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Critiques de Michel Robert (III) (267)
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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

De la Fantaisie ( un peu ) noire française . C est agréable à lire emplie de sang ( beaucoup ) et de sexe ( pas mal ) pas un seul personnage vraiment sympa y compris le héros . Drogués à divers degrés , obsédés sexuels , sadiques , manipulateurs , assassins et tortionnaires on rêve de s' en faire des amis ou de les inscrire dans un club de tricot .Mais j ai bien aimé et vais continuer la série l avenir me dira jusqu' ou je suivrais les aventures de Cellendhyll de Cortavar Mais j y insiste les personnages sont intéressants les humains ou les autres . Bon le scénario est un peu primaire et ne casse pas 4 pattes à un canard ( oui je sais on dit 3 pattes , mais je suis follement généreux ) , mais dans les fantasy anglo - saxonne on trouve bien pire .
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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

Je voulais me plonger dans une série de Fantasy et après quelques recherches, j'ai choisi l'Agent du Chaos qui me semblait fort intéressante. Mauvaise décision !

Ce roman cumule tous ce que je déteste dans la Fantasy !

1- Du sexe, du sexe et encore du sexe ! Franchement, je n'ai rien contre la sexualité dans les récits de Fantasy, mais là c'était vraiment lourd.

2- La représentation des genres pose aussi des problèmes : les femmes sont hyper sexualisées et les hommes tous de gros costauds !

3- Le récit en lui-même m'a fortement ennuyé.

4- Dernier point : c'est pas très bien écrit et pour le coup on ne peut pas blâmer la traduction.

Enfin bref, une série que je vais vite oublier !
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L'agent des ombres, tome 2 : Coeur de Loki

Au début de cet opus, Cellendyll est fat : il s’est mangé trop de pâtées, et son maître Morion du Chaos, jugeant qu’il en manquait, lui a fait greffer un deuxième cœur auquel il doit s’habituer. Heureusement, Gueritarish, son ami à la peau bleue, le prend en main et grâce à un sévère coaching, parvient à le remettre à niveau. Envoyés en mission sur les Territoires Francs, les deux Ombres doivent déjouer un nouveau complot ourdi par les Ténèbres et leurs horribles servants. Nouvelle opportunité pour l’Ange ressuscité de retrouver son régime habituel : buffet froid, pains et gaufres. Un très bon cru.
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Largo Callahan - Six petites gouttes de san..

C'est pas mal, mais quand on vient de l'ange du chaos, c'est un poil décevant.



Il y a des longueurs, dans ce livre, franchement par moments je me suis ennuyée grave, j'ai pas souvenir que cela me soit arrivé dans l'Ange du Chaos. J'ai eu l'impression que ça mettait des plombes à démarrer, tin !



En fait l'auteur a un peu peiné, à mon sens, hein, qui n'est que cela, à mettre en place son histoire, et à intercaler les descriptions "historiques", mais également de paysages, et contextuelles, dans son roman. Il est plus compliqué d'écrire un roman fantastique dans notre monde "réel" plutôt qu'un roman de fantasy dans un univers totalement imaginaire, et M. Robert me semble plus à l'aise dans le second domaine.



Ceci dit, étant donné que je suis sur le tome 2 et que ça s'est amélioré, c'était peut-être un petit manque d'expérience dans la "fantasy historique" qui se fait sentir dans ce tome 1. Bref, pour ma part, je n'ai pas été tout à fait convaincue par "Largo 1" (pas autant que je l'avais été par Cellendhyl 1, lol !!!). C'est parce que je connais l'auteur que j'ai continué sur le tome 2...

Et j'ai bien fait : Largo 2, je vous le dis de suite, est meilleur ! :)

Mais il y aura toujours un défaut : là où passe un héros "surhumain" trop beau trop tout dans un monde imaginaire, dans notre monde "réel", c'est un peu plus compliqué. Disons que ça manque un peu de subtilité, voire d'humanité, dans ce personnage principal trop parfait, qui me fait penser à Dirk Pitt... Le genre de mec dont je lis deux bouquins, qui tombe toutes les nanas à 100 kms à la ronde et qui s'en sort toujours tellement trop bien que ça finit par me gaver...

Pour être humain, faut des défauts, des failles, et parfois en prendre plein la gueule, sinon, avec moi, ça passe pas. Bref, ce que j'aime dans la fantasy avec des héros "surhumains", dans la fantasy "historique" avec de simples humains, je l'apprécie moins.

