Shin Kibayashi

C'est par l'intermédiaire d'une femme devenue amnésique après un accident de la route que Shizuku aborde l'identification du douzième apôtre parmi les vins qui le mèneront peut-être à l'élixir par excellence, Les gouttes de Dieu.



Il est toujours secondé par Miyabi dans cette quête de l'extase absolu, celle-ci s'effaçant quelque peu derrière d'autres personnalités féminines, dont la femme amnésique. Elle reste néanmoins une amie et une collaboratrice de premier rang pour Shizuku.



Le rêve et le vin sont associés dans ce cinquième tome au point de détecter dans le divin breuvage des lieux tels que forêt, lac, ruisseau, senteurs des bois bien sûr et leurs fruits cachés si aromatiques.



Quelques grandes et belles planches donnent à ce monde onirique la dimension qu'il doit revêtir pour traduire toutes les perceptions des protagonistes, particulièrement Sikuzu.



Le douzième apôtre est-il identifié par les deux concurrents au terme de ce tome? Même si chacun d'eux pense l'avoir trouvé, il faudra sans doute attendre le tome suivant pour partager leurs découvertes.

En fin de lecture, ce huitième opus pouvait me paraître moins enthousiasmant que les précédents, peut-être à cause de Mona Lisa et son célèbre auteur qui ne fascinent pas... Pourtant, si l'on oublie un peu la Joconde, c'est un tome très réussi, notamment par la beauté des planches et l'esthétique des croquis.



On a aussi de l'action avec un périple dans le désert pour Issei Tomine où il sombre dans les bras d'une beauté valorisé par coup de crayon de Shu Okimoto, expédition qui l'amène curieusement à toute proximité du deuxième apôtre.



Et du côté de Shikusu et Miyabi, laquelle fait la grimace chaque fois que Shikuzu la présente comme une collègue alors que leurs interlocuteurs imaginent qu'elle est sa copine, de l'action également avec, pour la première fois dans cette série, une petite enquête policière liée au vin. Donc, de belles découvertes pour les deux jeunes gens.



Et, bien sûr, le douzième apôtre est dévoilé ainsi que le vainqueur de ce deuxième duel. Donc, l'envie de poursuivre la série reste entière, avec peut-être une petite pause après le tome 10, car il en restera... 34!

Les deux garçons, Issei et Shizuku, poursuivent leurs investigations en Espagne pour identifier le onzième apôtre et diverses rencontres pour chacun d'eux paraissent les mettre sur la piste du bon choix.



On voit d'ailleurs réapparaître Loulan qui est devenue une grande dégustatrice, elle est maintenant la fille adoptive de Charles Watkins, elle a pris la dimension qui va avec le nom. Mais quel est exactement son rôle dans l'histoire maintenant? Pas de réponse à lecture de ce trente-huitième tome.



L'intrigue s'essouflait quelque peu dans le tome précédent et il ne me semble pas qu'elle ai repris une respiration digne d'un final éblouissant, mais il reste encore six tomes avant le dénouement de la saga.



Je trouve également dommage que ce tome se termine, certes avec un perdant identifié, mais avant que le gagnant ait présenté sa description de l'apôtre. Bon, c'est sans doute un petit détail commercial voulu lors de la publication.



Les dessins sont toujours réussis, malgré la répétition des images de forêt, de vent, de soleil, mais comment procéder autrement pour une si longue série?



Je suis quand même allé immédiatement lire le début du tome suivant pour avoir la vraie fin de l'identification du onzième apôtre.

Ce tome débute par l'énoncé de l'énigme relative au onzième apôtre que Shzuku et Issei vont tenter de découvrir, en rappelant qu'ils sont à égalité dans le duel les opposant. Il y est question de vent, de soleil couchant, ingrédients poétiques auxquels les lecteurs sont bien habitués au fil des précédentes énigmes.



Dès le début, les jeunes pensent à l'Espagne vers laquelle partent immédiatement Miyabi et Shizuku après une tournée de bars à vins espagnols à Tokyo. de son côté, Issei, s'il prend la même direction, choisit de commencer par une croisière entre l'Italie et l'Espagne lors de laquelle il rencontre une jeune sommelière, Sonia, qui lui propose de l'accompagner dans sa tournée espagnole.



Un peu de suspense pendant la crroisière avec la disparition d'une bouteille et c'est bien sûr Issei qui lèvera celui-ci à la manière d'Agata Christie.



Shu Okimoto propose une nouvelle fois de beaux dessins de l'Epagne avec notamment une vue de Tolède, l'une des plus belles cités espagnoles.



