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Critiques de Pierre Alary (349)
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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 1

Alors que la guerre fait rage, nous suivons ici les aventures d'une sorte de James Bond français des années 10.

Ce premier tome est un tome d'introduction assez bien ficelé mais dont on sent qu'il ne s'agit d'une base narrative sur laquelle vont venir se greffer moult rebondissements.

Je ne peux m'empêcher de trouver certains éléments terriblement "bâteaux" : le beau-gosse anti-héros au coeur meurtri, le side-kick hyper compétent...je m'attend à voir apparaitre des fausses identités multiples et des retournements de situation à l'en plus finir...mais bon, il faut avouer qu'on se laisse prendre et qu'on a envie d'y revenir.

Le dessin est très bon, bien maitrisé et très à propos.
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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 2

Puisque j'avais lu le premier tome, j'ai lu le second. C'est encore un bon moment de lecture, mais sans plus.

Tout s’enchaîne assez vite, toutes les questions qui avaient été posées sur le début de l'histoire, trouve ici leurs réponses.

Mais je ne suis pas plus enthousiasmée par cette lecture.

C'était divertissant, mais je ne pense pas que je m'en souviendrai longtemps.
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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 1

Quand je lis une histoire s'appuyant sur des faits réels et surtout avec des personnages historiques (ici Clémenceau), j'ai très envie de savoir ce qui est réel, et ce qui est purement romanesque.

Et ici, je ne sais pas.... alors je reste un peu frustrée de ma lecture : par exemple, y a t'il eu réellement des messages transmis au dos des timbres ?

J'ai donc passé beaucoup de temps à me poser des questions.

Heureusement, le scénario est très bien construit, on part dans ce récit des aventures d'uns espèce de Sherlock français, sans savoir sur tout le tome 1 qui est vraiment le méchant, qui tire les ficelles. Tout ça sur fond de 1ère guerre mondiale : je ne m'étais pas rendu compte de la quantité de publication autour de ce sujet.



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Mon traître (BD)

Antoine est un luthier parisien. En décembre 2006, un article de journal sur un traître irlandais va le replonger dans son histoire personnelle et dans celle de l'Irlande du XXème siècle.



Antoine a découvert l'Irlande et les Irlandais en 1977. Il a été accueilli à bras ouvert pour découvrir ce pays et ces habitants de l'intérieur. Ces nouveaux amis vont le sensibilise à l'histoire de l'Irlande mais aussi sur leurs coutumes, croyances, valeurs et quête de la liberté. Grâce à eux, il rencontrera une légende de la lutte pour la liberté, Tyrone Meehan.



Au fil du temps, des années qui passent et vistes régulières en Irlande, Antoine va se construire une identité irlandaise. Il se sent proche de la lutte de ses nouveaux amis. Il adopté leurs valeurs, leur mode de vie. Mais Antoine se retrouve en décalage avec ses amis français qui sont très loin des préoccupations des irlandais pourtant si proches dans l'espace.



Antoine vit au rythme des événements en Irlande et en Grande-Bretagne. Il nous permet de redécouvrir la lutte des irlandais sous toutes ses formes, de nous resituer dans cette histoire pas si lointaine. Je me rappelle de Bobby Sands et de sa mort après une grève de la fin, celle-ci avait eu des répercussions au delà des frontières de l'Irlande. je me souviens des actualités télévisées des années quatre-vingt et des images des soldats anglais en arme sur le sol irlandais.



Pierre Alary met en images le roman de Sorj Chalandon, il donne des visages à ses personnages, il s'empare de l'histoire de ce traître. Sous ses traits, il nous montre l'(amitié qui unit Antoine à ses amis de la verte Irlande. Il met en évidence la fascination que certains ont exercé sur lui. On sent une véritable histoire d'amour filial entre Antoine et Tyrone, cet homme énigmatique au passé glorieux.



Pierre Alary reprend les personnages de Sorj Chalandon, leur donne une consistance. Comment et pourquoi devient-on un traître après avoir été un héros ? Qu'est-ce qu'un traître ressent quand il est lui-même trahi ? Comment se remettre quand tous les idéaux d'une vie sont battus en brèche ? Voilà les questions posées et pour lesquelles nous devrons trouver des réponses au fond de notre conscience.



