Le chat noir et gros, Zorbas, promet à une mouette victime d'une marée noire qui vient mourir sur son balcon qu'il protégera et apprendra à voler à Afortunada, le poussin à naître de celle-ci.
Tous les chats du port vont s'unir pour aider Zorbas à tenir sa promesse, dans un élan de solidarité.
Ces aventures sont teintées de rires, de solidarité de poésie et de douceur.
Ce récit est à mettre entre les mains de tous les enfants, mais aussi dans celles des adultes, qui y découvriront cette dimension poétique, tendre et solidaire.
L'auteur défend ici des notions très importantes de notre vie et de notre société.
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de magnifiques portraits avec une si belle écriture.
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La destruction de la mer par l'homme, et plus particulièrement de l'extermination aveugle des baleines. Sujet qui évidemment, rend triste et écoeuré.
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Court. Bien construit. Facile à lire.
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149 pages qui pourrait s'avaler comme une bouchée et pourtant...
Ce livre m'aura tenu une semaine allant dans mes moments disponibles aux nouvelles de Luis Sepulvedas. Personnellement je ne manquerai pas de faire la relation avec les nouvelles histoires extraordinaire d'Edgar Alan Poe ou bien encore avec les douze contes vagabond de Gabriel Garcia Marquez.
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Un conte animalier assez banal, l'histoire d'un escargot qui se met en quête d'un nom et d'une réponse à la question de sa lenteur. Ennuyeux.
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Le livre :
Une communauté d’escargots vit heureuse à déguster de délicieuses feuilles de Dent-de-Lion sous un acanthe. L’un d’entre eux n’est pas épanoui : il voudrait avoir un nom à lui et connaître la raison de leur lenteur. Il va en baver pour aller à la découverte de son destin…
Autour du livre :
Le titre de ce roman jeunesse m’a attirée.
J’aime beaucoup le style de Luis Sepulveda et en particulier son roman « le vieux qui lisait des romans d’amour » et j’ai été charmée par ce roman sur des escargots plein d’humour et de poésie.
Luis Sepulveda est un écrivain chilien né en 1949.
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Très beau livre avec un beau trait philosophique sur la lenteur. Un escargot rêvait d'avoir un nom, et de savoir pourquoi il allait si lentement. Les autres escargots ne surent quoi lui répondre. Il alla demander conseil au hibou
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Compilations de textes parus dans le quotidien La Montagne en 2009, des histoires qui racontent, sur un ton vif, le Chili, et la brigade internationale, des enfants pris en photos retrouvés 20 ans après, la rencontre avec son éditrice (Métailié), son premier livre édité à compte d'auteur, qui lui a inspiré d'écrire "le vieux qui lisait des romans d'amour", un programme de tv à élaborer, un chien de quartier, et bien d'autres histoires.
Je découvre avec plaisir cet auteur et m'empresse d'aller lire son roman le plus célèbre.
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Ce livre nous fait découvrir la chasse a la baleine au Chili a travers le rêve d'un petit garçon passionné par le roman de Moby Dick et le capitaine Achab principale acteur de cette histoire.
A 16 ans pendant ses grandes vacances scolaire il part en voyage avec l'accord des ses parent ceci garce au soutient de son Oncle P qui le soutiendra dans son périple. Avec le « Basque », capitaine d'un baleinier il découvre la chasse a la baleine, il trouva la chasse a la baleine interessante mais ne put s'empêcher de penser que c'était une mauvaise chose. Adulte celui ci ayant quitté le Chili pour l'Allemagne, il devint journaliste et ouvra un bureau de presse avec d'autre journaliste passé tout comme lui en free-lance pour défendre l'écologie avec le soutient de Green Peace. Il se voit contrains de retourner dans son pays natal pour éclaircir le mystère d'un baleinier Japonais échoue au Chili alors qu'il se trouvait en route pour Madagascar et censé avoir était détruit et la ferraille récupéré dans une ferraillerie du Pacifique. Le naufrage du Ninshu Maru a causé la mort de 18 personnes de l'équipage et de plusieurs blesse ainsi que d'importante avarie sur le navire. Avec l'aide du Capitaine Nilssen et de son équipage; il rejoint le Chili pour enquêter...
