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Critiques de Marie Pavlenko (1454)
Le livre de Saskia, tome 1 : Le réveil

Ce tome un est plus que prometteur ! Il y a des idées sympa et originales (je ne dis pas qu'il n'y en a pas de cliché et déjà vues, mais bon on ne peut pas tout inventer hein), les personnages sont funs (même si Saskia est un peu redondante par moment sur certaines de ses émotions et que c'est un p'tit peu agaçant à force). La trame de l'histoire est bien agencée, les infomations ne se révèlent pas toutes en même temps, mais progressivement au cours du livre, distillées dans les chapitres.

[...]
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Un si petit oiseau

J'aime beaucoup les romans de Marie Pavlenko et cette fois ci la magie a encore opéré, c'est un coup de coeur.



Abi est une jeune fille comme les autres, pleine de vie, d'envies. Elle croque la vie à pleines dents jusqu'au jour où elle perd son bras lors d'un accident de voiture.



Abi se renferme sur elle-même, elle est en colère, contre elle, contre le monde entier, contre le destin. Tout s'écroule, elle voulait devenir vétérinaire, que va-t-elle pouvoir faire comme métier avec un bras en moins ? Aura-t-elle de nouveaux un petit ami ? son avenir semble bien noir ...



Tous les personnages sont attachants, la mère ultra présente, angoissée aussi par le futur, lâcher prise pour elle n'est pas évident. Le père qui se réfugie dans l'humour pour ne pas avoir à pleurer, la tata d'Abi, un rayon de soleil et puis il y a la soeur d'Abi qui se sent délaissée et qui se rebelle mais comme on peut la comprendre également.



Abi va devoir vivre avec son handicap, la peur du regard des autres et c'est son cheminement que l'on va suivre tout au long de l'histoire.



Je me suis attachée à cette gamine, son histoire m'a touchée, dans le service hospitalier où je travaille il y a des patients qui viennent de se faire amputer, avant de travailler dans celui-ci j'étais dans un service de rééducation où arrivaient parfois des patients amputés et à qui il fallait réapprendre à marcher, à redevenir "autonome", l'histoire d'Abi m'a fait penser à eux, la rééducation est longue, le temps pour l'acceptation aussi mais finalement l'espoir de jours meilleurs arrive et bien que rien ne sera plus comme avant la vie continue ... c'est l'histoire d'Abi de l'accident à sa deuxième naissance ... et c'est magnifique autant que touchant
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Et le désert disparaîtra

C'est un roman puissant, qui m'a touché car il traite subtilement d'un thème important, l'écologie, face à notre société aujourd'hui. Marie Pavlenko nous y décrit un univers dystopique au niveau environnemental, en nous obligeant à réfléchir à nos actes quotidiens. Cependant, il y a une certaine légèreté et un côté poétique qui m'ont beaucoup plu. C'est un livre où il y a de l'aventure, que j'ai trouvé captivant car il explore une dimension temporelle intéressante : l'héroïne prend conscience du temps qui passe petit à petit. Elle évolue donc en conséquence au fur et à mesure de l'histoire, où elle découvre l'importance de la nature et ce qu'elle nous apporte. J'ai apprécié que l'on puisse facilement s'identifier à l'héroïne, Samaa, grâce à un point de vue interne. De plus, j'ai aimé la manière dont l'autrice décrit le désert. On sent que c'est un élément qu'elle connaît, puisqu'elle a vécu en Jordanie. Il y a là-bas un désert appelé désert du Wadi Rum, où vivent les Bédouins. Marie Pavlenko est également engagée dans des associations de protection de la nature.

En conclusion, c'est un livre passionnant dont on ressort changé. J'ai apprécié la morale écologique (il faut protéger les arbres) qui est valable pour nous, aujourd'hui, mais qui le sera encore dans 10 ans.

Je conseille ce livre à ceux qui aiment la nature, la science-fiction et les livres poétique.
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La main rivière

En premier lieu, je plaide coupable ! J’aime ce qu’écrit cette autrice et j’aime ce qu’elle laisse entrevoir lors des rencontres avec les lecteurices collégien•nes, ce qui peut biaiser mon avis de lecture…

Ce recueil m’est apparu comme une lecture des sentiments, émotions, intimes de Marie Pavlenko poétesse que j’ai interprété au travers de la vision que j’ai d’elle.

