Shin Kibayashi

Shizuku a trouvé une alliée ,Miyadi ,une jeune sommelière ,pour l'aider à relever le défi de son père de découvrir les douze meilleurs crus .Miyadi a malencontreusement fait tomber un grand cru ,un Vosne-Romanée 1er cru ,Cros Parentoux de 1999 ,qu'elle doit servir pour un diner .Shizuku lui propose de chercher un vin se rapprochant du grand cru pour qu'elle ne se fasse pas virer de son restaurant .Un bon tome 2 avec à la fin un résumé sur les grands vins de Bourgogne .

Shizuku et Tomine doivent trouver le 4ème apôtre qui se rapporte au premier amour .Pour cela ,Tomine va essayer de retrouver celle qui fut son premier amour alors que Shizuku est sollicité pour trouver un vin qui s'accorderait avec un concert dont le thème n'est autre que le premier amour .Encore un bon tome .

Loulan et Shizuku doivent retrouver les étiquettes retirées de bouteilles qui doivent servir à une dégustation organisée par Issei Tominé .Le temps est compté mais les deux vont réussir ce défi qui semblait impossible à réaliser .

Mais il est temps aussi d'aller découvrir la définition du 4ème apôtre qui doit rappeler son premier amour .Encore un bon tome .

Shizuku et Issei ont une deuxième chance pour trouver le 3ème apôtre .Et le hasard va bien faire les choses puisque Shizuku va devoir aider la petite-fille d'un artiste mourant dont la dernière volonté serait de boire un vin qui lui rappellerait une promesse qui l'avait fait .Shizuku va découvrir ce vin et remporter le défi du 3ème apôtre en proposant un Châteauneuf du pape du domaine Pegau ,cuvée Da Capo 2000.Mais Issei a mystérieusement abandonné le défi alors qu'il avait lui aussi trouvé le bon vin .Encore un bon tome .

Shizuku et Miyadi doivent trouver le 2ème apôtre ,un vin qui aurait un lien avec la Joconde mais aussi résoudre une énigme ,découvrir un vin sans étiquette reçu par la romancière Maiko Natsuyagi menacée de mort si elle ne découvre pas son appellation .Issei Tomine ,lui , a choisi de se rendre dans le désert du Taklamakan persuadé que ce voyage va l'aider à trouver le 2ème apôtre. Encore un bon tome .

J'avais vu, il y a quelque temps, le premier épisode de la série télé qui avait été adapté de ce manga et j'étais curieuse de le découvrir.



Yutaka Kanzaki est un grand spécialiste du vin et possède une très belle cave. A sa mort, son testament stipule que son héritier devra résoudre 12 énigmes concernant 12 vins. Son fils, qui n'a jamais bu de vin va devoir affronter son adverse. Heureusement, il peut compter sur des personnages secondaire qui vont lui prêter main forte.



Si l'intrigue est intéressante, je dois dire que les descriptions et explications sur le vin sont se qui m'ont le plus passionné. Le dossier de quelques pages en fin de manga apporte d'autres informations. En tant que français, certains d'entre nous ont déjà quelques connaissances mais j'imagine qu'a sa sortie au Japon, ce manga a du être très instructif.

Bref, a lire avec un bon verre de vin.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..

C'est Issei Tomine qui a remporté le 2ème défi en trouvant le bon millésime ,mais Shizuku est confiant ,persuadé de remporter les prochains défis .Pour l'heure Shizuku et Miyadi ont décidés d'aider Mme Kawamata dont la fille voudrait se marier mais son futur beau-père s'y refuse .Dans ce tome ,on découvre les vins japonais qui méritent le détour .

Dans ce tome ,Shizuku va venir en aide à une amnésique dont le tableau représenterait un paysage qui pourrait se rapprocher de la description d'un vin que son père a désigné comme le premier apôtre .Il pourrait s'agir d'un Chambolle -Musigny dont il va falloir trouver le millésime .Pendant ce temps-là ,son frère adoptif ,Issei Tomine ,a choisi une autre approche pour découvrir le premier apôtre .Encore un bon tome .

« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd’hui, je trépigne de joie et d’impatience parce que je vais partager avec vous une ancienne lecture ! Je suis tellement émue ! pensez donc, un manga d’il y a vingt ans !



-Ouaip. Tu lisais déjà de la bonne grosse daube, à l’époque.



-Hein ?



-Je disais qu’on ne connaissait pas Adaube, à l’époque.



-Ah. Bref, Psychometrer Eiji est l’un de mes tout premiers mangas ! Et comme je viens de le retrouver à la bibliothèque, j’ai décidé de me faire un p’tit marathon solo !



Or donc Eiji, lycéen rebelle, mais gentil, possède le don de psychométrie. En touchant les objets ou les gens, il peut percevoir des images ou des souvenirs. Sa faculté est découverte par Ryôkô Shima, inspectrice de son état, venue enquêter sur de sinistres meurtres. L’occasion est trop belle ! Shima va le convaincre de participer à l’enquête…



Quelle joie de retrouver le duo de choc formé par Eiji et Ryôkô ! Le dessin est tellement sympa !



-On sent que les pieds donnent de la difficulté au dessinateur, cependant… et j’ai jamais compris pourquoi les persos ferment un œil en parlant. Et les trames, oh là là…



-Qu’est-ce que tu veux dire ?



-Je veux dire que, lorsque les persos portent des chemises ou des tissus à motifs, lesdits motifs ne forment aucun pli ! les rayures des manches forment une continuité exacte avec le tissu du tronc ! C’est pas très soigné comme travail, madame ! Je regrette, ça me sort de l’histoire.



-Mais c’est sans doute dû au rythme industriel de parution, Méchante Déidamie ! Quand tu n’as qu’une semaine pour livrer un chapitre, tu es obligée d’aller vite !



-Et donc, tu vas plus vite quand tu fais des microcases illisibles ? Regarde-moi ça, on n’y voit rien !



-Rhôôôh, quelques erreurs de découpage, ce n’est pas bien grave ! Si on parlait plutôt de ce qui marche bien dans ce manga, comme l’humour ? J’adore comment le dessinateur caricature Shima lorsqu’elle se laisse aller à la colère ou à la méchanceté !



-Ouaip. Dommage que ledit humour soit essentiellement constitué d’érection sous le pantalon ou de culotte sous jupe. Le fan-service reste bien trop présent dans ce manga et rien à faire : je déteste ça. Je ne suis plus la jeunette imbibée d’hormones jusqu’aux racines de poil de nez que la moindre allusion graveleuse faisait pouffer. Et c’est quoi, ce trip sur les relations frère-sœur ?



-Hein ?



-Ne fais pas la niaise, Déidamie, dès le premier tome tu sais qu’Emi, la sœur d’Eiji, en est amoureuse. Je regrette, quand on dit « Tu sais bien qu’on n’est pas frère et sœur de sang » en te blottissant contre son dos à cheval sur sa moto, avec un contrejour judicieux, ça n’est pas pur, candide ni innocent. Ca me met hyper mal à l’aise, ces histoires de frère et de sœur, sang entre eux ou pas ! Déjà, j’ai jamais compris comment ça pouvait faire rêver les minettes avec Angel Sanctuary* !



-Oui, mais Angel Sanctuary, au-delà du premier tome, le manga faisait en sorte que tu ne comprennes rien en général, alors… Bon, mais les enquêtes restent fort sympathiques…



-Moi, j’ai de gros doutes sur la pertinence des analyses de Shima une fois les cas résolus. Et depuis que j’ai lu King Kong Théorie, je pense à chaque cadavre que Virginie Despentes a raison : la fiction n’aime jamais autant les femmes que froides. Pinaise, au rythme où les lycéennes sont assassinées, tu n’en as plus une vivante à Tôkyô à la fin de la série ! Sauf les moches, évidemment…



-Méchante Déidamie, tu ne peux quand même pas nier que cette série porte un message féministe.



-Ah bon ?



-Mais oui ! Shima vit des situations de harcèlement et de discrimination sexistes, et le manga ne garde aucune ambiguïté sur ce chapitre-là : il condamne sans réserve l’attitude des chefs masculins.