(Oui je suis une lecteuse compliquée, j'ai le droit ! mdr !)
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L'agent des ombres, tome 9 : Ruisseaux de s..

L'agent des ombres, c'est une drogue...

Quand on n'en lit plus pendant de longs mois, on est en manque. C'est quand même incroyable un truc pareil ! du moins c'est ce qu'il m'arrive. Alors oui j'ai lu entretemps, grâce à une opération Masse Critique, l'histoire d'Estrée par R. Vanhoorde, qui s'en tire pas mal. Mais Cellendhyl, alala, c'est quelque chose.



Alors oui, c'est répétitif, sans doute, quand on les lit tous d'affilée, et c'est peut-être exactement ce qu'il ne faut pas faire. En attendant, bonjour les rebondissements inattendus dans ce dernier tome. C'est toujours bien écrit, je prends un pied pas possible en lisant les combats (et heureusement parce qu'il y en a beaucoup, si vous n'aimez pas ça, passez votre chemin. J'ai adoré les Shen'Gaths, les garde du corps féminines de Rykar, cette classe, terrible !). Dans ces livres, j'aime bien les moments de calme aussi, les repas, les menus, les extravagances de Gher, ça détend et ça repose.



J'espère juste que M. Robert nous a prévu la suite pour dans pas trop longtemps, parce qu'ici, on s'arrête sur un cliffhanger assez insupportable, boufre ! Alors oui, certes, c'est bien de s'attaquer à une nouvelle saga "western", mais on aimerait bien avoir les réponses aux questions de notre Cellendhyl de Cortavar, aussi, sur ses parents, sur qui est l'ex patron de Maurice (et même sur qui est Maurice, il est bien intrigant celui-là), bref, ce tome fini sur des tas de points d'interrogation, c'est à la fois frustrant et jouissif. Arfeu !



Donc, c'est pour quand prévu pour, la suite ? Hein ?

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L'agent des ombres, tome 7 : Chiens de guerre

Bon, je crois que je vais arrêter pour l'instant parce que, finalement, laisser du temps entre les tomes à partir du tome 5, c'est plutôt une bonne idée...



Même si c'est la suite directe de "Guerrier des lunes", bah j'aurais mieux fait de pas le lire de suite. Quoi que... Je sais pas trop, parce qu'en fait, c'est Constance qui m'a considérablement agacée. Plus que ça même... Mais qu'elle est c** quoi ! Hallucinant. Je sais pas si l'auteur a vécu un truc du genre, mais franchement, elle mérite des baffes ! Donc je suis pas sûre que même dans 6 mois j'aurais apprécié davantage le bouquin, mdr ! Et que Gheritarish me manque. Il me manque encore plus qu'à Cellendhyl, je crois ! arfeu ! le fait qu'il soit revenu "côté lumière", c'est dérangeant je trouve... Mais c'est bien fait car on sent bien qu'il n'est pas dans son élément, il est pas à l'aise, mais du coup nous non plus.



Je me demande encore une fois si l'auteur sait où il va. On dirait que oui, mais que c'est long pour y arriver, flûte quoi !!! ça traîne un peu trop en digressions, là...

Bon dans ce bouquin j'ai préféré les "méchants", et franchement j'ai un doute quant au fait qu'ils étaient vraiment les méchants, même si la psychopathie de Danseur ne plaide pas pour eux, mdr ! Vargh Loken est un super personnage, et ses "Chiens de guerre" aussi ! Non di zou ils sont formidables eux ! Sans scrupules et archi violents, mais formidables quand même ! Pi c'est Vargh qui veut se venger donc du coup je suis "de son côté", voilà, c'est dit et c'est comme ça. Muarf !



Il y a encore ici et là quelques maladresses dans le style, mais bon, ça reste correct. Là où c'est toujours parfait, c'est dans les combats, très visuels, vraiment excellents.



Sur le fond, les révélations se font au compte-gouttes, à force ça épuise un peu la patience... C'est là qu'on se dit que l'auteur sait où il va, et heureusement, en fait. Aussi Cellendhyl redevient "lui-même" à la fin du bouquin, non mais sans blague, il était temps, quoi ! Et Morion, même si on le voit peu, est génial dans ce tome...



Bref, pour l'instant je lâche un peu l'affaire, même si Gheritarish réapparaît dans le tome suivant, et OUF !
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L'agent des ombres, tome 4 : Hors-destin

Le meilleur tome selon moi, après le un.