Les investigations des jeunes vont donc se poursuivre au cours du trente-septième tome.

Superbe ce vingt-septième note d'une saga qui ravive toujours l'intérêt de ses lecteurs pour le cas où la flamme viendrait à baisser. Si quelquefois certains ont pu trouver que peu d'événements se déroulaient dans différents tomes, ce n'est pas le cas ici, bien aucontraire. J'en retiens pas moins de quatre avec, en prime, la découverte passionné d'un vin rare et souvent méconnu, le vin jaune, la perle jurassienne, une incontestable goutte de Dieu.



D'abord, le résultat du du duel sur le huitième apôtre avec un vainqueur, même si les deux jeunes se sont à juste titre orientés vers les vins effervescents. Un beau duel dont chacun retire des enseignements.



Ensuite, des informations inédites confiées par Issei à Loulan sur sa vie, confidences certes pressenties par les lecteurs, qui jouent un rôle dans ces duels entre Issei et Sizuku.



Puis, du côté de Shizuku, rencontre avec une ancienne amie d'adolescence, un flirt véritable, mais rencontre entachée d'une vision triste quant à l'avenir de la jeune fille. C'est l'occasion pour les auteurs de livrer quelques réflexions sur la vie, la mort, la destinée, avec pour exemple rien moins que James Dean à l'éternelle jeunesse par les références cinématographiques qu'il a laissées.



Enfin, du côté d'Issei, une rencontre aussi, avec une jeune femme désespérée d'avoir cassé l'unique bouteille d'un vin qui devait être servi à un grand amateur. C'est peut-être du déjà vu dans un précédent épisode où Miyabi se trouvait dans la même situation, mais ce sera une opportunité pour Issei de démontrer son altruisme et donc de découvrir aussi le célèbre vin jaune.



Donc, à mon goût, que du positif dans cet opus qui se déguste comme un grand vin.

Encore un tome excellent que ce dix-septième car le duel entre les deux jeunes prodiges du vin, Issei et Shizuku, va les conduire en montagne avec rien moins que l'ascension du mythique Cervin qui devrait leur permettre de découvrir le cinquième apôtre.



Ce tome pourrait être angoissant car les deux héros vont jouer avec leur vie pour atteindre un objectif selon eux nécessaire pour identifier le vin qui pourrait leur donner la victoire dans ce cinquième duel.



De l'humour est également présent dans cet opus avec de très bons dialogues entre Shizuku et une hôtesse de l'air, agent de bord étant le terme auquel elle tient, qui va l'assister à distance dans son exploit. Heureusement que Miyabi est restée au Japon car elle verrait une rivale incontestable dans cette très belle fille.



Les deux jeunes reviennent-ils en ayant identifié le cinquième apôtre? Réponse dans le tome suivant cer celui-ci se termine au moment de la présentation de leurs propositions.



A noter que l'esthétique des planches est magnifié par le décor grandiose de la montagne, pas n'importe laquelle, un sommet conquis dans des conditions dramatiques par Edward Whymper, naturellement cité dans ce tome.



Très belle lecture, probablement difficile à égaler dans la suite, mais les surprises proposées par les auteurs sont tellement variées que tout peut être espéré.

Ce dixième tome est axé sur la recherche du troisième apôtre, spécifiquement par Shizuku, en introduisant l'aide de deux arts finalement assez proches, le cinéma et l'architecture.



C'est en ayant connu un réalisateur de films, possédant une cave particulièrement garnie, que Shizuku va être amené a lui rendre service en ramenant son actrice principale vers la dégustation du vin auquel elle avait renoncé. Cet épisode est charmant mais s'éloigne quelque peu du sujet.



Ensuite, Shizuku et Miyabi vont s'orienter vers les vieilles vignes qui vont les conduire à s'intéresser à l'architecture pourrait les conduire vers la découverte du troisième apôtre, tandis que son challenger, Issei semble toujours sûr de lui dans ses investigations.



Je trouve quand même que la série s'essouffle, mais les 44 tomes attendent leurs lecteurs et je dois donc poursuivre, d'autant qu'il y a souvent des anecdotes intéressantes sur le vin au fil des étapes et que les jeunes sont sympathiques, servis pas un dessin qui valorise bien leurs personnalités.

Le niveau commence à baisser, même dans les verres de dégustation et malgré les émotions relatives aux souvenirs de jeunesse du jeune héros de la série, Shizuku. Quand la belle Miyabi parviendra-t-elle à le séduire, ils pensent tous deux au vin et elle surtout à lui, me semble-t-il...