Il m’est apparu que les trois parties qui composent ce recueil évoquaient tout d’abord,la majesté de la nature, du vivant, puis la révolte et la colère face à ce que l’Humanité s’inflige comme partie d’un tout avec la tentative pour les désespérés de garder au cœur l’Amour. Enfin la dernière partie m’a semblé comme une forme d’acceptation de notre place d’Humain•es dans les cycles, de nostalgie de ce qui fut et renoncement à éviter la souffrance de la perte et malgré cela de retenir ce qui survivra, renaîtra, s’inventera.

L’écriture, le lexique, de ce recueil ont convoquées immédiatement des images sensibles dans mon esprit, faisant écho aux thématiques de prédilection de Marie Pavlenko, notamment son amour des oiseaux.

Un livre où je retournerai vraisemblablement picorer…
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Et le désert disparaîtra

J'ai entendu parler de cette autrice par @quefontmesmains. Ayant un crédit audible, j'en ai profité pour télécharger le premier ouvrage que j'ai trouvé, sans lire le résumé.



Je me suis donc laissée porter par le récit, sans aucun à priori, et j'ai été conquise ! Je ne m'attendais pas du tout à ce genre (dystopie). Je ne savais pas non plus que c'était un roman jeunesse.



Bref, j'ai adoré le thème principal de l'écologie. Ce livre est avant tout une belle réflexion sur le comportement humain et sa facilité à scier la branche sur laquelle nous sommes assis.



Samaa est une héroïne comme on les aime : forte, courageuse, faisant fi des traditions et qui veut avant tout atteindre ses rêves (quitte à se mettre en danger).



J'ai tout aimé dans ce livre, que ce soit la plume de Marie Pavlenko, le thème ou l'histoire.



Je recommande ce livre à tous, aux jeunes bien sûr, mais aussi aux moins jeunes et vais de ce pas le glisser entre les mains de ma fille de 13 ans.
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Et le désert disparaîtra

Que dire enfin, ce livre est tellement plein d'émotions!! J'ai été vraiment ébahie par la qualité de la rédaction, c'est un livre qui m'a profondément touchée et je suis reconnaissante au réseau de lecture de mon cours de français ainsi qu'à l'auteur. L'histoire de Samaa, est... Incroyable, digne d'une femme qui sait ce qu'elle veut dans la vie, et qui est prête à tout risquer pour défendre SA thèse coûte que coûte. Je ne sais que dire tellement ce livre est pertinent, tant il regorge de tout un tas de sentiments divers... Ce roman vient définitivement de rentrer dans mon top des meilleurs livres !
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Rita

★ Entre Ombres et Lumières



Transportée dans un tourbillon narratif d'une intensité inoubliable, je suis ressortie de cette lecture un peu sonnée… me laissant sans voix à son impact!



«Rita» est un roman choral emmené par une écriture vivante et passionnée qui offre une gamme étendue de thèmes (découverte de soi, relations humaines, précarité, injustices sociales, et bien d’autres encore que je ne révélerai pas ici).



Les récits s’y croisent et se complètent tissant une toile complexe solidement soutenue par une tension forte et une réflexion riche sur les enjeux de notre époque.



ஜ Rita ஜ @marie__pavlenko @flammarionjeunesseromans



Tout en pudeur, les mots de #MariePavlenko nous enchantent en évoquant les moments heureux, ils nous réchauffent en parlant de l’Amour et de l’Amitié, nous bercent en parlant de la sécurité, de la famille.



Mais quand l’équilibre fragile bascule, ses mots nous frappent de plein fouet, nous bouleversent, nous ébranlent au plus profond de notre âme.



Au fil des pages, l’on ressent avec intensité le découragement, la perte des repères, … l’abandon de l’espoir.



Ce roman explore ainsi la dualité de l'existence humaine, en mettant en lumière à la fois ses beautés -dans ce qu’elles ont de plus pur- tout en exposant sans fard les aspects sombres, cruels et injustes de notre société brisant des vies dans un silence assourdissant.



Rita, une lycéenne de 16 ans, se tient en plein cœur de ce tableau polyphonique.



C’est une histoire qui suscite à la fois la tendresse et la colère. Mais malgré la gravité des sujets abordés, «Rita» n’est pas à mes yeux un roman déprimant.



