Patrick Senécal

Si on associe généralement Patrick Sénécal à l’horreur, il arrive à l’auteur d’écrire autre chose. Paru pour la première fois dans le recueil Des nouvelles du père, 38 kilomètres est ancré dans la réalité et dans l’émotion, loin des sensations fortes, mais reste percutant.
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Un petit « 38 Kilomètres » vite passé! Une petite lecture dans ce qu’il y a de plus humain, entre un père et son fils. Une façon de faire accepter un déménagement à un jeune ado. Du Patrick Senécal bien différent de ce que l’on est habitué, mais un très bon moment passé avec eux sur la voix ferrée!

Nouvelle très touchante sur la relation père-fils et sur le départ pour une nouvelle vie. S’inspirant d’une expérience personnelle, ce récit touche directement le cœur. Patrick Senecal change de style totalement et nous surprend avec peu de mots, en seulement 48 pages.

Une nouvelle qui se lit vite sur un rite de passage enfant à l'adolescence et sur un déménagement que l'enfant veut pas faire. Son père Patrick trouve cette idée pour encourager le changement dans la vie de son fils. Un beau lien familial entre les deux.

Patrick Sénécal est reconnu pour ses livres tordus, noirs, gore. Détrompez-vous si vous vous attendez à ce genre d'histoire ici.



Dans cette petite nouvelle, un père, une mère et leurs deux enfants, Romy et Nathan, déménagent. Ils quittent Mont-Saint-Hilaire pour Montréal ! Romy l'a plutôt bien accepté, mais pas Nathan. Le père décide donc de faire un rite de passage avec son fils: marcher de la maison actuelle à la nouvelle, pour un total de 38 kilomètres, avec en poche 50$ chacun pour se nourrir. Durée de l'aventure: une journée et demie.



Ce récit comporte peu de pages. Les chapitres sont extrêmement courts. Ça se lit vraiment rapidement. On l'a à peine commencé que c'est déjà fini !! Nous assistons à un beau moment père-fils; un tête-à-tête en quelque sorte.



J'ai fait des recherches, mais je n'ai pas trouvé. Je me demande si le père ne serait pas Patrick Sénécal . Si c'est le cas, je le remercie d'avoir partagé un si beau moment de sa vie. C'est différent de son style d'écriture habituelle mais c'était vraiment très bon ! J'ai adoré !
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38 km. La distance entre St-Hilaire et Montréal. La distance que parcourra Senécal et son fils Nathan. C'est que ce dernier a du mal à l'idée de déménager définitivement à Montréal. Lui qui entre dans l'adolescence, le fait de quitter son monde, ses amis, sa vie le bouleverse au plus haut point. Senécal a alors l'idée d'un rite de passage. Celui de parcourir à pied, en longeant une voie ferrée, la route qui laisse derrière soi l'enfance, et qui mènera vers le futur. Un beau moment père-fils. Où toutes les grandes questions sont abordées. Où le silence, au départ malaisant, devient subitement contemplatif et confortable. Où des souvenirs se forgent au rythme dans pas. Une très belle nouvelle écrite par cet auteur qui fait dans le gore habituellement. Il prouve une fois de plus qu'il peut écrire dans d'autres registres, et qu'il le fait très bien. Une très belle lecture.

Un homme se retrouve séquestré dans cette maison du 5150 rue des Ormes, car il a eu le malheur d'arrêter y demander de l'aide. En tentant de fuir, il découvrira un tas de choses, même un échéquier humain.... Plutôt décadent.

Quelques longueurs mais une lecture original et prenante! On voit à quel point le fait d'être enfermé peut nous changer...

Au début la couverture du livre ne m'impirait pas vraiment confinace, mais j'ai été très surprise je savais un peu le genre de livre que l'auteur écrivait et j'ai bien aimé.Ça me sort de mes romans à l'eau de rose et me fait voir d'autre genre de lecture.J'aime le cour de l'histoire qui est parfois stressante, le besoin de survivre et de se sauver à tout prix et surtout des bouts de la fin qui ne sont pas du tout attendus.