Donc, une nouvelle étape dans cet album, étape un peu confuse à mon goût, tournant autour du refus d'un mariage par le père d'un fils qui a pourtant lui-même des origines mêlées. Le vin peut-il résoudre un tel dilemne? Les auteurs ont pensé que oui, les lecteurs sont plus réservés et je les rejoins plutôt.



Un bel épisode sur les cerisiers de Van Gogh, il était temps de mêler cet arbre mythique du Japon aux arômes des vins et cet épisode reste réussi.

Mais l'ensemble m'a paru manquer un peu de puissance, il est vrai que les grands crus ne sont pas présents dans ce tome.



A suivre avec peut-être la découverte du troisième apôtre. Je confirme mon intention de marquer une pause après lecture du tome 10 même si je sais que j'irai au bout de la série.

Ce dernier duel ne met malheureusement pas un point final à la série car, si on a effectivement un vainqueur pour l'identification du douzième apôtre, Les gouttes de Dieu restent en suspens avec l'annonce d'une saison deux, d'une ... trentaine de tomes.



Alors, quatre étoiles parce que ce tome est une nouvelle réusssite des auteurs avec un rapprochement des deux frères dont j'imagine qu'ils le sont également sur le plan biologique, du moins par le père...



Il y a inévitablement une certaine frustration de n'avoir pas une vraie fin à cette longue saga, une fin qui n'aurait pas empêché de démarrer une suite sur une thématique évolutive.

Un tome intermédiaire, cela va de soi après la découverte du dixième apôtre. On aura donc trois petites histoires pour se promener sans enjeu dans le monde du vin, encore que la dernière puisse avoir une incidence sur la suite...



D'abord, on a le prolongement de la fin du tome précédent avec ce restaurant victime de marketing furtif que Shizuku et Miyabi vont aider pour obtenir finalement un gentil dénouement. Ce sera l'occasion de découvrir vins et plats alsaciens, donc de grands moments gastronomiques.



Ensuite, un brave garçon, amoureux transi d'une fille qu'il croit inaccessible, et c'est Christopher Watkins qui va l'aider à déclarer sa flamme en utilisant l'image d'un vin. La confrontation de l'Amérique au Japon ne manque pas de saveur, ni d'arôme.



Enfin, réapparition de Loulan, devenue fille adoptive du père de Christopher. Elle a considérablement développé ses connaissances oenologiques qui pourrait lui permettre de s'insérer peut-être dans le duel entre Issei et Shizuku...



Donc, un bon petit moment dans cette lecture où les passions, du moins celles liées au duel entre les deux jeunes, sont en sommeil. C'est un tome gentil qui, au passage, permet de goûter le vin de Cahors, trop souvent peu considéré alors qu'il en existe d'excellents.



On peut donc attendre sereinement la présentation du onzième apôtre qui ne devrait point tarder.

Et voici le défi du septième apôtre dans ce vingt-deuxième tome de la série, défi qui va, une nouvelle fois, faire voyager les deux jeunes à la recherche d'un possible vin du nouveau monde qui pourrait être l'élu.



Issei choisit l'Amérique avec les vins de la Napa Valley et Sizuku opte pour l'Australie. le périple d'Issei va se compliquer avec une petite intrigue policière l'obligeant à fournir une appréciation et même une enchère sur un vin de qualité plus que médiocre. C'est une petite histoire dans l'histoire, bien gentille, qui verra son dénouement par l'intervention de Loulan.



Shizuku, de son côté, après avoir goûté différents vins du nouveau monde, hésite entre Amérique ou Australie et c'est finalement vers cette dernière qu'il part en compagnie de Miyabi, toujours grimaçante dès que la moindre fille approche de Shizuku.



L'ambiance de ce tome est assez détendue malgré l'enjeu, denombreuses informations sont données sur les vins du monde, avec une intéressante anecdote sur le nom donné à la syrah en Australie. le tome suivant devrait voir se poursuivre les investigations des deux jeunes pour le plaisir toujours renouvelé des lecteurs.

Issei et Shizuku partent un peu dans tous les sens pour leur course à l'identification du douzième apôtre. Et leurs pérégrinations les amènent vers des interlocuteurs assez surprenants. Pour Issei, c'est une belle fille, qui développe malheureusement la maladie d'Alzheimer alors qu'elle est encore bien jeune. Elle suscite la jalousie de Maki, dernière compagne en titre de Issei.



