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Critiques de Patrick Poivre d`Arvor (254)
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Pirates et corsaires

Tels des "tours opérateurs historiques" les auteurs nous emmènent écumer les mers en nous faisant découvrir les pirates et corsaires les plus fameux. Même si vous n'aimez pas forcément la mer et la navigation, vous serez ravis de ce voyage littéraire.
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La mort de Don Juan

Je suis trop frustrée ! J’avais trop aimé son livre sur sa fille et sa maladie (anorexie). Je suis déçue pour celui-là. J’ai lu un long moment avant de comprendre l’intention. Il y a beaucoup de choses mais je n’ai pas su voir l’unité. Par contre, c’est bien écrit (d’où ma frustration). Et ça m’a donné envie de lire Frankenstein. L’histoire: un comédien revient sur ses différentes conquêtes, la perte des enfants qu’il a peu connu, sa maladie, sa volonté de devenir un autre. En l’occurrence, un auteur qu’il aime.
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La mer pour aventure

La mer ?! Une grande aventure.



Grâce à Babelio j'ai découvert cette œuvre.



Des aventures en mer il y en a eu, il y en a encore et il y en aura toujours. Si elle pourrait parler, elle raconterait tant de choses merveilleuses et catastrophiques, elle fait vire, elle fait chavirer (le cœur de certains), elle fascine et nous emporte.



Ces nouvelles mettent en avant le lien qu'à un humain avec la mer, l'humain qui aime oser et dépasser ce qu'il pourrait faire. Après une aventure, la mer donne envie d'écrire et elle nous offre chaque œuvre à sa manière.



J'étais curieuse moi qui m'intéresse à beaucoup de choses et je suis bien heureuse d'avoir tenté. Malgré quelques petits mots assez compliqués dans la première nouvelle j'ai vraiment bien aimé.



J'ai fais un énorme plongeon dans les nouvelles et je me suis laissée emportée et bercée par les mots.



Avant chaque nouvelle on en apprend plus sur l'auteur et certains textes sont vraiment bien présentés. A un moment je pensais lire un journal intime avec les jours et les dates.



Si vous êtes curieux, je vous recommande cette œuvre.
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Les femmes de ma vie

Hommage aux femmes qui ont compté dans sa vie, sa mère, ses filles, les femmes de légende (Eve, Yseult, Guenièvre, etc), les femmes de l’histoire (Héloïse, Blandine, Jeanne d’Arc, Anne de Bretagne, etc), les femmes de la littérature (Manon Lescaut, Mme de Rênal, etc), les amantes ou muses des artistes (Jeanne Duval, Juliette Drouet, Lou Salomé, etc) , les stars (Adjani, Nastassja Kinsky, Greta Garbo, etc), les femmes qu’il a aimées dans sa propre vie.



Une galerie de portraits émaillée des confidences intimes d’un homme à femmes qui aime passionnément les femmes. Exercice de style assez nombriliste mais synthétique et riche de culture. Se lit rapidement et facilement.



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Les enfants de l'aube

C'est bien écrit, ça se laisse lire, mais l'intérêt de ce livre est surtout d'avoir été écrit par PPDA. C'est d'ailleurs tout ce que j'en ai retenu. Ca, et de m'être passablement ennuyé.
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Lettres à l'absente

J'ai beaucoup aimé. Quelques sujets abordés m'ont touchés et émus.

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L'ambitieux

Sa première parution à l’Assemblée nationale est déjà un succès : Charles, le plus jeune député jamais élu à l’AN se présente d’une manière tout à fait nouvelle dans la politique française et les médias aimaient immédiatement ce jeune homme, orphelin depuis l’âge de 12. Avec sa compagne Florence, chef d’une chaîne d’information et versée en communication, et son père biologique Jean-Baptiste, il a de grands plans de carrière : député, c’est bien. Ministre, ce serait mieux. Mais seul le poste de président peut être le vrai but. Le chemin est plein d’obstacles, mais qui a promis une vie facile dans la politique ? Il est plein d’ambition, mais pourraient ses rêves se réaliser réellement ?



Je connais Patrick Poivre d’Arvor avant tout comme présentateur de journal et ainsi expert de la politique française et globale. C’est beaucoup plus tard que j’ai découvert ses romans. « L’ambitieux » est le deuxième dans la série de Charles, jeune homme passionné qui transforme la vie politique.



