Peur primale et autres récits

« 𝗘𝘁 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗳𝗶𝗰𝗵𝘂𝗲 𝗹𝘂𝗺𝗶è𝗿𝗲, 𝗷𝗲 𝗻𝗲 𝘃𝗼𝘂𝗹𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝘆 𝗮𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗺'𝗮𝘁𝘁𝗶𝗿𝗮𝗶𝘁 𝘁𝗲𝗹 𝘂𝗻 𝗽𝗮𝗽𝗶𝗹𝗹𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗻𝘂𝗶𝘁. 𝗔 𝗰𝗿𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹'𝗼𝗻 𝗻𝗲 𝗽𝗲𝘂𝘁 é𝗰𝗵𝗮𝗽𝗽𝗲𝗿 à 𝘀𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀𝘁𝗶𝗻 »
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Plongez au coeur de vos pires cauchemars tout en étant éveillé et laissez-vous transporter par cette noirceur qui saura dépasser votre imagination. Saurez-vous en ressortir indemne? Votre instinct de survie sera-t-il à la hauteur des créatures qui vous attendent?

𝘗𝘦𝘶𝘳 𝘱𝘳𝘪𝘮𝘢𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘴 𝘳é𝘤𝘪𝘵𝘴 place le lecteur au coeur de divers histoires plus glauques et malsaines les unes que les autres. L'écriture est très fluide et simple, l'ouvrage pourrait presque être accessible à tous si l'on oublie de quoi il traite.

J'ai été agréablement surprise car je suis très picky en terme de livre horrifique et finis souvent déçue de mes lectures.
Ce fut avec étonnement que j'ai réussi à me plonger dans ces histoires cauchemardesques qui me donnait envie de venir au secours de chaque protagoniste, en mode j'aurais eu plus de chance qu'eux (spoiler alert : non).

Je suis toutefois un peu mitigée quant au format, attention ici ce n'est que purement personnel. Dans𝘗𝘦𝘶𝘳 𝘱𝘳𝘪𝘮𝘢𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘴 𝘳é𝘤𝘪𝘵𝘴 vous trouverez une alternance entre nouvelles courtes et nouvelles plus longues. Je peux d'ores et déjà dire que mes petits coup de coeurs ont été le cercles des loups, le grenier interdit et Carnival Massacre (probablement mon ultime préférée).
Ces trois nouvelles, les plus longues il me semble, ont été des petites pépites en ce qui concerne le côté angoissant, glauque et gore.

Notre imagination ne peut s'empêcher de s'imaginer chaque détails de chaque scènes.

J'ai dis que je n'étais pas fan de ce genre de format et je m'explique : Je trouve que, malheureusement, les petites nouvelles ne sont pas toujours très bien élaborées et développées, je veux plus, plus de contexte, plus de ressentiments, plus de réalisme, plus de détails, plus d'intrigue et de suspens.
Elles sont parfois un petit peu trop rapide à mon goût. Parfois j'avoue avoir été quelque peu confuse à certaines fins car je n'étais pas vraiment sûre d'avoir compris le but ou le sens final de la nouvelle.

J'ai mis quelques temps avant de plonger entièrement dans cet ouvrage. Après avoir tenté de lire plusieurs ouvrages uniquement constitué de nouvelles, je pense ne pas être très friand de ce format.

Toutefois, cela ne m'a pas du tout empêché d'apprécier ma lecture et d'avoir de réels coup de coeur pour les plus longues nouvelles.

Si vous êtes, comme moi, une adepte de l'horreur et recherchez du suspens, du gore, des monstres et des enquêtes policières, n'attendez plus et jeter vous sur cet ouvrage de Lancelot Cannissié.

Peur Primale (Et Autres Récits) est le second recueil de nouvelles horrifiques et terrifiantes signées de la plume de Lancelot Cannissié, et contrairement à son premier ouvrage centré sur les monstres et les codes proches de Lovecraft, celui-ci va chercher dans la psychologie humaine pour exploiter les failles, les peurs cachées, les angoisses profondes, mais aussi laisser une vraie marque d'espoir ici et là.

