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Critiques de Melanie Benjamin (151)
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

Tirée d'anecdotes, voici comment romancer l'histoire de Truman Capote et "son harem". Après avoir lu "De sang froid", c'est une autre image qui se dessine de Monsieur Capote, loin de sa relation avec Harper Lee.

Il a vécu une seconde naissance et s'est épanoui au milieu de ses cygnes (Babe, Slim, Gloria, Pamela, CZ...), pour finir par découvrir qu'il était incompris... encore une fois.

C'est un autre versant de sa vie, où le personnage nous dérange par son attitude. On y découvre des femmes seules, tristes, ayant besoin d'être vues, rassurées, encensées. Il est entré dans leurs vies, y a fait son nid et s'est envolé en les laissant retourner à leur triste quotidien.
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

J'ai été très vite embarqué dans cet ouvrage où on s'attache vite aux personnages, à leur mondes, leurs intérieurs mais également leurs faiblesses.

C'est plutôt bien écrit... j'ai vraiment aimé, je me souviendrai de cet auteur.
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

Je connaissais Truman Capote par ses romans ou nouvelles et je ne m’étais jamais penchée sur sa vie. Les cygnes de la Cinquième avenue de Mélanie Benjamin m’a permis de mieux le connaître mais aussi de plonger dans les années 50, 60 et 70 au travers des différents personnages.



Le lecteur suit surtout la relation de Truman et Babe, deux âmes soeurs. Truman vient d’être couronné de succès avec son roman « De sang froid » tandis que Babe est une femme très en vue. La vie semble se passer pour le mieux pour eux deux mais ça ne va pas durer. Tandis que Truman est rattrapé par son succès et commence à glisser dans la dépendance à l’alcool, Babe se sent vieillir. Il en est de même pour les autres cygnes qui s’aperçoivent que d’autres plus jeunes sont prêtes à prendre leur place. La publication des nouvelles de Truman va plonger tout ce petit monde dans le désarroi mais aussi la colère, la déception.



La lecture de ce roman ne laisse pas de marbre car on voit le glissement de l’innocence (parfois feinte) vers le drame. Le personnage de Truman est celui qui a le plus retenu mon attention car au fur et à mesure des pages, on comprend son dessein lorsque les cygnes parlent entre elles. Au début, on sent qu’il est considéré un peu comme un jouet n’étant pas à sa place mais qui amuse donc on veut être en sa compagnie puis le jeu va s’inverser. Il va faire l’irréparable en racontant leurs secrets. L’auteure a réussi habilement à mêler la réalité et la fiction. Ce qui a été inventé est plausible.

Mélanie Benjamin arrive parfaitement à nous transporter dans les années 50, 60 et 70 grâce à la présence des personnes connues mais aussi l’ambiance et les us de l’époque. Quant à la Femme décrite, c’est un être fait que d’apparence et d’artifices qui attend bien sagement son mari à la maison avant de sortir dans les soirées mondaines… L’émancipation n’avait pas encore fait son apparition !



Une belle découverte qui se lit facilement grâce à une écriture plaisante.



Je remercie Babelio ainsi que les éditions Albin Michel qui m’ont permis de découvrir Les cygnes de la Cinquième avenue de Mélanie Benjamin


Lien : http://mapetitebibliotheque...
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

Bien que le titre de ce roman soit pluriel, bien que Truman Capote soit présenté en premier dans le quatrième de couverture, c'est bien Babe qui, pour moi, est l'héroïne de ce livre. Elle est là, omniprésente, des années 50 aux années 70 qui ouvrent le livre, avec la parution d'un nouveau texte de Truman Capote et ses conséquences.

Qui découvrons-nous en 1975 ? Des cygnes déchues, non parce qu'elles ont vieilli mais parce qu'elles ont lâché prise, dans un monde qui n'est plus le leur, un monde que l'une des leurs s'apprêtent à quitter, un monde qu'une autre femme vient de quitter volontairement à cause d'un homme, Truman Capote. Il apparaît en filigrane, dans ses chapitres où l'alcool se le dispute au fiel. Lui qui fut leur ami, leur confident, leur amuseur, non pas le fou du roi mais le fou de sa reine les a trahis en écrivant ce qu'elles lui ont confié dans l'intimité de leur salon, de leur boudoir.