-Ca reste trop léger pour compenser le reste, entre l’humour graveleux et relou et l’abondance de culottes. »



*Manga racontant l’histoire de Setsuna, jeune homme amoureux de sa sœur, Sara. Cet amour est réciproque et consommé. Et après il y a des anges, des démons, des intrigues, et ne m’en demandez pas davantage, je n’ai rien compris.

Le fils d'un célèbre oenologue japonais se retrouve contrait de replonger dans l'oenologie suite au testament de son père. Alors même qu'il avait fait au mieux pour échapper à ce monde - allant jusqu'à devenir représentant de bières ! - il faut croire qu'on n'échappe pas à son destin.

Bien sûr, l'une des motivations est de pouvoir toucher son héritage, car le vieil homme avait tout prévu, allant jusqu'à adopter un éminent oenologue de l'âge de son fils pour en faire des rivaux...



Mettre en scène l'oenologie avec son vocabulaire technique dans un manga , un sacré pari. Et pourtant force est de constater que c'est réussi !



Certes, l'ouvrage n'est pas accessible à tous, sans une petite connaissance (même minime) des dégustations de vins ou spiritueux, une grande partie de l'histoire peut vite apparaître comme abstraire... ou saoulante !!

Les dégustations, en plus du vocabulaire très précis ou imagé est souvent accompagné de métaphores et références culturelles qui échapperaient, par exemple, à des ados.



Au final ce manga s'est avéré très instructif, avec une intrigue à suspens qui allège la narration.

Dans ce tome Shizuku et ses compères doivent trouver les vins qui pourraient se marier avec la cuisine coréenne ,une tâche des plus compliquées tant les plats coréens sont épicés .Mais rien n'arrête notre œnologue en herbe .Quant à Loulan ,qui accompagne Issei partout ,va être prise au piège par la garde rapprochée d'Issei ,jalouses de voir le maître s'émerveiller des talents de Loulan .Encore un bon tome .

Notre héros Shizuku rentre dans sa dernière phase à savoir partir à la découverte des fameuses gouttes de Dieu au travers des indices à partir de 5 pages de description sur les 7 existantes. Quel est donc ce vin mystérieux qui trône au-dessus des douze apôtres ? Voilà pour le contexte.



Cet épisode est marqué par une exploration qui conduira notre héros à vouloir réconcilier deux amis d'enfance qui se sont séparés brutalement après avoir marqué leur association par un restaurant dont l'un était un maître de la viande et l'autre un sommelier spécialisé dans les vieux vins. Il s'agissait pour notre finaliste de goûter le mariage du temps au temps. Cela ne sera pas une mince affaire !



J'ai bien aimé le thème de ce tome qui est la réconciliation de deux amis qui en sont venus aux mains pour de petites broutilles comme augmenter la température d'une chambre froide afin de sauver une précieuse cargaison de vins au détriment de la viande maturée. Je trouve la réaction violente un peu excessive et presque surjoué.



Par ailleurs, les retrouvailles se passent plutôt bien alors que dans la réalité, je ne suis pas certain que cela aurait pu se passer de manière aussi douce et apaisée. Même si on a été meilleur ami, il suffit que l'un des protagonistes restent sur ses positions de fermeture totale même 30 ans après. C'est triste mais c'est généralement ainsi. Du coup, je ne dis pas que c'est mal. J'ai toujours bien aimé les happy end.



A noter que j'ai également été surpris par le fait que ces deux professionnels mettent leurs services autour d'une soirée organisé par notre héros, fils de milliardaire ne l'oublions pas. A un moment donné, les deux protagonistes qui sont véritablement ruinés disent que la facture de cette fête sera pour eux. J'ai trouvé peu cavalier de ne pas les payer pour le travail qu'ils ont brillamment accompli. L'un a ramené sa meilleure viande et l'autre ses plus précieuses bouteilles. Certes, on devait comprendre que les retrouvailles, cela n'a pas de prix. Mais bon, c'est une autre culture.



Au final, un tome plutôt plaisant qui semble apporter un indice précieux pour la découverte des gouttes de Dieu. Affaire à suivre. Après 62 tomes, notons qu'elles n'ont toujours pas été découvertes et qu'il n'y aura qu'un seul gagnant qui remportera la mise à savoir l'héritage. On devine cependant que les deux frères ennemis devront également se réconcilier pour parvenir à la vrai richesse.

