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Critiques de John Grisham (1554)
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L'affaire Pélican

Le début du roman est vraiment sidérant et plonge dans le mystère, on ne peut se résoudre à reposer le livre… et puis hélas l'intrigue devient un peu plus convenue, aborde des thèmes moins originaux, mais cela n'en reste pas moins un très bon livre dans son genre.
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La Firme

Honnêtement, la lecture de ce roman est un peu lointaine pour moi et la critique en sera donc succincte: je me rappelle surtout que, comme pour L'Affaire Pélican, il m'a été à peu près impossible de lâcher le livre une fois celui-ci commencé. Le "page-turner" par excellence, comme on dit en bon français!
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Les Imposteurs

La lecture de la firme m'avait envouté. Les lectures suivantes de Grisham dont celle-ci m'ont plutôt déçues. J'ai d'ailleurs lu ce livre de façon erratique. L'histoire renvoie aux travers d'une société où gagner de l'argent sur la misère du plus grand nombre est un objectif en soi. L'endettement des étudiants américains sur la base de promesses de carrières fictives pour la plupart est une honte, mais aussi une réalité. L'intérêt de ce livre est sociologique mais sûrement pas littéraire.
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Le manipulateur

Super livre de John Grisham, avocat de métier. Suivez l'histoire de Malcolm, avocat du sud-est des états unis.

Ce livre s'articule autour d'une connaissance impressionnante de l'auteur du milieu judiciaire. Profitez de son expérience et plongez vous dans ce livre.

Bonne lecture !
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Le Cas Nelson Kerr

Le Cas de Nelson Kerr de John Grisham ( livre de poche - 379 Pages )



Excellent roman de John Grisham que j'ai lu en deux jours.

Bruce est libraire sur l'ile de Camino.

Un cyclone arrive. La majorité des habitants quittent l'ile. Mais certains vont rester.

Après le passage de l'ouragan, les dégâts sont importants.

Il y a des morts. Nelson Kerr, écrivain et ami de Bruce est l'un des tués.

La mort de Nelson est suspecte et ressemble à un meurtre.

Nelson venait d'écrire un nouveau roman. Aurait il été assassiné pour l'empêcher de paraître ?

Comme tous ses romans, John Grisham nous tient en haleine.

L'enquête nous plonge dans un scandale des maisons de retraite.

Un sujet d'actualité également en France.

A lire.

Mireine
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L'allée du sycomore

J'ai découvert l'auteur avec ce livre.

J'ai beaucoup aimé, j'avoue avoir eu quelques craintes quant aux sujets abordés.

(Peur d'un politiquement correct très en vogue pouvant faire chavirer le récit dans de la guimauve bien pensante)

Ce n'est pas le cas, l'histoire est passionnante, j'ai été agréablement surpris

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Son nom sur la liste

Je lis tous les Grisham depuis des années. Ses romans sont classés dans le genre policiers et le sous-genre romans judiciaires. "Son nom sur la liste" est plutôt un thriller pur et dur.



Un serial killer sévit en Floride. Le lecteur le connait dès le départ : il s'agit d'un juge ! Il a notamment tué un de ses anciens professeurs et c'est sa fille, Jeri, qui le traque depuis plus de 20 ans. Elle a découvert qu'il est l'auteur de plusieurs meurtres, mais toutes les enquêtes sont tombées à l'eau.



Elle ne vivra vraiment que quand l'assassin de son père sera en prison. Mais le juge connait l'expertise médico-légale, les procédures de police, la loi. De plus, il est extrêmement intelligent et il sera difficile de le faire tomber...



Et puis, peut-on s'en prendre à un tueur en série sans qu'il ajoute "son nom sur la liste" de ses prochaines victimes?



J'ai bien aimé l'intrigue, le fait qu'une femme puisse découvrir tout ce que la police n'a jamais été capable de découvrir en plus de 20 ans. Toutefois, connaitre le meurtrier dès le début du livre fait perdre un peu de l'impatience que le lecteur a de découvrir le fin mot de l'histoire. Et puis, j'ai trouvé ça tiré en longueur avec beaucoup de redites.