Ici, les nouvelles jouent avec la forme. Certaines sont très courtes et très abruptes(Le buffet, Chimère), d'autres plus longues(La grenier Interdit, le Cercle Des Loups), et deux d'elles flirtent presque avec le mini-roman (Carnival Massacre, Peur Primale). Cela donne un véritable effet de renouveau, de rythme original, de variation, et garde le lecteur sur la pointe des pieds. La chute menace à tout moment, et on ne sait jamais quand elle risque de tomber.
Les chutes, d'ailleurs, sont ici maitrisées. C'était une petite remarque faite à l'auteur sur sa précédente collection de nouvelles, et ici, elles sont mesurées, elles tombent comme des couperets, elles viennent couper l'herbe sous les pieds des lecteurs. Elles fonctionnement très bien !

Lancelot ici s'éloigne des lignes classiques façon Lovecraft de la quête aux monstres, et va chercher dans les âmes humaines les horreurs les plus fondamentales. Par exemple, les comportement et déviances psychologiques (la boulimie de Sylvie, les angoisses de Jacques, les envies de protéger son troupeau pour Rudy, les illusions perdues de l'enfance pour Timmy...) sont une immense source d'inspiration ici. Lancelot les sonde avec la fascination d'un explorateur des tréfonds du coeur humain, prêt à prendre en ligne de compte toutes les horreurs qui peuvent croiser nos existences bien normales.

Il faut souligner le travail minutieux apporté aux nouvelles qui lorgnent du côté du roman. Ce sont les deux piliers du recueil, d'abord Peur Primale qui est façonnée comme une chronique dans une maison de repos, et dont les pensionnaires en phase de reconstruction psychique vont subir une influence extérieure néfaste. Cette nouvelle propose une vision affutée des moments de remise en question qui vont avec une rémission, et explore les horreurs oniriques qui pèsent sur ces personnages. C'est un incipit très percutant.

A l'autre bout du recueil, Carnival Massacre reprend à son compte plusieurs grands thèmes célèbres de l'horreur des années 80-90 : les cirques, les fêtes foraines, les monstres en quête de rédemption physique en commettant des horreurs, les tronçonneuses acérées, l'angoisse de l'enquête qui patine pendant que les protagonistes deviennent victimes malgré eux. Même les personnels des autorités répondent à des archétypes repris à la sauce Lancelot, et font appel à une madeleine de Proust de la trouille adulescente (certains contenus m'ont rappelé mes lectures Chair de Poule et font référence à R.L.Stine).

Le style est toujours aussi efficace, les champs lexicaux sont adaptés et développés, et on conserve une perception multi-sensorielle des histoires-y compris dans la vision et l'odeur décrite des corps mutilés et/ou en décomposition. Il y a quelques petites maladresses dans l'utilisation de certains mots qui sortent du registre général de langue, mais rien de bien grave.

Cependant, Lancelot continue d'explorer le règne horrifique des montres, et propose même ici une petite enclyclopédie des horreurs qui traînent dans les forêts sombres et les sentiers perdus.
On soulignera tout de même une vraie nuance d'espoir dans les chutes, soit par soulagements, soit par acceptation presque complice de son sort funeste.

Pour conclure, Peur Primale offre une descente bilatérale dans les tréfonds des angoisses humaines et dans les horreurs causées par les créatures de la littérature d'horreur. Efficace, bien ficelé, le recueil séduira les fans du genre.

