Valentin Musso

Un roman très bien écrit. Nous sommes prisonniers de ce roman, jusqu'à avoir lu les dernières lignes. Et même en ayant terminé et refermer la dernière page, une partie de nous reste avec Théo et ce passé qu'il vient de mettre à jour, avec les conséquences qui prennent vie dans son présent.



Ce roman est addictif, très bien ficelé et ne vous laissera pas insensible. Je vous le conseille. Bonne lecture.
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L'histoire débute avec Nina âgée de 70 ans et veuve d’un photographe mondialement connu. Elle va commettre un acte irréparable et insensé en poignardant un homme, dans un hôtel luxueux du sud de la France. Son acte la plonge alors dans un mutisme complet. Théo, son fils, mène l’enquête sur le geste de sa mère, ce qui va le confronter au dur passé de celle-ci…



L’histoire est très différente du précédent roman que j’ai pu lire de l’auteur et je trouve ça vraiment agréable. J’ai un peu du mal avec les auteurs qui reproduisent les mêmes schémas. Ici, l’intrigue est totalement différente. Le rythme du roman est beaucoup plus posé !



Je me suis beaucoup attachée aux différents personnages et notamment féminins, ils sont bien travaillés comme je l’avais déjà perçu dans Un autre jour. J’ai vraiment aimé découvrir ces secrets et cette vérité qui nous tient en haleine jusqu’à la fin. Cette réalité est vraiment émouvante et difficile à lire ! Je tiens quand même à préciser que la première partie du roman est plus lente que la suite.



C’est un roman assez troublant, notamment par le sujet principal qu’il aborde et qui relève malheureusement d’une dure réalité !



Néanmoins, même si il y a du suspens, que l’on veut connaître le fin mot de l’histoire, ce n’est pas un thriller psychologique pour moi !

Ça reste une très bonne lecture et découverte. J’ai adoré retrouver la plume de l’auteur et ses romans à intrigue familiale. Valentin Musso n’a vraiment rien à envier à son frère
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Convaincue depuis bien longtemps par Valentin Musso, ce roman ne fait que me conforter dans l’idée que cet auteur maîtrise parfaitement les ficelles d’une histoire noire aux nombreux rebondissements qui « fonctionnent ».

Le livre commence par un meurtre dans un hôtel des environs d’Avignon: Nina Kircher, sexagénaire veuve, poignarde, sans raison apparente, un homme qui y séjournait également. Théo va tenter de comprendre les motifs qui ont poussé sa mère à commettre ce geste fou.

La construction du livre place, selon les chapitres, l’histoire à la fin des années ’60 ou, au moment de l’agression, en 2008.

« Qu’à jamais j’oublie » est réellement un superbe page turner… le seul bémol étant que, malheureusement, cette histoire s’inspire de faits réels – à la suite de ma lecture, je me suis lancée sur le net à la découverte des nombreux articles sur ce dramatique sujet.

Un vrai travail de recherche de l’auteur venant donc compléter ce très bon roman noir!
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En bref, un premier roman prometteur (et preuve en est aujourd'hui, 10 ans après.) mais qui part un peu dans tous les sens...

Le style de l'auteur est fluide et, dès les premières lignes, le lecteur est happé par le récit. Bien heureusement, car j'ai trouvé qu'il était compliqué de faire le lien entre tous les personnages ainsi qu'entre les deux enquêtes qui vont se mener en parallèle.

En effet, les deux histoires semblent si éloignées qu'il est quasiment impossible de voir venir l'explication du lien. En attendant les explications, les personnages principaux sont plutôt attachants et permettent d'accrocher le lecteur, même si certains chapitres ont certainement pour but de nous perdre encore plus tellement ils n'ont, a priori, aucune connexion avec le reste...

Les thèmes abordés sont intéressants, déjà vus, mais pas forcément souvent abordés. Néanmoins, j'ai trouvé que l'ensemble restait finalement très brouillon : beaucoup d'informations sont balancées en moins de 400 pages et, même si le travail de recherche semble vraiment important, cela ne suffit pas à donner l'impression d'un roman abouti.