C'est Issei Tomine qui va trouver le 4ème apôtre ramenant le score à deux à deux dans le duel qui l'oppose à Shizuku qui reste persuadé d'avoir trouvé le bon millésime .Mais les deux adversaires vont mettre leur duel de côté pour sauver Maître Robert qui a été arrêté pour vol .Encore un bon tome .

Enfin à l'issue de ce tome, on voit enfin apparaître une description des fameuses gouttes de dieu. Il aura fallu attendre près de 15 ans de publication. Je peux espérer connaître le nom de ce vin suprême avant ma mort. Comme dit, le vin est un voyage sans destination et sans fin.



C'est le problème de nombreux mangas que de s’étirer en longueur après un franc succès. Le mangaka tente de se réinventer en donnant de petites péripéties inattendues. En l’occurrence dans ce tome, Tomine va accuser son rival Shizuku de plagiat ce qui n'est pas très sympa, ni même ressemblant à son personnage. L'auteur ne nous expliquera pas non plus pourquoi il en est arrivé là. Bref, cette péripétie apparaît comme assez superficielle.



L'issue de ce duel n'est pas vraiment une surprise et correspond à ce que j'attendais. Il n'y a plus de réel suspense. Pour autant, la lecture se suit toujours avec plaisir car les mangakas frère et sœur ont acquis le savoir-faire nécessaire.

De belles planches d’hommes dans l’effort lors d’un marathon en Italie où deux des héros participent. Le but ? Découvrir le 9ème apôtre. Et cette fois c’est papy qui est remonté en donnant son avis sur la description.

Jusqu’à maintenant, c’est mon tome préféré. Normal, puisqu’on y trouve l’association vin-montagne, avec de belles métaphores. Les deux rivaux (qui le sont de moins en moins) vont gravir séparément le Cervin, accompagné d’un guide, pour trouver le 5ème apôtre. Les dessins de montagne et la tension se révèlent aussi bien que dans ‘Le sommet des Dieux’.

Un manga sur les vins ! Originale et unique, cette histoire permettra de découvrir quelques perles viticoles mais également de mieux comprendre de nombreux aspects des vins.



Ce manga peu être lu sans forcément être passionné de vin mais je pense que pour l'apprécier pleinement sur la durée et y trouver de l'intéret, il faut au moins être amateur de bons vins.



Le défaut de cette série c'est qu'après 25 tomes elle n'est toujours pas finie. L'histoire complète fera sans doute environ 50 tomes. À 9 euros le tome, c'est une belle réussite commerciale pour ce manga vendu dans le monde entier.



Malheureusement les auteurs manquent cruellement d'imagination. Les histoires deviennent très répétitives, sans que ce petit groupe de personnages n'évolue vraiment dans le temps. Le sujet des vins est toujours aussi fouillé et didactique mais le reste de l'histoire devient franchement gnangnan et ennuyeux.



J'ai fini par lâcher le morceau au tome 25 mais cela reste pour moi une lecture qui m'aura permise d'acquérir de bonnes bases dans la compréhension des vins.

Après ce 11eme apôtre, le match est désormais à 5 contre 6. Suspense (ou pas) pour le suivant...

Dans ce tome, on a une drôle de déclaration entre Tomine et Maki, et surtout le début de la découverte des vins japonais. Et j'ai envie de dire: il était temps!!

Nous changeons un peu d'origine et allons faire un tour du côté des vins espagnols cette fois-ci. Et ça commence bien avec une comparaison avec Vassily Kandinsky : j'adore Kandinsky !

Le passage sur le foot ne me paraît pas d'une utilité dingue, mais c'était marrant.

Et Issei continue à beaucoup me plaire!

Alors pas d apôtre ici, on laisse un peu la quête principale de côté. Cela veut donc bien entendu dire que nos jeunes héros vont filer un coup de main à des gens dans la détresse œnologique.

On retrouve des restaurateurs que nous avions déjà croisés avant. Et le résultat est que j'ai grave envie de manger alsacien et boire un riesling !