Ce n'est donc pas le roman que j'ai préféré de l'auteur...
Lien : http://phildes.canalblog.com..
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La sentence

Ouf !!!

Je viens enfin de terminer ce pavé (500 pages quand même). Inconditionnel de John Grisham, je me suis obligé à aller jusqu’au bout malgré les longueurs…



Le sujet :

Nous sommes en automne 1946. Pete Banning, planteur de coton, est de retour depuis un an des Philippines où il s’est comporté en héros. Il se dirige vers l’église et froidement, il tue le Pasteur Dexter Bell.

Arrêté, il reconnaît les faits…

Jamais, il ne va chercher à se défendre. A-t-il pensé à toutes les conséquences de son geste …



Ce livre se découpe en trois parties.

Le meurtre : 210 pages

Dans celles-ci, l’auteur nous raconte le meurtre et ensuite on assiste à un procès tout en longueurs dont on devine déjà la conclusion.

Durant, ce partie, le personnage de Pete est de plus en plus antipathique. Son attitude vis à vis de ses enfants est à peine tolérable. Et j’aurais compris que son avocat le laissât tomber tant il donnait l’impression de mépriser tout le monde.



L’ossuaire : 150 pages

Dans cette partie on rencontre un Pete courageux, pugnace et intraitable suite aux sévices supportés.

C’est en fait un récit documentaire sur la guerre aux Philippines. Sans doute, la partie la plus intéressante. On survole rapidement les jeunes années de Pete. Puis, on découvre l’enfer. L’auteur nous donne un éclairage sur les affres de la guerre contre les japonais.

De cet enfer, Pete revient complètement cassé mais en héros.

La encore dans cette partie, même si les décors et les ambiances sont bien décrits, il y a des redondances.



La trahison : 140 pages

Ce sont les règlements de compte qui nous amèneront à la vérité sur les 10 dernières pages. C’est long, ça tourne en rond.



En conclusion, le texte est noyé dans des détails et des digressions inutiles. Ce n’est pas aussi percutant que ce que j’ai lu chez cet auteur.

Bref, ça n’est pas le Grisham de « La firme » ou de « L’engrenage » ou encore du « Dernier Juré ».



Où est le thriller, tout est convenu …

Déception !!!

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Les partenaires

Il y avait longtemps que je n'avais pas lu cet auteur, et je suis déçue.

Dans mes souvenirs, les procès précédents n'étaient pas sortis d'un chapeau avec pour seul but engraisser les avocats...

Ormi Davis qui tire son épingle du jeu, j'ai trouvé les personnages désagréables.

Quant au procès, il s'accélère d'un coup mais je me sais pas comment l'avocat est parvenu à trouver ses dossiers, dommage....

En revanche, j'ai apprécié la recherche faite autour de la seconde affaire.
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Pas de Noël cette année

L’auteur est plus un habitué du milieu judiciaire mais j’ai envie de le lire dans un autre registre. La couverture est divine.Cette année, les Krank ne fêteront pas Noël, leur fille Blair vient de partir de la maison et ils se retrouvent tous les 2, ils décident de s’offrir du bon temps.. Exit la cohue et les courses effrénées la veille du réveillon. Terminés la dinde et le sapin. Sans oublier les sempiternelles guirlandes et l’odieux bonhomme de neige synthétique !



Avec l’argent économisé, ils vont s’offrir une croisière ! En tout cas, c’est leur projet mais malheureusement leurs voisins ne sont pas du même avis …



En effet, chaque année leur quartier remporte le concours des plus belles décorations de Noël. Leurs voisins vont donc tout faire et absolument tout faire pour faire changer d’avis les Krank…

Cette comédie très américaine ne m’a pas transportée. C’est caricatural au possible, parfois drôle. Ce qui m’a touché, c’est le revirement des voisins et amis, qui s’étaient offusqués de ce voyage jusqu’à mettre des batons dans les roues, vont venir donner un coup de main… C’est ça la magie de Noël… Mais c’est très guimauve, j’avoue avoir lu parfois en diagonale. Il ferait une bonne adaptation au cinéma façon « Maman j’ai raté l’avion ».
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Le Maître du jeu

Je crois que c'est la première fois que je lis un livre avec autant de personnages !