On retrouve les Spectres pour une mission "quasi-suicide" au pays des Ténèbres, Mhalemort... De l'action, de l'action, encore de l'action, toujours de l'action, le genre de bouquin où ça n'arrête pas une minute !

L'intrigue se complexifie un brin, avec l'arrivée d'un personnage étrange et retors, Gamaël, les accointances diverses devenant relativement entrecroisées et compliquées.

Priam, le seigneur de la Lumière, fait de l'oeil à son ex-soldat, Cellendhyl, celui-ci commence à devenir rétif aux ordres de son maître Morion, Estrée se retrouve très proche de Cellendhyl alors qu'elle a ses propres visées politiques totalement contraire aux intérêts du maître de Cellendhyl (et son propre frère), Leprin le Légat des ténèbres (qui déteste Cellendhyl cordialement) et amant d'Estrée fait équipe avec lui pour un temps, je vous le dis en vérité, on n'est plus très loin de GoT ! Muarf !



Le léger moins : Trop de sexe. Là oui. J'ai vraiment trouvé la plupart des scènes en question inutiles, voire "comme des cheveux sur la soupe", donc totalement hors de propos.



ça n'en reste pas moins mon tome préféré après le 1.

Ma note : 4,5/5

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L'agent des ombres, tome 2 : Coeur de Loki

Décidément, c'est pas mal du tout !

Même si j'ai moins accroché qu'avec le premier, le récit étant plus linéaire (j'aimais bien les flash-backs du premier), et moins "vengeresque" (quoi que sur la fin ça s'améliore !).

Bon, j'ai vu pas mal de coquilles, et un contresens relativement gros : indissociables au lieu de incompatibles, ça craint (l'amour et la voie du Chaos sont "indissociables", on a beau faire, ça ne colle absolument pas !).

J'ai beaucoup aimé l'entrée en matière, Cellendhyl devenu une grosse larve, ça m'a pas mal amusée, surtout l'entraînement avec Gheritarish, qui est un personnage assez génial, après.

Si l'histoire avec Dev' fait un brin "plaqué" artificiellement sur le reste, ça fait de jolis intermèdes, et offre une nouvelle fois une ouverture sur une future "vengeance", qui est mon plat préféré en matière de bouquins (et de films, aussi, il faut le dire).

Estrée est vraiment pathétique, à force de se croire au dessus de tout et tous sans tenir compte de ses gros problèmes, on se demande où et comment elle va finir...

Bref, c'était un très bon moment de lecture, et si le style reste parfois maladroit (Cf la citation de "Marg" que j'ai mise aujourd'hui), les combats sont vraiment bien ficelés, un vrai régal pour les amateurs !
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Largo Callahan - Six petites gouttes de san..

Un western, ça faisait longtemps, tiens… (juste un mois).



Une petite chevauchée avec des Tuniques Bleues, même sans le sergent Chesterfield et le caporal Blutch, ça ne se refuse pas, surtout que Josh Kendall avait tout l’air d’un gai luron, lui qui avait culbuté la fille du colonel Belker, commandant en second du Fort Riley…



Alors que nous étions pris dans une embuscade avec les Apaches, je me suis rendue compte que j’avais joué le mauvais chameau et suivi un personnage secondaire qui n’allait plus intervenir ensuite.



Bon sang, mais c’est bien sûr ! Dans le titre, c’est le nom de Largo Callahan qui s’y trouve, pas celui de Josh Kendall. Sherlock Holmes se gausserait de moi, je n’avais pas observé et pire encore, je n’avais pas vu !



Les westerns, je les aime aussi avec le bruit des armes à feu, le tout durant de grande chevauchée, de bivouac dans la nature, d’attaques de train, ou d’autre chose car je n’ai rien contre les mauvaises fréquentations des hors-la-loi et des bandits.



Là, j’ai été servie puisque maintenant je fais partie de la bande le Largo Callahan et ses membres sont devenus des copains. On a tout fait ensemble, alors, maintenant, c’est à la vie à la mort.



Reprenant tous les codes qui font les westerns, l’auteur a su pourtant marquer son territoire et ne pas reproduire ce que nous connaissons tous et toutes. Utiliser les règles tout en les cassant, tout en les changeant, c’était un pari osé et il est réussi car Largo est un métis né d’une mère Apache et d’un père Blanc Irlandais.



Vous savez comme moi que la place du métis n’est pas aisée car il n’est pas considéré comme un Apache dans la nation du N’De (les Apaches) et si les Blancs savaient qu’il est moitié Indien, ils ne le verraient plus comme un Blanc mais comme un Homme Rouge. Bref, le cul entre deux chaises, ni l’un, ni l’autre. De quoi être vénère.