Ce roman était le premier de l'auteur, publié en 2010 et était, malgré quelques défauts, déjà très prometteur. Les cendres froides, son deuxième, publié en 2011, m'avait par contre beaucoup plu par le thème abordé et les recherches historiques entreprises. Je suis donc curieuse de découvrir ses autres titres si Valentin Musso s'améliore de roman en roman.
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Un nouveau thriller sur les traces d’une mère rattrapée par son passé, enfoui sous une chape de plomb suisse. De celui dont on fait des coffres-forts.
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Pour une fois, je n'ai pas pu attendre la sortie poche du petit dernier d'un de mes auteurs chouchous.

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Que s'est-il passé dans la jeunesse de Nina pour qu'aujourd'hui, la maman de Théo assassine un homme dans un hôtel du Sud de la France ?

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On est plus sur un roman de secrets de famille, où passé et présent s'entrecroisent pour trouver les réponses à l'enquête d'aujourd'hui.

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Je n'ai pas été autant surprise avec ce roman que j'ai pu l'être avec d'autres de Valentin Musso, mais j'ai vraiment été prise dedans. L'auteur sait manier le suspense jusqu'au bout. Son style direct et captivant, nous expose une intrigue sur fond de dossiers réel et douloureux de l'Histoire.

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J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman. Moins thriller mais pas moins passionnant.
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Une femme qui séjourne dans un hotel du sud de la France, voit un homme passer devant elle. Elle sort de la piscine, le suit, frappe à la porte de son chalet et le poignarde. C’est ainsi que commence ce roman et le début d’un long cauchemar pour Théo. Il est à Paris, il vient d’inaugurer une exposition de photos, issues des archives familiales de son père décédé alors qu’il n’était qu’un enfant quand un gendarme lui apprend que sa mère a commis cet acte dramatique.



Théo prend la route directement pour la Provence, afin de voir sa mère et de comprendre ce qu’il s’est passé. Sur place, on lui apprend que cette dernière se mûre dans le silence et semble dans un état de choc. Théo ne comprend plus rien. Sa mère est incapable de faire du mal à quelqu’un. Puis qui est cet homme, un médecin suisse totalement inconnu pour sa famille ? Rapidement, une photo mystérieuse va l’intriguer. Il semble y reconnaitre sa mère adolescente. Il remonte les traces de cette photo, qui va l’amener en Suisse. Théo est-il seulement prêt à creuser dans les secrets d’enfance de sa mère? Est-elle vraiment celle qu’elle laisse paraître depuis toutes ces années? Il va lentement rassembler le puzzle d’un drame qui va tout faire voler en éclats.



Quelle intrigue addictive et subliment réussie ! Je me suis plongée dans l’histoire de Théo et de sa mère Nina. On tombe vite dans les filets de cette histoire troublante et énigmatique. Les recherches que mène Théo en Suisse nous font vite comprendre que divers secrets et drames sont à l’origine du passage à l’acte de sa mère. J’ai vraiment apprécié le lourd travail de documentation et de recherche qui a du être nécessaire à l’auteur pour nous parler d’un thème si lourd et si dur, dont je n’en dirai pas plus pour ne pas spoiler ce roman. L’alternance du récit entre le présent avec l’enquête de Théo et le passé de Nina qui nous permet, en tant que lecteur, de prendre un peu d’avance sur ses recherches est parfaitement mené et permet de nombreux rebondissements auxquels on ne s’attendait pas.

Valentin Musso nous plonge une fois de plus dans une période de l'histoire contemporaine peu reluisante. Après "Les cendres froides", une intrigue au centre d'un lebensborn, nous nous retrouvons dans une sordide histoire d'institution pour jeunes filles (évitons de spoiler !). L'auteur, comme d'autres de ses romans, nous mène sur les traces d'un secret de famille.



Dans ce livre, Theo cherche à comprendre ce qui a amené sa mère à tuer un inconnu. Il va découvrir bien plus que ce qu'il pensait trouver ! L'intrigue est bien menée et tient en haleine, et jusqu'à la dernière page (mystère).