J'ai donc eu beaucoup de mal au début et s'arrêter et le reprendre me mettait la boule au ventre. Je déteste ça.

J'ai donc pris une feuille et un stylo et j'ai commencé à noter les perso. et les détails les concernant de manière à mieux visualiser qui est qui et qui fait quoi.



C'est le procès de ces grandes compagnies américaines de tabac. Enfin, l'une en particulier, mais elles se serrent les coudes car elles savent que si l'une est impactée, elles le seront aussi.

C'est Céleste Wood, la veuve de Jacob Wood qui est décédé d'un cancer du poumon après avoir fumé 2 paquets par jour pendant de trop nombreuses années qui attaque cette compagnie.



L'auteur nous livre toutes les indications sur les dangers de la nicotine et de la cigarette en général, les addictions, les publicités qui poussent à la consommation de plus en plus jeune.

C'est des faits que l'on connait mais la question est de savoir si on peut punir une compagnie pour des faits qui sont connus mais qui n'empêchent pas les gens de fumer, de tomber malade et de mourir ? De marquer le coup ?

Il y a aussi ce qu'elles sont capables de payer pour empêcher que ce procès ne bascule du mauvais côté, pour elles.

Heureusement, je ne fume pas, je crois que ce livre m'aurait dissuadé de m'en griller une de plus !



Mais ce qui est intéressant surtout, c'est le jeu d'échec qui se déroule tout au long du livre.

Ce juré, Nicholas Easter qui semble pouvoir influencer les membres du jury mais dans quel sens ? Pourquoi ? Comment ?

J'ai bien aimé cette fin

John Grisham est le maître et nous sommes ses disciples lecteurs de la première à la dernière page.
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Pas de Noël cette année

De nos jours, est-il socialement acceptable de décider de ne pas fêter Noël dans notre société ? Voici la question à laquelle tente de répondre ce livre de façon humoristique. 



J'y vois une satyre de la société de (sur)consommation, exacerbée au moment des fêtes de fin d'année où tout est dans l'excès. Mais également une satyre de notre société de façon générale, dans laquelle, pour être accepté, il faut être normé. L'individu qui souhaitera faire les choses de façon différente sera pointé du doigt. Cela amène donc à s'interroger sur la réelle liberté d'agir. 



Malgré ces considérations philosophiques, cela reste un roman court, dont le rythme est soutenu, très agréable et que l'on lit le sourire aux lèvres de bout en bout tant les gags s'enchaînent. 

Et j'aime particulièrement la morale de la fin du roman : Noël c'est avant tout, et "dans le monde entier un moment de joie et de paix". 
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Le Droit au pardon

Un thriller juridique époustouflant. Un John Grisham à son meilleur niveau.



Jake est commis d’office par la cour pour défendre le petit DREW, meurtrier d’un flic très apprécié de la population.

La population a déjà rendu son verdict, le coupable ne mérite que la peine de mort, une sentence particulièrement prisée dans le Mississipi. Elle considère Jake aussi coupable que son client, puisqu’il accepte de défendre l’assassin d’un flic.

Mais Jake a la réputation d’être un avocat redoutable, qui a le cran de prendre les sales affaires, se battre comme un lion pour les démunis qui n’ont personne pour les protéger.

Quitte à ce que cette affaire mette en péril sa carrière. Au risque de devenir la personne la plus détestée du comté.

John Grisham nous fait découvrir les dédales de la justice américaine, le travail préparatoire méticuleux et anxiogène du dossier de la défense.

Plus on avançait dans la lecture, plus on était impliqué dans le procès et plus on avait hâte d’être dans la salle d’audience pour la bataille avec son point d’orgue : la plaidoirie finale.

Jake trouvera-t-il les mots magiques, les paroles miraculeuses pour sauver son jeune client du couloir de la mort ?