C’est avant tout le ton de l’auteur qui m’a immédiatement captivée, j’aime sa manière un peu laconique avec laquelle il raconte l’histoire. Cela reflète très bien l’insouciance de Charles qui croit en soi et pour qui les rêves sont seulement le début du chemin qui mène à leur réalisation. Quoiqu’il utilise aussi les stratagèmes qu’on attend d’un homme politique et quoiqu’il avance stratégiquement, il garde l’air d’un jeune rebelle qui ne s’occupe pas trop des habitudes. Il aime se présenter avec les artistes et les hommes et femmes glamoureux – les ressemblances avec des personnes réelles sont certainement fortuites.



Un excellent ouvrage qui n’a pas encore fini l’histoire de Charles.

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La vengeance du loup

Un roman tout simplement passionnant qui se divise en deux parties distinctes : la première nous emmène tout d'abord à l'époque de l'Algérie française avec une intrigue certes tragique mais qui tient en haleine jusqu'au bout. La seconde, quant à elle, nous emmène dans les arcanes de la politique à la française avec ses coups bas, ses trahisons, ses amitiés factices, ses basses flatteries...; une partie certes un peu moins passionnante mais bien documentée et où l'on sent bien l'expérience du journaliste que fut M. Poivre d'Arvor.



Le tout nous donne un livre riche en rebondissements (surtout dans la première partie) et écrit dans un style alerte qui en fait un véritable page-turner.



À la fin du livre, est indiquée la mention "À suivre"...en espérant que la suite de ce récit soit tout aussi passionnante que ce récit-là, contrairement à d'autres séries politiques qui ont commencé en beauté pour finir en pétard mouillé.
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La vengeance du loup

Pas mal ... mais je ne chercherai pas à lire la suite à tout prix !

PPDA nous livre un joli roman, historique, politique, de vengeance et d'amour.

C'est tout de même une bonne lecture, agréable et fluide.
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Petit prince du désert

Je consacre cet été à découvrir des auteurs que je n'avais pas eu l'occasion de lire jusqu'à présent. C'est donc mon premier roman de PPDA que j'avais soigneusement évité à cause du battage entourant la sortie de ses livres; c'est donc libre de toute influence médiatique que je me suis plongée dans "Petit prince du désert", un très court roman sur le passage à l'âge adulte, sur un complexe d’Oedipe résolu par un voyage initiatique.

Jacques, 12 ans, décide d'aller chercher sa mère au Sénégal, où elle est partie en compagnie de Charles Lindbergh, les abandonnant lui et son père. Jacques idolâtre, adule sa mère. Il se cache dans un avion de l'Aerospatiale mais l'avion doit atterrir en urgence en Mauritanie où il est fait prisonnier avec le pilote et le co-pilote par une tribu touareg qui demande une rançon. C'est là, dans le désert, qu'il va vivre un apprentissage accéléré de la vie, qui lui permet de découvrir un père qu'il méprisait jusque là et de rentrer dans l'adolescence.

On retrouve ici la passion affichée de PPDA pour le monde de Saint-Exupéry, déjà affirmée avec son émission littéraire "Vol de nuit" et son essai "Courriers de nuit".

Jolie petite histoire rocambolesque, qui se lit très vite et agréablement sans laisser un souvenir impérissable.
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Saint-Exupéry, le cartable aux souvenirs

Très beau livre. J'ai beaucoup aimé cette lecture.

Très bien illustré, avec une touche personnelle de Patrick Poivre d'Arvor.

Je le recommande vivement.
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Les enfants de l'aube

C'est le premier roman de Patrick Poivre d'Arvor que j'ai lu. Belle et triste histoire !
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Les enfants de l'aube

Une oeuvre assez étrange mais plutot bien a lire, les personnages sont sympathiques mais le style un peu banal je trouve

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Seules les traces font rêver : Souvenirs et p..

PPDA signe une excellente autobiographie. Il partage avec nous sa passion du journalisme de terrain, son désir de l'exactitude et sa poursuite de la vérité. Il nous emmène vadrouiller avec lui à travers le monde, "bourlinguer" comme il le dit si bien, de point chaud en point d'intérêt.



On découvre un homme certes plutôt très conscient de sa valeur, mais aussi profondément sensible et assez fragile sur certains points. Ce bourreau de travail a une façon de voir la vie et d'en appréhender les épreuves assez différentes de ses congénères, ce qui a dû lui causer quelques problèmes. On l'imagine bien en enfant très intelligent, mais mutique et rebelle, mis à l'écart par d'autres, incapables de s'élever à son niveau.



