Tsugumi Ohba

Extrait :

Vous connaissez sûrement déjà ce titre, puisqu’il s’agit d’une série très connue adapté, en conséquence, sous plusieurs formats (films, animé, light novel, drama, …). Malgré son âge qui commence à être avancé (2004 au Japon), l’engouement pour la série reste très présente, et les auteurs prennent encore du plaisir à sortir, de temps en temps, de nouvelles petites histoires autours du Death Note et de ses Dieux de la mort. C’est ainsi qu’est naît ce recueil d’histoires courtes, regroupant toutes ses petites idées et aventures, offrant de nouveaux points de vues et thématiques !



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L’humour est toujours très présent, malgré le côté très sombre de la série, que se soit via Ryuk ou d’autres personnages. On a également droit, à une série de petits gags en 4 cases, qui nous permettent de revoir Kira et d’autres personnages emblématiques de la série.



Parlons un peu des personnages, notamment Near, le remplaçant de L (se faisant d’ailleurs passer pour lui). Je ne me souviens plus s’il apparaît dans la série principale, en tout cas, ces histoires courtes permettent de le mettre en avant et d’en apprendre d’avantage sur lui. Un petit personnage surprise c’est également glissé dans l’une des histoires courtes, je trouve son passage très bien réalisé, le ridicule du personnage ressort très bien, je trouve juste la partie autour du personnage principal (notamment la fin) assez illogique…



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En bref, j’ai adoré retourner dans cet univers, même si ce n’est qu’avec des histoires courtes. Je trouve que la série à encore beaucoup de potentiel, espérons que les auteurs veulent bien reprendre le temps de bosser dessus.
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La vie est parfois si difficile que certain mettre fin à leurs vies, car plus rien ne leur retient dans ce monde, et puisque qu'ils n'ont rien à perdre non plus, pourquoi pas se laisser aller dans les bras des anges ? Et ainsi se rendre compte que leurs vies sont en jeu.



Mirai, est un jeune homme parmi tant d'autres qui a perdu espoir en la vie, il sera sauvé par un ange alors qu'il était en train de sauter du toit d'un immeuble. Cette rencontre va chambouler son existence, car cet ange va lui offrir des pouvoirs très particulier et faire de lui l'un des 13 candidats pour obtenir le poste de Dieu.



Depuis que le créateur se meurt, il est de la tradition des anges de choisir chacun un humain, qui sera candidat et devra se battre pour recevoir le pouvoir de vie et de mort sur les hommes. Qui sera l'élu pour être le nouveau roi du paradis ?



Comment reconnaître le bien du mal, puisque le but du jeu est de tuer ou d'être tué une bonne fois pour toute, survivre, mais pourquoi ? Comment reprendre goût à la vie quand la désolation est encore plus grande ?

Et ça parle de vie, de mort, de Dieu et de la fin des temps.. ça parle beaucoup philosophie et ça traine depuis bien trop de temps déjà. Comme quoi, les dessins ne font pas tout. Qui de Red ou du professeur va devenir LA créature ? Quand j'ai vu le spoiler du prochain et DERNIER tome, j'ai crié de joie, un soulagement d'atteindre enfin le bout du tunnel.

Dans une ambiance très lourde, les candidats pour devenir Dieu vont de nouveau essayer de s'entretenir avec le célèbre professeur Yoneda, doublement récompensé par des prix Nobel mais souffrant d'anxiété sociale. On y découvre ainsi sa "relation"/rencontre avec Hoshi, le flic dans le clan des gentils. C'est malheureux mais j'ai de plus en plus de mal avec cette série qui se rallonge dans cette atmosphère pesante de "je te tue ou tu me tues mais on veut tous devenir Dieu car j'ai mes principes". On pourrait avoir un "end" rapidement de Platinum End svp ?

Je n'ai jamais trouvé de manga aussi prenant que Death Note.

Que feriez-vous si vous trouviez par terre, dans la rue, un carnet vierge avec pour titre Death Note. Vous l'ouvririez ? Si oui, ce que vous verriez à l’intérieur vous glacerait le sang : des règles, pour tuer des gens...

Si vous écrivez le nom d'une personne, la date l'heure, les circonstances de la mort, tout se passe comme vous l'avez écrit.

