Le premier livre d'abords: le Duc mis à nu.
J'ai été embarqué dans cette histoire et j'ai adoré. On trouve des quipropos et le jeux du chat et de la sourie entre James duc d'Alvord et Sara Hamilton, jeune américaine débarquant en Angleterre suite à la mort de son père, est génial.
On a certes envie de lui expliquer des tas de choses, mais sa naïveté est vraiment mignonne.
Cette histoire était géniale.
Concernant le deuxième tome, le Marquis mis à nu; j'ai bien aimé mais à la différence du premier tome, ici, les deux personnages principaux se connaissent depuis l'enfance.
On suit Charles, devenu marquis de Knightsdales et Emma Peterson fille du pasteur local. On a rencontré Charles dans le premier tome étant qu'il est ami avec James. Donc on recroisera James et Sara.
Quand à Emma, elle est amoureuse de Charles depuis l'enfance et ce dernier se rends compte que la petite fille qui le suivait partout étant enfant est devenu une belle jeune femme. du coup, les deux personnages n'apprennent pas vraiment à se connaître et cela m'a un peu déçu.
Mais ce tome reste tout de même très agréable à lire.
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Je me suis vite attachée à Sarah et à James. le style est fluide et l'humour de James jamais très loin. Pour sûr, il ne ressemble pas à un duc ! Ensuite, les questions arrivent… Quelqu'un sera-t-il tué ? Qui ? James se révèlera-t-il un Dom Juan volage ? le second tome avait moins de suspense et j'avais résolu l'intrigue (quoique les explications étaient un peu embrouillées). Hormis celle-ci, l'avancée de la romance est quasi identique au tome 1.
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Ce n est pas mon genre de lecture mais je dois confesser les avoir tous lus.....et relus...les personnages sont attachants, les hommes forts et les vierges naïves....bref une lecture facile distrayante parfaite en cas de grosse fatigue !
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Elle ne s'était jamais adressée à un homme en l'appelant par son prénom. Mais elle n'avait jamais non plus dormi avec un homme nu. Nue avec un homme nu ! Si la chaleur continuait à lui monter au visage, elle risquait de mettre le feu aux draps.
Sarah observa derechef l'homme assis en face d'elle. Même dans le sommeil, son visage long et pâle, au nez busqué, respirait l'arrogance. Elle frissonna en repensant à ses yeux d'un bleu glacial, qu'elle avait aperçus lorsqu'il était monté dans la diligence à Londres. Il ressemblait en tout point au portrait de Satan illustrant l'exemplaire du Paradis perdu que possédait son père. Sarah avait la certitude de se trouver devant son premier spécimen d'aristocrate anglais : nonchalant, bon à rien, alcoolique, vaniteux, coureur de jupons, le produit dégénéré de siècles de mariages consanguins.
Pourquoi? Vous avoir dans mon lit n'est pas une raison suffisante? Non. (Il posa son doigt sur la bouche de Sarah alors qu'elle s' apprêtait à protester.) Non, il ne s' agit pas que de cela. Ce n'est pas le fait que la mésaventure du Lutin vert soit connue de tous, ni que j'aie besoin d'une épouse et d'un héritier, ni même si tout cela entre en ligne de compte. (Il l'embrassa de nouveau sur le poignet, en s' attardant légèrement.) Seigneur, je vous désire tellement depuis cette nuit au Lutin vert que j'en ai perdu le sommeil. Mais c'est plus que cela.
Sa conscience la pressait de parler, mais son corps épuisé l'en dissuadait. Elle aurait été incapable de poursuivre sa route cette nuit-là. À l'évidence, la personne qu'attendait ce gentleman roux n'arriverait pas ce soir et, quand bien même, elle comprendrait certainement. Toute femme serait disposée à partager sa chambre dans pareille situation.
Il aurait préféré se marier avec une fille qu'il appréciait vraiment, mais il n'en avait pas rencontré jusque-là et il ne voyait pas comment cela pourrait arriver dans un avenir proche.