Citations de Patricia Briggs (517)
Parfois, une sorte de folie s'emparait de ceux qui vivaient trop longtemps.
Ses yeux redevinrent complètement humains et il me décocha un sourire amusé.
- Tu n’as aucun problème avec le fait d’épouser un loup-garou père d’une adolescente et Alpha d’une meute instable, mais c’est ta mère qui te panique?
- Tu l’as rencontrée, pourtant, maugréai-je. Toi aussi, tu devrais être paniqué. (il éclata de rire.) Il faut croire que tu ne l’as pas vue assez longtemps, conclus-je.
C’était la moindre des choses de le prévenir.
« Lorsque le feu mourant fut la dernière source de lumière de la pièce, Aralorn se blottit un peu plus entre les bras de Loup. Tout ira bien, se rassura-t-elle. »
- Que peux-tu m'apprendre sur les dragons? Il serait utile de connaître leurs préférences alimentaires, savoir s'ils mangent des humains, par exemple, ajouta Myr d'une voix empreinte d'espoir avant de s'asseoir sur un bras du canapé. Certains ont tendance à paniquer pour un rien.
- Malheureusement, pas grand-chose, répondit Aralorn. J'ai lu des histoires à leur sujet. Dans les contes, ils dévorent des humains, mais pour une raison qui m'échappe, ils semblent se cantonner aux vierges enchaînées à des rochers. Comme ces dernières ne foisonnent pas dans les parages, je suppute que notre dragon préfère se repaître de denrées différentes.
Je n’ai jamais eu peur du noir. Même quand je ne vois rien, mon nez et mes oreilles sont assez efficaces pour me guider. Je ne suis pas non plus claustrophobe. Nénamoins, descendre au fond de ce trou noir fut l’une des choses les plus difficiles que j’aie faites, car, même en sachant qu’il serait inconscient durant la journée, je flippais comme une tarée à l’idée de tuer un vampire.
Bien caché, le hob fit la grimace et colla ses oreilles contre son crâne.Ses sortilèges lui permettaient de comprendre leurs paroles, mais il connaissait la langue que massacrait le musicien. L’âme des humains n’était pas capable d’apprécier la vraie beauté, mais là, ils allaient loin.
- Peut-être qu'il n'a pas de mauvaises intentions, dis-je sans grande conviction.
- Par les poils de cul de sainte Elme, tu parles qu'il n'a pas de mauvaises intentions ! explosa Ben. Bordel de merde ! Si Wulfe te suit partout, ce n'est pas pour te vendre un abonnement à un magazine, Mercy !
Je suis comme Mohamed Ali. Je vole comme un papillon et pique comme la guêpe.
Personne n’était parfait, et se battre supposait toujours de gros compromis.
Aiden ramena ses pieds vers le haut pour se mettre en position fœtale, sanglotant toujours en silence. Les bébés crient lorsqu'ils pleurent, certains que les adultes qui les entendront seront en mesure de calmer leur chagrin. Enfants, nous apprenons que les larmes ont le pouvoir de faire réagir ceux qui veillent sur nous. Nous faisons du bruit pour attirer l'attention, obtenir de l'aide, du soutien. Aiden, lui, tentait de disparaître dans l'étreinte protectrice d'Adam sans émettre un son.
— Ça t’aurait tué d’emballer quelque chose de moelleux, comme une chemise par exemple ?
Il aurait dû être surpris. Ou fâché. Au lieu de quoi, il constata qu’il était, bien que ce fût absurde, reconnaissant.
Il la prit dans la main pour la sortir de là et la tint à hauteur de ses yeux au creux de sa paume.
— Celui qui s’invite sans être convié n’a pas le droit de se plaindre du confort des prestations.
— Ciel ! s’exclama la souris d’une voix choquée. J’espère que je ne m’impose pas.