C'est ce qui est arrivé à Light Yagami, un étudiant hyper doué dont le père est un policier. Ce Death Note, il va s'en servir et lorsqu'il se rendra compte qu'il fonctionne, il le chérira !!!

Il va devenir l'ennemi public numéro 1 de l'équipe de police de son père et surtout du détective le plus fort du Japon, j'ai nommé : L.

L'histoire est incroyable, chaque tome est superbement réalisé, que ce soit par les dessins ou par le scénario. Tout est réfléchis, l'ambiance est génial, pesante comme on aime !!!

Ce manga est pour moi une référence dans le monde du manga !!



L'anim' est très très bien fait aussi, je la conseille tout autant ;)

Ecrire juste un prénom et un nom dans le Death Note et hop quelqu'un meurt dans les 40 secondes qui suit. Une technique au combien efficace qui séduit notre adolescent Light. Un âge qui a une certaine fascination pour la mort. La preuve le manga s'adresse à des adolescents (et des grands adolescents aussi). Mais se pose une question, qu'est-ce que chacun ferait s'il avait entre ces mains un tel cahier? Une certaine idée de la morale va devoir faire face à la justice, lequel en sortira vivant? Le personnage a choisi son camps et veut tuer les pires criminels qui existent sur la planète quitte à en devenir un lui-même. Libre à chacun de s'interroger si c'est bien ou mal, un excellent sujet de philosophie. D'ailleurs un combat s'annonce entre Ligth (Lumière)/Kira et le mystérieux L (un rapport avec OO7?). Deux L s'affrontent dans un jeu de chat et la souris afin de faire régner la justice. Même s'ils ne possèdent pas les même pouvoir chacun va essayer de percer la psychologie de l'autre. Et maintenant commence un affrontement qui ne pourra connaître qu'une fin funeste. Entre temps, il risque d'y avoir une série de rebondissements assez étonnant. Surtout que Tsugumi Ohba possède une plume précise, réfléchit et assez maligne qui nous donne envie d'en savoir plus et de mieux comprendre nos deux sombres héros. 
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Ce treizième tome de Death note est un bonus plutôt destiné aux fans de la saga, l'histoire étant belle et bien terminée lors du douzième opus. Les personnages et l'intrigue sont détaillés avec beaucoup de détails. Le tome vaut surtout pour le chapitre spécial qui clôt l'ouvrage.

Ce tome 6 accélère le rythme! Toujours aussi palpitant avec nos deux ennemis /amis favoris.

L semble être proche du but! Va t'il enfin connaître le secret de Kira? Même si je connais le fin mot de l'histoire, je ne m'empêcher d'avoir le souffle coupé par l'intrigue. Le premier cycle touche presque à sa fin.

Pour moi, comme pour bien d'autres occidentaux, "Death Note", c'est un incontournable dans l'univers des manga. Une sorte de classique, quoi. Cette série en treize tomes vous amène à Tokyo, capitale nippone, où un jeune homme brillant tombe par hasard sur un carnet très particulier. Un carnet qui appartient à un ange de la mort ( Shinigami, en japonais), nommée Ryukku. celui-ci l'a laissé tomber dans notre monde afin de tromper son ennuis.



Light Yagami, 16 ans, sous ses airs parfaits, est ce qu'on appelle un psychopathe. Dénué d'empathie, guidé par ses propres convictions et répondant sa propre vision de la justice, devient un tueur en série grâce à ce carnet. En effet, dans cette "Death Note", écrivez-y un nom et cette personne mourra. Il existe un système de règles qui régissent ce carnet, dont je vous épargne la technicité. Une chose est sure, Light s'y retrouve très bien et décèle même de nouveaux moyens d'exploiter ce carnet mortel. C'est le début d'un complexe de Dieu pour Light, qui décide d'utiliser le carnet afin "de purifier le monde" des criminels.