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Le Droit au pardon

C'est le premier livre de John Grisham que je lis et j'ai vraiment beaucoup aimé.

Jake Brigance défend Drew qui a tué le compagnon de sa mère. Mais il s'agit du meurtre d'un policier et l'affaire est complexe même si les violences conjugales ont bel et bien existé.

Ce livre m'a tenue en haleine jusqu'à la fin.
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Le couloir de la mort

Le couloir de la mort/John Grisham

L'action débute dans l'État du Mississipi en 1967. Un commando de trois hommes affiliés au Ku Klux Klan a décidé de se débarrasser d'un avocat antiségrégationniste. Marvin Kramer, avocat de renom, sa femme et leurs deux fils sont installés à Greenville depuis des années. Juifs d'origine allemande, leurs ancêtres vivent ici là depuis quatre générations.

Jeremiah Dogan est le financier du commando. Sam Cayhall est le coordinateur et Rollie Wedge l'artificier, spécialiste en explosifs.

Lors de l'explosion qui ne s'est pas passée comme prévu, Sam qui n'aurait pas dû être là, est blessé et interpelé par la police pour avoir gêné l'intervention des forces de l'ordre. Les deux enfants Kramer sont atrocement tués et Marvin très grièvement blessé.

La blessure de Sam le trahit par la présence de morceaux de verre et il est incarcéré puis présenté au juge. Son avocat parvient à faire ajourner le procès, et Sam peut rentrer chez lui.

Un nouveau procès a lieu six mois plus tard mais est également ajourné pour vice de procédure.

Marvin se suicide en 1971. le FBI fait tout pour relancer la procédure. Ce n'est qu'en 1979 que des événements vont faire ressortir l'affaire. Un nouveau procureur, jeune et brillant, est élu à Greenville. La vie des Noirs a bien changé entre temps, la ségrégation est abolie et ils ont droit de vote.

Par ailleurs, Dogan est accusé de fraude fiscale. Il lui est proposé de lui éviter la prison s'il témoigne contre Sam Cayhall dans l'affaire de l'attentat contre Kramer. Un troisième procès s'ouvre en 1981 et Sam Cayhall est reconnu coupable de deux assassinats et condamné à mort. Près de dix années se passent en prison pour Sam.

En 1990, Adam Hall, un jeune avocat de Chicago opposé à la peine de mort veut prendre en charge le dossier Cayhall pour lui éviter la chambre à gaz. En vérité, Adam est le petit -fils de Sam…Son père, Eddie, fils de Sam, désespéré et humilié s'est suicidé quelques années après la condamnation à mort de Sam.

Adam est entré dans un gros cabinet d'avocats de Chicago neuf mois auparavant ayant appris que ce sont des avocats de ce cabinet qui avaient en charge le dossier Cayhall. Au cours d'une discussion, son chef Goodman lui fait part de sa conviction que Cayhall n'a pas agi seul, mais que jamais il n'a voulu dévoiler le nom de ses complices car tenu par un serment fait au sein du Ku Klux Klan. Il est bien évident que si pouvait être mise au grand jour la complicité de tiers, cela changerait tout et entrainerait une révision du procès.

Adam entreprend toutes les démarches pour rencontrer son grand-père dans la prison de Parchman. Il appréhende cette première confrontation. Sam est un vieillard à présent et son petit-fils n'a que 27 ans pour prendre en charge une telle affaire et obtenir un sursis. Adam apprend en entrant à la prison que Sam doit être exécuté dans quatre semaines et ne veut voir personne…