Si la partie des aventures de hors-la-loi de la bande à Callahan sont trépidantes à suivre, j’ai aussi apprécié la partie où il retourne dans la ranchiera de son peuple, retrouvant sa sœur et ceux qu’il considère comme sa famille. Cette partie était riche en enseignement et j’aurais aimé qu’elle dure plus longtemps.



Lorsque je disais que l’auteur suivait les codes du western tout en s’en affranchissant, notamment avec son métis comme personnage principal, il a osé franchir le Rubicon en sautant une barrière, de celle qui ne se franchi pas sans risque… Je n’en dis pas plus.



Ça passe ou ça casse ! Ouf, on a passé l’obstacle sans faire tomber de barre.



Cela aurait dommage de foirer son coup car l’univers était riche et rythmé, bourré de suspense, d’aventure, de personnages agréables (même s’ils auraient mérité un peu plus de nuances), ainsi que de descriptions de personnages qui donnent au roman un côté cinématographique.



Heureusement, ma lecture n’a pas tourné au fiasco dans le final et j’ai même hâte de lire la suite de leurs aventures car le premier tome se termine sur un cliffhanger de malade, limite sadique, comme tout bon cliffhanger, entre nous.



Donc, si vous aimez les westerns qui sortent un peu de l’ordinaire, des personnages intéressants, aux portraits qui auraient pu être plus nuancé, de la testostérone, une histoire de vengeance mais pas que ça, des aventures trépidantes, de l’amitié, du sexe (un peu), des Indiens, une attaque de train, des vols d’armes, une pincée d’Indiana Jones et un roman qui dépote, il est fait pour vous car il rempli sa mission de divertissement.



On ne lui en demandera pas plus…



Dommage qu’il n’y ait pas eu un ton un peu décalé pour apporter une note d’humour au récit, cela aurait ajouté du piment à tout cela. Mais bon, c’est minime comme bémol, ce n’en est même pas un vrai.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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L'agent des ombres, tome 6 : Guerrier des L..

Erf, bah finalement je l'ai beaucoup aimé ce tome 6, moi...

Je crois que j'ai adopté le bon "truc" pour l'apprécier. J'ai lu les tomes 1 à 5 dans la foulée, puis j'ai totalement arrêté pendant plus d’un an ! Or, le tome 5 finit sur Gheritarish qui part en vacances…

J’ai donc repris tout récemment par la lecture des « vacances » (toutes relatives, mdr) de Gheritarish. Tome pendant lequel, j’avoue, Cellendhyl m’a pas mal manqué.

Du coup, c’était le bonheur de le retrouver dans ce tome. Parce que j’aime Cellendhyl de Cortavar, à peu près comme toutes les nanas qui le croisent, mdrrr !

L’écriture est toujours sympa (ces descriptions de combats, mais c’est juste pas croyable ! bon si vous n’aimez pas ça, passez votre chemin, lol), malgré parfois quelques maladresses dans la tournure de phrases ou l’emploi de certains adjectifs, mais vraiment rien de rédhibitoire, vu que je ne m’en souviens plus précisément là de suite, à part « un geste grandiloquent » mais a priori c’est moi qui bugge puisque la définition colle, (alors que pour moi c’est un adjectif uniquement lié au discours mais en fait non, lol).



Pour l’histoire, ça se tient, et drôlement bien, en fait, sur les développements et les ramifications. Je me demande à chaque fois si Michel sait bien où il va, mais ça reste cohérent, du coup on dirait bien que oui. Même si l’action ne démarre vraiment qu’à partir du moment où Cellendhyl et Constance partent pour Fort Courage. On sent le tome de transition, bien sûr, mais c’est une transition bien faite, bien amenée.

Et où Cellendhyl se retrouve dans une situation fichtrement merdouillifique à la fin… qui donne bien évidemment envie de sauter sur la suite.



Après il y a quelques petits moins qui agacent (légèrement), c'est la répétition de situations avec "les filles". Il a beau être un "romantique" dans l'âme, c'est quand même un sacré cœur d'artichaud ce Cellendhyl, lol ! Pi on a plus de scènes de sexe que dans mon souvenir des précédents (ou alors j'étais habituée et je me suis déshabituée, mdr !).
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Gheritarish : Les terres de sang

Cela doit faire 7 mois que j'ai lu le quatrième tome de la série L'Agent des Ombres. Il était grand temps de me replonger dans l'univers de Michel Robert. Quoi de mieux que de découvrir les aventures de Gheritarish en vacances?



