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Citations de Valerio Varesi (361)


Si nous prenions acte de ce que nous sommes, c'est-à-dire rien, nous cesserions de faire autant de clabaudage et de donner de l'importance à ce qui n'en a pas.
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Le noir, le brouillard, le sentiment d'inachevé des jours de fête et le départ de sa compagne le chargèrent d'une pointe d'angoisse. On ne retenait jamais rien, et le bonheur ne se montrait qu'après qu'il avait disparu, laissant chacun à d'innombrables petits regrets.
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- Ne pense plus au passé, l'exhorta Angela, on n'y trouve que des erreurs. Et puis c'est inutile.
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"Il est parfois plus douloureux de renoncer que de combattre" confirma-t-il.
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Valerio Varesi
Ta sensibilité. Si tu étais un flic comme les autres, tu n'en aurais pas grand chose à foutre de toutes ces horreurs. La vérité, c'est que tu es un moraliste. C'est ça qui te fout en rogne. Tu n'as pas renoncé à tes idéaux et quand tu vois la réalité s'en éloigner, tu deviens enragé. Si beaucoup de tes collègues continuent d'avancer bêtement, c'est qu'ils n'affrontent rien.
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J'ai peur que vous confondiez le besoin et le libre choix, commenta-t-il sèchement. La liberté n'existe pas où il n'y a pas de choix. Et j'ai comme l'impression que c'est le cas de vos client. (page 103)
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On agite le passé quand on n'a plus confiance dans le présent.
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Les pauvres ont trop d’emmerdes pour s’émouvoir devant la mort, et les riches ont la trouille d’y penser.
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Valerio Varesi
Il faut distinguer l'expérience de la mémoire. On a l'illusion que l'on se souvient parce qu'il semble que tout est toujours identique, comme le fleuve qui n'a de cesse de couler entre une crue et une période d'étiage. Mais en fait on recommence chaque fois de zéro. Les souvenirs valent pour deux ou trois générations, puis ils disparaissent et d'autres les remplacent. Après cinquante ans, on revient à la case départ.
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Ta sensibilité. Si tu étais un flic comme les autres, tu n'en aurais pas grand chose à foutre de toutes ces horreurs. La vérité, c'est que tu es un moraliste. C'est ça qui te fout en rogne. Tu n'as pas renoncé à tes idéaux et quand tu vois la réalité s'en éloigner, tu deviens enragé. Si beaucoup de tes collègues continuent d'avancer bêtement, c'est qu'ils n'affrontent rien.
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Parme était sous un brouillard ouaté. On ne distinguait même plus la géométrie des tours des Paolotti, ni celle des campaniles de San Giovanni et du duomo. Une soirée d'autres temps, d'avant que les saisons ne se ressemblent toutes. lorsque la ville s'enveloppe d'une coquille de vapeur et retrouve soudainement toute son intimité. que son excitation, ses grondements, sa frénésie s'apaisent. Sous son épais brouillard, Parme arrêtait de crier. Elle susurrait comme les vieilles à l'église.
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C’est nous qui rendons certains moments magiques, pas ce que nous avons sous les yeux. La même réalité peut nous offrir joie ou tristesse.
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Les sensations sont importantes. Et parfois, elles nous guident.
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Les lois sont une fiction, et les premiers qui les transgressent sont ceux qui les font.
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Quand on se souvient de sa jeunesse, on est toujours très indulgent, répliqua-t-elle. On la falsifie inconsciemment, et tout nous semble beau, y compris les choses mesquines. C'est un besoin consolateur. Ça nous porte à croire qu'une partie de notre vie a été vécue intensément.
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L'italien possède une chose que les Anglais ont du mal à comprendre : la nuance. Il faut toujours essayer de comprendre ce qui se cache derrière les mots.
-Ils sont souvent trompeurs, admit le commissaire. Ils disent apparemment une chose, mais en signifient une autre.
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- Les gens, c'est comme le brouillard, décréta le barbier, tu ne vois rien à travers et puis tout à coup... Et c'est souvent trop tard.
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Ils ont compris qu'il suffisait d'une belle présentation pour faire accepter les arnaques avec le sourire, résuma le commissaire avec cynisme. (page 47)
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Après le savarin de riz, on apporta les champignons. Leur goût avait quelque chose de familier au point de réveiller en Soneri des réminiscences de la cuisine maternelle. Une vague d'émotion remonta depuis son estomac en le ramenant bien loin en arrière, dans un lieu dont il ne voulait pas se souvenir pour ne pas tomber dans la mélancolie ennuyeuse. Ces saveurs l'accrochaient au passé, bouchée après bouchée, en suivant un chemin dire t qui échappait au contrôle de la pensée.
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Dans les bois, il n'y a rien de précis : on va toujours au hasard, comme pour pisser.
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