J'ai adoré le graphisme de Pierre Alary, le travail sur les visages, mais aussi les plans sur des détails, comme des mains. La composition graphique est très intéressante et donne le rythme au récit. Le choix des couleurs, de l'unicité de la couleur pour certaines parties permet de se concentrer sur le récit et sur le graphisme.



Ce roman graphique m'a donné deux envies : connaître la suite (donc je vais lire dans la foulée, Retour à Killybegs), mais aussi lire le roman original de Sorj Chalandon.
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Gone with the wind, tome 1

J'ai vu le film, il y a très longtemps.

J'ai lu le roman, il y a quelques années.

Et me voilà plongée dans l'adaptation en BD.

C'est étrange, car je n'ai pas du tout le même ressenti en fonction de chaque support - l'impression que me font les personnages n'est jamais la même.

Et finalement, cela me donne l'impression de redécouvrir une nouvelle histoire à chaque fois....

J'espère que la suite ne tardera pas trop
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Gone with the wind, tome 1

Ma première rencontre avec Pierre Allary date de la parution de "Mon traître" et "Retour à Killybegs". Quand j'ai su qu'il travaillait à l'adaptation du roman de Margaret Mitchell, tous mes sens ont été en éveil. Je ne connais ce roman que de nom et j'ai dû voir plusieurs fois le film.



Dans ce premier tome, nous découvrons la vie dans les plantations des états du Sud où l'esclavage est en vigueur. Nous découvrons aussi la vie de cette société huppée, qui vit entre soi et se croit supérieur aux Etats du Nord. Dans cette société, on est dans l'entre soi : les mariages se font souvent au sein d'une même famille, ce sont souvent des mariages de raison où la passion n'a que très peu sa place. On part du principe qu'une femme peut tomber amoureuse de son mari après le mariage...



Scarlett est une révoltée, qui n'a pas sa langue dans sa poche. Elle exprime ce qu'elle veut même si cela ne cadre pas avec les convenances. Elle ne veut pas d'un mariage de raison, elle veut se laisser guider par sa passion. C'est une femme de caractère qui va aussi chercher à préserver la propriété de la famille pendant les années de guerre.



Les Sudistes sont méprisants pour les nordistes et se sentent supérieurs. Ils pensent que la guerre ne devrait pas être longue. Les Sudistes sont pleins de préjugés.



On retrouve un peu les acteurs du film sous les traits de certains personnages comme le commissaire de police.



L'histoire est assez fluide et mérite que l'on prenne le temps de bien la lire. J'ai beaucoup aimé les couleurs utilisées et le jeu sur les cènes en clair/obscures. Les couleurs d'Allary sont chaudes et nous invitent à venir parfumer les couloirs de cette maison. J'aime beaucoup le jeun avec deux pantalons de tergal.



Les personnages sont en place, chacun conscient du travail à accomplir. Les graphismes sont simples, pas besoin de revenir en arrière, les visages sont expressifs.





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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 4 : Le Te..

C'était normal que j'allais enchaîner ma lecture, impossible de s'arrêter à mi-parcours dans ce divertissement visuel qu'est Silas Corey. Un James Bond des années 20, plein de cynisme, de coups de poing et de feu à envoyer. Il est au coeur de son enquête en Allemagne pour retrouver l'héritier de Zarkoff. Au lieu de cela, il rencontre la femme de cet héritier difficile à retrouver, Nina. Sur fond historique, on découvre une Allemagne déchirée par l'après-guerre dont l'ambiance nous amène vers le début du nazisme... C'est riche en péripéties et le final est très bien pensé. Allons-nous avoir droit à un 3ème cycle ? Je trépignerai d'impatience.
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Don Vega

Un cavalier qui surgit hors de la nuit et court vers l'aventure au galop....

Ah mais ce n'est pas celui là.. zut... mais bon, il y a bien un lien entre celui qu'on connait et celui ci, mais il faut lire la dernière planche pour savoir.

Depuis quelques mois, c'est au travers des BD que je découvre la sombre histoire du Mexique et de la Californie. Voici donc un autre épisode.

Et cette BD remet aussi tout ce que j'ai pu voir en série ou film, à propos de Zorro, à une place plus populaire dirais-je.

