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EAN : 9782851947437
58 pages
Fata Morgana (16/09/2009)
4.19/5   8 notes
Résumé :
Texte d'une conférence donnée au Théâtre du Vieux-Colombier le 13 janvier 1947. Dans ce projet préparé peu de temps avant son retour à Paris, Artaud s'expose de manière totale, revenant sur l'expérience insoutenable de l'enfermement psychiatrique.
Que lire après Histoire vécue d'Artaud-MômoVoir plus
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
ALIÉNATION
ET MAGIE NOIRE


Les asiles d’aliénés sont des réceptacles
de magie noire conscients et prémédités,

et ce n’est pas seulement que les médecins
favorisent la magie par leurs thérapeutiques
intempestives et hybrides
c’est qu’il en font.

S’il n’y avait pas eu de médecins
il n’y aurait jamais eu de malades
pas de squelettes de morts
malades à charcuter et dépiauter,

Car c’est par les médecins et non par les
malades que la société a commencé.

Ceux qui vivent, vivent des morts.
Et il faut aussi que la mort vive;
Et il n’y a rien comme un asile d’aliénés pour couver doucement la
mort, et tenir en couveuse des morts.
Cela a commencé 4.000 ans avant J.-C. cette thérapeutique de la
mort lente,
et la médecine moderne complice en cela de la plus sinistre et
crapuleuse magie, passe ses morts à l’électro-choc et à
l’insulino-thérapie afin de bien chaque jour vider ses haras
d’hommes de leur moi,
et de les présenter ainsi vides,
ainsi fantastiquement
disponibles et vides
aux obscènes sollicitations anatomiques et atomiques
de l’état appelé Bardo, livraison du barda
de vivre aux exigences du non-moi.
Le Bardo est l’affre de mort dans lequel

le moi tombe en flaque, et il y a dans l’électro-choc un état
flaque par lequel passe tout traumatisé, et qui lui donne, non
plus à cet instant de connaître, mais d’affreusement et
désespérément méconnaître ce qu’il fut, quand il était soi, quoi,
loi, moi, roi, toi, zut et ÇA.

J’y suis passé et ne l’oublierai pas.

La magie de l’électro-choc draine un râle, elle plonge le
commotionné dans ce râle par lequel on quitte la vie.

Or, les électro-chocs du Bardo ne furent jamais une expérience, et
râler dans l’électro-choc du Bardo, comme dans le bardo de
l’électro-choc, c’est déchiqueter une expérience sucée par les
larves du non-moi, et que l’homme ne retrouvera pas.

Au milieu de cette palpitation et de cette respiration de tous les
autres qui assiègent celui qui, comme disent les Mexicains,
raclant pour l’entamer l’écorce de sa râpe, coule de tous côtés
sans loi.

La médecine soudoyée ment chaque fois qu’elle présente un malade
guéri par les introspections électriques de sa méthode,

Je n’ai vu moi que des terrorisés de la méthode, incapables de
retrouver leur moi.


Qui a passé par l’électro-choc du Bardo, et le Bardo de l’élèctro-
choc ne remonte plus jamais de ses ténèbres, et sa vie a baissé
d’un cran.

J’y ai connu ces moléculations souffle après souffle du râle des
authentiques agonisants.


Ce que les Tarahumaras du Mexique appellent le crachat de la râpe,
l’escarbille du charbon sans dents.


Perte d’un pan de l’euphorie première qu’on eut un jour à se
sentir vivant, déglutinant et mastiquant.


C’est ainsi que l’électro-choc comme le
Artaud -Artaud le Mômo, 1947
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LE RETOUR D'ARTAUD LE MÖMÖ

L’esprit ancré

vissé en moi par la poussée psycho-lubrique du ciel est celui qui pense toute tentation, tout désir, toute inhibition.

O dédi

A dada orzoura

O dou zoura

Adada skizi

O Kaya

O Kaya ponoura

O ponoura

A pona

Poni

C’est la toile d’araignée pentrale, la poile onoure d’ou-ou la voile, la plaque anale d’anavou

(Tu ne lui enlèves rien, dieu parce que c’est moi tu ne m’as jamais rien enlevé de cet ordre, je l’écris ici pour la première fois, je le trouve pour la première fois)

Non la membrane de la voûte non le membre omis de ce foutre, d’une déprédation issu

Mais une carne, hors membrane hors de là ou c’est dur ou mou

Ja passée par le dur et mou,

étendue cette carne en paume, tirée, tendue comme une paume de main exsangue de se tenir raide, noir, violette de tendre au mou.

Mais quoi donc à la fin, toi le fou ?

Moi ?

Cette langue entre quatre gencives,

Cette viande entre deux genoux, ce morceau de trou pour les fous.

