Moi qui voulait me mettre dans l'esprit de Noël ! Eh bien c'est raté ! le roman se passe durant la journée du 24 décembre : “Dans la matinée”, “Un peu plus tard”, “Dans l'après-midi”, “Après” et finalement en “Fin de journée” …. On y raconte les pensées, les lubies des locataires …. avec des phrases interminaaaables, ayant des parenthèses interminaaaables, tellement, que j'ai dû, à plusieurs reprises, retourner au début de la phrase avant la parenthèse puis lire la suite de la phrase après la parenthèse afin d'y comprendre quelque chose. Je n'ai trouvé aucun personnage sympathique, presque tous se regardaient le nombril et l'histoire ne mène à rien. On dirait que l'auteur à voulut nous montrer son immense vocabulaire et ses possibilités de tous les mettre en une phrase ….
Vous comprenez que j'ai détesté ce livre, et ça, jusqu'à la fin !
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Je suis assez dubitative. Je n'aime pas trop cet enchevêtrement de vies cassées et/ou improbables... je n'ai pas trop cerné l'intérêt de ces lacis et entrecroisement un peu brouillon car je me mélangeais moi même dans la tourmente des personnages...
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Pierre Mérot dépeint la vie mouvementée et loufoque des locataires d'un immeuble parisien, par un jour d'hiver. Irrésistible.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
A propos de son roman "Kennedy Junior"