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Critiques de Jean-Pierre Andrevon (381)
Il faudra bien se résoudre à mourir seul

Un livre que j'ai lu il y a maintenant quelques mois, et dont j'aurai dû faire la critique bien plus tôt, car de l'eau est passée sous les ponts et je n'ai plus qu'un souvenir très lointain et très vague de ce que j'ai lu ! ("foutu Alzheimer" !!!)



Par contre, je me souviens que toutes les nouvelles ont une forte connotation sexuelle, mais dans le sens de la perpétuation de l'espèce.



Et finalement, une bonne partie d'entre elles transpire le désespoir et la tristesse d'être témoin de la disparition imminente du genre humain qui n'aura même pas su se reproduire ! ...



A ne pas lire si on est dépressif !
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Les retombées

Avec sa collection « Dyschroniques », l’éditeur exhume des textes de science-fiction pouvant éclairer notre présent.

Le texte de Jean-Pierre Andrevon est une illustration des écrits politiques et culturels militants visant une diabolisation outrancière du nucléaire.

A croire que les seules retombées que l’on peut attendre du nucléaire sont la militarisation et le fascisme.

Reflet d’une époque et d’une idéologie qui montre, de nos jours, ses limites.
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Cauchemar, cauchemars !

Jean-Marie Perrier est à moitié assoupi dans un train et sa mémoire flanche. Des hallucinations s'ajoutent à l'amnésie, renforçant sa paranoïa. Son billet de train l'a mené à Saint-Expilly qui est censée être sa ville d'origine et il se rend compte que son nom sur sa carte d'identité est Hubert Kempf. Il reprend donc le train direction Poigny, sa nouvelle ville natale.

Le personnage principal est dans un doute perpétuel, une routine circulaire angoissante. La répétition sans logique temporelle ou spatiale amène une dimension quantique existentielle. L'ubiquité des personnages et l'état de chat de Schrödinger de sa mère renforcent l'impression de torture mentale pour un homme manipulé psychiquement par des savants fous présents dans un autre plan de réalité. Dans ce carrousel d'occurrences la pression est aussi physique par la fatigue et la douleur d'un homme qui vieillit trop vite. Comme un éternel voyageur dans une spirale qui brouille les sens, il est au centre d'une machine à produire de la paranoïa dans les échos de ses cris de terreur. Cette vision cybernétique de la composition d'une conscience, qui date de 1982, contient la crainte sociopolitique de la manipulation de l'esprit et de ses dérives.
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Les rebelles de Gandahar

Sur Tridan, un objet céleste en orbite autour de la planète est repéré. Après concertation la reine Myrne Ambisextra charge ses scientifiques et Sylvin Lanvère, accompagné d’Airelle, de concevoir un moyen de l’intercepter. Dans la tradition des animaux-véhicules, ils utilisent un outréiforme, poisson sphérique et hermétique, pour s’envoler grâce à des feux d’artifice, s’inspirant de Cyrano de Bergerac. Ils visitent alors une nef de colonisation venue de la Terre et rencontrent Athna, la seule survivante, qui les ramène à Gandahar à bord de son petit astronef. Sylvin l’escorte ensuite dans une visite du royaume.

Dans ce cinquième épisode du cycle de Gandahar on retrouve le même contexte prémoderne, la planète avec sa faune et sa flore, les personnages emblématiques et une candeur bucolique. La menace vient du passé en la personne d’Athna à la mentalité industrielle et accompagnée de ses robots dans l’optique de développer la société archaïque par l’électricité et le pétrole, usant de son charme pour enclencher un engrenage de production et de pollution. Dans ce roman pour la jeunesse, le message écologiste est bien présent, la démesure de la transformation de la nature assassinant la simplicité de cette sage civilisation dans un reboot de la folie terrienne. Le livre pointe la difficulté de faire marche arrière après l’escalade dans la complexité et l’arrivée d’une disharmonie provoquant dissension et violences. Et finalement, plaider pour l’indépendance d’esprit, contre la paresse et l’oubli, auprès des enfants est une belle démarche.
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Ce qu'il y avait derrière l'horizon...

Jo était parti seul pêcher et il avait fait une sieste sous un arbre. Il se réveille et décide de rentrer chez lui, retrouver sa famille. Sur la route, même pour un dimanche, il ne perçoit aucune activité humaine. Alors qu'il arrive dans l'appartement, sa petite famille comme possédée tente de le tuer.