Mais justement pas pour les fous, pour les honnêtes, que rabote un délire à rôter partout, et qui de ce rôt firent la feuille,

Écoutez bien :

firent la feuille du début des générations, dans la came palmée de mes trous,

à moi.

Lesquels, et de quoi ces trous ?

d’âme, d’esprit, de moi, et d’être ;

mais à la place où l’on s’en fout, père, mère, Artaud et itou.

Dans l’humus de la trame à roues, dans l’humus soufflant de la trame de ce vide, entre dur et mou

Noir et violet, raide pleutre et c’est tout.

Ce qui veut dire qu’il y a un os, où

dieu s’est mis sur le poète, pour lui saccager l’ingestion de ses vers, tels des pets de tête qu’il lui soutire par le con, qu’il lui soutirerait du fond des âges, jusqu’au fond de son trou de con, et ce n’est pas un tour de con qu’il lui joue de cette manière, c’est le tour de toute la terre contre qui a des couilles au con.

Et si on ne comprend pas l’image,

— et c’est ce que je vous entends dire en rond, que vous ne comprenez pas l’image qui est au fond de mon trou de con, —

c’est que vous ignorez le fond non pas des choses, mais de mon con

à moi, bien que depuis le fond des âges vous y clapotiez tous en rond comme on clabaude un aliénage complote à mort une incarcération

Re re ghi reghéghi geghena a zoghena a gogha riri

Entre le cu et la chemise

Entre le foutre et l’infra-mise

Entre le membre et le faux bond entre la membrane et la lame entre la latte et le plafond

Entre le sperme et l’explosion tre l’arête et tre le limon entre le cu et la main mise

de tous sur la trappe à haute pression d’un râle d’éjaculation n’est pas un point ni une pierre

éclatée morte au pied d’un bond ni le membre coupé d’une âme

(l’âme n’est plus qu’un vieux dicton) mais l’atterrante suspension d’un souffle d’aliénation violé, tondu, pompé à fond par toute l’insolente racaille de tous les empafrés d’étrons qui n’eurent pas d’autre boustifaille pour vivre que de bouffer

Artaud

Mômo

Là, où l’on peut piner plus tôt que moi et l’autre bander plus haut que moi en moi-même s’il a eu soin de mettre la tête sur la courbure de cet os situé entre anus et sexe

De cet os os sarclé que je dis dans la crasse d’un paradis dont le premier dupé sur terre ne fut pas le père ou la mère qui dans cette antre te refit mais

JE vissé dans ma folie

Et qu’est-ce qui me prit d’y rouler moi aussi ma vie ?

MOI

RIEN, rien

Parce que moi

J’y suis

J’y suis et c’est la vie qui y roule sa paume obscène

Bien

Et après ?

Après ? Après ?

Le vieil Artaud est enterré

dans le trou de la cheminée qu’il tient de sa gencive froide de ce jour où il fut tué !

Et après ? Après ?

Après !

Il est ce trou sans cadre que la vie voulut encadrer

Parce qu’il n’est pas un trou

mais un nez qui sut toujours trop bien renifler

Le vent de l’apocalyptique

tête qu’on pompe sur son cu serré

et que le eu d’Artaud est bon pour les souteneurs en miserere

Et toi aussi tu as la gencive

La gencive droite enterrée

dieu toi aussi ta gencive est froide depuis infiniment d’années que tu m’envoyas ton cul inné

pour voir si j’allais être né

à la fin depuis le temps que tu m’espérais

en raclant

mon ventre d’absent

menendi enenbi

embenda tarch enemptle o marchte rombi tarch pai et a tinenptle orch pendu o patendi a marchit orch yorpch ta urchpt orchpt ta tou taurch campli ko ti aunch a ti aunch aungbli
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V. ALIÉNATION ET MAGIE NOIRE

ALIÉNATION

ET MAGIE NOIRE

Les asiles d’aliénés sont des réceptacles de magie noire conscients et prémédités, et ce n’est pas seulement que les médecins favorisent la magie par leurs thérapeutiques intempestives et hybrides

c’est qu’il en font.

S’il n’y avait pas eu de médecins il n’y aurait jamais eu de malades pas de squelettes de morts malades à charcuter et dépiauter,

Car c’est par les médecins et non par les malades que la société a commencé.

Ceux qui vivent, vivent des morts.

Et il faut aussi que la mort vive ;

Et il n’y a rien comme un asile d’aliénés pour couver doucement la mort, et tenir en couveuse des morts.

Cela a commencé 4.000 ans avant J.-C. cette thérapeutique de la mort lente, et la médecine moderne complice en cela de la plus sinistre et crapuleuse magie, passe ses morts à l’électro-choc et à l’insulino-thérapie afin de bien chaque jour vider ses haras d’hommes de leur moi, et de les présenter ainsi vides, ainsi fantastiquement disponibles et vides aux obscènes sollicitations anatomiques et atomiques de l’état appelé Bardo, livraison du barda de vivre aux exigences du non-moi.

