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Critiques de Pierre Michon (325)
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Le roi vient quand il veut

oui Nadejda, livre magnifique et humaniste. L'homme sourd de partout : une pépite.
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L'empereur d'Occident

J'ai découvert Pierre Michon il y a peu et ai lu 3 de ses oeuvres à la suite: "corps du roi", "les Onze" et donc "l'empereur d'Occident".

Pour commencer, je n'ai eu aucune lassitude à les enchaîner tant le style de Michon approche d'une perfection dont je n'avais pas idée et qui épouse à merveille le fond du roman.

Nous ne sommes pas là dans la démonstration ou la recherche technique pompeuse et m'as-tu-vu.

J'ai parfois l'impression que si l'on demandait à Michon pourquoi il écrit, il répondrait simplement "pour écrire".

Cet homme ne cherche pas à plaire, il semble juste vouloir être intelligent de façon intelligible.

"l'Empereur d'Occident" est une sorte de long poème en prose qui évoque le déclin de l'Empire Romain d'Occident, la puissance, l'eau, le rapport filial que Michon aborde toujours dans ses livres, ici par la transposition habile et érudite de la Trinité, etc...

Dit comme ça, comment trouver cela excitant et justifier les 5 étoiles ?

Et bien, parce que les images convoquées sont celles de l'héroïsme et de la nostalgie, de la grandeur déchue, de la fin de la légèreté olympienne au profit du sérieux chrétien, de l'irruption de la mort dans la mythologie: les dieux ont été tués par un dieu qui est lui-même mort.

Il n'y aura donc plus jamais de pères, il y aura la recherche d'un père qui ne sera plus jamais là.

Il faudra donc perdre de soi pour rester soi.

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Corps du roi

Il est très difficile de trouver le bon angle pour parler de ce livre tant l'angle choisi par Pierre Michon est surprenant, décontenançant. De même, la nombre d'étoiles devient plus un obstacle qu'une indication sur le niveau, l'intérêt, le souffle et autres critères habituellement utilisés pour évoquer un livre.

Michon convoque ses pères en littérature afin de narrer sa transformation de Fils en Père; les chapitres évoquant le poème "Booz endormi" de Victor Hugo sont, à ce titre, d'une simplicité puissante et bouleversante.

L'effet général est assez troublant, mais en refermant ce court livre, l'on se dit qu'avec le style de Pierre Michon, la littérature peut - plus que survivre à la concurrence du cinéma ou des séries, par ses possibilités de mise en abyme et de tentatives conceptuelles intelligentes et intelligibles - sur-vivre, c'est-à-dire dépasser l'empreinte émotionnelle qu'elle peut laisser d'ordinaire sur le lecteur pour lui ouvrir un autre champ d'exploration.

A lire pour les amateurs de littérature.
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Vie de Joseph Roulin

Pierre Michon nous livre ici l'un de ses plus beaux textes. Il démontre ici, dans cet épisode de la vie de Joseph Roulin, que le hasard conduit à se trouver à Arles au même moment qu'un certain Vincent Van Gogh, son grand art dans cette manière de prendre l'histoire à témoin, légèrement à distance. Il y a dans ce texte - de la veine des Onze - une façon d'écrire qui nourrit l'imaginaire tout en restant au plus près du réel, une façon de reconstruire par les mots ce que l'Histoire a dit. Et puis cette langue magnifique, simple pourtant, mais d'une richesse incroyable. D'un abord qui peut paraître difficile aux premières lignes, Michon développe doucement son récit, prodigieusement !
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Les deux Beune

Ça parle de désir, de chair, de saisons, de concupiscence, de renard, de pêcheur, d’effluves, de brouillard, d’attente, d’avidité, de rivières, d’ardeur, de bois, d’impatience, de grottes, de blancheur, de soie, de sensualité, de courbes, de sexe et c’est fantastique.



Si j’ai Vies minuscules dans mes

livres depuis longtemps, c’est avec ce nouveau roman que je découvre Pierre Michon.



J’ai adoré alors que j’ai eu un petit recul aux premières pages. Une fois l’écriture domptée, je me suis laissée bercer par sa puissance.
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Les onze

Je suis totalement passé à côté de cette pseudo démonstration de ´je sais écrire ´. Une pédanterie sémantique qui n’a ni queue ni tête. ce livre n’est pas pour moi. Je me suis rarement autant ennuyé. J’en veux pour preuve : 5 soirs pour lire 140 pages!!
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Vies Minuscules

J’ai parfois trouvé la lecture un peu difficile compte tenu de la longueur des phrases et d’une écriture trop élaborée.