Lorgnant d'abord du côté de l'invasion zombie, le récit est plutôt la traque d'un homme seul, survivaliste forcé et paranoïaque chassé par ses proches dans une ville fantomatique. Les confrontations sont très sanglantes, psychologiquement harassantes et nimbées d'un complotisme extra-terrestre sur fond de menace reptilienne, d'une inquiétante étrangeté. L'histoire débute dans de l'horreur aventure à la première personne puis dérive dans une science fiction action de divertissement à l'ancienne, qui s'insère ensuite dans une sorte de space opera aux préoccupations métaphysiques et cosmiques. Jean-Pierre Andrevon met de la variété dans ce livre formaté à 180 pages, ne craignant pas d'être fantasque.
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Cauchemars d'acier

Fred Carré est à une soirée entre amis dans laquelle il connait peu de personnes avec sa petite amie Karin, plus jeune que lui et qui s’amuse allègrement. Fred s’ennuie et boit plus que de raison. Lors du retour en voiture une dispute lui fait perdre le contrôle sous la pluie. L’accident est inévitable, il s’en sort avec un doigt cassé et Karin meurt.

On assiste à la descente aux enfers psychologique dans un delirium glauque, nourri par la paranoïa et la culpabilité d’un homme habité par son passé et obnubilé par l’horreur biologique, par l’alliance du métal et de la chair. L’écriture est très imagée, d’une poésie sombre et hallucinée, pour décrire cet égo-trip sur la broche métallique de sa fracture et l’image de Karin qui le harcèle. Fred sombre dans l’horreur médicale qui décuple sa psychose, des constructions mentales déraisonnées dans une angoisse extrême face à un manque de communication propice aux illusions galopantes. C’est un livre d’une tension intense parcouru par la flamboyance d’un délire cybernétique. Avec son humour et la subtilité de la narration Jean-Pierre Andrevon réclame la crédulité du lecteur pour accompagner le personnage dans ce cauchemar.
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De vagues et de brume

Habituellement, j’aime bien Jean-Pierre Andrevon pour ses histoires pleines de mystères et d’énigmes à l’instar d’un « Désert du Monde », de « La trace des rêves » ou encore de « La maison qui glissait » pour ne citer que ceux-là.





L’accroche de « De vagues et de brume » promettait un récit du même genre. Pourtant, passé les premières pages, la déception commença à s’installer. Cette enquête dans un monde post-apo insulaire s’est avéré peu inspirée et extrêmement prévisible. Pas de suspens dès lors que l’on devine vite et facilement les tenants et aboutissements du récit. Heureusement, ce court roman présente l’avantage… d’être court.





Ouvrage plus qu’anecdotique dans la bibliographie de l’auteur.
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Anthologie des dystopies

Super liste de lecture pour tout fan de dystopies

On y trouve des livres et des films à lire/voir absolument.



J'y ai découvert d'excellents ouvrages pourtant peu connus du grand public, qui gagnent sincèrement à être découverts.

Non non je ne vous donne pas de piste, il faudra parcourir l'ouvrage vous-même !
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Le temps des grandes chasses

LE TEMPS DES GRANDES CHASSES de JEAN PIERRE ANDREVON

Un des grands écrivains français de SF, un des moins connus et pourtant, quelle originalité chez cet homme qui développe toujours des univers si particuliers. Dans ce roman, le questionnement principal va tourner autour de la notion de progrès vs la nature et le bon sauvage de Rousseau.

Un clan primitif se croit seul sur terre, et, apparaît dans le ciel oiseaux de fer. La confrontation, puis l’enlèvement d’une partie du clan pour l’amener sur la planète des envahisseurs afin d’alimenter des jeux du cirque, sera l’occasion pour Andrevon de développer ses idées écologistes et humanistes.
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Zombies et autres infectés

Lue dans le cadre d'un challenge où son titre en Z m'a été précieux. Le sujet "zombies" n'étant pas pour me déplaire.

J'ai pris plaisir à lire ces nouvelles. Toutes différentes, elles nous offrent un scope assez large de ce que serait la vie et surtout les humains (non infectés bien-sur) dans un monde qu'il faut partager avec les Zombies. Certaines font penser à des scénarios de films d'horreur des années 80, d'autres font réfléchir à ce que l'être humain peut devenir (de pire) confrontés à un monde ou il faut survivre, un monde ou la violence est acceptée et pas toujours du côté que l'on croit.

A réserver à des lecteurs qui aiment le genre.
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Planète verte : Gorilles en péril

Andrevon écrit ici une livre jeunesse intelligent, évoquant au passage, et sans fard, Diane Fossey et les suites du génocide.