Une bonne lecture, à un rythme très soutenu et je ne me suis pas ennuyée
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Don Vega

Californie, 1849



Depuis un an, la Californie est passée du côté des États-Unis et le pays est encore marqué de l'empreinte mexicaine.



Entre mines d'or, haciendas, propriétaires terriens ou peones, la vie est parfois mouvementée dans ces régions entre deux autorités.



Dans cette petite région de Los Angeles en particulier, un ancien militaire, le général Gomez et Borrow, son âme damnée, y font régner la terreur, s'appropriant toutes les terres les unes après les autres après avoir.... "convaincu" leurs propriétaires de les lui laissé pour quasi rien, et exploitant une mine d'or en y faisant travailler, tous les peones qu'ils trouvent.



Gomez s'est d'ailleurs installé dans une confortable propriété, connue de tous, et ayant appartenu aux Vega. Malheureusement, le couple aurait fait une mauvaise chute dans le puit d'une mine.



Une lettre, rédigée par le père Delgado a été envoyée à leur fils pour le prévenir du tragique accident.

Don Vega est en effet en Espagne, dans une prestigieuse académie militaire.



Mais la révolte gronde auprès des peones mexicains et chez les derniers propriétaires terriens qui résistent encore à Gomez et une légende refait tout doucement surface dans le quotidien de cette région.... Zorro !!
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Retour à Killybegs (BD)

Suite et préface de "Mon ami, le traitre", où Sorj Chalandon nous livre une partie de la réponse à la raison qui a conduit Tyrone Meehan à trahir les siens, un pays qu'il aimait par dessus tout, sa famille, ses amis.

Dessin est toujours aussi clair, lumineux et précis (même si certains personnages se ressemblent beaucoup).

Donc voici la version de Tyrone, ou du moins la version de Sorj qui a sans doute enquêté pour savoir comment un combattant aussi engagé a pu déraper. L'explication primaire (le chantage fait sur Sheila et le fils de Tyrone, emprisonné et à la merci des anglais, la vérité sur le meurtre d'un ami combattant), n'est sans doute pas la seule. Même s'il s'agit de rhétorique, l'argument des anglais comme quoi ils oeuvraient pour la paix, a porté sans doute un peu, ou du moins s'en persuadait il.

Ce parcours sombre est si triste, si plein de fatalité.

Humainement très fort, on sent que l'écrivain essaie de faire la part des choses, et parfois ce n'est sans doute si facile.

Très belle BD allié à un roman indispensable.

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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 1

Le Réseau Aquila, tome 1/2 est le premier tome de la série de Bande dessinée scénarisé par Fabien Nury et dessiné par Pierre Alary.



A Paris, pendant la première guerre mondiale, Silas Corey, detective privé, espion mais aussi bon combattant est demandé par Georges Clemenceau. Un de ses meilleurs agents, Casella, à disparu, ayant sur lui un document très important qui pourrait être décisif sur l'issue de la guerre. Sa mission, le retrouvé ! Cependant Silas Corey est un gredin, et il va aussi se faire engager par le 2ème bureau et par Mme Zarkoff, décidé à offrir le document au plus offrant. Tous son ennemi et tous veulent le document.



De l'action, et de l'humour. De quoi passer un très bon moment de lecture. Le scénario est très bien ficelé, même si ce tome manque peut-être un peu d'action et de révélation, servant surtout à poser les bases et à introduire les personnages.

Les dessins de Pierre Alary sont sans surprise, magnifique, et la colorisation très réussi donne une véritable ambiance à la bande dessinée.



De quoi passé un très bon moment.
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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 3 : Le te..

En France on fête la victoire sur l'allemagne. La guerre est finie. Mais Silas Corey est bien loin de ses réjouissances. C'est qu'un de ses amis détectives vient d'expirer son dernier souffle dans sa suite royale. Non sans demander au paravant de tuer deux personnes : Zarkoff et Wotan. Silas se met aussitot à la pêche aux infos. Pourquoi avoir tuer ce brillant détective? Sur quelle affaire juteuse pouvait-il travailler? Y a t-il un moyen de récupérer le contrat de son ami décédé?



Un tome vraiment intéressant, qui comme le premier cycle va marcher en dyptique. Une histoire riche en rebondissement et en action, qui n'oublie pas de ménager son suspence. L'enquête, pour le moment basé sur une guerre d'héritage, est rondement menée.