Très bon livre. Sujet très interressant mais, parfois il y a manque d'intensité. Le manque d'action par bout fait baissé la cote de ce roman. Bon texte très bien formulé. c'est pas pour rien qu'ils en ont fait un film... Il est bon ??? :| ?

Depuis Le passager, je crois que je n'avais rien lu d'autre de Patrick Senecal et il me tardait de commencer celui ci qui était depuis une durée indéterminée dans ma PAL. Voilà chose faite, mais je dois dire que j'ai moins aimé 5150 rue des Ormes que Le passager. D'une part pour son manque d'originalité, je le compare toujours au passager, la fin de ce livre m'avait laissée babab d'autre part pour certains passages un peu longs et répétitifs.


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J’ai bien aimé ce roman car la psychologie des personnages est bien campée. Ce thriller est raconté par Yannick qui nous relate sa captivité et par les extraits du journal de Maude, la mère. Au fil du roman, la folie des personnages se découvre peu à peu et l’intrigue glisse délicatement vers la folie, vers un dérèglement des valeurs. Par contre, la durée de la captivité de Yannick apporte une certaine longueur au roman ainsi que les descriptions d’émotions répétitives.
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Voici un huis-clos très satisfaisant, qui n'est pas sans rappeler un certain "Misery" de S.King.

Yannick Bérubé est retenu en otage par une famille de barjo et il veut à tout prix se faire la tangente...La tache ne sera pas aisée pour lui, car le chef de famille l'a emmené sur un terrain de jeu difficile à quitter....

C'est le deuxième Senécal que je lis, et franchement, je ne suis pas déçu par ses histoires, ni par sa prose. Cet auteur est une sorte de S.King francophone.

Je ne suis absolument pas déçue de ce livre. Je ne suis pas une personne qui apprécie particulièrement les huis-clos, mais celui-ci m'a tenu suffisamment en haleine pour que je le lise d'une traite. J'aime beaucoup la psychologie des personnages (surtout Beaulieu), et ça se voit que Sénécal a boulotté énormément sur son livre pour lui donner une certaine cohérence.

Un huit clos original et bien pensé sur le thème de la séquestration.



Je m'attendais à un roman sur ce thème ci, un peu similaire à " Misery " ou " Nœuds d'acier " mais ici Senécal à su ajouter sa petite touche personnel en mettant un scène - intelligemment - un personnage passionné d'échecs - ce qui fait toute la différence avec les autres romans sur ce thème qui sont généralement sans surprise.



Même si j'ai préfère de loin " Aliss " 5150,rue est Ormes est cute !

D'abord perturbé par l'écriture, l'ambiance et les expressions québecoises j'ai fini par mis faire et même par prendre du plaisir à lire en attendant des nouveaux mots ou en cherchant le sens profond. Donc du facile à lire, quand à l'histoire, j'ai arrété de cherché la crédibilité, en effet tout le long vous pourrait vous dire: "mais ce n'est pas possible, pas réaliste comme histoire..." mais je pense que ce n'était pas le but de l'auteur. Par contre je me suis laissé prendre par la psychologie des personnages et cela à raisonné en moi surtout en ces temps ou certains commettent des crimes au non d'une "vérité" supérieur.

Ce roman met en scène un fou tueur en série avec une philosophie très particulière et un jeune homme qui commet la pire gaffe de sa vie en frappant à cette maison. Retenu contre son gré, il va graduellement découvrir, en même temps que nous, les secrets de cette famille cauchemardesque. J'ai bien aimé la façon dont l'intrigue nous est délivrée et toute l'extravagance des Beaulieu. C'est un excellent livre pour découvrir Patrick Senécal !

Les origines de la Reine Rouge j'ai adoré :)

5150, rue des Ormes est un roman écrit par Patrick Senécal, maître de l'horreur chez les écrivains québécois. Les amateurs du genre vont bien aimer ce récit glauque où l'atmosphère étouffante et noire met en scène des personnages mystérieux et complexes. Il y a plusieurs rebondissements intéressants dans cette histoire de séquestration où nous pouvons nous identifier au personnage principal (la "victime"). L'histoire est racontée de manière originale à travers des journaux intimes.

Très bon livre!!