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Critiques de João Guimarães Rosa (39)
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Mon oncle le jaguar et autres histoires

Je suis restée hermétique à la majorité des nouvelles de ce recueil. Je comprends, grâce à la postface, que l’écriture de l’auteur est faite pour déranger, interroger, qu’il ne faut pas chercher à tout comprendre… mais il y a des limites à l’expérimentation selon moi.

Dans la majorité des nouvelles je me suis trouvée embourbée dans des phrases faisant peu, voir pas, de sens, des histoires qui n’en sont pas, des narrations qui font au-delà de l’expérience.



Assez ironiquement l’une de celles que j’ai apprécié est celle qui ne se compose que de paroles, et même pas d’un dialogue étant donné qu’un seul personnage s’exprime. C’est l’une des nouvelles que j’ai su apprécier, grâce au jeu du langage. Ce fait me fait donc dire que ce n’est pas la langue expérimentale qui m’a posé soucis, mais bien ce désir d’une écriture ne faisant pas sens.



En somme ce n’est absolument pas un recueil que je conseille à tout le monde. Il faut s’y plonger dans ayant parfaitement conscience qu’on va lire des nouvelles qui sortent de l’ordinaire, qui sont là pour déranger, pour emmener le lecteur très, très, très loin.

Malheureusement je n’ai pas su faire ce voyage, et ma lecture s’en est trouvée alourdie et, malheureusement souvent, ennuyante.
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Mon oncle le jaguar et autres histoires

Auteur et recueil encensés… On se demande bien pourquoi… Probablement parce qu'encore une fois, on confond contenu de l'ouvrage et auteur. Alors oui ! L'auteur est brésilien (un peu d'exotisme) et parle des peuples brésiliens minoritaires (et opprimés). Mais ce n'est pas suffisant pour crier au chef-d'oeuvre (même ma libraire de référence, Millepages à Vincennes, le fait). En réalité, les nouvelles sont inintéressantes et soporifiques. Les lire est un supplice. D'autant plus que l'auteur ne cesse d'inventer des mots et de pratiquer le néologisme. Cela, mélangé au vocabulaire typique et non traduisible des peuples brésiliens, fait qu'au final on a beaucoup de mal à comprendre ce qu'on lit. Cela m'a fait penser à un auteur, bien français cette fois, qu'on encense également et que je trouve personnellement inintéressant et pénible à lire : Boris Vian. Les deux se ressemblent énormément. Si vous hermétique à l'un, inutile de perdre votre temps à lire l'autre. Au final, vous l'aurez compris, mieux vaut passer son chemin sur ce livre (même si la couverture de cette édition est belle et attire l'oeil).
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Diadorim

Les morts c'est en silence que l'on parle d'eux

Note de l'éditeur Un véritable tour de force sur le plan de la langue. Une des œuvres les plus abouties du siècle (Mario Vargas Losa)

"En Amérique du Sud, João Guimarães Rosa (1908-1967) est, avec Jorge Luis Borges, le géant continental du siècle. Comparé à la fois à La Chanson de Roland, à l'Énéide et au Docteur Faustus de Thomas Mann, Diadorim est un roman d'amour et d'aventures, tout ensemble mythique, réaliste et romantique, classique et novateur. Si ce livre est le roman de la littérature brésilienne, il est aussi, en raison d'un travail unique sur la langue, une des grandes œuvres de la littérature universelle" Titre original Grande Sertao Veredas (1956)

Ce roman d'amour et d'aventures est considéré comme LE roman de la littérature brésilienne, mais il est aussi une des grandes œuvres de la littérature universelle

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Diadorim

Cette histoire est à l’exemple du Sertao, ce fin fond du Nordeste Brésilien, sa lecture est d’abord un peu déroutante comme cette vaste étendue aride. Avec patience et courage nous partageons peu à peu par sa lecture la vie des Jagunços, ces bandes de hors la loi ou au service de grands propriétaires terriens ou de politiciens. Riobaldo nous raconte cette histoire, dans un monologue continu, posé sur 630 pages, celle de sa vie, de ses errances comme jagunço dans le Sertao, ses états d’âme, son amitié profonde pour un compagnon d’armes, Reinaldo dit Diadorim.

A la trame épique s’ajoute l’éthique si particulière à la vie grégaire des jagunços, avec leurs codes, leurs règles, leurs références, l’ontologie des états d’âme de Riobaldo, sa condition humaine face aux forces démoniaques, celle du rapport au milieu géographique du Sertao... C’est une lente et nécessaire initiation (pendant plus de 200 pages), puis l’action se corse. La clef de voûte n’est livrée qu’en toute fin du livre, elle donne à l’ouvrage toute sa force, toute sa noblesse, par une chute magnifique. Le comparer à d’autres ouvrages me semble réducteur, il a toute sa singularité et est digne des 100 livres à avoir lus. Après en avoir fini une première lecture, le reprendre à son début encourage à le redécouvrir à nouveau, car déjà y figurent les grandes interrogations de Riobaldo. L’œuvre semble opérer ainsi une boucle qui incite à sa relecture sous des angles différents...