Dans le même temps, Shizuku poursuit ses recherches en compagnie de Sarah. Il semble ignorer qu'elle est la soeur d'Issei...



Heureusement, il y a de belles dégustations de divers vins, Brunello de Montalcino, Barolo, Amarone et, côté français, Château Branaire-Ducru et Château Latour, s'agissant pour tous de très vieux millésimes.



Dans l'équipe de Shizuku, c'est Akie qui découvre qu'elle est atteinte d'un cancer du pancréas lui laissant une brève espérance de vie.



L'ambiance est donc plutôt morose dans cet opus, on approche de la fin de la saga avec quelques piétinements. On peut donc fonder de belles espérances sur les trois derniers tomes.

C'est encore un tome intermédiaire dans la série ce qui est inévitable compte tenu de sa longueur. Donc, pas de recherche du quatrième apôtre dans cet opus, mais deux historiettes distinctes qui pourraient bien finir par se rejoindre plus tard.



La première fait état de rivalités féminines dans l'équipe d'Issei Tomine allant quasiment jusqu'à faire repartir en Chine la belle Loulan. Mais...



Dans la deuxième, Issei et Shizuku vont sans doute se retrouver malgré eux en Corée, le premier dans le cadre d'une conférence oenologique, le deuxième en recherche de vins pouvant réaliser un mariage heureux avec la cuisine coréenne.



Donc, peu de péripéties et pas vraiment de fin... il faut sans doute enchaîner avec le tome 13.



A noter l'apparition d'une très belle coréenne... La reverra-t-on?

J'ai été moins accroché par ce septième tome que par les précédents même s'il reste intéressant sur le plan des découvertes à réaliser à propos des vins, comme le Calon Ségur que j'aime paticulièrement.



C'est un tome de transition avec la recherche par Sizuku et Miyabi de vins pouvant tenir tête aux 5 grands crus du bordelais. Cette partie est assez riche en informations mais je l'ai trouvée un peu confuse.



Ensuite, une nouvelle digression concerne les différences entre les marques, qu'il s'agisse de mode et donc, pourquoi pas, de vin. Là aussi, c'est un peu confus m'a-t-il semblé.



Puis, à la fin du tome, est enfin lancée l'énigme pour la découverte du deuxième apôtre qui verra un nouvel affrontement entre Issei et Shizuku. Mais, là encore, la présentation de la recherche à effectuer est peu claire et on peut donc imaginer un bel affrontement entre les deux jeunes.



Le dessin reste égal à la qualité des précedents tomes sauf peut-être dans les plus petites fenêtres, mais l'ensemble est toujours très agréable à regarder.

Pas d'essoufflement au sixième tome de cette très longue série avec la découverte du premier apôtre, un Chambolle-Musigny Les Amoureuses, magnifique vin que l'on peut savourer avec différents mariages, pour ma part avec une pintade rôtie qui inonde de ses sucs quelques figues de Solliès, mais ce vin offre de nombreuses autres possibilités d'alliances. C'est Shizuku qui remporte cette première manche avec le millésime 2001, Issei lui ayant préféré le 1999.



Ensuite, une longue digression s'invite dans la série avec la dégustation par Shizuku et Miyabi des 5 grands du bordelais dans le cadre d'un nouveau défi consistant à trouver des crus capables de rivaliser avec eux. L'enjeu est de taille car, en cas d'échec, Shizuku perdrait sa partenaire Miyabi qui devrait rejoindre un supermarché dirigé par un ancien collègue d'école.



Ces dégustations vont apporter beaucoup de poésie avec des images de rêve, château allemand, ambiance égyptienne, ou encore d'Extrême Orient. Tout ceci offre de très beaux dessins pour accompagner les dégustations, des visages toujours soignés et des corps féminins à la plastique parfaite, dont celui de Miyabi.



Comme toujours, pas vraiment de fin, il faudra enchaîner avec le tome 7 pour avancer.

Ce deuxième tome embraye bien dans les traces du premier et j'ai vraiment apprécié toute la première partie relative à la dégustation du vin destiné à remplacer la bouteille cassée du premier opus. Les dialogues sont très bons, les comparaisons entre les vins judicieuses et soignées. J'ai été ravi de voir cité le Calon Ségur que j'apprécie particulièrement avec le coeur dessiné discrètement sur la bouteille.



La deuxième partie m'a paru plus confuse avec la dégustation chaotique des vins italiens et quelques scènes de bagarres peu intéressantes.