En cette période de confinement, ma vie est déjà très étriquée. J’ai trouvé ces vies minuscules bien tristes. Elles ne m’ont pas aidée à illuminer mes journées. J’ai abandonné à mi lecture.
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Les onze

C'est très rare pour moi mais si l'ouvrage avait été plus épais j'aurais peut-être jeté l'éponge dès la première partie en raison d'un style si léché qu'il m'apparaissait maniéré et soutenu par une érudition quelque peu m'as-tu-vu.

Je m'emballe vite et j'ai souvent tendance à dépister les travers qui m'insupportent là où ils ne sont pas.

Passé la première partie mon sentiment a rapidement glissé de l'agacement à la presque fascination.

Je ne suis guère connaisseur de l'histoire de l'art mais je salue la performance, j'ai failli faire une recherche wiki sur le tableau et son auteur.

Lecture très enrichissante.
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Vies Minuscules

Voilà immanquablement un chef d'oeuvre, un véritable chef d'oeuvre.

A la forme littéraire surprenante, ce livre est une succession de portraits d'illustres inconnus ayant virevolté dans l'entourage de l'auteur.

Mais la plume, quelle plume !, est absolument unique et géniale. Qui a dit que les bons auteurs n'étaient que des auteurs morts ?
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Vies Minuscules

Déçue par ce livre présenté par d’aucuns comme une pépite : une atmosphère rurale étouffante, un style recherché jusqu’à l’emphase, une posture lyrique d’écrivain ravagé par l’alcool et jouant les poètes maudits. Je suis sans doute passée à côté, mais l’écriture, trop chargée à mon goût, m’a rebutée.
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Les onze

Quelle puissance narrative dans ce roman ! Michon nous narre l'exécution d'un tableau fictif par Corentin peintre assujetti aux oeuvres habituellement de David.

Les onzes, ce sont les onze membres du comité de salut public, le deuxième, non celui de Danton mais celui dirigé par Collot et Robespierre.

Le peintre a pour ordre de les représenter impérieux et grandioses.

Michon nous narre d'abord le vécu du peintre puis sa place lors de la commande. En mélangeant éléments historiques et éléments fictifs nous sommes transportés dans le récit qu'on prendrait pour vrai.

Le style de Michon est parfait, un vocabulaire richissime (malgré la répétition de certains qualificatifs) et la prose délicate avec néanmoins une causticité certaine. Il y a du caractère dans la douceur apparente du style. un caractère parfois énervant tant on peut déceler du conservatisme dans certains propos et un certain mépris. Michon est un auteur que je devrais détester mais c'est un génie au sens où son talent lui permet d'être aimé de tous. Et j'admire profondément cet auteur pour sa capacité à magnifier la langue française. L'histoire me laisse toujours un peu de côté mais lorsqu'on touche le firmament de notre langue maternelle, le reste est accessoire.
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Les onze

Rien compris. Une histoire de tableaux des onze datant de 1760. Les bords de Loire. Peut-être trop érudit pour moi ? ! Je vais quand même tenter un autre roman du même auteur quand le cerveau sera un peu reposé
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Vies Minuscules

Autrefois, en cours de latin, on lisait le « De Viris Illustribus »... Dans ce livre, Pierre Michon raconte exactement le contraire : la vie de personnages qui n'ont pas marqué l'histoire. Le seul élément remarquable dans leurs vies, c'est qu'à un moment ou à un autre ils ont fait partie, furtivement ou plus longuement, de la vie du narrateur. de sa petite enfance à son âge adulte, de la ferme familiale des Cards à Paris, de ses rêves de lettré à sa vie d'écrivain qui se trouve raté et qui sombre dans l'alcoolisme et les drogues, toutes ces vies et ces morts l'accompagnent dans une vie un peu ratée.

Finalement, le seul moment où il trouve un peu de paix, c'est lors de l'évocation de la mort de sa soeur, encore enfant. Elle relie tous les autres personnages de cette histoire familiale et son « apparition » l'encourage à partir et à se remettre à l'écriture.

