écrire pour écrire ? ? ? je n'ai trouvé aucun intérêt à ce livre sinon que l'auteur voulait en ajouter un à son palmarès
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En une vague qui roule et se déroule sans fin puis repart sans bruit entre le désert de la plage parsemé de coquillages souvenirs et les grands fonds émotionnels,ceux de la perte,ceux de l'absence où le père se perd d'avoir trop perdu, en un chant du cygne dont la ligne d'ancrage se situe à 35 kilos, en un douloureux chemin de croix, en un long poème émergeant des sources de la souffrance,en une lettre à celle qui n'est plus mais restera toujours,Patrick Poivre d'Arvor se livre, se délivre et nous transmet son impuissance,ses interrogations,son amour,sa culpabilité,ses échanges avec Solenn,si douce,si belle,si blonde,"capteuse d'ions","éponge à émotions".
Derrière l'image d'écrivain,de journaliste connu des médias,il se dévoile, colère,tempête et saigne, seul, seul à présent.
"Nom de Dieu,rendez la moi!"
Poignant!
Rappel:Solenn la fille de Patrick Poivre d'Arvor, anorexique s'est suicidée. Ce livre est un hommage et un cri d'amour d'un père à une fille.La maison de Solenn a été créee depuis à Paris pour aider les adolescents en difficulté.
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J'ai été fortement déçue par ce livre, qui possède un cruel manque de peps, on s'ennuie. Malgré cela, je trouve la plume de l'auteur très belle.
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Un récit plein de vérités, de mensonges, de non dits, un portrait d'une femme qui ressemble, je crois à toutes les femmes que nous sommes... A moins que...
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Victor Priadov-Parker n'a jamais connu son père et a été élevé par sa mère, ouvrière dans une soierie lyonnaise. Au crépuscule du XIXème siècle, il est compromis dans un procès anarchiste et emprisonné. L'irrésolu se souviendra d'une telle injustice. A la recherche de sa naissance énigmatique, il s'en va pour Paris, grande ville annonçant une vie nouvelle où il débute dans la presse...
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Ce qui m'a attiré dans ce livre, ce n'est pas le résumé qui aurait pu même me rebuter mais le titre. J'ai trouvé le titre très beau et très poétique. Au début, je me suis plongée dedans avec joie mais dès les premières pages, cette joie est retombée. J'ai trouvé que l'écriture très imagées des auteurs étaient à certains moments très difficiles à comprendre. De plus, je pense que l'histoire n'est pas très interessante. En somme, un livre que je ne recommande pas.
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Une descente, une sonde dans l´ame d´une jeune femme anoréxique-boulimique qui cherche le sens de sa vie, qui cherche la raison de s´aimer, la clé de la réussite est dans la rencontre avec son pere.
Un récit psychologique réussi, une histoire bien construite.
Prague en tant que le cadre de l´histoire ne reste que le décor, c´est dommage.
Je n´arrive pas a me débarrasser d´un certain arriere-gout de mépris pour les tcheques que j´ai senti en lisant le roman.
J´ai quand meme aimé les passages décrivant les évenements de 1968 a Prague.
On apprend aussi pas mal de choses sur la vie de Robert Desnos.
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Première fois que je lis un roman de PPDA mais quelle déception. Le style est particulier mais on s’y fait (plusieurs mots qui ne font pas des phrases). On sent que l’anorexie est un sujet brûlant et que l’héroïne est complètement torturée et enfermée dans sa maladie. Ce n’est pas sans se souvenir que PPDA a eu une fille anorexique et qui est décédée depuis. Au final, je ne connaissais pas Desnos et ça ne m’a pas plus donné envie de découvrir les poèmes. Je n’ai pas trouvé ce roman à mon goût.
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Il existe des hommes à femme comme il existe des blonds et des bruns, des noirs et des blancs, des timides et des expansifs.
Je ne parle pas de ces don Juan de pacotille qui papillonnent d'un lit à l'autre en se cherchant eux-mêmes sans jamais se trouver vraiment et causant plus de mal que de bien, ne cherchant que leur propre plaisir.
Non, je parle de vrais séducteurs pour qui les femmes resteront les plus insondables mystères de l'univers. On les reconnait davantage à leur sollicitude envers le beau sexe qu'à leur réel charme. Leur force? Ils s'adressent aux femmes en leur parlant d'elles.