Une bande de jeunes, révoltés par le trafic d’espèces menacées, embarque pour le Rwanda. Trahis par leur guide, ils traquent les trafiquants avec pas mal de déboires dans la jungle, la pluie, la boue.

Cette histoire m’a d’autant plus intéressé qu’en mars 2018, j’ai eu le bonheur de côtoyer, une demi journée au fond de la jungle, des dos gris et leurs bébés dans le "Bwindi Impénétrable National Park" en Ouganda, aux frontières du Ruanda et du Congo, là où se passe l’action.
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Un horizon de cendres

Pour ma part je ne suis pas du tout SF et encore moins zombies, tombée sur ce livre complètement au hasard je me dis pourquoi pas...

J'ai tout simplement adorée, j'ai décorée tout simplement ce petit roman qui fait 244 pages mais qui contient une très bone intrigue de bon détails qui mon surpris... Gros coup de cœur
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Neuf morts par quelques nuits d'hiver

La quatrième de couverture ne pouvait que m'appâter : Les dix petits nègres dans une ambiance Shining, signé Jean-Pierre Andrevon !

Et le roman tient ses promesses. Je n'ai pas pu le lâcher : il fallait que je sache comment l'intrigue se dénouait.

Prévoir une bonne couette pour la lecture, parce que l'ambiance est glaciale, le froid qui règne suinte à travers les pages !

Le récit est bien rythmé, aucun temps mort. Savoir "qui" et "pourquoi" n'est pas la préoccupation du lecteur, mais "comment" : un jeu de quilles mortel dans un décor d'urbex.

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C'est un peu la paix, c'est un peu la guerre

Il est possible, et même probable, qu'à certains moments à la lecture de ce livre, page 26, 83 ou 111, allez savoir où, quelque part comme ça en plein milieu, et alors que rien ne vous appelle ailleurs, vous ayez envie de le fermer un peu. Ce sera juste que vous aurez lu trois ou quatre nouvelles d'affilée, peut-être même une seule, dans certains cas, et que leur densité est telle que vous en serez suffisamment nourri. Prenons un exemple : quand on vient de finir "Les raisins de la colère", on n'attaque pas "A l'Est d'Eden" dans la minute qui suit, pas vrai ? Eh bien là c'est un peu pareil, mais en beaucoup moins de pages. C'est à ça qu'on reconnait les recueils de nouvelles vraiment bons, voire grands, et le mieux est de ne pas leur opposer de résistance, mais plutôt de les utiliser au mieux, au fil du temps, dans toute leur richesse et leur profondeur.
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Encyclopédie de la guerre au cinéma et à la télévis..

Les représentations de la guerre au cinéma sont innombrables, comme les faits de guerre eux-mêmes, non seulement dans le genre de film de guerre, mais aussi à travers le péplum, le film d'aventures, le film historique, la science fiction et la fantasy et même les comédies musicales, sans compter bien entendu les films dont le thème n'est pas la guerre, mais ayant la guerre en toile de fond (films d'espionnage, film noir...). Cet ouvrage s'attache à montrer comment Hollywood s'en va t-en guerre, et montre un semblable balancement entre films favorables ou de propagande et films dénonciateurs.
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Le dernier dimanche de M. le chancelier Hit..

Un tout petit roman qui nous présente un Adolf Hitler réfugié aux États-Unis en 1949 suite à sa défaite contre l’URSS.

On apprendra surtout à la fin du roman comment le monde a dévié de la réalité, mais c’est surtout la description d’un Hitler vieux, atteint de Parkinson et d’Alzheimer et qui se pisse dessus à cause de sa prostate malade qui est le cœur du récit.

Heureusement que le roman est court car la description de cette loque est au départ intéressant mais cela finit par devenir long et ennuyant.

Je n’ai pas trouvé l’intérêt de se focaliser sur cet homme perdu, absent alors que finalement, ce qu’il se passe à l’international est plus intéressant.

La conclusion du roman est plutôt bien amené mais je reste sur ma faim.
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Le Travail du Furet

Une lecture par moments difficile, accusant à bien des égards le poids des années comme subissant les choix narratifs et conceptuels audacieux de son auteur.