A la première lecture, ce livre m'a un peu rebuté, notamment par ses phrases longues et son manque d'action. Je l'ai relu pour en faire une critique et j'ai un peu plus accroché. Il faudra peut-être plusieurs lectures pour que j'en retire encore d'autres richesses !
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La Grande Beune

Le style d'écriture de Pierre Michon est foisonnant, les phrases son longues, le vocabulaire est abondant, érudit, et précis. Ce style sert merveilleusement l'histoire dont il est question. Dans les années 60, un jeune instituteur fraîchement diplômé, débarque dans un petit village, bercés par les eaux du fleuve de La grande Beune ,afin d'honorer son premier poste. Il rencontre des yeux , une merveilleuse créature, en la personne de la jeune buraliste du village, qui l'obsède inlassablement. Cependant, le roman est court, et heureusement, car les phrases longues de l'auteur sont parfois difficile à ingérer... malgré leur qualité certaine. Absolument à lire mais quand on se sent en forme!!
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Les onze

Si vous croyez un seul mot de ce que Pierre Michon raconte dans ce roman, vous êtes perdu(e) : le couperet de la guillotine littéraire vous tombera sur le cou aussi sûrement que vous aurez lu d'un trait "Les onze". Le fil rouge est cousu de blanc : deux couleurs qui s'accordent assez bien avec l'époque de la Terreur qui écrit les pages des plus terrifiantes : ces portraits-là des Sanguinaires sont réalistes, réels sans doute. Nantes, Bordeaux, Lyon, Paris entre autres sont gérés par des fous, qui donnent envie de haïr à jamais tout régime jacobin. Celui-là même qui organise les musées nationaux où se prête au regard ce type de tableau, justement, celui qui représente le Comité de salut public. L'artiste pourtant choyé par le récit disparaît derrière (ou dans ? ) la fresque historique. Mais qui est le personnage principal du livre finalement ?
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Vies Minuscules

Quelle oeuvre ! Pierre Michon, avec « Vies minuscules » m’a enthousiasmée. J’ai vraiment apprécié ces huit vies qui lui permettent de relire la sienne et son rôle d’écrivain, et de renouveler par là même le genre de la biographie et de l’autobiographie. J’ai été portée par son style, aux périodes nombreuses, aux références culturelles et artistiques variées, au vocabulaire vivant passant par tous les niveaux de langue, à sa poésie. De la très grande littérature.
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Vies Minuscules

Écouté en livre audio.



Une écriture très ampoulée, où règne en maître le subjonctif!



Malheureusement ces trois histoires racontées, tirées de l'ouvrage original, ne m'ont pas transporté, ou bien plutôt d'ennui. Cela me fait penser à une superbe voiture de luxe, très belle, esthétique, pleine d'options, avec des gadgets incroyables dans la boite à gants, mais dont on aurait du remplacer le moteur pour le remplacer par tout un tas d'options belles à regarder.



Or, un récit, ça avance ou ça se tait!

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Rimbaud le fils

J’ai découvert Pierre Michon avec son premier roman, Vies minuscules, composé de huit portraits simples sublimés par une écriture majuscules, Rimbaud le fils ce livre des illuminations d’une enfance perdue, d’une saison en enfer ruisselant le long des berges d’une Meuse paresseuse. Pierre Michon, des cent ans de la mort du prodige des Ardennes, nous offre une petite valse littéraire sur une onde personnelle Rimbaudienne. Ce petit précis de mots jonglant d’images, de métaphore où Pierre Michon s’amuse d’une vérité fugace, une glaciation du temps, d’un interstice intime échappant à la solitude d’une biographie usuelle, limée par le nombre et le redondant du mâché et du remâché. Par des chemins de traverses, Pierre Michon sonde le Graal de l’inspiration littéraire, cette source magnifiant à merveille les mots, cette quête où Rimbaud dans son antre familiale, d’un père fantôme, errant sur les cadavres d’un champ de bataille lointain, d’une mère sombre et hostile, d’un paysage Ardennais, vecteur de la mélancolie du moment, cet enfant aux doigts noirs d’une écriture à la virtuosité naturelle, d’un coup de baguette magique les « douze pieds » fleurissent l’arbre de ces feuilles pour faire chanter les mots tel que le veut ce jeune homme à l’esprit sauvage, cet âme incertaine, une identité complexe que peu de personnes arrivent à expliquer, comprendre et aimer.

Je n’ai la prétention d’être à la hauteur de l’érudition de Pierre Michon sur la vie fantasque de Rimbaud, ce livre truffé de noms, de lieus, de références précises sur la vie de ce poète, la constellation d’étoiles côtoyant ce petit garçon de Charleville mais aussi les autres plus discret, plus dans l’ombre, ces êtres de lumière aspirant Rimbaud à devenir ce mythe absolu des « Douze pieds ». L’approche curieuse de Pierre Michon sur la littérature et ses frondaisons sillonnant les mémoires imaginaires de Rimbaud dans une forme de questionnement sur la littérature en elle-même, une incertitude des mots, de l’instant, des événements, des émotions, des rencontres, de la motivation absolue perdue dans l’abime de l’âme humaine.