Courageux et impulsif, l'auteur impressionne par la vivacité de son intelligence. Malgré les coups durs encaissés tout au long de sa vie, et en dépit des scènes révoltantes auxquelles il a pu assister, PDDA transmet à travers son livre une vraie force, et une vraie passion pour la vie. Bien sûr, il n'est pas du genre à donner dans le lyrisme, mais je me suis vraiment pris de passion pour le parcours de cet homme au destin exceptionnel.



Je vous recommande vivement ce livre que j'ai adoré et qui me laisse encore aujourd'hui une profonde impression. Un coup de coeur dans sa catégorie pour 2015 !
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J'ai tant rêvé de toi

Youki séjourne à Prague, à l'hôtel Yalta, là où sa mère, quelques années auparavant a séjourné elle aussi. Elle est à la recherche de son père, qu'elle n'a jamais connu mais dont sa mère lui a vanté les mérites en lui racontant leur extraordinaire histoire d'amour éphémère.

Pour Youki, cette quête du père est importante : il n'y a que cela qui puisse la sauver de sa terrible maladie, ce cercle vicieux dont elle n'arrive pas à sortir, l'anorexie. Elle nous raconte ses séjours à l'hôpital, inefficaces, ses longues journées de solitude à errer dans un appartement aux allures de clinique, à dormir, à vomir, sans soutien...ou presque car il y a Fred. Elle n'en parle beaucoup de cet homme "parfait" qui l'aime malgré tout. Car Youki ne sait pas aimer (la faute à qui?). Elle le trompe, tout le temps, sans scrupules. Elle le rejette, presque toujours, sans regrets. Et Fred reste, Fred court, Fred pleure, Fred l'aime.

Youki raconte un peu de son enfance à Sarcelles, des étés à Belle - île...Elle raconte la maladie de sa mère, Agathe. Elle raconte la formidable histoire d'Agathe et de Pavel Kampa, pourquoi toutes les deux ont le même tatouage au niveau du nombril, celui d'un ours et d'une comète, symbole d'amour et d'attachement au père.

Et puis il y a Robert. Robert Desnos, excuse de sa venue à Prague. C'est grâce à lui qu'elle va enfin pouvoir rencontrer son père, grand poète international.

Dure descente dans la réalité. Désenchantement, désillusion...Pavel Kampa est un imposteur.



Le début de ce roman ne m'a pas emballée du tout. La suite, un peu plus : les récits de jeunesse, les souvenirs de sa mère, l'histoire pseudo - romantique avec le poète, les poèmes de Robert Desnos, l'anorexie, le profil psychologique de Youki...

Les références historiques m'ont un peu perdue dans la mesure où je ne connais pas très bien cette partie de l'Histoire et notamment celle de la Tchécoslovaquie. Tout cela m'est passé un peu au - dessus.



Je ne vais pas m'attarder plus longtemps, je n'en ai pas grand chose à dire. J'ai moyennement aimé.


Lien : http://mychipounette.blogspo..
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Les enfants de l'aube

J'ai adoré ce récit autobiographique dans lequel l'auteur rapporte son adolescence, dans un contexte romancé (modification des noms des personnages etc...).



Quelle profondeur, que d'émotion malgré une pudeur élégante ! Si vous cherchez à être bouleversé par la grandeur de l'amour, alors lisez ce livre. Un tout jeune homme découvre l'histoire de sa conception par le biais d'une lettre que lui laisse son père avant de se suicider. On est happés par le récit de la rencontre des parents, puis par celui de leur amour fou, pour lequel ils déplacent les montagnes et défient toutes les autorités et conventions.



Ce court récit est d'un rare intensité, et je ne doute pas que tout à chacun sera touché par l'extrême beauté de l'écriture et des sentiments qui font de ce livre une oeuvre rare et proche de la perfection. On en pleurerait face à temps d'amour et de beauté, mais aussi face à l'injustice qui, parfois, met un terme si cinglant aux plus belles histoires. Un coup de coeur 2016 (oui, j'ai mis du temps à le découvrir) !
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Une trahison amoureuse

Je passe sur le résumé de l'histoire tout est dit dans le 4ème de couverture.



Par contre si quelqu'un pouvait offrir à la personne qui l'a écrit un livre de Francis Scott Fitzgérald ... Comment peut on oser dire que dans ce livre cet auteur a " une grande sensibilité et une finesse dignes de Fitzgerald " ...