Difficile alors de résumer un tel livre. La brillante préface de Mario Vargas LLosa en présente toute la richesse et l’ampleur, celle d’un livre aux lectures multiples dans une unité d’ensemble.

P.S. : Un petit bémol, l’expression « au jour d’aujourd’hui » qui revient plusieurs fois dans le cours de la traduction.

le 30/11/2019

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Sagarana

Comme pour celle de Diadorim, je suis insatisfait de ma première critique, où je me contentais de "synopsiser" ma nouvelle favorite de ce recueil : "L'heure et le tour d'Augusto Matraga".



Une relecture de quelques nouvelles fait ressortir certaines des obsessions de JGR : le temps et les occasions manquées. Le temps passé, le temps qui passe. Nos erreurs qui restent ou qui ressurgissent. Pas étonnant pour un auteur qui a clos son chef d'oeuvre, Diadorim, par une lemniscate !



Quoique nous fassions, le temps passé nous rattrapera toujours, que ce soit en bien ou en mal d'ailleurs. Un bon souvenir peut donner autant le cafard qu'un mauvais. Notre passé est-il notre pire ennemi ? Voué à nous hanter même quand notre situation actuelle est meilleure que celle d'autrefois, voué à nous rappeler nos choix, nos oublis etc.



Comme ce personnage, qui après une vie de vagabondage parsemée d'escroqueries en tout genre, s'installera dans une petite bourgade du sertão et montera un commerce tout à fait licite et florissant. Mais au hasard d'une rencontre, son passé resurgira et...



Marche aussi avec le gros bras, frôlant la mort après une trahison, qui profitera de sa survie pour choisir la voie de la rédemption... Mais là encore, le passé tentateur s'en mêle...



Ou ce personnage, frappé de "saudade" de sa terre natale et de tout ce qu'il y a laissé, après être parti sur un coup de tête à la Capitale pour vivre la vie qu'il prétendait mensongèrement avoir mené. La vie simple convenait-t-elle mieux à ce mythomane que la vie rêvée qu'il vit pourtant comme souhaitée ?



Idem pour ce personnage qui a fuit à la grande ville après une affaire d'honneur qui a mal tourné. Mais le temps qui passe veut-il dire qu'il nous oublie ?



Ou ces amours manqués par couardise ou bêtise, qui ne cessent de nous tourmenter...



Une des plus belles allégories du temps qui passe, de ce recueil, est quand l'auteur décrit une course-poursuite entre deux ennemis mortels, dont l'un fuit en ligne droite et le second use de détours et de raccourcis, ce qui fait que la droite est coupée de tangentes trop longues ou de sécantes trop courtes. Parfois, nous arrivons trop tard, parfois nous montons trop tôt dans le train.



Enfin, c'est ce qui rend la Vie belle. Nous savons ce que nous avons, nous devinons ce que nous avons loupé. Peut-être ce que nous possédons est ce que nous pouvons rêver de mieux ou peut-être que nos mauvais choix nous ont fait passé à côté de la vie que nous aurions mérité. Et l'inverse est vrai aussi.



Nous le saurons de toute manière jamais donc autant vivre notre vie telle qu'elle est!



Sagarana est le premier texte publié de l'auteur. Son style est loin d'être "diadorimesque" mais reste malgré tout très agréable à lire. Et nous y découvrons un vrai talent humoristique de JGR.



Je conseille de débuter l'oeuvre roséenne par ce texte avant de tenter Diadorim.
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Diadorim

C’est un petit chef d’œuvre de presque 600 pages que délivre Rosa par l’intermédiaire de Riobaldo le narrateur. C’est un long monologue qui nous parle de Diadorim, un gardien de troupeaux dans le sertao brésilien lieu abandonné des dieux. Des dieux? Il n’y en a jamais eu, nous sommes seuls sauf peut-être le diable s’interroge le narrateur mais même pour lui il n’est pas sûr. C’est un roman d’aventures. Riobaldo et Diadorim s’aiment d’une manière chaste et ce dernier est perçu comme un être idéal presque parfait. Un livre prenant, pas toujours simple à suivre dans sa narration parfois chaotique mais d’une incroyable beauté.
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Diadorim

Monologue labyrinthique, c'est assez spécial, il faudrait avoir l'esprit plus libre que ne l'ai en ce moment pour s'installer dans cet univers.

La préface de Don Mario confirme mon impression. Je lui fais confiance (j'avais adoré "La guerre de la fin du monde" dans le temps) .