Tout au contraire, l’auteurice nous délivre là une merveilleuse ode au courage, à la persévérance, à la lumière, à la vie!
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Et le désert disparaîtra

J'ai beaucoup aimé ce livre ! Il se lit tout seul et on est très vite happé par l'histoire ! Cela fait aussi réfléchir au fait qu'il est effectivement possible que dans plusieurs années la Terre devienne un désert si nous continuons de couper des arbres... Je vous conseille vraiment ce livre car c'est un véritable coup de cœur ! Je l'ai trouvé tellement touchant et j'ai été tellement impressionné par le courage de Samaa, l'héroïne.
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Rita

Qui est Rita et que lui est-il arrivé ? Un roman choral dans lequel chacun exposé son point de vue. Les personnages sont touchants et originaux, atypiques, attachants. J'ai adoré cette lecture sensible. Un beau portrait d'adolescents d'aujourd'hui. Pépite, comme diraient mes ados !
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Moi, je veux être une sorcière

Une BD hyper colorée, et plein de peps, avec des dessins aux aspects un peu enfantins pour découvrir, de façon complètement décomplexée, un sujet tabou dans notre société : la ménopause.

Dans le parc d’attractions que je nomme personnellement des « phases de la vie » (où l’on peut trouver les manèges « puberté », « divorzz », « parents 3000 », …), la narratrice prend le train fantôme appelé « en route vers la ménopause » avec son chien Georges. En parallèle des étapes qu’elle devra franchir, un groupe de femmes discute de leurs symptômes divers et variés, et de leurs ressentis de femme dans leur corps et dans la société.

Cette BD permet d’aborder aussi comment est perçue la femme vieillissante dans notre société occidentale et permet également d’aborder le sujet de manière culturelle dans d’autres sociétés et même chez les cétacés.

Le passage qui m’a beaucoup plu est celui qui nous apprend qu’au Japon, la ménopause n’existe pas et que l’on parle de « konenki », un état d’esprit d’une période de la vie que l’on attribue aussi bien aux femmes qu’aux hommes. C’est un « changement social » qui est vécu complètement différemment dans cet endroit de la planète.

Le lien avec le titre de la BD ne se découvre qu’à la fin, sans grande surprise. Et j’ai trouvé que cette touche de sorcellerie et de sororité était un peu too much. Sorcière dans le titre et au final, une page sur les « sorcières »… De même j’ai trouvé qu’il n’était pas nécessaire d’en faire autant autour de la nudité, même si, au moins, le concept des changements corporels intérieurs et extérieurs est poussé jusqu’au bout.

Au final, la ménopause, on en parle peu, ça a le mérite d’en faire parler, même si je doute qu'on puisse sortir du train fantôme complètement rassuré(e)...
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Un été avec Albert

Une après-midi lecture et youpi un livre qui valide plusieurs challenge.

Pavlenko j'aime bien.

Voilà je l'ai lu c'est sympa mais peut-être trop fantastique pour moi.

Qui est Albert ?

Pour le savoir lisez ce livre bien sympatique

Albert est le héros au milieu de ce joli paysage montagnard.

Une jolie histoire d'adolescente.
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Rita

Je referme ce roman le souffle coupé. J'ai non seulement été émue par l'intrigue, mais j'ai également apprécié la construction singulière de ce récit. Au fil de l'intrigue, on recueille la parole de chaque personnage. On apprend à les connaître par le prisme de leurs relations respectives avec Rita, protagoniste dont on se doute qu'elle a vécu un drame dont on ignore tout jusqu'à la fin. Timour prend conscience de son homosexualité inavouable à ses parents, Viggo doit travailler pour s’en sortir et tente en vain de protéger son père qui noie son chagrin dans l’alcool, la mère de Romane qui refait sa vie avec une femme… L’attachement de Viggo pour Rita est très touchant, infiniment respectueux. Les descriptions de leurs liens affectueux et de leur amour de la nature sont superbes. Les jeunes évoluent dans la sphère protectrice du lycée qui semble absorber tous les chocs, mais le soir, le week-end et pendant les vacances, chacun se retrouve face à ses questionnements, ses soucis divers et parfois à la détresse silencieuse des familles parfois insurmontables. Les rêves de chacun, sauf peut-être Timour, semblent engloutis depuis bien longtemps. Le témoignage final de Rita provoque un véritable séisme émotionnel. J’ai lu ce roman d’une seule traite et quasiment en apnée car la tension est forte et on veut absolument savoir ce qui lui est arrivé. J'avoue que je ne m'attendais pas à la chute. J’ai toujours apprécié la plume sensible de Marie Pavlenko qui porte toujours un regard tendre sur ces personnages et décrit la société avec beaucoup de justesse. Le sujet est brûlant et douloureux, mais ce roman est l’un de mes vrais coups de coeur de cette fin d’année. A lire.
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Moi, je veux être une sorcière