Au début, j'ai eu un peu de mal avec l'association fantasy-western. Cela avait un petit goût d'anachronisme (c'est le mot qui traduit le mieux ma pensée) qui s'est assez rapidement dissipé une fois toute la "bande" embarquée sur les terres de sang.



On y trouve de tout : de l'aventure, du suspense, de l'humour, de l'émotion, ... On semble y faire bonne chère et surtout bonne "chair". Enfin une femme qui assume sa sexualité sans fausse pudeur ^^



Cela me fait penser à un passage du volume 2 intitulé Coeur de Loki :



"- Des questions?

Gheritarish s'empressa de lever la main. Cellendhyll ne lui laissa pas le temps d'ouvrir la bouche :

- Je veux dire des questions autres que "quand est-ce qu'on mange?" ou "qui veut aller au bordel?".

Le Loki baissa sa main... "



L'histoire est assez bien ficelée et je dois avouer que j'ai passé un très bon moment de lecture.



Elle est trop cool Skagg'Naggah!



Bref, je vais reprendre ma lecture de L'Agent des Ombres. J'ai pris du retard... il me semble avoir entraperçu le volume 9 quelque part.



Challenge pavés 2016-2017



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Gheritarish : Les terres de sang

Bon, je dois être une fan qui "ne réfléchit plus" quand il s'agit de Michel Robert...

J'avoue ne pas comprendre la relative "mauvaise" note de ce bouquin. Je kiffe Gher', je l'adore depuis le début de la série, et ce spin-off, qui est en fait une histoire à part entière avec ce personnage génial en héros principal, est juste, bah, tout ce que j'attendais d'un roman basé sur lui, quoi ! Mdr !



ça bataille à tours de bras, avec un énorme talent de l'auteur pour toutes ces scènes de ferraillage et découpages en règle, c'est visuel, c'est bourré de rebondissements, de magie, de traîtrises, c'est classique mais drôlement bien amené, avec les courts chapitres qui secouent les doutes à partir du 67, doutes qui avaient été éveillés auparavant par de petites phrases lâchées ici et là dans le déroulement de l'aventure !



ça sexe aussi pas mal, à la façon "Michel Robert", j'avoue que ça me convient mieux que d'autres scènes du même genre écrites par des nanas, je ne sais pas trop pourquoi, lol ! Sans doute parce qu'il n'y a pas de gnangnantitude ni de délires très féminins sur le romantisme d'une scène de cul qui ne reste qu'une scène de cul pour le plaisir du cul, arrêtons l'hypocrisie mesdames. Mdr ! Bon c'est pas mes scènes préférées, mais ça passe, la preuve, je les ai pas sautées (Mouahahaha !). En plus elles servent le propos de l'auteur car, (contrairement à Ferric que je lisais en parallèle), chez Michel les femmes sont tous saufs des personnages secondaires, elles sont omniprésentes, égales aux hommes, intéressantes et pas du tout effacées ou pâles, et quand même, c'est pas si fréquent, donc merci Michel ! Non mais... le petit truc en moins (mais alors tout petit, concernant Loris)) : il faut absolument que Gher' guérisse de ses "clignements d'oeil" parce que trop, c'est trop ! Mais a priori, ça devrait lui passer... J'en dis pas plus ! Mdrrrrrr... Il faut également passer outre quelques répétitions, qu'il faudrait traquer davantage lors des corrections, mais bon, rien de rédhibitoire...



Bref, j'adore cette série, je suis fan ! Et je vais mettre de ce pas une ultime citation, extrait de bataille, parce que ! Pour mes "amis" babelio, désolée pour le doublage d'avis jourd'hui, j'ai eu la flemme hier... :)
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L'agent des ombres, tome 10 : Destin brisé

Enfin la fin ! :)

Le hic étant que j'ai un peu oublié les fils narratifs des tomes précédents, mais ce n'est pas grave, j'étais quand même heureuse de pouvoir clore cette grande saga, française qui plus est, cocorico, sisi !

Dire qu'il est sorti le jour de mon anniversaire et que je ne l'avais même pas vu !



L'auteur n'a pas ménagé sa peine pour ce tome, il est long (très), et par moments les combats m'ont un peu lassée, j'avoue, d'où la demi-étoile en moins. (même si toujours formidablement bien décrits !)