Bien sur, avec une arme pareille, difficile de mettre la mains sur ce tueur. Déjà, des citoyens, majoritairement des victimes qui avaient soif de justice, acclament Light et le surnomme "Kira", dérivé du mot "killer". Si Light jubile de son nouveau statut, Interpole s'affole devant les meurtres inexpliqués. On décide alors de mettre le meilleur détective au monde sur ce cas. Ironiquement, "L" est aussi mystérieux que "Kira". On ignore de qui il s'agit et il ne communique que par l'intermédiaire croisé d'un ordinateur et d'un homme de mains, Watari. Très vite cependant, on constate que l'est aussi un génie et réussi assez rapidement à cerner le profil type de Light, alias Kira.



Death Note, c'est essentiellement une "course à l'identité" entre deux génies qui, s'ils n'étaient pas "tueur contre détective", auraient été surement de bons amis. En effet, le premier qui met la mains sur l'identité de l'autre a gagné. Light doit trouver le vrai nom de L, et l'doit prouver que Light est kira. Au fond,c'est leur conception de la justice qui est terriblement opposée. l'incarne l'absolue de la Loi, alors que Light incarne la justice punitive divine. Même physiquement, ils sont opposés: Light est le parfait citoyen propre de sa personne et si aimable que s'en est louche. l', au contraire est déglingué, a une scoliose au dos, a les yeux terriblement cernés et marche souvent sans chaussures.





Personnellement, j'ai aimé détester Light, ( s'appeler "Lumière" et incarner le mal, en voilà une ironie magistrale!) un être fondamentalement égoïste et qui a un sacré complexe de supériorité. C'est fascinant de voir sa personnalité psychotique mise de l'avant par l'arrivé du carnet. Autrement, son masque est parfait, un vrai étudiant modèle. C'est aussi hilarant de constater que L voit assez clairement dans son jeu. L est sans doute le plus intéressant des personnages, par sa marginalité flagrante. Un génie excentrique. Lui aussi obéit à ses propres règles, parfois questionnables d'ailleurs, mais sans la tendance mégalomaniaque de Light. Tout chez L est intriguant: sa position assise perpétuelle, ses rages de sucre, son absence de sommeil, sa gestuelle du bout des doigts et son manque de tact ( sans doute tributaire de son isolement social). L procède beaucoup par déduction, un peu à la manière d'Hercule Poirot et délègue volontiers le travail de terrain à ses subalternes. Finalement, Ruykku, le shinigami, est lui aussi assez intriguant avec son apparence un peu clownesque, son fétichisme sur les pommes et le fait qu'il n'est ni l'allié ni l'ennemi de Light, même s'il le suit partout. On pourrait presque dire que c'est un personnage témoin.





Sans aucun doutes, ce manga sombre est passionnant. Il n'y a pas un personnage qui laisse indifférent, les graphiques sont magnifiques et le rythme excellent. En terme de niveau, "Death Note" met la barre très haute. Une chose est sure, sortez vos neurones, vous en aurez de besoin, car c'est pas un manga très axé sur les détails, les déductions et les manigances. Un vaste jeu entre deux forces opposés.

Fin de l'arc avec Metropoliman, j'ai une impression de fin de série car la bataille a été rude et le rythme a traîné comme pour un final éblouissant. De plus, ce dernier combat ressemble à un boss final qu'on bat en fin de jeu vidéo... La perte d'un membre de l'équipe de la team Red est dure et s'ensuit une période charnière et difficile pour Mirai. Que va-t-il donc se passer ? C'est sans compter qu'il y a encore des anges et des candidats inconnus et ce n'est pas terminé pour les combats qui restent artistiquement flous.

Le Death Note est un cahier particulier, avec ses règles et ses pouvoirs.

Ce manga entraine une pensée commune à tous les lecteurs; comment le héros va t'il s'en servir ? Et puis une deuxième idée commune; et moi si j'avais ce cahier démoniaque, est ce que l'utiliserai ? et comment ?

J'aime le personnage du Shinigami qui se joue des réactions humaines, seulement là, il est tombé sur un jeune homme particulièrement ingénieux. C'est ce qui fait le succès de l'histoire...