Pour le moment, total désaccord avec la 4è de couverture qui évoque Don Quichotte ou la chanson de Rolland; en revanche je viens de me souvenir des ressassements d'un narrateur de Juan Rulfo (qui doit écrire plus ou moins à la même époque, sur des sauvageries mexicaines du début du XX° siècle.

Et bizarrement, je pense assez à une démarche proustienne de récupération de la (des) mémoire(s)
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Diadorim

Voici un des livres les plus surestimés de l’histoire de la littérature à mon sens. Et pourtant je suis plutôt du genre bon public en règle générale. Plutôt le genre à laisser sa chance au produit, même quand il me tombe des mains toutes les 10 minutes.. mais la franchement c’est au dessus de mes forces! Pas l’ombre d’une histoire, un texte vaguement métaphysique et franchement rébarbatif, tel est en résumé ce qui ressort de ce Diadorim souvent adulé par les lecteurs qui y voient une sorte de Don Quichotte du 20eme siècle... C’est étrange vraiment, car le héros de Cervantes est bourré de second degré, tandis que ce faux roman est assez prétentieux finalement. En tout cas pour ma part je n’ai pas réussi à franchir le tiers de ce livre ennuyeux au possible et plutôt mal écrit. Idéal en revanche pour lutter contre l’insomnie.
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Diadorim

Il faut le lire! Picaresque et moderne donc intemporel ... Cervantes et Céline réunis...une vraie épopée, passionnée et sanglante...une histoire d’homme aussi dans son rapport aux autres et à cette nature indomptable.
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Mon oncle le Jaguar

Difficile à apprécier. Est-ce intraduisible ? Je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire. M'a mise mal à l'aise.
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Diadorim

C'est en lisant la présentation ici-même de Diadorim que ma réflexion s'est approfondie en ce qui concerne ce que Babelio identifie comme la littérature SUD-américaine. Pour un européen, je suppose que la différence importe peu mais il y a trois amériques: amérique centrale, amérique du nord et amérique du sud. Des auteurs comme Alejo Carpentier ou Carlos Fuentes n'appartiennent ni à l'amérique du sud ni à l'amérique du nord. Peut-être faudrait-il modifier l'appellation: non pas littérature sud-américaine, ce qui exclut Fuentes et Carpentier, mais littérature latino-américaine.

Revenons à Diadorim et son résumé: «En Amérique du Sud, João Guimarães Rosa (1908-1967) est, avec Jorge Luis Borges, le géant continental du siècle.» Oui, en effet, si l'on exclut Fuentes et Carpentier, si Chamoiseau, Alexis, Depestre, ou le très grand, le titan Aimé Césaire sont exclus.

Avec Diadorim, Rosa est l'auteur d'un seul et unique roman, ce qui fait de lui un géant...

Et Borges, un faiseur de petites oeuvres, très conceptuelles et formalistes, cérébrales et apolitiques. En somme, de petits géants, ou des grands nains, ou des géants à genoux, ou...

(Quand on sait les dizaines de révolutions, les centaines de coups d'état, la multiplicité des dictatures et des régimes coloniaux (encore aujourd'hui, les dictatures molles d'Ivan Duque, les coups d'état parlementaires contre Pedro Castillo et Manuel Zelaya, le retour du refoulé avec Jeanine Áñez, entre fascisme et racisme exterminateur), il est très très très étrange de voir à l'oeuvre un écrivain reconnu comme Borges qui se tient à l'écart des tensions et des revers de son époque.)

Bref, c'est sans doute une image fantasmée pour lecteur blasé que celle de l'amérique du sud, une amérique de perroquets et d'exotisme, une amérique du baroque et de la surcharge, alors qu'il s'agit bien plutôt d'une terre d'injustice imbibée de sang, peuplée de millions de fantômes d'Indios et de millions d'africains, tous voués à un esclavage total.
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Mon oncle le Jaguar

Mon oncle le Jaguar fût ma deuxième expérience roséenne et fût assez semblable à ma première, Diadorim.



Tout d'abord, nous faisons face à la même trame narrative, à savoir : un narrateur s'adressant dans un long monologue à un narrataire qui n'a pas loisir d'intervenir dans la conversation, le premier nommé répondant à chaque fois à sa place.



Il faut se mouiller la nuque, bien plus que pour Diadorim, pour bien entrer dans cette courte nouvelle tant la langue est spéciale et décontenançante. Mélange de portugais vulgaire, de tupi mais aussi de grognement de félin.



Car le thème principal du récit est le félin. A proprement parler de l'once (onça en portugais), plus connu dans notre pays sous le terme de jaguar, et de sa relation/cohabitation avec l'Homme.

