un cauchemar naissant ?



On se met facilement à la place des personnages, comment réagirions-nous dans un cas similaire ? Le livre est très proche d'un réel plausible.



Un livre qui mérite à être lu !

Un livre étonnant et envoutant.

Le style de Andrevon est très daté et français, à cause des années fin du 20° siècle et des références permanentes aux acteurs et films français des années 50/60 ; au début cela m'a dérangé et légèrement agacé; à cela s'ajoute une narration qui prends son temps en décrivant le quotidien du furet et de son étrange travail , les quartiers pauvres - la nécropole - , les quartiers riches , le quartier intellectuel....Cette façon de faire est assez linéaire et différente du rythme et du style des romans d'anticipation d'aujourd'hui.

Mais une ambiance désespérée et violente s'installe et le rythme s'accélère et le lecteur est entrainé dans la course désespérée du héros.

Ce héros qui n'est pas franchement sympathique, et dont le quotidien est se partage en meurtres, séance de relaxation et de contrôle de soi, et une relation passive au début avec Jos/Jean Seberg (encore une référence cinématographique). Jos est fascinante avec ses absences mais aussi ses yeux tachés de gris et son sourire; la scène du zoo est poignante , elle dans sa petite robe et son plaisir presque enfantin , et lui , pressentant le malheur et le monde caché qu'il découvre.

La scene de poursuite dans les sous sols du métro est hallucinante, les descriptions et l'action se mêlent avec efficacité.

J'ai peu à peu été embarqué dans ce rythme qui s'accélère, les détails de la vie quotidienne de cette société , les bâtiments, et les personnages comportements barrés et empreint de résignation et de désespoir.

Le thème de cette société "idéale" bâtie sur un mensonge est tracé simplement et efficacement, et ouvre à la réflexion.Lorsque l'on pense le personnage porté par la révolte , et la vengeance c'est de nouveau le désespoir et le nihilisme de cette société qui l'emporte et nous laisse pantois.

Un beau roman , marquant , qui , une fois fermé, vous laisse rempli d'images pittoresques, violentes , et désespérés, avec le regard de Jos comme contrepoint.

Petit livre sans prétention 86 pages. Bien .

très bon roman, très facile à lire.

Une approche totalement différente de tout ce qui a été écrit sur l'invasion zombique, surprenante et inattendue, assez drôle même !



Une évolution de la situation finalement alarmante au fils des chapitres.



Les "non-vivants" passent du côté zombie et l'histoire est vécue en huis clos à travers le personnage principal, faisant face à une fatalité de plus en plus présente.



Pas de fin à l'américaine...du tout.

La fin se rapproche sévèrement d'un certain livre de Monsieur Matheson....

Jean-pierre Andrevon et Philippe Cousin.