Je ne suis pas encore bien convaincue par Platinum End. On tourne en rond autour du combat Kanade-Murai, une série courte aurait été à mon sens bien plus adaptée. Les dessins sont supers (moins pour les scènes de combats), et j'aime beaucoup l'alliance Ohba et Obata, mais ici j'ai quand même du mal ne serait-ce qu'à m'attacher aux personnages. J'ai cependant eu un regain d'intérêt vers la moitié du tome, lorsqu'on découvre les desseins de Kanade (qui ne sont pas très glorieux, comme on pouvait s'en douter...) ainsi que la raison pour laquelle un ange l'a choisi (j'étais curieuse de voir ce qui avait pu pousser à la mort un être tel que lui). Un petit rebondissement aussi, par rapport à l'identité de Kanade qu'il tient à garder secrète... Je n'en dis pas plus.

Mais au final il ne s'est pas passé grand chose de plus, on est encore sur le combat de la Team Metropoliman (Kanade) contre la Team Red (Murai), et j'espère qu'on verra la fin de cette manche dans le prochain tome.

Désireux de découvrir l'univers des mangas et après de longues recherches pour savoir par où et comment commencer, j'ai jeté mon dévolu sur ce tome 1 de Death Note.

Pour vous résumer un peu mon ressenti, j'ai déjà acheté le tome 2 et le tome 3 pour satisfaire ma curiosité.

Je conseil ce manga à toute personne souhaitant découvrir cet univers. je ne le regrette pas un seul instant. La lecture à l'envers est particulière les 10 premières pages mais on s'y fait très vite.

C'est une lecture rapide (environ 1h30) qui coupe parfaitement entre deux romans.

Bonne lecture à toutes et à tous !

Deuxième tome de Death note. L'étau se resserre autour de Light/Kira qui n'a guère de remords pour tuer ceux qui le menacent. L, son alter-égo policier, adapte sa méthode au grès des meurtres. Un manga très prenant, une partie d'échecs diabolique entre deux brillants cerveaux.

Death Note est le premier manga que je lis et je dois dire que je suis agréablement surprise. J'ai été étonnée par le détails des dessins notamment le détail des émotions sur le visage des personnages et par l'importance donnée à de menus détails (bruit de pas, porte qui se verrouille) mais qui ont toute leur importance dans les récit. Un beau travail Takeshi Obata.



Au niveau de l'histoire, Death note mette en avant l'histoire d'un lycéen brillant qui va voir son quotidien bouleversé dès lors qu'il trouve par hasard (on se le demande cependant) le journal du Dieu de la mort, un carnet qui offre la possibilité à son détenteur de décider de vie ou de mort sur les personnes...Mais cela est sans compter les règles du Death Note, qui renferme de multiples mystères. Au fil des pages, on découvre les personnages de Light, ce lycéen assidu qui nourrit des rêves de gloire et qui s'avère être bien plus qu'un simple adolescent et Ryuk, le Dieu de la mort qui accompagne notre héro dans sa quête du monde parfait, et qui s'avère admiratif face à un Light perspicace, impliqué et réfléchi. Deux figures complémentaires qui se retrouvent lier par un même coôté sombre.



Le scénario en lui-même est plutôt efficace, le vocabulaire simple mais percutant.



Je tarde de commencer le deuxième volet de cette saga qui s'annonce plus que passionnante à mes yeux.

Je ne suis pas du tout une fan de manga à la base, bien au contraire (à part les dessins animés de sailor moon quand j'étais petite...). Mais je suis tombée sur "le mari de mon frère" primé à Angoulême et qui m'a donné envie de découvrir un peu plus cet univers et de faire tomber mes préjugés. Eh bien c'est chose faite avec le Death Note, qui est à l'opposé de l'image "cucul la praline" ou "bataille de boules de feu dans les airs" qui étaient un peu les deux stéréotypes que j'avais en tête...



Un jeune lycéen trouve un carnet mystérieux, qui donne le pouvoir à celui qui le possède de tuer les gens en inscrivant leur nom et en respectant les nombreuses et parfois complexes règles du carnet de la mort.



Utilisé tout d'abord sous des prétextes de justice, la possession du carnet devient ensuite une lutte de pouvoir, animant des stratégies, des scénarios, une concurrence et du bluff qui dépassent l'imagination!