Une bd que j’ai pris plaisir à lire et qui permet de mieux comprendre et mieux appréhender cette période importante dans la vie d’une femme.

Très bien documentée, avec des nombreuses références, sans toutefois être étouffante, cette bd est d’utilité publique ! À partager, à diffuser, pour que tout le monde soit informé au même titre que la puberté !!!
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Rita

Si j'avais lu ce livre vers mes 14 ans, j'aurais peut-être adoré (bien que si je compare à mon obsession pour Lolita Pille à cette époque, j'en doute.). Mais là, j'ai trouvé que malgré le sujet, le tout était assez "mièvre". Il y a quelque chose dans la plume, dans le déroulement de toute l'histoire qui fait trop "jeune" pour moi. Au début, je me suis dit que c'était facile à lire et que malgré cette plume pas forcément à mon goût, ça n'était pas désagréable, mais arrivée à la moitié, je n'en pouvais vraiment plus. Je m'ennuyais, je lisais sans plaisir, ni curiosité et alors que je m'accrochais en me disant que le point de vue de Rita serait quand même intéressant, j'ai été déçue quand le moment est enfin arrivé. Le sujet est rarement abordé dans des romans pour un public de cette tranche d'âge et je trouve ça génial et important qu'on en parle, car c'est une triste réalité, mais ce roman-là ne m'a pas du tout convaincue. Tout m'a semblé artificiel, survolé, avec un côté drame artificiel de séries télévisées pour adolescents. Ce n'était pas mauvais, mais...



Je suppose que je ne suis simplement pas la cible.
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Moi, je veux être une sorcière

Voici un ouvrage graphique d’une grande utilité, traitant d’un sujet tabou dont on parle peu ou souvent de façon négative.

Dédramatiser le sort de la ménopause, c’est ce qu’ont très bien réussi à faire à travers ce bel ouvrage Marie Pavlenko et Joséphine Onteniente. Elles en parlent de manière à ce que l’on prenne conscience que c’est un fait, une réalité chez la femme mais pas une fatalité. D’ailleurs dans certains pays comme au Japon c’est bien tout l’inverse, vous le comprendrez à travers leurs lignes. C’est pour cela qu’il est essentiel de s’informer sur le sujet et de le prendre de la meilleure des façons afin de bien la vivre. Ce livre est simple de compréhension, accompagné d’illustrations vraiment chouettes, il ne pourra que vous donner envie de le découvrir et d’en apprendre un peu plus sur le sujet.
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Rita

C'est l'histoire de Rita, jeune fille solaire et réservée qui arrive dans un nouveau lycée. ses camarades la décrivent et racontent la vie au lycée à son arrivée jusqu'à ce qu'il lui arrive l'impensable.

C'est bien écrit et très bien tourné. On devine aux 3/4 du livre ce qui se passe mais c'est tellement bien ficelé qu'on n'entrevoit vraiment qu'à la fin tous les tenants et les aboutissants.

Jusqu'où le malheur peut-il nous mener ?....

J'ai beaucoup aimé ce livre, je ne connaissais pas cette autrice et c'est une très belle découverte.
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Rita

Rita, une jeune adolescente débarque dans un nouveau lycée en terminale. Elle va être accueillie par Romane et va rapidement intégrer son groupe d'amis. Un événement tragique se produit au cours de l'année, les nouveaux amis et l'un des professeurs de Rita vont alors s'exprimer sur l'arrivée de la jeune femme dans leur vie et sur ce tragique incident. Qui est vraiment Rita et que lui s'est-il passé pour en arriver là?