Mais c'est un vrai bonheur de retrouver les personnages récurrents, un vrai bonheur d'en découvrir de nouveaux, et d'aller au bout du destin hors norme du "Hors-Destin", l'immense Cellendhyl, quel (sur)homme !

A l'heure où je me passionne pour Baldur's Gate 3, autant vous dire que j'étais "dedans" !



Probable que je relise toute la série un jour prochain, ce qui est plutôt rare ! :)



C'est de l'excellente fantasy "jdr", vraiment.



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Largo Callahan - Six petites gouttes de san..

Ayant lu récemment Sans foi ni loi de Marion Brunet dont j'ai un très bon souvenir, ce nouveau roman de Western prend place dans un univers totalement différent.



Nous faisons la connaissance de Largo Callahan un Hors la loi mi Irlandais mi Apaches où la conscience de l'homme est partagée entre ses valeurs indiennes et son tempérament d' Irlandais.

Chef d'un groupe de mercenaires, Largo possède un honneur et une morale malgré qu'il soit pas un samaritain, il cherche à se faire respecter et être crédible envers ses hommes mais suite à sa rencontre avec une comtesse, Largo va se retrouver dans univers mystique dans lequel il ne pourrait en ressortir.



La premier partie est une histoire de Western tout à fait classique avec son background habituel, paysage de l'ouest américain et mexicain, les saloon, et les territoires indien où quelques figures mythiques son honorées.



Nous avons aussi les personnages qui sont différents les uns des autres. Bien qu'ils soit représentés comme les héros que l'on voit habituellement, cela reste intéressant et nous restons en terrain connus.



La seconde partie malgré qu'elle se situe en fin du roman nous offre des moments de fantastique (mais je pense que comme c'est en deux tomes il y aura plus de fantasy dans le second tome). Par contre je n'ai pas aimé les protagonistes mystiques et surtout les monstres et plus particulièrement le face à face entre ces derniers et la bandes à Largo.



Au final c'est bon roman qui rend hommage au genre Western avec un ptite dose de fantasy et qui mérite que l' on s'attarde sur le second tome qui je l'espère tiendra ses promesses.

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L'agent des ombres, tome 7 : Chiens de guerre

Je commence vraiment à être déçu par la tournure que prend cette série...

Il y a pas mal de choses négatives à dire sur cet opus, je vais essayer d'être bref et objectif.

Premièrement, (et c'est ce qui fait chuter la note) la principale erreur du précédent tome n'a pas été corrigée...à savoir que dans Guerrier des Lunes, l'auteur s'était planté sur le nom de la lune blanche en passant de "Yrénas" à "Ystaris", je pensait que cette belle bavure (car c'en est une, vu le titre du livre) allait être corrigée dans Chiens de Guerre... Ben non ! La jumelle de Felleyran la Bleue est "définitivement " devenue Ystaris la Blanche. Alors peut-être que ça sonne mieux aux oreilles de Mr Robert, mais dans les miennes, ça sonne qu'on nous prend pour des cons ! Désolé, mais c'est quand même fou... de la part d'un écrivain de ne pas se souvenir d'un nom -qu'il a lui même crée - aussi important et aussi récurrent que Yrénas !

Je pousse ma gueulante là dessus car la relecture et la correction ne sont visiblement pas les points forts de M.Robert; c'est pourtant l'étape la plus importante avant de commercialiser un livre.

Pour l'histoire, (là ça n'engage que moi) heureusement qu'il y a les chiens de guerre pour foutre le bronx dans la capitale, parce que notre bon Cellendhyll lui, il vit les joies du concubinage avec son Amante Constance - une femme pas très fute-fute - et ça se résume à : bouffer, baiser et se prendre la tête...du moins pendant la première moitié du livre.

Donc oui, heureusement qu' il y a Vargh Loken et sa bande pour faire couler le sang, et pour ça, on peut dire qu'ils le font bien ! Les chiens de guerre sont vraiment bien décrits, autant physiquement que psychologiquement, et même si on n'évite pas certains archétypes, le groupe a du charisme, c'est le point fort de cette histoire. M.Robert est plus a l'aise avec les méchants qu'avec les gentils.

Ensuite il y a Priam...Ah Priam...franchement, il n'est puissant et resplendissant que sur la magnifique couverture de Julien Delval qui prouve une fois de plus son talent d'illustrateur.