Le Bardo est l’affre de mort dans lequel le moi tombe en flaque, et il y a dans l’électro-choc un état flaque par lequel passe tout traumatisé, et qui lui donne, non plus à cet instant de connaître, mais d’affreusement et désespérément méconnaître ce qu’il fut, quand il était soi, quoi, loi, moi, roi, toi, zut et ÇA.

J’y suis passé et ne l’oublierai pas.

La magie de l’électro-choc draine un râle, elle plonge le commotionné dans ce râle par lequel on quitte la vie.

Or, les électro-chocs du Bardo ne furent jamais une expérience, et râler dans l’électro-choc du Bardo, comme dans le bardo de l’électro-choc, c’est déchiqueter une expérience sucée par les larves du non-moi, et que l’homme ne retrouvera pas.

Au milieu de cette palpitation et de cette respiration de tous les autres qui assiègent celui qui, comme disent les Mexicains, raclant pour l’entamer l’écorce de sa râpe, coule de tous côtés sans loi.

La médecine soudoyée ment chaque fois qu’elle présente un malade guéri par les introspections électriques de sa méthode,

Je n’ai vu moi que des terrorisés de la méthode, incapables de retrouver leur moi.

Qui a passé par l’électro-choc du Bardo, et le Bardo de l’élèctro-choc ne remonte plus jamais de ses ténèbres, et sa vie a baissé d’un cran.

J’y ai connu ces moléculations souffle après souffle du râle des authentiques agonisants.

Ce que les Tarahumaras du Mexique appellent le crachat de la râpe, l’escarbille du charbon sans dents.

Perte d’un pan de l’euphorie première qu’on eut un jour à se sentir vivant, déglutinant et mastiquant.

C’est ainsi que l’électro-choc comme l

Bardo crée des larves, il fait de tous les

états pulvérisés du patient, de tous les faits de son passé des larves inutilisables pour le présent et qui ne cessent plus d’assiéger le présent.

Or, je le répète, le Bardo c’est la mort, et la mort n’est qu’un état de magie noire qui n’existait pas il n’y pas si longtemps.

Créer ainsi artificiellement la mort comme la médecine actuelle l’entreprend c’est favoriser un reflux du néant qui n’a jamais profité à personne, mais dont certains profiteurs prédestinés de l’homme se repaissent depuis longtemps.

En fait, depuis un certain point du temps.

Lequel ?

Celui où il fallut choisir entre renoncer à être homme ou devenir un aliéné évident.

Mais quelle garantie les aliénés évidents de ce monde ont-ils d’être soignés par d’authentiques vivants ?

farfadi ta azor tau ela auela

a

tara

ila tu t’en vas, dit l’immonde tutoiement du Bardo, et tu es toujours là

tu n’es plus là

mais rien ne te quitte

tu as tout conservé

sauf toi-même et que t’importe puisque le monde est là.

Le monde, mais ce n’est plus moi.

Et que t’importe, dit le Bardo

C’est moi.

P. S. — J’ai à me plaindre d’avoir dans l’électro-choc rencontré des morts que je n’aurai pas voulu voir.

Les mêmes, que ce livre imbécile appelé

Bardo Todol draine et propose depuis un peu plus de quatre mille ans.

Pourquoi ?

Je demande simplement

Pourquoi ?
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IV.

L’EXÉCRATION

DU PÈRE-MÈRE

L’EXÉCRATION

DU PÈRE-MÈRE

L’intelligence est venue après la sottise laquelle l’a toujours sodomisée de près —

ET APRES ce qui donne une idée de l’infini trajet.

D’une préméditation de non être d’une criminelle incitation de peut être est venue la réalité, comme du hasard qui la forniquait.

Je te condamne parce que tu sais pourquoi… je te condamne, —

et moi, je ne le sais pas.

Ce n’est pas un esprit qui a fait les choses, mais un corps, lequel pour être avait besoin de crapuler avec sa verge à bonder son nez.

Klaver striva cavour Tavina

Scaver Kavina okar tri va.

Pas de philosophie, pas de question, pas d’être, pas de néant, pas de refus, pas de peut-être, et pour le reste crotter, crotter ;

ÔTER LA CROUTE

DU PAIN BROUTÉ.

ignobles déprédations d’avinés dans les ciboires et les psautiers, le vin des messes, les crécelles des bonzes tartriques, sortis innés d’un mamtram faussé, tartre encroûtée d’un ancien crime, latrines de sublimité !

l’heure approche où le puisatier qu’on déféqua dans les poubelles baptismales des bénitiers, se rendra compte qu’il était moi,

Or, je le sais,

Et ce fut toujours vidange pour ange, et ma vidange passa la leur, le jour où

forcé de sarcler dans les gommes syphilisées d’une crasse depuis toujours constituée, je compris que le sarclé c’était moi, —

et que vous déféqué ce qu’on a déféqué, si l’on ne prend pas très à l’avance la précaution de syphiliser, la verge abcès

DANS LA RENIFLE DU MUFFLE

DE LA VOLONTÉ.

