Je me suis délectée à la lecture, par petites touches, de ce livre aux pensées empreintes de râlerie (aphorismes, parait-il) amusantes, rafraîchissantes, intrigantes, grincheuses parfois, souvent bien pensées, justement... et parfois pas à mon goût, un peu lourdes ou indélicates pour moi... Je n'ai pas apprécié quand je sentais de la moquerie, quand il s'agissait de grossophobie (les "blagues" sur les gros, les "thons"... faut arrêter, sérieusement - heureusement ça ne constitue pas la majorité du livre mais il y a bien 4-5 occurrences, au moins, qui m'ont déplu à ce sujet). Un petit livre dont le contenu se grignote par-ci par-là... A mettre dans les toilettes ou dans son sac pour accompagner les moments d'attente et de flottement !
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Étui à violon, carton à dessin, appareil photo. Il manque à l’écrivain un signe extérieur de talent.
La ville anglaise a gagné sur la campagne depuis cent ans et l’on juge anormal d’y trouver le renard, comme si c’était lui l’imposteur.
Le meilleur moyen de chasser les pucerons c’est les coccinelles nous dit-on. Pourtant j’ai du mal à croire qu’elles font des assassins efficaces.
La passion excessive pour les livres n’engendre pas des idéalistes rêveurs, car se pose régulièrement le problème des rayonnages à installer.
Le secret de la rapidité du catamaran vient de l’émulation entre les deux coques qui font la course entre elles pour tenter de se départager.