Ces femmes fascinaient le jeune écrivain, devenu écrivain confirmé, abîmé physiquement par l'acte d'écrire lui-même. Pourquoi ? Elles étaient belles, elles symbolisaient l'élégance, les photographes les attendaient à la moindre de leur sortie. Elles apparaissaient toujours impeccables, elles sont mariées à des hommes riches et puissants et j'avais une forte envie de les secouer. Élégantes, oui, mais femme objet, femme potiche, dont tous les actes tendent à être un beau trophée au bras de leur mari, auquel elles sont entièrement dévouée jusqu'à la servilité, éloignant tranquillement leurs enfants pour le bien être et la tranquillité de leur cher et tendre. Ainsi ont-elles été élevées, ainsi parfois, se rappellent-elles qu'elles doivent aussi élever leurs enfants. Bien sûr, parfois, l'une d'elles se rebellent, pas pour longtemps : vivre sans être riche, vivre sans être vu, regardé, admiré leur semble impossible.

Alors oui, ce livre est intéressant, pour nous montrer une société qui n'existe plus mais qui a donné naissance à la société du spectacle que nous connaissons actuellement, après bien des détours. Et Truman ? Son enfance, sa solitude, son besoin d'aimer, de désirer, d'être aimé sont bien présents. Sa solitude, leur solitude : voici ce qui restera au final de ce livre.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

"Les cygnes de la Cinquième Avenue": ces femmes si belles, si élégantes, si parfaites, habitant la Cinquième Avenue à New York dans les années 50-60.



Leur éducation qui leur a toujours inculqué l'importance des apparences s'effrite peu à peu lorsqu'un certain Truman Capote s'approche de cette sphère féminine si spéciale. Oubliant le carcan de leurs obligations aristocratiques face à cet homme aux manières "si raffinées", ces femmes vont livrer leurs secrets, leur intimité dans cette relation de confiance que Truman Capote a su habillement composer avec ces femmes. Il va absorber toutes ces confidences pour finalement les trahir lors d'un incident dramatique.



Je ne suis pas une grande adepte des mondanités mais l'auteure, Mélanie Benjamin, recrée subtilement cette atmosphère si particulière de la haute société new-yorkaise des années 50.

A travers ce récit, Mélanie Benjamin, livre également une multitude de détails sur l'enfance, la vie, et le travail d'écrivain de Truman Capote, qui reste l'enfant terrible de la littérature américaine...



Un roman dont la lecture m'a laissé quelque peu indifférente par rapport au sujet mais qui reste à découvrir pour le travail de recherche admirable réalisé sur l'époque, les mœurs associés à cette société et sur l'écrivain Truman Capote.
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

Ce livre retrace sous forme fictionnelle la vie de personnages ayant réellement existé.

Les cygnes auxquels il est fait référence dans le titre sont un groupe de femmes qui connurent leur heure de gloire dans la haute société new-yorkaise des années 1950 : Slim, Pamela, Marella, Gloria, C.Z. et, surtout, la divine Babe. Ces « amies » qui n'hésitent pas à se piquer leurs maris respectifs sont des merveilles de beauté et d'élégance. Etre toujours impeccable et dans l'apparence est même un métier à plein temps qui permet de comble leur vide existentiel.

Pourtant, Babe Paley, l'épouse du richissime Bill Paley, fondateur de CBS, qui la délaisse, trouve enfin un sens à sa vie depuis sa rencontre avec Truman Capote.

Ecrivain encore peu connu, il séduit les femmes par ses réparties et ses mimiques irrésistibles. Elles font de lui une espèce de mascotte qu'il est de bon ton d'afficher dans les soirées mondaines. Petit par la taille, blondinet aux yeux pâles, l'homosexuel affiché ravit le cœur de Babe avec laquelle il entretient une longue amitié amoureuse.

Mais depuis la publication de « De sang-froid » en 1965, le talent de Truman s'étiole. La drogue et l'alcool ont eu raison de son génie.