Ouais, Priam va décevoir ceux qui pensaient qu'il allait assumer ses actes et démontrer sa poigne. Non, il va s'excuser et se rabaisser... de dieu vivant il passe à l'état non pas d'homme, mais de larve, donc ça contraste un peu trop. D'autant plus que Cellendhyll cède à tout les caprices du monarque; Cell' doit être un peu "aveuglé" par la Lumière ! Tellement aveuglé qu'il est incapable de se demander si ça ne serait pas les Melfynn qui en veulent à sa peau -Estrée l'avait pourtant prévenu dans Belle de Mort - depuis près de trois tomes maintenant. Non, Cellendhyll préfère affuter son "excellent flair" d'enquêteur... Ça fait sérieusement regretter le temps du Chaos et des Ténèbres !

Au niveau des combats il y a une baisse de régime mais on sent que l'auteur fait un effort pour ne pas se répéter, quitte à créer parfois des voltes et des parades un peu compliquées. En parlant de combat, la technique dite du " Hyoshi' Nin " devient franchement abusée ! L'auteur nous avait déjà fait le coup avec le combat opposant Cellendhyll à Melkior, une rencontre qui avait durée dix secondes, dont on avait rien vu mais qui aurait put être épique. Là il réitère avec non pas un, mais deux ennemis mit K.O en un rien de temps grâce au Hyoshi' Nin, et toujours pareil, personne ne sait ce qui c'est passé. Une technique bien arrangeante pour l'auteur et bien frustrante pour le lecteur car en trois lignes tout est réglé, un combat qui s’annonçait palpitant s'achève brusquement.

Pour l'intrigue, il n'y a pas vraiment de suspense ni de trop de surprise. Dès le départ, l'identité de "la dame" saute malheureusement aux yeux, tout comme celle de l'interlocuteur mystère du monarque. La nouvelle trame qui se profile n'est encore une fois pas des plus originale, (SPOIL :le coup du tombeau vide on nous l'a déjà fait cent fois) mais curiosité oblige j'emprunterais (...) surement la suite. C'est à croire que cette nouvelle saison n'est pas vraiment à la hauteur de la première, qui présentait déjà des défauts mais qui était nettement plus passionnante.

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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

Je me souviens des toutes premières pages du tout premier tome, l'Ange du Chaos. J'y comprenais rien, j'avais du mal à m'insérer dans l'histoire, je me suis dit bon sang, encore un de ces trucs de fantasy compréhensibles que par les geeks. Et puis, très rapidement, au fil des pages, j'ai fait connaissance avec Cellendhyll, le héros du cycle, un personnage à la fois antipathique et charismatique, auquel je n'ai eu aucun mal à m'attacher. Et puis avec d'autres personnages, beaucoup de détestables et quelques uns auxquels on s'attache aussi, puis avec un monde très complexe mais construit et décrit avec une précision effarante.

Ce monde se décompose en fait en trois mondes, ou plutôt en plans : la lumière, le chaos et les ténèbres, chacun régi par ses propres lois et tous ennemis les uns des autres. Dit comme ça, on se dit : facile, la lumière c'est les gentils, les ténèbres les méchants et le chaos c'est le bordel au milieu, c'est du vu, revu et déjà vu. Hé ben non! Il y a des méchants partout, et les Lumineux sont pas les derniers à faire des coups vaches...

Dans tout ce bazar, Cellendhyll, qui se promettait à un avenir lumineux, est trahi par les siens et recueilli par le Chaos pour intégrer la très secrète équipe des Agents des Ombres, guerriers discrets mais redoutables.

Et c'est un pur régal. L'imagination et la plume de cet auteur sont un plaisir pour l'œil comme pour les neurones, mais aussi pour les tripes. C'est violent, il y a du sexe, ouais, la recette des ventes faciles, mais au delà de ça il y a la complexité des personnages et des liens entre eux, des scènes tellement précises qu'on se croirait dans un film alors qu'il n'y passe pas trois pages... Bref, il y a le truc qui en fait pour moi un inoubliable (et une série que je relirai très certainement).
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La fille des Clans, tome 1 : Balafrée

Un roman distrayant, dont l’action est prenante, avec une héroïne plutôt atypique qui fait exploser les carcans dans lesquels sont souvent cantonnés les personnages féminins. Un contexte bien campé : un monde en guerre perpétuelle, dans laquelle les humains n’ont pas vraiment le beau rôle et les peuples des clans dits sauvages se révèlent nettement plus civilisés et tolérants. Des scènes de combat visuelles. Tout est donc en place pour un bon moment de lecture.

