Citations de Saverio Tomasella (479)
La première connexion est avec soi-même [...]
La deuxième connexion est avec la nature [...]
La troisième connexion est avec les autres. Elle ne vient qu'après.
Nos relations nous épuisent si nous ne sommes pas d'abord en bonne relation avec nous-mêmes et avec la nature.
Le meilleur moyen de ne pas être abandonné pourrait sembler de rester seul.
Alors, parfois, les difficultés s'installent vraiment et il devient tentant de croire que le sort s'acharne... or, ce n'est pas le destin qui s'obstine, mais la personne, elle-même, qui répète un schéma inconnu, donc rassurant pour elle, bien que mortifère.
- Je suis victime des autres -
Parler réhabilite l'être dans toutes les dimensions de son humanité.
- au risque de réduire l'humain à la satisfaction de ses besoins immédiats -.
- Quand à des conseils, seule en donne la solitude. -
- Quand à des conseils, seules en donne la solitude. -
Les indicateurs émotionnels et existentiels.
Notez chaque critères de 1 (très faible) à 5 (très fort) puis s'il a tendance a augmenter, a diminuer, ou a rester stable.
- Lassitude, sensation de vide intérieur.
- Indifférence, désintérêt, détachement, froideur.
- Impression de perdre pied.
- Humeur changeante.
- Tension nerveuse.
- Impatience.
- Irritabilité agacement.
- Boule au ventre.
- Crises d'angoisse.
- Colères sans raison apparente, reactivité, hostilité.
- Pessimisme, blues, déprime, tristesse.
- Crises de larmes.
- Découragement, abattement.
- Mutisme, difficulté d'élocution.
- Déception, perte d'estime de soi.
- Sentiment d'échec.
- Perte de ses idéaux et de la saveur de la vie.
- Culpabilité, regrets, remords.
- Honte.
- Perte de désir et de plaisir.
- Sensation de solitude.
- Autres
Livre :
La charge affective
Comment éviter le burn out émotionnel.
Auteurs:
Saverino Tomasella
et
Charlotte Wils.
Signes de saturation vs Moyens de les évacuer :
Stress anxiété angoisse
--> parler, partager, se raconter.
Fatigue, pleurs
--> Faire une pause, se reposer
Différents, difficulté relationnelle
-->Mettre à plat la situation, prendre du recul
Troisième étapes: je trouve mes limites
Quelle est ma limite réelle ? Quelle est vraiment la réalité capable de me mettre face a moi même ? Quelle est la butée qui peut m'arrête de épuiser ou de le sacrifier ?
Le licenciement ? La fin d'une relation ?
La prison? La maladie ? La mort?
Est ce nécessaire de les froler et de me mettre en danger pour accepter de ralentir et de prendre soin de moi?
Une personne très sensible perçoit avec beaucoup d'intensité chaque changement de situation. Ses réactions peuvent paraître disproportionnées avec la réalité apparente de l'événement.
J'ai peur de l'inconnu, de me tromper, de mal faire, de déplaire, d'être malade, de mourir....de ne pas être à la hauteur aussi.
Le sadisme moralisateur, la cruauté accusatrice et la surveillance menaçante font partie de notre quotidien comme une pratique "normale", comme un cynisme auquel nous devrions nous accoutumer, sans percevoir que la véritable folie est là, insensé et déshumanisante, dans l'invective, l'humiliation et l'exclusion de ceux qui nous sont étrangers.
Être sensible, c'est souffrir plus fort. Être sensible, c'est aimer plus fort. Être sensible, c'est vivre plus fort.
On peut voir les coïncidences comme des synchronicités. Des manifestations d’une proximité d’âme. A nous d’être attentifs pour les accueillir..
Je leur disais air je n’arrivais pas à laisser glisser les comportements des gens que j’étais fragile. Comme si ma sensibilité était un défaut. Et tu sais ce qu’ Antoine m’a dit ?
Que ma sensibilité est ma richesse. Que c’est naturel de se stur blessé quand on nous attaque, e que ces attaques viennent souvent de gens qui envient notre liberté.
J’ai compris à quel point j’ai besoin d’accorder de l’importance à ce que je sens et avec que je pense, même si je ne suis pas en phase avec les autres.
Plus que tout autre, l'enfant ultrasensible a besoin d'être accompagné, et qu'on lui fasse confiance.
( Introduction)
La réorientation vers nos passions devient possible lorsque nous prenons de la distance avec nos figures d'autorité (parents ou autres), car nous nous libérons de leurs invitations, si ce n'est de leurs injonctions, mais aussi parce que nous nous connaissons mieux, que nous savons ce qui nous correspond vraiment.