Thomas:J'ai beaucoup aimé ce livre, car il raconte l'histoire triste mais véridique de la chasse a la baleine et les action que peuvent entreprendre les organisation écologiste pour lutter contre la pollution et la destruction de l'écosystème.
Julie :
J'ai adorée ce livre, qui nous fait découvrir un autre univers magique mais dangereux. Les personnages sont attachant et leurs histoires touchantes. Ce livre où la lutte contre la baleine continu sans cesse, où on découvre les océans et leurs secrets. Il est tout simplement merveilleux.
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J'ai découvert Luis Sépulvedas en achetant "Le vieux qui lisait des romans d'amours" chez OXFAM. Plus tard "Le monde du bout du monde" sera le second livre de cet auteur que j'aurait lu suivi de Yacaré Hotline lu cet été 2014.
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Si, comme moi, vous entamez ce livre en croyant avoir affaire à un recueil de nouvelles à l'ambiance amazonienne, détrompez-vous. Quelle fut ma surprise en ayant affaire à de très courtes histoires, venues d'ici et d'ailleurs à cause d'exil et autres voyages, et racontant par bride la vie de cet écrivain à la plume raffinée. Laissons donc de coté l'immersion qui s'était montrée lors de la lecture de ''Un Vieux qui lisait des romans d'amour'' pour entrer dans un monde biographique de barricades et de voyages, de vie et de mort, d'amour et de déception qui plaira sans aucun doute à ceux qui voudrait en savoir plus sur le XXème siècle chilien, sur la vie de L.Sepulveda ou encore sur les révoltes et exils politiques d'Amérique Latine - le tout encré par une plume de qualité et des anecdotes parfois surprenantes.
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Etant débutant en espagnol, j'ai apprécié cette oeuvre bilingue pour me familiariser un petit plus avec cette langue. Ca se lit vite et pas trop difficilement, toutefois je n'ai pas trouvé les histoires transcendantes, sympathiques mais pas de quoi s'envoler pour le septième ciel.
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Histoire très poétique sur l'amitié entre un garçon, un chat et une souris. Agréable à lire, un sujet très émouvant.
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Le 11 septembre 2001 : on a retenu cette date pour les attentats américains mais qui se souvient du 11 septembre 1973 ? Date gravée à jamais dans la mémoire chilienne, jour du coup d'Etat mené par Pinochet avec la complicité de la CIA, entraînant le terme de la présidence d'Allende.
"Raconter, c'est résister". Cette citation de l'écrivain brésilien Guimaraes Rosa sur laquelle s'appuie Luis Sepulveda résume le ton adopté par l'auteur chilien dans ce livre nous délivrant son terrible sentiment d'injustice sur la personnalité de Pinochet.
L'opportunité de « célébrer » le 30ème anniversaire du putsch permet à Luis Sepulveda de rassembler dans ce livre 21 articles journalistiques publiés auprès de la presse européenne et sud américaine sur la période 1998-2002.
Il y est question d'indignations et de résistances : résistance face aux duplicités des politiciens nationaux (droite chilienne) et internationaux (notamment Kissinger, Nixon, CIA) pendant la période où Pinochet était à la tête du pays et sur l'amnésie sur le bilan de la politique du tyran.
Résumé non exhaustif de la pluie de dénonciations versées sur le régime dictatorial par l'écrivain chilien :
- les actions menées contre les opposants (résistants socialistes, communistes, chrétiens de gauche, front patriotique) à la politique à l'intérieur et à l'extérieur des frontières : disparitions (estimées à 4000 voir le rapport Rettig), massacres, kidnappings, tortures (autour de 35 000), condamnations à l'exil, incitations à la délation, censures de la presse
- le chaos social : perte des droits syndicaux (un rassemblement de plus de 3 personnes était considéré comme délit de subversion), régression sociale,
- le pouvoir de l'armée : 15% du budget de la nation consacré à l'armée destiné à faire mourir ses propres citoyens
- les modèles économiques imposés par le FMI et la Banque Mondiale sur 2 pays « cobayes » sud américains : Argentine (mise en cause du triumvirat Alfonsin, Menem, de la Rua plus nocif que Ben Laden responsables de la mort de 30 000 personnes en imposant un modèle économique injuste) et Chili
- les passe-droits de Pinochet lui permettant d'échapper à toute justice grâce à la possession d'un poste de sénateur à vie, à la détention d'un passeport diplomatique
- les bilans de santé des experts médicaux qui ont permis de mettre en suspens les actions des juges espagnol Garzon et chilien Guzman.
