En débutant la lecture de ce quatrième tome dédié à la famille Penderwick, j'ai eu le sentiment que l'histoire commençait à s'essouffler. Les premiers chapitres sont plats, presque ennuyeux, comme s'il leur manquait un fil conducteur. Les dialogues entre les Penderwick s'enchaînent mais ne font pas avancer l'intrigue.
Ce n'est que vers la moitié du roman que l'intrigue trouve un nouveau souffle grâce au personnage de Batty (Linotte, dans la version française), terriblement touchante. La fillette est en proie à bien des émotions. Elle se découvre tout d'abord un talent pour le chant et la musique, puis perd brusquement sa joie de vivre après avoir entendu une conversation par hasard... Cet évènement va bouleverser la fillette au point de se renfermer totalement sur elle-même et souffrir en silence. Ceci nous permet de découvrir une autre facette de sa personnalité, mais surtout, nous rappelle le drame vécu par les sœurs Penderwick à la mort de leur mère.
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This would have been an enjoyable break from normal classroom labors if the music teacher hadn't been dull and pompous. Batty had long suspected that Mr. Rudkin knew nothing about music. Keiko went further, saying he would be better off teaching racoons than children.
"All clear for now," she told Ben.
"Then come see what I've found."[...]
"It's only an old door hinge", said Batty. "Definitely not gold."
"Rats."
"Well, it's not like there were ever pirates burying treasure in western Massachusetts."
Interview de Jeanne Birdsall (en anglais)