Dans ce livre s’évaporent des noms peu connus, comme Izambard, Banville, mains dans la main dans les yeux de Michel Michon, des hommes à la vie minuscule face à l’ogre Rimbaud, leur œuvre ridicule, voir invisible, Pierre narre ces hommes, les façonne dans la littérature qu’elle n’a pas voulu d’eux, exclus de la théorie de la tringle selon Pierre Michon, cette tringle des Maitres des « douze pieds » comme Malherbe et Racine, Hugo, Baudelaire et le petit Banville, devenu l’ombre sans oublié le vieux Virgile, le fondateur, cette tringle illusoire de Pierre Michon, brisé par ce jeune garçon à la cravate de travers, les cheveux en bataille figé par cette photo prise par Carjat, photographe de Baudelaire et des autres.

Pierre Michon aime les détails chavirant son âme volatile voguant dans le temps, emprisonnant l’instant de cette photo de Rimbaud, ce garçon du Bateau ivre, Carjat en maitre d’œuvre, cristallisant sur la plaque noir cet adolescent poète de Charleville, pour l’éternité. Pierre Michon distille une atmosphère personnel, intime de Rimbaud inerte devant Carjat, aux lèvres fredonnant Le bateau ivre, essayant de savoir quel vers coule sur ce sourire manquant, cet air extatique, ce jeune homme perdu dans le vertige de ses vers transpirant son âme torturée. Verlaine au style classique, à la modernité de Rimbaud, ces deux poètes amant d’une passion violente, destructrice rythme un petit chapitre de Pierre Michon de sa quête d’écriture, de fondation aux mots noircis par les doigts de Rimbaud, ce fils orphelin d’amour.

Mais Pierre Michon, dans sa force complexe emprisonne Rimbaud dans sa verve trop trouble de références indécises pour une âme incertaine volatile, papillonnant les vers de Rimbaud dans sa jeunesse, attrapant la simplicité des mots dans une satiété maladroite mais sincère, comme l’était surement « cet effroyable jeune homme, cette brute, ce petit cœur de fille » que peut être Rimbaud dans la plume corrosive Pierre Michon. Le dernier chapitre Michel Michon s’essouffle, comme l’est aussi le lecteur de cette constellation énumérative de noms partageant un moment où un autre la vie de Rimbaud, et cette lucidité sophiste, cet orgueil du génie de cette grâce caressant ce garçon sans pour autant avoir cette jalousie de comprendre et d’en attribuer à la faveur de Dieu, une réponse si facile, ce qui ne peut être compris est Dieu.

Un roman hermétique aux amoureux des vers simple et majestueux de ce petit adolescent d’une saison en enfer, de ce cœur Ardennais longeant la Meuse, de cet amant blessé par Verlaine, de ce poète ayant fait chavirer tant d’âme, comme je l’ai été lors de mes études universitaires, j’ai même marché dans les rues de Charleville où l’âme invisible de Rimbaud rôde encore comme si ses vers le rendaient immortelle. Dommage, Pierre Michon c’est surtout auto-suffit dans ce miel sucré de sa verve étouffante, un livre poison pour les amoureux de Rimbaud, ceux qui se laissent porter par les ondes célestes de ses vers, cette magie de respirer ces mots pour s’y noyer avec plaisir.

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Les onze

L’écrivain se met dans la peau d'un artiste peintre, parcourt les galeries souterraines du passé, nous montre le dessous des choses, là où personne ne pensait voir ou découvrir encore quoi que ce soit, et nous offre un tableau des Onze, les onze apôtres qui ont représenté le Comité du salut public et semé la terreur, à travers une fiction.

Mais est-ce vraiment une fiction ? N’est-ce pas plutôt le réel, qu’on nous a falsifié ou édulcoré, et ce qu’on aurait pu et dû y voir ? Un humour décapant et féroce servi par une langue parfois un peu alambiquée, mais néanmoins truculente.
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Les onze

Je suis passé totalement à coté … et pourtant j'aime la peinture, j'aime la belle écriture, donc j'aurais dû, comme beaucoup de lecteurs aimer ce livre.

Mais non ! Je n'ai aimé ni le style littéraire, usant et abusant de mots et de formules " précieuses" ( j'ai appris de nouveaux mots, que personne n'utilise, comme " anacréonisme", "difficultueusement" … )

Je ne suis pas rentré du tout dans l'histoire.

Bref, je pense que j'ai manqué de concentration ou de culture… au choix !

Je retenterai ma chance néanmoins une autre fois , car cet hermétisme absolu m'étonne.
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