Alors, pourquoi pas plus d’enthousiasme ? Je ne suis pas suffisamment aguerrie dans l’univers de la fantasy pour repérer d’éventuelles filiations avec de grands classiques de SF un peu trop évidentes pour certains lecteurs. Ce qui m’a gênée, c’est plutôt l’aspect superficiel, cette impression de ne pas accéder à la substantifique moëlle des personnages : on assiste aux accès de violence de Balafrée par l’extérieur. Elle ne laisse prise à aucune empathie, ses relations sonnent faux. Et je rejoins certaines critiques qui soulignent la multiplicité des ethnies des « clans sauvages » n’apportent pas vraiment au récit tant elles n’apparaissent qu’en filigrane. Et, gros bémol en ce qui me concerne, cette fin qui se termine par un cliffangher un peu trop artificiel. Du coup je ne suis pas sûre d’avoir envie de continuer l’aventure.

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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

J'ai découvert ce livre en suivant le MOOC Fantasy, de l'Angleterre victorienne au Trône de fer (j'y ai découvert un univers passionnant).



Je l'ai lu pour ainsi dire d'une traite. J'ai adoré! Le personnage de Cellendhyll de Cortavar est vraiment intéressant.



J'ai été un peu déstabilisée par la fin (je commence à avoir l'habitude avec ces fins de livres qui m'échappent... pfff) mais j'ai très envie de lire la suite.
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L'agent des ombres, tome 5 : Belle de mort

Une fin de premier cycle en feu d'artifice, comme il sied à un super-héros dark comme je les aime.

C'est un tome que j'ai lu "en apnée", et même si certains passages un brin trop nombreux à mon goût m'ont parfois agacée, ça reste d'un excellent niveau. Bien sûr, il faut aimer les combats divers et variés, les complots, les trahisons et autres surprises du même acabit, et il faut également apprécier les héros héroïques car il faut bien admettre que Cellendhyl en est un même s'il s'en défend, d'ailleurs toutes "ses" femmes n'arrêtent pas de le lui dire.

On a là donc de la très bonne "dark héroic fantasy", et si (oui je sais je mets du temps) je commence à voir venir les ficelles de l'auteur, je n'en garde pas moins un très grand plaisir de lecture.

Ces bouquins, c'est destiné à ceux qui aiment Conan, avec une grosse louche de sexe en plus ce qui, pour certains, ne gâchera sûrement rien. Pour ma part j'ai lu ces passages en traviole parce que vraiment si j'ai rien contre une pincée, une louche c'est trop pour moi ! Arfeu !

Malgré le côté noir de l'ensemble, il y a une bonne dose d'humour (lourdingue parfois mais curieusement ça passe plutôt bien, ça va bien avec l'ambiance générale), et tout ça en fait une lecture vraiment très cool. Le style est toujours aussi efficace !

Je trouve nos auteurs français de fantasy plutôt bons, dans l'ensemble !



Pour ma part, ayant eu les avis de mes prédécesseurs sur cette série, je pense en rester sur cette excellente impression que m'a laissée ce premier cycle. J'attendrais que tout le reste soit paru et des avis sur cette suite pour m'y attaquer (trop d'autres livres à lire !).
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Gheritarish : Les terres de sang

Ceux qui connaissent "L ' Agent des Ombres", connaissent forcément Gheritarish le valeureux Loki, qui est un personnage haut en couleur : charmeur, déconneur, courageux, loyal, et j'en passe.

Pour ceux qui ne connaissent pas Gheritarish, je n'ai qu'un conseil : lisez la série L' Agent des Ombres au moins jusqu'au volume trois. Car Gheritarish est un livre à ranger du côté des spin off, et à mon misérable avis, c'est même plus qu'un spin off... c'est donc limite la suite de Sang-Pitié. Peux pas trop en dire à ce sujet au risque de spoiler la principale série.

Bref, ce qui nous intéresse aujourd'hui c'est Gheritarish : Les terres de sang !

Donc dans ce livre, on retrouve le cocktail cher à M.Robert, c'est à dire : de l'action, de la violence, du sexe et des méchants vraiment vilains !

En revanche, l'auteur c'est amusé à mélanger le Western et la Fantasy, ce n'est pas exceptionnel mais c'est réussi. On ressent bien que M.Robert s'est fait plaisir en écrivant ce roman, du coup c'est assez agréable à lire. En tout cas, je préfère nettement ce spin off aux derniers épisodes de l'Agent des Ombres.
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