Il commet alors un acte terrible – que je ne dévoilerai pas - dont la conséquence est la trahison de ses amies. Sa déloyauté aura des conséquences terribles sur la belle harmonie du groupe.

Petit bijou d'humour cruel et description impeccable d'un monde qui a vécu, « Les cygnes de la Cinquième Avenue » vous transporte dans une époque où le chic et la distinction sont une manière de vivre. Les personnages sont épatants surtout la pauvre Babe, dont la postérité se limite à la façon dont elle nouait son foulard en soie autour de son sac Hermès, pathétique dans son énergie à sortir de la superficialité dans laquelle l'a enfermée sa position sociale. Le parcours de Truman, ce petit gars de l'Alabama qui court après la reconnaissance sociale, est tout aussi tragique.

Merci à Masse critique et aux Editions Albin Michel pour cette belle lecture.

EXTRAITS

- Ils s'étaient simplement reconnus, non pas comme un reflet dans un miroir, mais comme le reflet d'une souffrance, d'un vide ou encore d'une béance, plus profonde, plus sombre, plus trouble, mais toujours, toujours cachée.

- Ces filles-là étaient bien dressées, tu comprends. Bien dressées ! Comme des petits poneys !

- Je crois que c'est la quintessence de la vie, être capable d'en tirer partie pour en faire une œuvre d'art.

- Au lieu de quoi elle leva son verre et, comme par miracle, il était plein. Oh, être riche, c'est tout simplement merveilleux, quand on y réfléchit bien. Vous tendez un bras et il est habillé de la manche doublée de satin d'un manteau de fourrure. Vous pointez un doigt et il est orné de bijoux.

- Gloria Guiness avait mal au cou. A la tête aussi. Car elle portait un collier de diamant si lourd – les pierres étaient de la taille de petits œufs de caille – qu'elle savait déjà, comme elle le racontait sérieusement à ses amies, qu'elle devait rester couchée toute la journée suivante afin de recouvrer ses forces.

- Je suis un Proust des temps modernes.
Lien : http://papivore.net/litterat..
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

Je remercie avant tout les éditions Albin Michel et Babelio pour ce cadeau reçu dans le cadre de l'Opération Masse Critique.

Voilà. Bon.

Ce livre, je l'ai lu assez rapidement et pour une fois ce n'est pas parce que je me fichais éperdument du contenu ou que son écriture m'était presque insupportable. Non, rien de cela. En tout cas pas à ce point.

Toutefois, on ne peut pas dire que ce sujet en particulier m'intéresse, mais, de quoi s'agit-il... D'une description de la ultra-haute société new-yorkaise des années 60-70, leurs apparats, leurs fonctionnements, leurs mensonges... D'une description qu'on pourrait presque taxer de sociologique, fruit d'une recherche non pas d'observatrice participante, puisque l'auteure nous explique un peu sa méthode en fin de livre et le pourquoi de ces sujets, mais en tant qu'archiviste et un peu touriste, dirons-nous. C'est aussi le point de vue d'un auteur sur un autre auteur, le point de vue de Melanie Benjamin sur Truman Capote, qu'elle admire et dont elle se surprend à chercher à comprendre l'évolution (l'ayant d'abord connu sous ses aspects un peu grotesques de sa fin de vie (médiatique)).

Et dans cette faune, on choisi la plus belle, et l'électron libre, Capote, qui ont tissé une relation d'amour, d'amour spécial... Amour que ce dernier trahira pour l'art, qui n'en est plus vraiment...

C'est encore une manière de réflexion sur les apparences, la Beauté, les beautés, le temps qui passe, qui abîme, qui détruit contre lequel on lutte...

Bref, tout ça est bien expliqué, assez bien écrit et décrit, et somme toute assez plaisant. Une petite citation au passage :



"Tous les regards se tournèrent, insistants, vers les deux femmes en noir, assises l'une en face de l'autre, qui mangeaient à peine, sans se parler. On avait l'impression que l'alarme d'un réveil invisible avait té réglé sur une certaine heure et que les deux femmes attendaient qu'elle sonne pour échapper à l'épreuve qu'elles partageaient."



