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EAN : 9782812609800
140 pages
Editions du Rouergue (07/10/2015)
4/5   5 notes
Résumé :
Dans l'immeuble où habitent Taavi et sa maman, les habitants sont plus farfelus les uns que les autres… Et vous allez tous les rencontrer ! La voisine championne de bulles de chewing-gum, le crocodile malheureux en amour ou madame Inger au nez surpuissant. Le nouveau recueil d'histoires illustrées de Piret Raud ressemble à une fête des voisins un peu spéciale, tendre et totalement incroyable.
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Un recueil d'histoires courtes dont le point commun est de s'organiser autour d'un immeuble et de ses habitants.

L'auteur fait une large place à l'imagination et nous propose de repenser notre environnement proche avec notamment une attention particulière portée aux objets.

Nous y trouverons des crayons à faire pousser dans des pots, des réfrigérateurs qui ont une sacré personnalité ou encore un bac à sable qui suit les enfants qui le manipule...

Le lecteur semble invité à un thé avec le "Chapelier fou". Oublions nos préjugés et idées fausses et laissons nous envahir par la magie du merveilleux où tout devient possible.

Mais ces histoires ne sont pas futiles, leur légèreté cache bien souvent une réflexion sur nos valeurs, sur nos interactions et nos rapports avec notre milieu.

Un très bon moment de lecture.

Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Dans ce roman nous écoutons Taavi, petit garçon vivant dans un immeuble avec sa maman, il va nous conter l'histoire de ces voisins avec ces yeux d'enfant à commencer par sa maman qui n'est pas une maman seule, non! puisque elle vit avec lui...elle n'est pas seule!...
A chaque situation son imagination déborde et cela rend ces courts récits absolument adorables et bien souvent hilarants mais sur le point de vue de sa maman se cache des belles leçons d'éducation qu'il nous faut découvrir en grattant un peu, on y comprend de belles pistes sur d'éducation sur la vie, la mort, le respect d'autrui, la solitude et bien d'autres choses à qui saura l'interprété

Un grand merci à Babelio et aux éditions Rouergue ainsi qu'a Pauline Parvan pour cette gentille découverte
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Pas si courant de trouver sur mon blog de la littérature estonienne et encore moins pour enfants à partir de six ans. Babelio et ses masses critiques ouvrent des horizons inhabituels qui me donneront un jour une connaissance utile pour ma future génération.

L'imaginaire des enfants est universel.
» L'imagination, c'est quand j'ai dans la tête des idées plus intéressantes que ce qu'il y a dans la réalité, en dehors de ma tête. »
Taavi imagine les gens et les situations en fonction de ce qu'il entend. Dire de quelqu'un qu'il a des pensées profondes, qu'un bébé grandit plus vite qu'on ne pense ou que ce qui entre par une oreille ressort par l'autre, dans la tête d'un enfant engendrent des perceptions très primaires. Alors Taavi voit autrement les personnages et les choses.
Dans son imaginaire, un homme peut avoir des jambes aussi grandes qu'un immeuble, une fille peut s'envoler avec sa bulle de chewing-gum ou un prunier pousser sous son lit.
Mais comme n'importe quel enfant, il est très attaché à sa maman et comprend même parfois ses moments de tristesse.
Les histoires sont bien écrites et sont illustrées de petits dessins enfantins.
Personnellement, Taavi ne m'a pas semblé bien cadré dans son âge mais cela ne perturbera absolument pas un enfant.

Ce livre comble l'imaginaire des enfants et amuse par ses situations fantasques.
Lien : https://surlaroutedejostein...
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J'ai beaucoup aimé ce petit recueil de nouvelles pour enfants dès 6 ans et j'ai apprécié ce petit côté absurde qui m'a fait penser aux Nouvelles de Pétersbourg de Nicolas Gogol.
Alors rien à voir puisque les deux oeuvres ne sont pas destinés au même public et pourtant… Peut-être ce petit vent de l'est qui a fait que ?
Bref, malgré ce côté absurde, ces nouvelles ne manquent pas de sens profond. Derrière les métaphores et les allégories se cachent de belles morales. Cacher n'est pas le bon terme puisque chaque enfant pourra facilement les discerner.
On suit ici l'environnement urbain de Taavi, un garçon de 8 ans qui décrit ses voisins et d'autres personnes qui tiennent une place importante dans sa vie. C'est écrit à la première personne avec des mots d'enfants, mais c'est bien écrit. du moins pour le public visé bien sûr !
Chaque histoire nous présente un personnage farfelu. C'est cocasse avec une pointe de folie que j'aime beaucoup.
Le genre de folie positive qui encourage l'imaginaire des plus jeunes !

Un recueil que l'enfant peut donc lire seul ou avec un adulte s'il le souhaite. Une nouvelle différente à lire par exemple chaque soir avant d'aller au dodo et il y a de quoi faire pendant presqu'un mois !

Un livre bien pensé qui sort de l'ordinaire !
Lien : http://jldragon.over-blog.co..
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critiques presse (1)
Ricochet
25 janvier 2016
Au fil de ces vingt-huit nouvelles s’esquisse un petit monde gai et fragile, précieux comme la vie de tous les jours avec cette fantaisie fantastique du monde slave.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Chère madame ! C'est plutôt vous qui avez besoin d'aide. Vous n'avez rien compris. Il n'y a pas deux garçons ici, mais un seul. C'est vous qui voyez Artur en double.
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