— Je sais. Il va falloir des mois pour que je n’aie plus à
expliquer ce qui est arrivé à mon visage à tous ceux que je rencontre. " Bonjour. Non, je me suis juste fait casser la figure par une armée de mecs pleins de muscles qui n’avaient même pas l’élémentaire correction d’être mignons. Non, ne vous en faites pas, ça va mieux maintenant. J’ai juste une petite bosse sur le nez, qui, comme le grain de beauté de Marilyn, ne fait que mettre en valeur la perfection de mon visage."
— Ne t’éloigne pas trop de ton petit ami loup-garou pour le moment.
Je lui adressai un regard de martyr.
— Pourquoi crois-tu que Zee est toujours là ? J’ai comme dans l’idée que je vais avoir du mal à me retrouver seule avec moi-même pendant au moins un an.
— Ouais, commenta-t-il avec un regard pétillant d’amusement, c’est vraiment trop dur d’avoir des gens qui tiennent à soi.
Zee émit un son qui aurait pu être un rire. Mais il le camoufla en remarquant sur un ton acerbe :
— Et elle ne nous facilite pas la tâche. Vous allez voir : tout ce qu’elle va faire dans les semaines à venir, c’est de se plaindre, se plaindre et se plaindre encore.
Seules les personnes qui m’importaient pouvaient risquer de me faire du mal, pas celles qui m’étaient quasi inconnues. Ce qu’elles pouvaient penser ne m’importait aucunement.
- Ils flirtent toujours à coup de citations bibliques ? s’étonna Asil.
Tad répondit d’un air désespéré :
- Ils sont capables de flirter avec la table périodique ou un menu de restaurant. On a dû apprendre à vivre avec. Prenez une chambre, bon sang !
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Adam voudrait savoir ce qui t’a pris tant de temps. Je voulus lever les yeux au ciel, mais renonçai face à la douleur accrue que cela faisait subir à ma joue. — Dis-lui que j’ai fait l’amour passionnément avec un inconnu
Il faut que nous soyons tous assis quand mon mari arrivera. Ne le regardez pas dans les yeux. Si vous le faites, je vous en prie, battez des paupières ou détournez le regard s’il croise le vôtre. Ne me touchez pas, même par accident. Je m'assiérai avec une chaise vide de chaque côté
—Je pense que tu en as fini avec elle, dit-il d'une voix complètement différente. Lâche-la.
Elle sentit le pouvoir de ces mots traverser ses os et réchauffer son estomac glacé de peur. Justin aimait encore plus la torturer qu'il ne désirait son corps. Elle l'avait combattu jusqu'à comprendre qu'il en tirait bien plus de plaisir. Elle avait rapidement appris qu'elle n'avait aucun moyen de gagner contre lui. Il était plus fort et plus rapide, et la seule fois où elle lui avait échappé, le reste de la meute l'avait retenue pour lui.
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Il était un temps où Siebold Adelbertsmiter avait fait des épées. Il était le propriétaire d'un garage VolksWagen quand je l'ai rencontré. Il m'a embauché, puis il m'a vendu la garage quand les Seigneur Gris ont décidé qu'il était temps pour lui de révélé qu'il était un fae- des dizaines d'années après que les faes aient fait leur coming-out. Je savais que c'était un vieux grincheux avec un grand cœur, mais une fois, il avait été quelque chose de tout à fait différent: le Forgeron Noir de Drontheim. Il n'était pas le bon garçon dans les contes de fée qui le mentionnaient.
Les loups-garous et la violence, les loups-garous et la mort : l'un n'allait pas sans l'autre, comme les bananes et le beurre de cacahuète.
- Ces hommes ont réussi à avoir le dessus sur une meute de loups-garous, Mercy, me rappela froidement Stefan. On ne peut pas se permettre de prendre des risques inutiles et de ruiner tous nos efforts pour découvrir ce qu'ils ont fait de Kyle.
Il prononça le nom de ce dernier sans ce côté "vampire distant". Stefan appréciait Kyle, qui avait la langue acérée et adorait discuter des tactiques employées dans les épisodes de Scoubidou comme s'il était en train de présenter une thèse.