J'aime toujours le trait du dessinateur qui met en évidence toutes les émotions de ses héros, traduisant superbement leurs expressions diverses. La belle Anne est presque tout autant envoûtante que les vins dégustés, les deux jeunes Shikuzu et Miyabi toujours très sympathiques.



On a également un peu moins de texte, ceci laissant davantage de place aux dessins, si beaux lorsqu'ils ne sont pas encombrés d'une légende.



L'essoufflement viendra-t-il au fil des 42 autres tomes?

La quête du onzième apôtre se poursuit et, me semble-t-il, s'essouffle un peu. Nous sommes donc en Espagne, dans la région de Barcelone, où Shizuku est accompagné d'un gentil garçon à l'amour déçu car sa belle, espagnole, l'a quitté sans explication il y a trois ans. Shizuku, par quelque miracle oenologique parviendrait-il à les réconcilier?



Miyabi et Kido sont du côté de Madrid et font une rencontre qui les amène dans une maison somptueuse pour une dégustation mais cela fleure le piège et l'issue de leur aventure ne sera connue que dans le tome suivant.



Issei est en quête du coucher de soleil dont l'image pourrait se trouver du côté de l'Alhambra, la merveille architecturale de l'Espagne. On sent qu'il approche du but.



Enfin, Shizuku fait une nouvelle rencontre qui n'est autre que la mère de Issei, laquelle l'amène aussi sur la piste des couchers de soleil en lui précisant qu'il ne saurait gagner dans le duel l'opposant à Issei.



Heureusement qu'il y a l'Espagne, la Catalogne, la Castille et même l'Andalousie car on tourne un peu en rond, comme le fin au fond des verres de dégustation. Il faut néanmoins accepter une légère baisse de qualité dans cette saga qui restera quoi qu'il advienne un grand moment de lecture dans son ensemble.

Encore un tome intermédiaire qui néanmoins ne manque pas d'intérêt surtout, je trouve, dans sa première partie.



Shizuku est toujours dans le bordelais où il va aider une jeune femme à trier des vins où des contrefaçons se sont faufilées parmi des grands crus. On pourra donc être une nouvelle fois ébahi par la finesse de l'odorat de Shizuku qui parvient à identifier des arômes sans même déboucher les bouteilles.



Dans une autre partie, un nouveau challenge car les bières Taiyo sont menacées d'une fusion avec les bières Teikoku dont le département vins est très important au point que ce projet de fusion paraît plutôt une future absorption qui compromettrait l'avenir professionnel, du moins à court terme, de Shizuku, Miyabi et leurs collègues amis.



On es loin des duels même si l'apparition d'Issei et de ses compétences dans la deuxième partie laisse présager l'arrivée prochaine du huitième duel.



Ce sera donc à découvrir dans le prochain opus de cette belle série toujours éducative sur le plan oenologique et si bien dessinée.

Ce tome voit la fin des investigations d'Issei et de Shizuku pour l'identification du septième apôtre et la production de leur résultat respectif.



Mais avant d'arriver à ce dénouement, tandis qu'Issei arrive vers la fin de ses démarches aux Etats-Unis, Shizuku est au coeur de l'Australie avec des rencontres étonnantes qui vont lui parler d'écologie, avec aussi un incendie spectaculaire que seule l'union des hommes de volonté peut contenir et peut-être la découverte du septième apôtre.



C'est un tome assez intéressant où se révèlent un peu plus les personnalités des différents protagonistes avec de nombreuses interférences entre eux. Miyabi reste vraiment l'alliée inconditionnelle de Shizuku. La mérite-t-il?



Des dessins toujours réussis aussi bien pour illustrer les expressions des acteurs que pour développer l'harmonie des visions des deux jeunes lorsqu'ils définissent le vin qu'ils ont choisi en tant que septième apôtre.



On a forcément hâte de passer au tome suivant.

Pour la première fois dans la série, un voyage à l'étranger et, tout naturellement en France, sur la rive droite de la Garonne vers Saint-Emilion et ses voisins aux vins plus ou moins prestigieux.



Ainsi, cette escapade oenologique de Shizuku, Miyabi et le chef Kawarage offre de bons moments d'instruction sur les vins avec en prime leur dégustation pour tenter de réaliser un belle sélection afin de préserver le poste du chef Kawarage.



Cela permet de savourer de beaux dessins de la région, particulièrement du village de Saint-Emilion, merveille dont la beauté s'équilibre parfaitement avec les vins produits dans le secteur.



C'est donc une nouvelle fois un ttome de transition, agréable à parcourir, en attendant la recherche du septième apôtre.