Toutefois il y a deux problèmes, selon moi : le premier, c'est qu'il y a eu un film très fort sur Truman Capote en 2005 ou 2006 avec l'excellent Philip Seymour Hoffman, cela pour la partie crapule de Capote signe un sommet avec lequel il est difficile de rivaliser. le second, c'est qu'il y a eu la série Gossip Girl ou le procédé est un peu pareil, un futur écrivain côtoye la brillance manhattanienne et relate tous les ragots et finalement publie... avec toutes les conséquences... Bref, Melanie Benjamin soit surfe sur cette vague qui a déjà été fort exploitée (même si elle parle d'une époque antérieure à Gossip Girl), soit elle ne s'est pas rendue compte qu'elle arrive trop tard...

Du coup, je ne sais pas trop à qui s'adresse ce livre et qui en sortira enchanté... Reste-t-il encore des hyper curieux de cette époque dorée de New-York ? (Il reste toujours de tout, mais est-ce que ça suffit comme lectorat ?) le livre est tout de même très féminin, et je pense que les lecteurs masculins (sans cliché ou présomption du sexe) n'iront pas vers lui.

Les rebondissements sont connus dès le départ, il n'y a aucune surprise en cours de route... Donc je ne sais pas ce qui peut encore scotcher le lecteur ou la lectrice...

Pour moi, ce livre est essentiel pour les passionnés de New-York, son histoire, et la mode aussi, essentiel dans le sens du collectionneur pour qui toute pièce en rapport à sa passion est essentielle... Mais pour les autres, il est tout à fait dispensable. Même si comme je le disais au début, il est assez bien écrit, il ne tombe pas des mains, les différents points de vue et narrations qui se combinent, s'interpellent sont intéressants et bien faits. (On sent l'école américaine... Un peu trop ?) Notez que je n'avais pas vraiment parlé du côté multi-narration, ce qui est fait.

Bref, voilà pour moi, moment agréable, sans gros bémols et sans gros plus. Trois étoiles donc.

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La femme de l'aviateur

En relatant le destin d’Anne Morrow Lindbergh, l’auteure américaine Mélanie Benjamin présente une femme d’exception.
Lien : http://fr.chatelaine.com/clu..
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Les Enfants du blizzard

Découverte de l'auteure Melanie benjamin par les enfants du blizzard. L'histoire vraie du blizzard de 1888 dans le Dakota, également appelé « Grand ouragan blanc », un des blizzards les plus meurtriers vécu aux Etats-Unis. A l'heure de la sortie des classes, le blizzard s'abat sur le Nebraska. Des centaines de personnes dont beaucoup d'enfants seront victimes de ce blizzard. Nous suivons 2 soeurs, institutrices dans 2 villes différents ce jour-là, qui prendront des décisions différentes aux conséquences désastreuses pour l'une et héroïques pour l'autre. Un roman sur les conditions de vie des immigrés au Nebraska fin 19è siècle dures, loin de la Terre promise qu'on leur en vendue pour venir. Une lecture prenante et très instructive. A lire au chaud sous la couette.
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Hollywood Boulevard

Hollywood Boulevard est le troisième roman de Mélanie Benjamin publié en France, moins de deux ans après son premier grand succès (justifié), Les cygnes de la 5ème avenue.



Impossible de ne pas établir un parallèle entre ces deux dernières œuvres.



A chaque fois, un récit avec une toile de fond bien précise : le New York des happy few des années 60 pour Les cygnes, le Hollywood du cinéma balbutiant des années 10 et 20 pour le second.



A chaque fois, des acteurs principaux plus qu'inspirés par des personnages célèbres : Truman Capote et Babe Paley pour le premier, Mary Pickford - "la petite fiancée de l'Amérique" et Frances Marion - la star féminine des scénaristes, inconnue en France- pour Hollywood Boulevard.



Mélanie Benjamin reproduit donc l'exercice incroyablement difficile d'écrire une oeuvre de fiction sur les décombres de faits et personnages réels et, pour la seconde fois, c'est une parfaite réussite !



Le secret de l'auteur ? Trois éléments essentiels :



1/ Une érudition et une documentation sur se sujets absolument remarquables.