La première rencontre entre les deux hommes au parloir du quartier de haute sécurité met en évidence tout le talent de l'auteur pour faire de ce moment un temps de grande émotion au-delà du contexte qui a conduit à la condamnation à mort. Adam a préparé durant sept années cette séquence, n'étant même pas certain de pouvoir la réaliser. Il va tout faire pour éviter la chambre à gaz à son grand-père. Il a un plan qu'il est peut-être le seul à pouvoir mettre en place, car son sang et aussi celui de Sam et il parviendra peut-être à faire dire à Sam ce qu'il n'a jamais voulu dire pour se sauver. Avec habileté il questionne Sam qui accepte de répondre, mais en ne disant pas toujours la vérité et cela, Adam le sait mais ne le montre pas. La question qui revient souvent concerne les explosifs qu'il affirme avoir manipulé. Or on se souvient que c'était Rollie Wedge l'artificier, lequel n'a jamais été inquiété par la justice, comme s'il n'existait pas. L'explosion qui accuse Sam n'est peut-être pas de son fait. Et puis Sam apprend à Adam que Dogan qui avait témoigné contre lui dans le cadre d'un marchandage avec la justice, est mort dans l'explosion de sa maison un an jour pour jour après son témoignage. Coïncidence ?

500 pages d'un suspens absolu pour savoir si Sam va donner le nom de Wedge pour échapper à l'éxécution.

Un thriller sans un temps mort, remarquablement construit et écrit, abordant avec subtilité la question de la peine de mort et la vie des condamnés en attente de leur exécution. Adam pourra -t - il éviter à son grand-père la chambre à gaz ?

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L'informateur

C'est mon deuxième roman de Grisham après "Le testament". Ce sont deux lectures différentes par le fond, même si le fil conducteur reste toujours les avocats. Pour la forme, j'ai retrouvé une écriture plaisante, sans lourdeur et sachant nous captiver. La fin de "L'informateur" m'a fait penser à un compte-rendu documentaire. Cela donne un coté réaliste, mais nous prive du classique rebondissement final.
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Son nom sur la liste

L’idée d’un potentiel tueur en série exerçant la profession de magistrat est absolument incroyable et très originale. Un juge acceptant des pots-de-vin peut sembler « logique », mais un juge « tueur » – là, j’ai trouvé l’idée complètement démentielle, et j’adore ce qu’a imaginé John Grisham !
Lien : https://mellecupofteabouquin..
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Le Testament

C'est mon premier Grisham. J'y reviendrais pour vérifier si il essaie à chaque fois de nous convertir au christianisme évangélique. Nous avons là un Eldorado inversé. Au lieu de partir en Amazonie à la recherche d'un trésor, il s'agit d'y aller pour en apporter un. C'est bien là la seule originalité de ce roman tout de même bien écrit et captivant.
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Le Cas Nelson Kerr

En commençant ce livre, je pensais qu'une bonne intrigue pleine de rebondissements allait subjuguer le roman. Grave erreur car je ne me suis jamais autant ennuyée pour lire un livre.



Un meurtre dont la police n'a rien à faire. Une bande d'amis/collègues (on ne sait pas trop) tente d'élucider ce mystère en faisant appel aux connaissances de l'un d'eux qui est propriétaire d'une librairie en vogue....mouais, bof, pas vraiment ma tasse de the!



Je ne recommande pas, assez déçue...
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L'idéaliste

Si le nom de John Grisham ne m'était pas inconnu, je n'avais rien lu de cet auteur. Ayant trouvé par hasard ce roman dans une boîte à livres (édition poche 1998), je l'ai emporté pour le lire. Je l'ai terminé il y a quelques jours.



Rudy Ray, jeune avocat en manque de clientèle, est un personnage sympathique, plein d'empathie pour les plus faibles (Dot et son fils, Miss Birdie, Kelly) . La première affaire qu'il prend - alors qu'il n'a pas encore passé le concours d'avocat - est du genre pot de terre (l'avocat et le cas Donny Ray) contre le pot de fer (la compagnie d'assurance Great Benefit et le cabinet d'avocat Drummond). L'auteur consacre une grande partie de l'ouvrage au déroulement du procès, c'est surprenant et intéressant mais très différent des procès en France (Michael Connelly dans la série Mickey Haller a également décrit les procédures américaines).



Même si la fin peut surprendre l’Idéaliste est un bon roman. Les personnages sont tous fort bien dessinés, la situation de l'Amérique, vu de Memphis, est décrite sans concession ni complaisance.
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