L’esprit est un cheval fougueux qui se cabre quand on veut lui passer le licou. Pour opérer un changement, il faut lui chuchoter à l’oreille une proposition positive et porteuse d’espoir.
De meme, les justifications persistent parce qu’elles nous permettent de nous persuader que nous sommes une bonne personne quand démontrent pourtant le contraire.
Ni la masculinité ni même la virilité ne sont par essence toxiques, encore moins condamnées à le devenir.
Michel Dorais, sociologue, 19 septembre 2003