En effet, le juge Garzon réclame l'extradition du dictateur pour crimes et tortures en 1988 imposant 503 jours d'assignation à résidence à Londres. Pinochet ayant une santé précaire selon les experts, il est déclaré inapte à comparaître devant le tribunal et il est autorisé à retourner au Chili.
En 2000, Pinochet perd l'immunité parlementaire en tant que sénateur à vie. 200 plaintes pour violation des droits de l'homme permettent au juge Guzman d'ordonner une arrestation du Général. En 2002, Pinochet échappe au procès grâce au non lieu prononcé par la Cour Suprême alléguant une démence modérée de Pinochet.
Gardez le parapluie ouvert si les baleines ne sont pas noyées sinon changez le car Luis Sepulveda a fait sienne la devise de Monte Christo : ni oubli, ni pardon.
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Le 11 septembre 2001 : on a retenu cette date pour les attentats américains mais qui se souvient du 11 septembre 1973 ? Date gravée à jamais dans la mémoire chilienne, jour du coup d'Etat mené par Pinochet avec la complicité de la CIA, entraînant le terme de la présidence d'Allende.
"Raconter, c'est résister". Cette citation de l'écrivain brésilien Guimaraes Rosa sur laquelle s'appuie Luis Sepulveda résume le ton adopté par l'auteur chilien dans ce livre nous délivrant son terrible sentiment d'injustice sur la personnalité de Pinochet.
L'opportunité de « célébrer » le 30ème anniversaire du putsch permet à Luis Sepulveda de rassembler dans ce livre 21 articles journalistiques publiés auprès de la presse européenne et sud américaine sur la période 1998-2002.
Il y est question d'indignations et de résistances : résistance face aux duplicités des politiciens nationaux (droite chilienne) et internationaux (notamment Kissinger, Nixon, CIA) pendant la période où Pinochet était à la tête du pays et sur l'amnésie sur le bilan de la politique du tyran.
Résumé non exhaustif de la pluie de dénonciations versées sur le régime dictatorial par l'écrivain chilien :
- les actions menées contre les opposants (résistants socialistes, communistes, chrétiens de gauche, front patriotique) à la politique à l'intérieur et à l'extérieur des frontières : disparitions (estimées à 4000 voir le rapport Rettig), massacres, kidnappings, tortures (autour de 35 000), condamnations à l'exil, incitations à la délation, censures de la presse
- le chaos social : perte des droits syndicaux (un rassemblement de plus de 3 personnes était considéré comme délit de subversion), régression sociale,
- le pouvoir de l'armée : 15% du budget de la nation consacré à l'armée destiné à faire mourir ses propres citoyens
- les modèles économiques imposés par le FMI et la Banque Mondiale sur 2 pays « cobayes » sud américains : Argentine (mise en cause du triumvirat Alfonsin, Menem, de la Rua plus nocif que Ben Laden responsables de la mort de 30 000 personnes en imposant un modèle économique injuste) et Chili
- les passe-droits de Pinochet lui permettant d'échapper à toute justice grâce à la possession d'un poste de sénateur à vie, à la détention d'un passeport diplomatique
- les bilans de santé des experts médicaux qui ont permis de mettre en suspens les actions des juges espagnol Garzon et chilien Guzman.
En effet, le juge Garzon réclame l'extradition du dictateur pour crimes et tortures en 1988 imposant 503 jours d'assignation à résidence à Londres. Pinochet ayant une santé précaire selon les experts, il est déclaré inapte à comparaître devant le tribunal et il est autorisé à retourner au Chili.
En 2000, Pinochet perd l'immunité parlementaire en tant que sénateur à vie. 200 plaintes pour violation des droits de l'homme permettent au juge Guzman d'ordonner une arrestation du Général. En 2002, Pinochet échappe au procès grâce au non lieu prononcé par la Cour Suprême alléguant une démence modérée de Pinochet.
Gardez le parapluie ouvert si les baleines ne sont pas noyées sinon changez le car Luis Sepulveda a fait sienne la devise de Monte Christo : ni oubli, ni pardon.
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