J'vais commencer par la première nouvelle, celle qui m'a justement le moins plue. Au moins ça sera fait. "Peur Primale" donc. L'histoire d'un jeune et de ses amis, en maison de réhabilitation post-psychiatrie. Il se voit offrir une statuette cheloue dans une braderie. A partir de là, tout part en steak. Cauchemars, choses réelles/irréelles, parfois on s'demande.
Alors l'ambiance est chouette, mais, (ouais, y a toujours des mais, et alors, tu vas faire quoi ?) j'ai trouvé le tout un peu enfantin. J'ai même galéré à estimer la tranche d'âge des personnages au début, ça m'a fait perdre le fil plusieurs fois. Maintenant, vous savez donc ça vous posera pas de souci : ils sont plus agés que des ados sans pour autant être des adultes, je dirais tranche de 17/20 ans.
Et surtout, je n'ai pas aimé la fin du tout, et l'intrigue en général. A vrai dire, j'avais beaucoup d'a priori en voyant le déroulé des scènes d'horreur (qui elles, sont parfaites, change rien mec) et j'attendais justement un final digne d'elles, mais j'ai été déçue, ça m'a semblé trop facile. Je me doutais de la fin dès le moment où la statuette a commencé son bordel.
Alors attention, c'est une histoire de goût personnel, j'ai lu que beaucoup avaient apprécié, et c'est très bien !

Ensuite, on arrive sur la nouvelle "Le cercle des loups" qui m'a énormément plue, justement parce que l'auteur a joué avec les clichés. C'est l'histoire d'un p'tit berger qui s'fait mordre par un loup. Peu après, des attaques ont lieu dans la ville.
J'ai vraiment, mais vraiment aimé cette nouvelle parce que pendant la lecture, j'me suis dit : "mais pas encore" - en songeant qu'une fois de plus, ça serait le scénario facile- puis le final m'a bluffée. Bravo Lancelot !

"Le grenier interdit" est une nouvelle courte, toute douce (enfin, pas trop) mais vraiment adaptée sur le ton autant que sur la forme.
C'est l'histoire d'un gamin qui va travailler chez un pseudo barbe-bleue, et le déroulé est, ma foi, fort réussi. Une ambiance qui s'installe doucement, mais sûrement, avec un dénouement encore une fois surprenant. J'ai vraiment apprécié cette nouvelle donc.

"Carnival massacre" est l'une des nouvelles que j'ai le moins appréciées aussi. Pourtant, elle est correctement écrite, parfois un peu longuette sur certains passages (à mon sens). Une intrigue originale, très même, avec une mise en avant d'une maladie rare. Mais j'sais pas, y a un truc qui m'a bloquée et j'arrive toujours pas à savoir quoi. Peut-être l'environnement "fête foraine" et les nombreux retournements de situation, j'sais pas. En tout cas, l'auteur n'est pas en cause ici.

Et enfin, plusieurs nouvelles très courtes qui ont vraiment trouvé grâce à mes yeux. "Terreur nocturne" étant probablement la meilleure de ces dernières (avec un sujet que j'apprécie énormément : l'inconscient, les rêves) Peu de lignes et pourtant un grand impact !

Les autres, toutes plus sordides ou douces les unes que les autres m'ont beaucoup plues, notamment celle du Boucle-d'or (Le buffet) et celle sur la Chimère. de bons textes, bien maîtrisés.

Un recueil qui mêle plusieurs grand thèmes du genre : monstre, conscience, loups, goules, maladies, fantômes, prédateurs, pour tous les goûts.
Une écriture très fluide, parfois un peu maladroite mais agréable tout de même. de bons thèmes, de bonnes longueurs et une maîtrise générale des clichés du genre et du jeu autour pour les déjouer. (sauf dans la première, ouais j'suis kéblo dessus... et ALORS ?!)

En somme, un bon recueil pour ceux commençant le genre horrifique et une lecture reposante pour les afficionados qui veulent décrypter avant la fin chaque nouvelle ! Une lecture très détente.

J'ai l'autre recueil du même auteur que j'ai hâte de découvrir (après tous mes sp...)