La version manga et animée sont très proches scénaristiquement parlant ; à tel point qu’il n’a pas été difficile de savoir ce qu’il allait se passer au fil des pages. Habituellement, je déteste ça, pourtant, pas pour Death Note, principalement parce que c’est une série tellement complexe, qu’il est impossible de se souvenir de tous les détails ; cela m’a donc permis de me rafraichir la mémoire (genre quel est le rôle du père de Yagami dans l’histoire).

De plus, les dessins sont tout aussi beaux que dans l’animé, je me suis régalée à contempler chaque détail, chaque expression que ce soit la bogossitude de Light ou l’horreur dépeinte sur le visage de Ryûk.



Les personnages sont complexes : Yagami est super intelligent, vicieux dans les pièges qu’il tend et de plus en plus tordu au fur et à mesure qu’on avance, je ne me souvenais plus que c’était à ce point… Ryûk est un Shinigami, il est égal à lui-même, pas particulièrement mauvais, il joue son rôle, observe et, même s’il est assez vilain pour tenter son partenaire, il met un point d’honneur à ne pas intervenir. L est malin mais mystérieux, il avance ses pions mais on n’en sait pas plus pour le moment.



Même si je connais toute l’histoire, je n’ai pas de mots pour dire à quel point j’ai adoré ce premier tome. C’est un gros coup de cœur.
Lien : http://psylook.kimengumi.fr/..

L'action qui entamait son rebond dans le tome précédent est de nouveau propulsée dans un tourbillon hallucinant d'action, et de combats d'esprit, avec l'apparition du deuxième Kira un peu inattendu.



Light semble avoir atteint des sommets dans l'absence de scrupules. Lui qui au début avait un côté idéaliste prenant la mauvaise pente il vire lentement un noir le plus noir, persuadé d'avoir raison.



J'adore toujours autant L, il est tellement... détonant, génie mais un peu spécial... mais attachant. A sa manière du moins. ^^



Quand je pense au passage ou Light envisage de l'éliminer purement et simplement alors qu'il vient de lui annoncer qu'il est son premier et unique ami.... .



Le contraste entre les deux est saisissant, l'un quasi "sauvage" et l'autre le parfait petit étudiant, tout les deux géniaux. Ce sont deux vision de la justice qui s'opposent, ils sont comme les deux faces d'une même médaille.

Dans ce tome, tous les auteurs à succès publiés dans le magazine Weekly Shonen Jump sont invités par leur directeur éditorial à écrire une histoire courte et complète dans le cadre de la compétition "Super Leaders Festa". Lors de la fête de fin d'année, plusieurs mangakas avouent travailler sur une histoire d'amour ; d'un accord commun ils décident donc de tous s'affronter sur ce thème. Machiro travaille, pour la première fois, tout seul, sur cette histoire. Pendant que Takagi passe de plus en plus de temps sur son second manga avec Shun. Ces deux expériences ont pour but de les faire progresser chacun de leur côté, seulement tout ne se passe pas comme prévu et de violentes disputes éclatent entre nos deux héros...

Un bon tome où il est intéressant de voir Mashiro travailler sans Takagi car on réalise alors que leur duo est indissociable. Comme toujours, il y a beaucoup de rebondissements, qui oscillent entre disputes et réconciliations. L'ouverture est très intéressante et laisse présager l'arrivée d'un nouveau rival du binôme Muto Ashirogi.

Troisième tome, toujours aussi intéressant, passionnant, un scénario solide, des personnages riches. Et une saga qui progresse, avec du nouveau, dans l'histoire, les protagonistes, il y a même de nouveaux dieux qui apparaissent !



La rencontre entre les deux principaux personnages (pour l'instant ?) donne un sel particulier à l'histoire, et le scénario gagne en richesse. Leurs discussions sont étudiées, on pourrait presque leur trouver un côté scientifique par leur logique, et par la logique ou les contradictions qu'ils cherchent eux-mêmes dans leurs échanges.



Ce tome se termine sur un cliffhanger sans quoi la série pourrait perdre son intérêt.



Pour ne pas être trop dithyrambique, disons que les personnages féminins sont plutôt des faire-valoir, au mieux, inexistants, au pire, mais ce n'est pas surprenant pour cette série, qu'on peut classe dans les shonen mangas, pour faire classe, et surtout, placer le mot que m'a appris ma fille !