Mais au final une lecture très enrichissante, et surtout un renversement final rare d'habileté.
Lien : https://syndromequickson.com..
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La maison qui glissait

Ce qui arrive à cette tour et ses habitants est plutôt intriguant, et on ne comprend pas trop ce qu’il se passe tant les manifestations sont variées. Au début, l’ambiance est plutôt fantastique : des habitants qui ont disparu, des morts étranges, des créatures dans la brume. Et chaque jour, une nouvelle tuile qui leur tombe dessus, avec une ambiance de plus en plus science-fictive, tellement on a l’impression de se trouver sur une autre planète. Prises individuellement, elles n’ont rien de vraiment originales, mais l’ensemble est divertissant et intriguant, à défaut d’être effrayant.



Et maintenant, donc, les points négatifs.



Du côté du style, déjà… C’est très, très descriptif, avec un style assez lourd qui ne convient pas à l’aspect divertissant du texte, et un défaut de relecture avec des coquilles qui vont jusqu’à des erreurs de noms. Je n’ai par ailleurs pas compris l’intérêt de nous donner la marque du sirop que boit machin, ou celle de leur café (je les ai pas comptées, mais c’est impressionnant le nombre de marques citées ! Je me suis même demandé si l’auteur n’avait pas été sponsorisé…).



Tous les personnages féminins sont décrits en fonction de la taille de leur seins et leurs moeurs sexuelles, avec une sexualisation vraiment malaisante par moments, et les personnages masculins semblent avoir du mal à faire preuve de retenue (les scènes de masturbation, de descriptions scabreuses et autres sont plus nombreuses que les scènes gore…). Et c’est pas érotique, hein, c’est juste dégueu, avec une scène quasi identique à la scène finale du film The Society (si vous ne connaissez pas, n’allez pas voir). Du coup, oui, le livre m’a dégoûtée, mais pas à cause de son côté horrifique, finalement assez soft et pas très inventif (d’ailleurs, c’est plus trash que gore).



Pour ce qui est de l’intrigue, c’est très long à démarrer, et je me suis ennuyée pendant presque la moitié du livre, parce qu’il ne se passait au final par grand-chose, et c’est pas très intéressant de suivre des persos sans personnalité et tous plus clichés les uns que les autres (et inclure de la diversité, c’est bien, mais si c’est pour faire de la caricature, c’est pas la peine, sérieux). On ne s’attache à aucun d’entre eux, et on attend juste qu’ils y passent, comme pour n’importe quel film d’horreur pour ados. Il y avait pourtant quelques idées intéressantes pour l’un des protagonistes, mais malheureusement ça n’aura pas suffi. J’ai par ailleurs été très déçue de la fin.
Lien : https://limaginaerumdesympho..
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Gandahar

J'avais peut-être jugé Andrevon de façon trop expéditive. Catégorie insupportables donneurs de leçons qui n'ont jamais mouillé la chemise, bref gauche caviar, dans la version papys-boumeurs soixantehuitards. Sans doute, ce verdict à fleur de peau contenait une grande part de vérité. Ajoutez à cela que je suis allergique à la science-fiction parce que je déteste tout ce qui est artificiel (et comme personne n'a jamais rien vécu à rebours...) Alors pourquoi ai-je lu du Andrevon? Pour deux raisons principalement. Primo, il fallait tout de même que je connaisse au moins un livre du "plus grand écrivain de SF français". Secundo, j'avais peut-être conclu un accord secret avec moi-même, celui de me prouver que j'avais raison pour jeter le bouquin au bout de deux chapitres. Je me suis donné tort. Andrevon est beaucoup plus subtil que je ne l'avais supposé. Plus complexe. Plus ambigu, aussi. Tellement ambigu, en fait, qu'il est heureux pour lui qu'il soit passé de mode, sans quoi la presse, allègrement, l'aurait sans doute ajouté au bataillon des soi-disant "rouges-bruns" en compagnie de Jean-Claude Michéa, Christophe Guilluy et hier, Michel Onfray. Rouge-brun, cette expression qui avait été inventée par la CIA pour condamner les Russes de tout bord qui voulaient se débarrasser du fantoche ivrogne Boris Eltsine pour restaurer leur souveraineté et stopper le démantèlement de leur pays. Comme Kévin Boucaud-Victoire, qui a tout compris, l'a clairement dit: toute personne qui, au nom de la liberté et de la dignité humaine, s'opposera à l'asservissement à la tyrannie de la mondialisation néo-libérale sera déclaré "rouge-brun". Andrevon n'étant pas simpliste et assez peu enclin, finalement, à réciter les leçons du politiquement correct, langue officielle de la "gouvernance globale", finira sans doute stigmatisé par Libération ou France Culture, comme les autres. Je recommande JPA. Inouï il y a encore 24 heures.;)
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