François Mitterrand, Jean d'Ormesson ou encore Patrick Poivre d'Arvor sont de cette trempe.
Le journaliste vedette a écrit "la traversée du miroir" à l'apogée de sa réussite, au milieu des années 80, après deux romans remarqués.
On sent bien, dès les premières pages, que le chantre de l'information a mis beaucoup de lui-même dans ces lignes.
La crise de la quarantaine d'un gynécologue (pour un amateur de femmes, il y a pire comme occupation…) qui part au bout du monde pour en finir, ou plutôt, tenter de se retrouver. Et le bout du monde à la fin des années 70, c'est le Cambodge de Pol Pot.
Là-bas, il va frôler la mort, fait prisonnier pendant trois ans et parvenir à s'échapper enfin. Une idée lui traverse alors l'esprit : revenir parmi les siens en changeant d'identité. Un autre homme, travestissement rendu plus facile par trois ans de brimades, trois ans de tortures plus mentales que physiques. Cela laisse des traces. Cela métamorphose.
Mais à vouloir jouer au chat et à la souris, on ne gagne rarement.
Cet autre côté du miroir va lui révéler des choses tues par sa propre femme. Mais il finira par s'y brûler les doigts. L'arroseur arrosé.
Bref, le court roman de PPDA est le prétexte à plusieurs portraits de femmes et surtout, il peint avec justesse le profil d'un homme à femmes.
D'un homme qui aimait les femmes, aurait dit François Truffaut.
Mise à jour - cette chronique a été écrite AVANT certaines révélations honteuses. Il reste que je parle ici de l'écrivain et nullement de l'homme (bon, je sais, à moins d'être parfaitement schizophrénique, c'est un peu difficile de démêler). Il va de soit que je condamne de toute force tout harcèlement, spécialement quand il provient d'un pouvoir ou d'une influence.
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Un beau livre par l'ancien presentateur star du journal televise de vingt heures de tf1.Le texte est court,sans fioritures et l'histoire est credible et se lit bien.J'ai accroche a cette histoire entre Tristan et Camille,cette lutte contre la maladie racontee avec pudeur et tendresse,sans mots inutiles,bref un bon roman.
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Un récit touchant. Celui d'un père qui a perdu sa fille. Ce père se raconte à mots choisis, avec pudeur et avec douceur.
Je pense, et cela n'engage que moi, qu'il est compliqué de chroniquer un livre aussi intime et personnel. Chacun gère son deuil à sa manière et personne ne devrait juger...
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10eme lecture deux amants de Patrick Poivre d'Arvor
un bon petit roman qui se laisse lire à la plage ou au bord de la piscine,
pas trop aimé cette relation mal saine entre le frère et la sœur
j'ai bien aimé l'intrigue des deux amants et la quête de vérité
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Le livre respire la mer et la Bretagne, au fil d'une lecture fluide et facile.
Les descriptions des lieux sont bien décrits, l'auteur a le souci du détail, sans oublier les allusions à la presse régionale de cette magnifique région française.
De nombreux lieux sont cités permettant d'accrocher un public large autour du livre.
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Le sujet était intéressant, les analogies avec le monde de la télé plaisantes, l'écriture agréable, mais la fin... y a t il une explication à cette chute, soit prévisible mais qui coupe court à tout le reste, soit je n'ai pas tout compris. Au final, je dois accepter d'avouer que ce roman ne m'a pas plu, et que j'ai la furieuse impression d'avoir perdu mon temps. Je crois bien que je ne tenterai plus de lire du PPDA. En effet il me semble avoir déjà été déçue par un autre de ses romans.
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J’ai été choquée de voir à quel point ce livre était auto-centré sur l’auteur. On pourrait penser qu’il s’agit d’un livre dans lequel l’auteur nous parlerait de sa fille souffrant d’anorexie mais pas du tout, il ne parle uniquement que de lui et de ses ressentis. Quand il entre dans la chambre de sa fille, il va tout de suite regarder l’endroit où il se pose dehors d’habitude, puis parle de « ce téléviseur qui te permet de voir où j’en suis ». Tout le livre est centré sur sa petite personne de cette manière et ça m’a rendu vraiment mal à l’aise...
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