A travers ce récit mené avec adresse,
Pascal Millet dresse le portrait sensible de toutes ces sociétés basées sur une économie précaire et que les événements frappent de plein fouet, ces mondes dont la poésie nous échappe, et qui disparaissent dans l'indifférence. Et pourtant, comme chaque fois, voilà un livre qu'on ne lâchera pas avant le dernier mot, tant on s'attache à croire que l'espoir est permis, toujours.