L'humour est toujours présent par petites touches amusantes.

Le dessin est sympathique.
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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 1

Qui est Silas Corey ? Détective, journaliste, espion, flic infiltré ? Un peu tout ça, mais surtout un type qui a morflé pour la France et qui fait de son mieux pour la filouter. De manière tout à fait officielle ; est-ce de sa faute si beaucoup de personnages de premier plan veulent récupérer un certain timbre ? S'ils y mettent le prix, il peut les aider...

En pleine Première Guerre Mondiale, un timbre contenant des informations de a plus grande importance est dérobé. Français, Allemands, vendeurs d'armes lui courent après, loin des tranchées et des risques (ou presque).

Un premier tome prometteur, qui ouvre des pistes intéressantes pour la suite. Une ambiance crépusculaire, violente, très bien rendue et renforcée par les graphismes et couleurs.
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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 1

Avril 1917. Le Tigre Clémenceau cherche un moyen d'abattre son rival, le président Caillaux, qu'il soupçonne de comploter avec l'ennemi.Sur le front, la France n'en mène pas large. Beaucoup d'entreprises vendent aux Français et aux Allemands, comme la Comtesse Zarkoff.



Mais au centre de toute cette constellation, on trouve Silas Corey. Ancien soldat réformé, reconverti en détective privé, il va manger à tous les rateliers pour débrouiller cette affaire d'espionnage en pleine 1ère guerre mondiale. L'idée est de mettre fin à un espion qui se fait appeler Aquila...



Superbement scénarisée, magnifiquement mise en images, cette BD est une réussite. Silas Corey en dandy cynique et matérialiste est proche de la perfection. A la fois héros et anti-héros, il incarne tout ce que l'on admire et que l'on hait à la fois.



Une série à suivre.
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Gone with the wind, tome 1

Cette adaptation est une vraie réussite! J'avais été attirée par nostalgie et par les bonnes critiques mais en lisant les premières pages, je me suis dit que je n'avais finalement pas envie de replonger dans cette histoire sentimentale. Mais ça n'a pas duré et j'ai été vite prise par l'histoire à laquelle Pierre Amaury donne un vrai souffle de modernité. La BD est à la fois fidèle au roman et au film tout en ayant sa patte personnelle qui me fait largement préférer cette version. Les scènes du siège d'Atlanta et du retour des soldats sont parmi mes préférées. L'ambiance d'apocalypse et l'émotion y sont parfaitement présentes. J'attends le tome 2 avec impatience!
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Gone with the wind, tome 1

Premier tome d'un diptyque, cette adaptation d'Autant en emporte le vent est une totale réussite. Un album magnifique, du travail d'artiste, d'artisan même, tant graphiquement qu'au niveau de la narration. L'ambiance chaude et lumineuse du sud profond est parfaitement restituée, les événements s'enchaînent de façon limpide, la lecture est fluide, bref aucune fausse note.

Les caractères des personnages sont bien marqués, Scarlett en femme forte capable de prendre les rennes quand tout s'écroule et Rhett en salopard à la fois cupide, cynique, lucide et amoral. Bien sûr, la vision idéalisée du mode de vie des états du Sud qui tourne au final à la défense de propriétaires terriens en lutte pour préserver leurs privilèges d'esclavagistes reste dérangeante, mais il ne faut pas oublier de la remettre dans le contexte et l'époque de la rédaction du roman.

Un dernier mot sur l'ouvrage en lui-même, magnifique objet-livre grand format au dos toilé. Vraiment aucune fausse note, espérons que la suite sera à la hauteur mais franchement, j'ai peu de doutes.


Lien : https://litterature-a-blog.b..
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Conan le Cimmérien, tome 1 : La Reine de la c..

Je ne connais que Conan de nom. Et ce premier tome est une bonne présentation du personnage et de l'univers.

En effet même si toutes les histoires sont indépendantes, sans chronologie et fidèle aux originales, nous avons dans celui-ci la philosophie de Conan, sa façon de vivre, et l'univers d'expliciter.