C'était DK pour vous servir,
Death and love les cocos.
Lien : https://www.horror-stories.fr

Dans le cadre du partenariat avec Livraddict, j'ai eu la chance d'avoir l'opportunité de découvrir un nouvel auteur, Lancelot Cannessié par le biais de son recueil de nouvelles. Je le remercie pour cette lecture.

J'aime bien la couverture, Les traits me font penser à des griffes, des sillons sur une peau, des chemins qui s'affinent pour arriver à un but précis.

Qui dit recueil, dit un certain nombre de nouvelles, 10 pour être plus précises.

Peur Primale et le Cercle Des Loups sont les deux premières. Quelque chose me gêne dans la lecture, car j'ai eu l'impression de les avoir déjà lu auparavant. Dans Peur Primale nous suivons Jacques et des compagnons habitant dans un manoir. Ils découvrent une statuette sur un marché et l'obtiennent gratuitement, le marchand veut s'en débarrasser. Dès cet instant, des choses vont arriver sur chacun des propriétaires. Dans le Cercle des Loups, Rudy, un berger, nous dévoile un côté charmant, tout en crocs après avoir affronté un loup venant attaquer ses moutons.

Le Grenier Interdit, où le lieu qu'il vaut mieux éviter. Un petit garçon, Timmy, lance trop fort son ballon et casse une fenêtre chez leur voisin. En échange, il va devoir nettoyer la maison complète du vieux monsieur, mais ne doit jamais s'approcher du fameux grenier. Comme quoi, la curiosité est le vilain défaut. Timmy aurait sûrement eu plus de chance au Carnival Massacre, vu qu'il n'est qu'un enfant. Une fête foraine à Los Angeles, une ville où tout est permis, même les crimes les plus affreux. Personne n'est à l'abri, à moins de n'être pas parfait au yeux du ou des criminel(s). Après de pareils événements, plus de doute, la Terreur Nocturne nous guette. Imaginez que vous voyez des choses, un truc qui traîne dans les parages, qui vous hante. Les actes qui en découlent ne vont plaire à personne.

Vint ensuite la Chimère. Cette image qui ne vous lâche pas, ce monstre qui peut prendre l'apparence du Yéti ? Une envie subite de le photographier tel le monstre du Loch Ness, un peu de flou et une peur panique de le voir en vrai ! Serait-ce plutôt ce qui se trouve dans le Buffet, qui aurait fait fuir notre reporter en herbe ? Qui aurait envie de rester dans une forêt et de se trouver nez-à-nez avec une cabane rempli de nourriture à vie ? Dans tous les cas, il vaut mieux faire attention à ce que nous désirons, car le Pacte du Djinn, est à double tranchant. Un départ peu crédible, une suite étrange et une morale réaliste. Tout cela pour nous amener jusque Arkhos,un pays où la fantasy règne en maître. Quoi de plus normal que de terminer par La Forêt Aux Pendus? Une légende qui... le titre raconte déjà ce que la légende raconte, juste que deux enfants la traverse. Pas bien !!!!

Des histoires plus ou moins courtes (allant jusqu'à deux pages au minimum). Elles sont variées, parfois avec un coté fantastique, parfois dans le réel. Je dois avouer que je n'ai pas frémi à la lecture de ses nouvelles. Pourtant j'aime beaucoup ces thèmes, l'horreur, les frissons, la terreur, la noirceur, mais dans ce recueil j'ai trouvé que cela manquait de piquant. Je m'attendais plus de suspense, de macabre, même si Carnival Massacre est pas mal dans son style. Usant de la psychologie humaine pour parvenir à ses fins et du chantage aussi.

En conclusion, il y en a pour tous et toutes. Même si je n'ai pas frissonné comme je l'aurai aimé sur toutes, il y en a quelques unes qui sont sympathiques. Quelques morales ressortent du lot. Ce livre peut-être lu par bon nombre de personnes.

http://chroniqueslivresques.eklablog.com/peur-primale-et-autres-recits-lancelot-cannessie-a132343348
Lien : http://chroniqueslivresques...