Dès les premières pages, nous sommes emportés dans une atmosphère mystérieuse et prenante. Quelque chose de terrible est arrivé, sans que l'on sache de quoi il s'agit. La parole est donnée aux amis de Rita, qui vont raconter l'arrivée et le quotidien qu'ils partagent avec la jeune femme. Viggo, quant à lui, va retracer les débuts de sa relation avec elle et l'amour qu'il lui porte. Dans cette première partie nous sommes face à des témoignages intenses où chaque protagoniste ouvre peu à peu les yeux sur les signaux qui auraient dû les alerter avant le drame. Dans un second temps, Rita prend la parole pour évoquer ce qu'il s'est passé et sa lente descente aux enfers. C'est avec beaucoup d'émotion que nous est livré ce témoignage poignant.



Ce livre met en lumière des thématiques fortes et actuelles, notamment sur les différences sociales et la solitude. Rita est un personnage très touchant. Jeune adolescente forte, elle tente de garder la tête hors de l'eau après le décès de son père et fait tout pour aider sa famille à ne pas sombrer.



Ce livre est tout simplement bouleversant. Marie Pavlenko nous offre une histoire prenante, pleine de suspens, de tension, et dont le dénouement est aussi effroyable qu’éblouissant.
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Rita

«Rita » est une œuvre captivante qui plonge dans la vie tumultueuse des adolescents, abordant des sujets difficiles avec sensibilité.



L’auteure nous entraîne dans une narration émouvante à travers les récits entrelacés de Viggo, Romane, Timour et d’autres, chacun partageant son expérience avec Rita, dépeignant ainsi un portrait partiel mais poignant de cette mystérieuse jeune femme.



L’auteure réussit à capturer l’essence complexe de la vie d’adolescent, révélant les déchirements, les envies, les désirs, les amitiés, les premiers émois et les défis auxquels ces jeunes sont confrontés.



Ce qui rend ce livre si particulier, c’est la manière dont il révèle progressivement les détails de l’histoire de Rita.

L’exploration de la vie compliquée de cette jeune femme est bouleversante et la façon dont chacun des personnages évoque son expérience avec elle, ajoute une profondeur émotionnelle à l’ensemble de l’histoire.

L’aspect tragique de ce récit réside dans le fait que personne n’a vu venir le drame qui était entrain de se jouer.

Et l’élément de surprise quant au drame qui se déroule renforce l’impact du livre et pousse à réfléchir longuement sur les thèmes abordés.



En somme, « Rita » offre une plongée poignante dans le tumulte de l’adolescence, explorant des sujets difficiles avec finesse et humanité, et laissant une marque indélébile dans le cœur du lecteur.



(Livre reçu dans le cadre d’un partenariat avec la maison d’édition Flammarion)
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Un si petit oiseau

Je crois que c'est mon roman favori de Pavlenko ! J'ai vraiment été accrochée au personnage d'Abo et à ses peurs. L'écriture de Pavlenko est incroyable, ça ne donne pas envie d'arrêter de lire. La famille d'Abi est tellement spéciale, c'est vraiment son rempart au milieu de tous ses doutes.
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Rita

Rita c’est tout un suspens, une découverte, un art. Une adolescente arrivant dans un nouveau lycée qui se fait de nouveaux amis après plusieurs drames familiales. Rita c’est la joie, la douceur, la tendresse, l’amour mais aussi le secret. Tous pensent la connaître et pourtant personne ne s’attendait au drame. Mais qu’est-il arrivé à Rita ?



On découvre Rita tout au long du roman par le biais de ses amis, qui racontent un à un comment ils l’ont rencontré, comment s’est déroulée cette année scolaire et qui était-elle selon eux. J’ai été assez impressionnée par la narration d’un chapitre/un personnage qui a été réalisé avec brio. On sent parfaitement le changement de personnage grâce au changement de style d’écriture, chapeau !



Petit à petit on se fait des hypothèses sur ce qu’il est arrivé à Rita et même si on finit par comprendre, on prend une claque. Parce que ça ne devrait pas exister, parce que ça brise le cœur, parce qu’elle n’a que 16 ans. Alors on a envie de la prendre dans nos bras, de la consoler et de l’aider. Et personne de son entourage n’a rien vu. Mais, est-ce que nous on l’aurait vu arriver ?



« Avec Rita, j’ai compris qu’être gentil sans se laisser marcher dessus était possible. »
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