C'est une aventure sympathique, distrayante, avec laquelle on passe un bon moment. Mais ça manque d'ampleur, de profondeur, d'une vraie histoire dessous, d'un but, d'une ligne claire. C'est finalement qu'une suite d'action et de mini rebondissements. En quelques cases c'est réglé. De quoi ne pas s'ennuyer et que ça soit plaisant. Sans que ça soit transcendant.

D'ailleurs Conan se laisse vivre, selon où le vent le mène, il se bat et résiste à la mort. C'est un peu près tout. Il n'est pas désagréable mais le rendu est un peu lisse. Bêlit est intéressante, une guerrière, une femme de pouvoir à la tête d'hommes, forte. elle a un bon potentiel pas entièrement exploité.

Les dessins sont très sympas, lumineux. Les paysages et les monstres nous font voyager. La reine a un beau rendu. Elle a parfois le regard très expressif.
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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 4 : Le Te..

Dans un scénario ou les scènes d’actions sont nombreuses et où les armes parlent beaucoup, les dialogues s’effacent et on admire l’art du découpage et cadrage de Pierre Alary.
Lien : http://www.bdencre.com/2016/..
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Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 2

Silas Corey continue de mener l'enquête quitte à risque sa vie tout en protégeant ceux qu'il aime. Pourquoi tant de convoitise pour ce timbre? Une seule façon de le savoir, découvrir ce qu'il cache. Cela ne va pas plaire à tous le monde.



Le timbre tant convoité révèle un complot pour la fin de la guerre qui ne pourrait que servir l'ennemi allemand. Silas Corey va proposer un échange avec Casella, le timbre contre de l'argent et un passeport. En fin de compte, ce n'était qu'un piège pour attirer l'horrible Aquila dans sa toile. Il ne s'attendait pas à ce que la charmante Marthe Richer le menace de mort mais cela ne l'empêchera pas de la sauver des griffes d'Aquila. Par chance, elle va être sauver, le timbre détruit, Clemenceau à trouver le moyen de faire démissionner son ennemi pour avoir le pouvoir.



Une suite très réussie encore plus dynamique que le premier tome avec un Silas Corey toujours mystérieux et pleins de ressources malgré la drogue, l'alcool et les femmes. La maîtrise du rythme est parfaite et l'histoire se suit avec plaisir. Rien de trop et rien ne manque à cette palpitante aventure accompagnée de ces couleurs douces mettant l'ambiance.Les voyages dans le temps dynamisent beaucoup les actions et permettent de mieux connaître ces personnages très attachants. J'ai adoré la scène dans les Galeries Lafayette qui n'ont pas beaucoup changé avec le temps, avec la magnifique verrière. Les détails des lieux, les agents infiltrés parmi les acheteurs curieux puis l'attaque à arme à feu, suivi du gaz puis les courses poursuites, les meurtres.... Une magnifique scène d'action sous tout rapport.



Pour apprécier ce second tome, il est préférable de lire le premier pour connaître les personnages et pourquoi cet affrontement entre les allemands et les français. Un génial dytique ayant pour thème la première guerre mondiale avec un trio de talent à l'écriture, au dessin et à la couleur. Ne passez pas votre chemin, vous allez adorer.
Lien : https://22h05ruedesdames.wor..
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Gone with the wind, tome 1

Avec cette BD je pensais relire l'histoire d'Autant en emporte le vent découvert enfant avec le film. Mais entre dans l'histoire bien avant (enfin c'est l'impression que j'ai car je n'ai jamais lu le livre). On y retrouve bien sûr Scarlett et Rhett Buttler et une galerie très varié de personnages secondaire.

On y découvrir une Scarlett amoureuse d'un homme qu'elle ne peut avoir, son mariage avec un autre et leur enfant mais aussi comment Scarlett et Rhett se sont rencontrés. D'ailleurs Rhett est un personnage assez peu sympathique dont l'intérêt premier est de tirer profit de chaque moment pour faire de l'argent. D'ailleurs Scarlett aussi est souvent superficielle et centrée sur elle même si la fin de cette première partie montre un retournement dans son caractère.



Ce fut une bonne surprise et une relecture de cette histoire moins mièvre que l'on pourrait le penser. Les dessins sont agréables et les couleurs bien chosient. J'attend la seconde et dernière partie de cette BD pour finir de redécouvrir cette histoire.



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