Citations de René Goscinny (1763)
Assurancetourix (aux galériens) : Bande d'ignorants ! Brutes ! Vous finirez tous aux… d'ailleurs vous y êtes déjà !
Il semblerait qu'Amora, déesse de la moutarde, soit montée au nez des autres dieux...
Agnan faisait des vagues en mettant le bras dans l’eau. C’est dommage qu’il n’ait pas relevé la manche de sa chemise et qu’il n’ait pas enlevé la montre-bracelet qu’il a eue pour sa dernière composition d’histoire où il a été premier et qui maintenant marque quatre heures vingt et ne bouge plus.
- Ils sont beaux, ils sont beaux mes esclaves !
- Qui veut des Goths ? Qui veut des Goths tout frais !
- Suivez mes Thraces ! Suivez mes Thraces !
Mon jardin est plus petit que Rome, mais mon pilum est plus solide que votre sternum!
- J'ai l'homme qu'il vous faut. Il est du peuple des Vaccéens. Il connaît bien la montagne. Il vous guidera.
- Je ne savais pas qu'il fallait un Vaccéen pour entrer en Hispanie.
-Mais mon pauvre Abraracourcix, où veux-tu que je le mette ton menhir?
-Tu veux que je te le dise?
Les Gaulois n'ont peur que d'une chose : c'est que le ciel leur tombe sur la tête... et le moment semble venu, car le petit village que nous connaissons bien est écrasé sous un effroyable orage.
Gaulois, Gauloises ! L’heure est grave ! Notre druide à perdu la mémoire et il est incapable de préparer la potion magique, secret de notre force… Les réserves de potion sont épuisées, nous sommes donc vulnérables.
"_Il faudra être silencieux comme le serpent endormi, éveillés comme l'écureuil affamé, rapides comme le puma (mon totem) courant après sa proie, invisibles comme le bison dans le brouillard...
_Je ne parviendrai jamais à ressembler à toutes ces bêtes ! Si nous nous contentions de filer comme des lapins ?.."
Quand je serai grand, je m'achèterai une classe, rien que pour jouer dedans.
Nous n'avons pas le temps de finasser , par Toutatis ! si elle nous empêchent d'entrer nous leurs donnons des baffes!.
- Ca c'est un très bon plant!
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Juge grec : Tous les romains sont convoqués dans le gymnase !
Astérix : C'est pour nous.
Panoramix : Je ne m'y habituerai jamais.
Pourquoi emportes-tu ce menhir?
-C'est pour offrir à Amerix, les petits cadeaux entretiennent l'amitié...
Astérix : Très bons ces sangliers.
Geôlier du cirque : C'est l'avantage d'être condamné aux fauves ; on est toujours nourri avec des mets délicats et raffinés. Alors que ceux qui sont condamnés à être précipiter du haut de la roche tarpéienne ne sont nourris que de choses lourdes et pesantes.
En revenant de permission
J'ai rencontré un enterrement.
Par Jupiter, qu'j'étais content
C'était celui de mon centurion !
À l'enterrement d'mon décurion...
- ta conversation est amène. ..hir !
- passe moi le celte
- rien ne serpe de courrir
- ce que je ri... gaule
Mon premier ouvre les portes ; mon deuxième se boit ; mon troisième garde les moutons et Jules César aime bien mon tout. Qu'est-ce que c'est ?
(Obélix) Gagner de l'argent ? Mais nous n'avons jamais fait ça !
(Astérix) Eh bien, il faudra commencer...mais comment ?...
(Obélix) Si on racontait nos aventures aux gens ? Peut-être qu'ils nous paieraient pour les entendre ?
(Astérix) Je ne m'y connais pas en affaires, mais je peux te dire que ça, ça ne rapportera jamais d'argent !
Article I
Les potaches naissent et demeurent libres et égaux en droits, en devoirs et en leçons (1).
Article II
Le but de toute association scolaire est la conservation des droits naturels et imprescriptibles du potache.
Ces droits sont :
- la liberté pendant la récréation
- la sécurité pendant les expériences de chimie
- la résistance à l'oppression (2)
- le rab à la cantine
Article III
Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans le corps enseignant (3).
Nul corps autre que celui qui enseigne, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément....
(1) nous voulons tous être le chouchou du professeur !
(2) le "surgé" nous opprime
(3) M'sieur ! Qu'est-ce que c'est qui émane du corps en saignant ?
(extrait de la "Déclaration des droits du potache et du collégien" inscrite dans la constitution et dans le 309ème numéro de "Pilote - spécial rentrée" paru en septembre 1965)