C'est la première fois que je lisais un titre de cet auteur. Musso est un nom reconnu dans le monde de l'écriture et ma curiosité m'a poussé vers un titre mais surtout un résumé assez accrocheur. Mais, je dois avouer avoir eu beaucoup de mal. Le style est assez rêche. L'intrigue est bonne mais, c'est trop long. En fait, c'est beaucoup de blabla et très peu d'action.
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Mon premier Valentin MUSSO ! on m a vendu un huit clos à la montagne ! Effectivement c'est un huit clos à la montagne ! Ce bouquin m'a angoissée ? Oppressée... J'imagine donc que le job est remplit haut la main ! Mais à titre personnel je lis pour passer un bon moment et me divertir et non pour me coucher les idées torturées ! Attention je ne dis pas que le livre n'est pas bien, je dis que ce n'est pas un style sur lequel j'accroche ! La fin est je trouve assez prévisible SI et je dis bien SI j'ai bien compris la fin parce que vraiment je me suis posée la question !..

Jusqu'à la fin, j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire. Un peu décevant par rapport à un autre livre du même auteur :"une vraie famille"

C'est peut-être dû au fait que l'histoire se passe à une autre époque. Après, cela ne m'empêchera pas de réessayer avec un autre livre du même auteur.

Valentin Musso ne s'affiche pas sur le même créneau que son grand frère, mais comme celui-ci, on le voit suivre une recette :



- prenez une époque (contemporaine, 2e guerre mondiale, années 1920...)

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- et un lieu (Nice, la Marne, les Pyrénées, la Bretagne...)

- ajoutez un thème bien documenté (la "surdouance", l'eugénisme, la modernisation de la police...),

- un gros secret,

- deux histoires apparemment sans rapport qui finissent par se rencontrer,

- de super gros problèmes psychologiques



et hop ! vous avez un Valentin Musso. Il existe aussi une recette pour obtenir un Guillaume Musso, tout comme il y en a une pour confectionner un Sulitzer ou un Arlequin.

Mais bon, Les Cendres froides n'est que son deuxième roman et il semblerait qu'il arrive de mieux en mieux à habiller sa trame. Pour vérifier s'il se bonifie avec le temps, je vais tenter le Murmure de l'ogre, mais si ce n'est le plan est encore le même, j'arrête, tout comme j'ai arrêté les Guillaume au bout de deux romans.



De plus, les réactions des personnages m'ont semblé outrées, c'est agaçant : leur jugement est prompt, leurs émotions sont exagérées, ils tirent des conclusions avec une facilité désarmante...



Ce dont on ne saurait déposséder les Musso, c'est leur compétence en langue française. Valentin, surtout, emploie un vocabulaire très riche. Ça ne suffit malheureusement pas à donner du dynamisme à un texte.

encore une lecture palpitante avec ce roman

encore une fois un épilogue qui m'a interpellé

Une très belle histoire, beaucoup de suspense et d'adrénaline. Valentin Musso possède une jolie plume.

Pas forcément férue des livres de seconde guerre mondiale, certains m'ont intéressé et je me suis donc lancée dans celui-ci me disant que je ne connaissais justement pas grand chose sur ces Lebensborn. L'intrigue m'a plu et j'ai aimé ce mélange entre histoire et policier.

Premier livre que je lis de cette auteur. J'ai été pendant un moment fan de son frère, et au fur et à mesure des histoires trop semblable je me suis lassé. Mais alors lui c'est une toute autre histoire. Cette lecture était divine, un petit tour dans les montagnes, une randonnée avec des vieux copains qui tourne au cauchemar au fur et à mesure et cela de plus en plus. Conclusion je préfère lire Valentin Musso que Guillaume Musso.

J'ai découvert Valentin Musso avec "Cendres froides" et je dois dire que son premier roman ne m'a pas conquis ; plaisant mais sans passion .

Ceci est le premier roman de Valentin Musso. Je l'avais découvert avec un plaisir énorme avec Cendres froides. Ici nous changeons totalement d'univers et c'est me "Mental" qui domine.

Encore une bonne lecture avec Valentin Musso !

Une histoire vraiment intrigante et agréable. Je suis juste un peu resté sur ma faim car j'aurai aimé un peu plus de détails dans le final.

après Bussi mon auteur favori pour le suspens. autant j'ai aimé portrait de famille, autant j'ai trouvé celui long.....mais lonnnnnngggg j'en voyais pas la fin... dommage l'intrigue était pas trop mal !!