Et que le plat s’allume en volume,

Car le plat n’a pas de volume et c’est le volume qui est le plat ;

Le volume mange le plat qui tourne de tous côtés pour ça.

La breloque interne

était que le partant qui est toujours là

ne peut bien se supporter là

que parce que l’immobile le porte en fondant toujours le portant qui est de toujours, qu’il emporte depuis toujours.

Les esprits se procurent une minute d’intelligence en me plongeant, moi, dans un bas-fond qu’ils se procurent par absence de nourriture ou d’opium dans mon bedon maëlstrom sur maëlstrom de fond (de culture de par le fond) après quoi ils retournent à leur ancestrale putréfaction.

Si je me réveille tous les matins avec autour de moi cette épouvantable odeur de foutre, ce n’est pas que j’ai été succubé par les esprits de l’au-delà, —

mais que les hommes de ce monde-ci se passent le mot dans leur perisprit :

Frottement de leurs couilles pleines, sur le canal de leur anus bien caressé et bien saisi, afin de me pomper la vie

C’est que votre sperme est très bon, m’a dit un jour un flic au Dôme qui se posait en connaisseur et quand on est « si bon »,

« si bon » dame on surpaye son renom. »

Car probablement il en sortait de ce sperme, si bon, si bon ;

et il l’avait baratté et sucé

à l’instar de toute la terre, tout le long de la nuit passée.

Et je sentis son âme virer,

ET JE LE VIS VERDIR DES PAUPIÈRES passer du copinage à la peur car il sentit que j’allais cogner.

Pas de tutoiement, ni de copinage, jamais avec moi, pas plus dans la vie que dans la pensée.

Et je ne sais pas si ce n’est pas en rêve que j’entends la fin de sa phrase :

« et quand on est si bon, si bon ; dame, on surpaye son renom. »

Drôle de rêve où le squelette de l’église et de la police se tutoyaient dans l’arsenic de ma liqueur seminale.

Car la vieille complainte revenait de l’histoire du vieil Artaud assassiné

dans l’autre vie, et qui n’entrera plus dans celle-ci.

P.S. C’est une complainte que l’on récitait il n’y a pas encore six siècles dans les lycées de l’Afghanistan où Artaud s’orthographiait arto. a. r. t. o.

La même complainte se retrouve dans les vieilles légendes mazdéennes ou étrusques et dans des passages du Popul-Vuh.

Mais est-ce que je n’y suis pas entré

dans cette foutue branleuse vie depuis cinquante ans que je suis né.
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III.

INSULTE À L’INCONDITIONNÉ

C’est par la barbaque la sale barbaque que l’on exprime

Le

Qu’on ne sait pas

Que

Se placer hors

Pour être sans

Avec,

La barbaque

Bien crottée et mirée

Dans le cu d’une poule

Morte et désirée

Désirée dis-je

Mais sans juter

Des esquilles

Blanches, lapées,

(Mornes de morve la salive) la salive de son dentier.

Avec la barbaque

Qu’on se débarrasse

Des rats de l’inconditionné.

Qui n’ont jamais senti que

La non-forme

Le hors-lieu de la rogne sans condition, appelée le sans condition, l’interférence de l’action, le transfert par déportation, le rétablissement hors coupure la coupure des colmatations ;

l’assise enfin dans le non hors l’imposition du dehors qui dort, comme un dedans, éclaté des latrines du canal où l’on chie la mort, ne valent pas les desquamations du con d’une moniche morte

Quand la boniche qui le porte pisse en arc boutant son pis pour traverser la syphilis.
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Vidéo de Antonin Artaud
Antonin ARTAUD – Témoignages (DOCUMENTAIRE with english subtitles, 1993) Les deux parties du documentaire "La Véritable Histoire d'Artaud le Mômo", par Gérard Mordillat et Jérôme Prieur, réalisées en 1993. Présences : Luciane Abiet, Jacqueline Adamov, André Berne-Joffroy, Annie Besnard-Faure, Gustav Bolin, Denise Colomb, Pierre Courtens, Alain Gheerbrant, Alfred Kern, Gervais Marchal, Domnine Milliex, Minouche Pastier, Henri Pichette, Marcel Piffret, Rolande Prevel, Marthe Robert, Jany Seiden de Ruy, Paule Thévenin et Henri Thomas.
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