Fitzgérald qui avait dit "montrez moi un héros et je vous écrirai une tragédie".



Ici nous avons le héros, Numa, héros de la Grande Guerre, aviateur, aux victoires innombrables, qui a vu mourir ses amis et ses ennemis, qui reprend la vie civile et qui essaie de se construire un avenir.



Et que nous raconte t on ? Numa aime Madeleine, Madeleine aime Numa mais veut à tout prix un enfant. Lui tergiverse. Déçue, Madeleine a un amant. Numa quitte Madeleine le coeur brisé.



Hohé temps mort ai je envie de dire, ce n'est pas parce que les survivants de la Grande Guerre se jette dans l'oisiveté pour oublier l'horreur que l'auteur doit en faire autant.



Quel est le lien entre la Guerre et cette histoire d'amour ? Pourquoi Madeleine veut elle à ce point un enfant ? Qui est mort ai je envie de dire ? Pourquoi Numa n'en veut il pas ? Que fuit il ? Pourquoi au moment de sa rupture ses cauchemars sur la guerre qui lui revienne en pleine face 15 ans après le début des combats? ...



Ici on a bien le héros mais au lieu d'une tragédie nous avons un mauvais roman à l'eau de rose, avec une approche superficielle et caricaturale des années folles.

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J'ai tant rêvé de toi

Une écriture à quatre mains de deux frères où l'on retrouve le style particulier de Patrick Poivre d'Arvor et les thèmes qui lui sont chers : l'anorexie, Robert Desnos, la poésie et la recherche perpétuelle d'un apaisement. Le titre du livre emprunté à un poème de Desnos lui rend hommage. Pour raconter sa fin tragique, les deux auteurs ont lié son destin à celui d'une jeune fille Youki.



Un roman complexe, où l'on retrouve du vécu personnel de la fratrie derrière une histoire fictive, qui nous amène à réfléchir sur le mensonge et la paternité.
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Elle n'était pas d'ici

En ouvrant ce livre, je m’attendais à un témoignage fort et bien écrit, surtout après ma découverte des Lettres à L’absente en janvier, ou Patrick Poivre d’Arvor se confiait à sa fille Solenn, hospitalisée pendant de nombreux mois à cause de son anorexie. Dans Elle n’était pas d’ici, le ton est plus triste encore, puisque le père se confie encore une fois à sa fille par le biais de lettres, cette fois-ci après son suicide. Il revient sur ses différentes tentatives, et le jour où malheureusement, elle a réussi. La façon dont il l’a appris, dont il a essayé de l’admettre, de voir ce geste comme une preuve immense de courage, et la façon dont il a essayé d’avancer, petit à petit. Ecrire devient alors un moyen d’accepter la situation, de la rendre plus supportable, peut-être, mais aussi de rendre un dernier hommage à cette fille combative, solaire, mais aussi sans doute incomprise. Ce livre est très bien écrit et vous touche en plein cœur. C’est la déclaration d’un homme qui souffre, qui pleure, qui essaie de se résoudre face à un choix si brutal et tragique. Ce sont des confidences, douces-amères, un récit dans lequel on se sentirait presque un peu intrus, tant il est personnel, à l’état brut. Et touchant à souhait. Car le sujet est grave, il n’est pas tant teinté d’espoir mais plutôt de respect. De respect face à une décision qui devait être difficile tant elle est lourde de conséquences. On croyait presque que l’auteur s’excuse d’être malheureux face au choix de sa fille. Comme s’il devait être content qu’elle ait enfin trouvé la paix.



Patrick Poivre d’Arvor nous dresse une fois de plus un portrait éblouissant de sa fille, poignant. Comme dans Les Lettres à L’absente, il apporte le regard d’un proche face à des maladies (l’anorexie et la boulimie) qui sont encore aujourd’hui peu comprises. Regard souvent oublié dans les œuvres consacrées à ce sujet.



Elle n’était pas d’ici est un hommage grandiose à une disparue éclectique, que tout le monde connaissait sans connaître. Un témoignage criant d’amour et de respect qui risque de me marquer encore longtemps.
Lien : http://laroussebouquine.fr/i..
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Lettres à l'absente

Un texte poignant, une belle déclaration d 'un père à sa fille.En même temps un constat sur cette maladie sournoise .

Et pour moi dont c'était le premier livre que je lisais de Patrick Poire d'Arvor, la découverte d'une belle écriture.

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