Alors, j'adore l'univers et les nouvelles de cet auteur, même si, je dois l'avouer, ce recueil m'a moins transportée que le précédent lu. J'évoque les nouvelles, et après on en reparle !

1ère nouvelle : Peur primale
Juin 2016, nous faisons la connaissance de Jacques. Les ténèbres s'invitent ou plutôt « statuette+femme+poignard et enfin crâne ». Les cauchemars s'accumulent.
Bon, de temps en temps, ça parle bouffe, y a même un poème à un moment. L'idée de décortiquer les rêves est très intéressante.
J'ai moins aimé le manque de suspense, d'ambiance finalement. La fin est classique.
2ème nouvelle : Terreurs nocturnes
Une petite mise en abime, un auteur qui écrit de l'horreur et qui vit des choses…étranges. C'est très court, j'ai aimé le prénom de Jésabelle, c'est original, et la construction même si la chute est trop classique. Je m'en doutais.
3ème nouvelle : Chimère
Quand on veut des preuves d'un monstre, il faut plus qu'une tente, du matos, et des caméras. Je dis ça je dis rien^^. C'est un peu classique, et surtout, baaah c'est limite trop « doux ».
De bonnes idées quand même.
4ème nouvelle : le cercle des loups
On fait la connaissance de Rudy et de son fidèle berger australien Babou. Déjà les bergers australiens j'adore, pour autant je n'ai pas rajouté de point sur le barème (quoique…)
Puis ensuite les Haubois, qui entame je dirais presque l'intrigue, car ça lance la police scientifique et finalement l'analyse d'un poil. (Si vous refaites la blague de Driller_Killer sur le poil pubien qui ne va pas bien vous sortez xD.)
Bon après y a un peu de bâclage comme je dis…dommage. Les idées sont bonnes, y a du bon et du, à revoir.
5ème nouvelle : le buffet
Alors c'est un peu court, et quand il s'agit de miam, je suis très en demande et généreuse. Pourquoi pas. C'est sympa, mais il y avait moyen d'aller encore plus loin. C'est trop timide.

6ème nouvelle : le pacte du djinn
J'ai souri au départ parce que la comparaison entre « celle qui éclairait mes nuits » et le phare cassé… (j'ai mwa-même à phare à faire changer xD). Ça reste classique (la vieille dame qui disparaît d'un coup), le voeu, mais allons-y. C'est tendre, meugnon même, ça me surprend, dans le bon sens, mais encooore une fois bon sang faut y aller quoi !
7ème nouvelle : le grenier interdit
1975, est de la Bulgarie. On voyage donc. Timmy doit payer les pots cassés (pour ne pas spoiler), sauf que sa mère ne veut pas, il paraît que des enfants disparaissent… petit clin d'oeil à Petrov'. En revanche, je suis intriguée, il lave la table après le sol ?
C'est pas mal, y a un peu plus de suspense, mais la fin reste classique.
8ème nouvelle : Carnival massacre
Los Angeles, avec le maire John Hall accepte qu'une troupe de forains s'installe sur Vénice Beach. Thomas et Sarah sont les personnages à suivre. Bon William, vu ce qu'il écrit, ouais désolée, j'ai eu du mal. Des références, clin d'oeil à certaines oeuvres, cette nouvelle, assez longue, est assez intéressante. La fin m'a déçue, en revanche, trop facile !
9ème nouvelle : Arkhos
Maxime, la fantasy, les dragons, à fond dans ses lectures, il se dit, forcément qu'il n'a pas pu réellement voir un « griffon », non ? bon après l'extincteur me paraît petit vu la situation… à voir.
10ème nouvelle : La forêt aux pendus
Nous faisons la connaissance de Thomas et George et d'un certain sens de l'orientation. le chemin le plus court est-il forcément le plus rapide ? J'ai envie de chanter « là-bas » comprendra qui lira !

La suite sur ma page !
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