Au Japon, il y a des photographes dans le genre des nôtres ; seulement ce sont des Japonais, habitant des maisons japonaises. [...] Cela étonne et cela déroute, un photographe niché là, dans tout ce Japon d'autrefois [...]. La cour d'entrée est d'une irréprochable japonerie, avec des lanternes et arbres nains. Mais l'atelier où l'on pose pourrait être aussi bien à Paris ou à Pontoise ; mêmes chaises en "vieux chêne", mêmes poufs défraîchis, colonnes en plâtre et rochers en carton...»