Voilà un gros tome de 300 pages tout à fait passionnant !
L'histoire, même si apparaissent des personnages "sortis de nulle part" depuis le tome précédent, ce qui rallonge un brin l'intrigue d'une façon légèrement "artificielle", reste cohérente et vraiment prenante.
J'ai particulièrement apprécié la première partie de ce tome, avec tout le cheminement "spirituel" de Becky dans le "monde des esprits", avec le rassemblement des indiens et leurs chamanes qui s'avèrent vraiment intéressants.
Dans la seconde partie, tout s'accélère et on sent approcher le début de la fin. ça tire dans tous les coins, ça pourrit, ça rapproche "les six", et je me demande bien comment tout ça va finir.
Vivement le 7ème et dernier tome de cette série que j'avais commencée par une découverte en "masse critique", et oui. Dommage donc que je n'ai pas reçu le tome 1 de Traquemort (ou de "mage de guerre") au dernier MC imaginaire, hein, j'aurais sans doute continué toute la série, si c'est aussi bien qu'Alfaric le dit. Et sur lequel d'ailleurs il n'y a toujours aucun avis "MC", curieusement... Enfin, moi j'dis ça, j'dis rien... *sort en sifflotant*
Edit : et quand Babelio dit que les "lecteurs de genre sont favorisés lors des "MC de genre"", et bien 90% des lecteurs du club imaginaire sont plutôt bien placés pour savoir que, sur le dernier MC imaginaire, ce n'était tout simplement pas vrai. Point fin.
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Double ration pour ce sixième volume de The Sixth Gun, western fantastique et apocalyptique. Et la fin du monde n’a jamais été aussi proche.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
La chasse des Skinwalkers nous rapproche de la fin de cette incroyable saga. Cette série est une véritable pépite, une série unique, que je ne peux que continuer à vous recommander !
Lire la critique sur le site : Sceneario
- Il fut un temps j'avais juré de ne plus m'approcher d'une tente de malades de mon vivant. Les cris des mourants, la puanteurs des blessures purulentes, les bras et les jambes amputés et saignants, empilés dans la boue comme des bûches de bois... Ce genre de choses, ça marque un homme comme un éleveur marque son bétail. Et voilà, je suis là. (Drake)
- Vous n'êtes quand même pas assez stupide pour penser qu'il s'agit de la même chose, Sinclair ? (le vieil indien aveugle)
- C'en est pas loin. Cette fille lutte pour sa vie, et moi je suis dehors. Impuissant. Pardon si ça me semble un peu familier. [...]
- C'est bien. L'impuissance vous apprend l'humilité.
La "voie sinueuse" serpentait au travers d'innombrables mondes... d'innombrables visions de ce que pourrait être la réalité sous l'influence des six... Et tel le serpent biblique auquel il ressemblait, ce chemin spirituel pouvait être effrayant... ou tentant.
- Griselda est la mère de mon mari, elle n'a aucune loyauté envers moi. Mais ses ambitions correspondent aux miennes. Alors, pour l'instant, tant qu'elles servent mes intérêts, nous suivrons ses directives.
(Missy Hume)
Drake Sinclair. Un chevalier ! J'parie que j'aurais été un roi ou un truc du genre.