La création d'Hollywood, le cinéma parlant, les débuts du star system : Mélanie Benjamin fait resurgir devant nous avec ravissement les ombres du passé, nombre de stars du muet (Charlie Chaplin et Douglas Fairbanks en tête) et, pour les vrais amateurs du cinéma - j'en fais partie - c'est un exercice sans faute et jubilatoire.



2/ Une empathie manifeste pour ses personnages principaux qui, malgré leurs défauts souvent criants, trouvent toujours sous sa plume des excuses pour avoir été des êtres d'exception, certes, mais aussi des êtres humains, comme vous et moi.



Mélanie Benjamin nous montre certes à quel point Mary Pickford a commis des erreurs dans sa vie de star, mais aussi sa vie de femme, mais jamais elle ne cesse de l'aimer.



3/ Une technique de narration d'une habileté sans pareil qui transforme tout ce qu'elle écrit en vrai Tourne Page.



Lire la suite de ma critique sur le site Le Tourne Page
Lien : https://www.letournepage.com..
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La Dame du Ritz

La romancière américaine Mélanie Benjamin a le chic pour trouver des femmes dont l'histoire, atypique, n'a pas toujours été racontée.


Lien : https://www.journaldequebec...
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La Dame du Ritz

Pour les héros de La dame du Ritz, Melanie Benjamin a choisi les personnages anonymes qui ont existé. Elle les plonge dans une tragédie avec une science du suspense et une documentation sans faille.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

Melanie Benjamin met en scène, dans ce doux-amer ouvrage de fiction, des personnages qui ont bel et bien existé tels Truman Capote et Babe Paley. Celle-ci comptait parmi les femmes en vue de la haute société new-yorkaise des fifties (qu'on surnommait "les Cygnes de la Cinquième Avenue"). Son atout, indefinissable, était son style. Elle incarnait l'élégance et ne fréquentait que l'élite, des Stuyvesant aux Vanderbllt, faisait souvent la une de Vogue, ajoutait une touche glamour à un tableau déjà parfait. Son amitié avec l'auteur a succès du saisissant roman-reportage "De sang froid", paru en 1965, a été instantanée et fulgurante. Babe Paley permit donc à Truman Capote d'accéder à ce milieu huppé qui le fascinait et dont les rumeurs et les scandales nourriraient son insatiable besoin d’écrire.
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La femme de l'aviateur

Je lis très peu de roman historique mais celui là m'a intriguée. L'histoire de la femme de Charles Lindberg, précurseur de l'aviation, qui a marqué notre temps. Une vie assez incroyable, à lire!
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La femme de l'aviateur

Bio de la femme de Charles lindbergh La jeune et effacée Anna se retrouve du jour au lendemain sur le devant de la scène en épousant le dieu vivant qui a traversé l’Atlantique en avion. Une écriture fluide qui m’avait déjà enchantée avec les cygnes de la cinquième avenue
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

Je l'avoue avant de lire ce livre je ne connaissais Truman Capote que de nom. J'ai aimé me plonger dans sa vie et dans sa relation avec ses cygnes surtout Babe Paley.

Un magnifique roman qui décrit admirablement cette société où les apparences sont si importantes.

Une très belle découverte mais ce n'est que mon avis...
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Les Cygnes de la Cinquième Avenue

Je mets injustement une étoile à ce livre que j'ai abandonné... et vous ?
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Hollywood Boulevard

Le seul défaut de ce roman, ce sont plusieurs passages à l'eau de rose ou chargés d'hésitations quand les deux principaux personnages, surtout Pickford, n'arrivent pas à se brancher. Malgré cela, nous l'avons quitté avec beaucoup de regrets, tant il repose sur un socle solide.
Lien : http://www.lapresse.ca/arts/..
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Hollywood Boulevard

Un superbe roman qui relate noir sur blanc l’histoire de deux femmes qui ont marqué le cinéma en noir et blanc.




Lien : http://www.journaldequebec.c..
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Hollywood Boulevard

Melanie Benjamin nous fait vivre la naissance de l'industrie cinématographique en Californie à travers l'amitié de deux femmes hors normes.




Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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