Les mots qui composent ce recueil, tous, tiennent des rencontres avec ces anonymes, celles et ceux qui avaient une « capacité de saisir l’instant, de le jauger, le mesurer, le savourer ou le toiser, même lorsqu’il est funeste ». Paul André nous offre aujourd’hui une suite de petits textes, sentences sans histoires, poèmes révérencieux dédiés à ceux qui travaillent le bois comme on affûte une phrase.
Paysans, bateliers, artisans, tous ces hommes « à l’...
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