Le narrateur nous raconte sa mission qu'un riche propriétaire lui a confié : désonçer (pour reprendre le terme employé dans la nouvelle. Comprendre : exterminer les jaguars) les terres de ce dernier. S'en suit une introspection et un cheminement spirituel qui poussent notre "héros", métis d'un père portugais et d'une mère amérindienne, à changer son fusil d'épaule et de se prendre d'affection pour ses "soeurs" onces.

Le tout dans un mélange de croyances amérindiennes mais aussi chrétiennes qui caractérisent bien la dualité et l'errance psychologique du personnage.



Ce fût au final une belle expérience.

Petite nouvelle difficile d'accès mais qui mérite que l'on tente l'expérience.



P.S. : cette édition de la nouvelle n'est plus éditée. Se reporter vers Mon oncle le jaguar et autres histoires.
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Diadorim

Livre fleuve où  João Guimarães Rosa  nous met dans la peau d'un Juganço - un genre d'homme de main brésiliens . Il raconte à la première personne l'histoire de Reinaldo, de sa participation à la guerre des bandes

dans le sertao, de sa rencontre avec Diadorim et de sa relation ambigûe avec lui. Il nous parle aussi de sa relation avec le démon dont on ne sait si elle est rêvée ou réelle.



L'auteur, maître dans l'art de digression, nous emporte dans une aventure pleine de rebondissements. Un régal.
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Diadorim

Je viens de terminer mon énième lecture annuelle de ce chef-d'oeuvre et j'adhère de plus en plus aux derniers mots de la préface de Mario Vargas Llosa tant je redécouvre ce roman avec chaque fois : "Il n'est pas exagéré de dire qu'avec le temps d'autres lecteurs découvriront dans ce livre des dimensions insoupçonnées. Guimarães Rosa a écrit un roman ambigu, multiple, destiné à durer, difficilement saisissable dans sa totalité, trompeur et fascinant comme la vie immédiate, profond et inépuisable comme la réalité elle-même. C'est probablement le plus bel éloge que puisse recevoir un créateur."

Roman à lire dans une vie, une expérience unique !
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Diadorim

Grand livre d’aventure, dans la lignée de « Don Quichotte » nous dit la postface, rien que ça. Retrouvez-vous plongé dans le monde des Jagunços du Sertao, ces bandes armées qui sévissaient dans le Brésil de la fin du 19ème siècle. La guerre pour la liberté et plus exactement la liberté de jouir d’une terre – ce Sertao, riche et sauvage contrée qui rappelle le Far West américain.



Diadorim, c’est aussi des histoires de grands Hommes. Et au premier chef, Ze Bebelo et Joca Ramiro, de grands chefs de guerre aux valeurs morales exemplaires qui mènent leurs hommes pour faire campagne et sur qui tous les yeux et les cœurs se tournent.

Mais attention, ceci n’est pas un roman de guerre, vous ne trouverez pas de violence brute. On est dans le roman-tisme. Ici on parle d’aventure, de vie au grand air, d’amour fraternel entre Jagunços, du vrai amour aussi, « mal déguisé en amitié » (entre Riobaldo et Diadorim) pour reprendre le texte. Et puis le romantisme ne va pas sans trahison, vengeance, remords, tout un enchevêtrement de sentiments partagés à travers le récit de Riobaldo (narrateur et protagoniste principal).



A travers toutes ses aventures, Riobaldo partage aussi avec le lecteur ses réflexions sur la vie dans le Sertao, ses convictions, ses doutes, ses cas de conscience aussi qui l’amènent parfois à remettre en question la vie qu’il mène, les choix qu’il a fait. Au point que Riobaldo essaie de comprendre si tout ça n’est pas le jeu de Satan, jouant avec nous, pauvres ères sur cette Terre au goût parfois de Paradis, tantôt d’Enfer.
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Buriti

BURITI de JOÀO GUIMARÃES ROSA

Retour au Brésil et plus particulièrement dans le Sertão pour l’inauguration d’une chapelle qui sera l’occasion d’une grande fête. Dans cette langue si particulière d’Amérique du sud, l’auteur de Diadorim nous livre une fresque pleine de poésie et de tendresse.
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Diadorim

Immense roman, quelle verve, et du punch. Céline dans le Sertao !

Moi qui m’attendais à un roman plutôt classique, genre des « belles lettres », Henry James en jagunço - et quelle merveille au contraire (Henry James m’ennuie plus que tout).

Sautez sur ce livre, mangez-le, c’est un délice
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Diadorim

Si vous êtes amateur de Lucky Luke il faut absolument lire ce roman d'aventure. L'intrigue se passé dans le 'far ouest' de Brésil. Il y a un peu de tout: du sexe, des batailles à main armé, des longues promenades à cheval et une discussion à ne pas finir sur le bien et le mal. Avec quelques réserves c'est une excellente lecture pour le chalet.
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Diadorim

Une complexe par son style flamboyant
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