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EAN : 9782754827379
104 pages
Futuropolis (05/02/2020)
3.91/5   38 notes
Résumé :
À vingt-neuf ans, Inna Shevchenko, activiste féministe ukrainienne, est une figure majeure du mouvement Femen. Le mouvement Femen, né en Ukraine en 2008, se caractérise par des actions «seins nus» pour dénoncer l'utilisation du corps des femmes comme objet de violence, de trafic et de viol. En 2012, Inna fait l'objet d'une enquête criminelle par la police ukrainienne. Elle quitte son pays et obtient l'asile politique en France en avril 2013. Elle a alors 23 ans. Ce ... >Voir plus
Que lire après Prénom : Inna, tome 1 : Une enfance ukrainienneVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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"Je considère que la religion est un mal. Je vois bien les conséquences néfastes qu'elle a sur le corps des femmes." Inna Schevenko.
Elle fut accusée d'ismalophobie pour avoir dénoncé le ramadan...
(Certains sont d'une hypocrisie énorme, quand ils veulent interdire la liberté d'expression...)

Copenhague, le 25/02/2015: lors d'un débat : "Art, blasphème et liberté d'expression", pour rendre hommage aux victimes de l'attentat contre Charlie Hebdo, "Inna se jette à terre, les coups de feu redoublaient."
C'était une attaque de terroristes islamistes...

Elle courut se cacher dans l'arrière salle, dans le noir. A 6 ans, Inna aimait l'obscurité...
"J'aime la nuit, quand le vieux géant coupe l'électricité..."

"Car la vie en Ukraine, dans les années 1990, était incertaine, angoissante de silence et d'obscurité."

Inna est une féministe Ukrainienne, c'est la "Femen" qui porte une couronne de fleurs autour de la tête et ce tome 1 est l'histoire de son enfance.

"Le chômage, la criminalité, le manque de nourriture et les humiliations. "Encore et toujours les humiliations..."

Regardez Inna tenir tête à la directrice d'école, en arborant un "ruban🎀 orange", symbole de la Révolution pour la démocratie...

Écoutez Inna prendre la parole, dans l'amphithéâtre :
- "Les étudiants doivent avoir le droit de vote ! Car la démocratie commence par notre école..."
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Ce tome est le premier d'un diptyque consacré à l'enfance et à la jeunesse d'Inna Shevchenko. Il s'agit d'une bande dessinée en couleurs de 98 planches, écrite par Simon Rochepeau, avec la participation d'Inna Shevcheko, dessinée et mise en couleur par Thomas Azuélos. Il commence par une page d'introduction, un texte d'une page, écrit par Shevchenko indiquant que chaque vie individuelle est souvent façonnée par l'histoire collective et que la société dans laquelle elle a grandi lui a donné la liberté de rêver, de prendre des risques et de faire de son mieux.

À Copenhague le 14 février 2015, Inna Shevchenko participe à un débat organisé au Centre culturel Krudttønden, à propos de la liberté d'expression, quelques semaines après l'attentat contre Charlie Hebdo. Au moment où elle se met à parler à la tribune, des coups de feu ont éclaté derrière la porte. Elle a rapidement compris que ce n'étaient pas des pétards, pas une blague. Elle s'est relevée et elle a couru vers une porte sur le côté. Les gens se précipitaient pour sortir, ils se bousculaient, ils tombaient. La police arrive et prend en charge les victimes, leur proposant une aide psychologique. Ils cherchent l'intervenante qu'un policier finit par trouver dans une salle annexe, assise à un bureau, et en train de donner une interview à chaud. Il lui indique qu'elle doit être en état de choc et qu'elle doit se reposer. Elle lui crie dessus en lui disant que ça va aller, qu'elle va tenir. Elle est assise seule sur une chaise dans le noir, et elle s'exhorte à tenir bon.

La jeunesse d'Inna Shevchenko s'est déroulé à Kherson, une ville située dans le sud de l'Ukraine, d'environ 300.000 habitants, à environ 450 kilomètres de Kiev. En 1996, Inna a 6 ans et sa famille habite dans un appartement, dans un grand ensemble immobilier. Ce soir-là en janvier 1996, l'électricité est coupée, comme ça arrive régulièrement. Yulia, sa grande soeur, est en train de faire ses devoirs à la bougie, pendant qu'Inna s'amuse à réciter les noms des continents à haute voix en les pointant sur une mappemonde, ce qui exaspère sa soeur qui ne peut pas se concentrer. Valery, leur père intervient et va coucher la petite Inna. Elle demande qu'il lui raconte une histoire. Il lui parle à nouveau de la fois où il était allé en Espagne avec des potes, et qu'il leur avait fait croire qu'il parlait espagnol et même catalan. Il avait réussi à acheter une paire de baskets Adidas pour un copain. Enfin il lui chante une chanson traditionnelle avant de la laisser s'endormir. C'est autour de Yulia d'aller se coucher. le père reste seul dans la salle à manger avec sa bougie. On toque à la porte. Il espère qu'il s'agit de se femme Olga qui est de retour, mais c'est son cousin Vanya avec son garde du corps Kolya. Ils viennent fêter l'achat d'une scierie. Kolya estime qu'en cinq ans de démocratie, le peuple a plus souffert qu'en soixante-dix ans de communisme.

La quatrième de couverture explique bien la nature de cette bande dessinée : raconter à la première personne l'enfance et l'adolescence d'Inna Shevchenko, devenue une activiste féministe ukrainienne, et une figure majeure du mouvement Femen. L'introduction qu'elle a rédigée écarte tout de suite la crainte d'une hagiographie : elle explique que sa vie a été façonnée par l'histoire collective dont elle a fait partie, et que la vie en Ukraine dans les années 1990 et 2000 (chômage, criminalité, manque de nourriture et humiliations) ont tout naturellement incité la jeunesse à rêver et prendre des risques. Effectivement au fil des séquences, le lecteur découvre plusieurs phases de sa vie, en 1996, en 2000, en 2004, en 2007/2008, comme une forme de chronique familiale centrée sur sa personne, incluant d'autres membres de sa famille, sans glorification de sa personne, sans louanges admiratives, juste un quotidien banal et normal pour elle et pour le reste de la population de cette région du monde à cette époque. le lecteur peut donc très bien ignorer qui elle est devenue, ou faire fi de ce savoir pour juste suive une petite fille puis une jeune fille dans sa vie de tous les jours. Schevchenko ajoute dans l'introduction que Simon Rochepeau est bien un auteur car il a effectué les recherches nécessaires pour contextualiser les souvenirs d'Inna dans les événements politiques et sociaux de l'époque.

Dans la mesure où il s'agit d'une (auto)biographie, le lecteur s'attend à un dessin descriptif et réaliste, peut-être même quasi photographique. La première séquence lui montre qu'effectivement l'artiste s'attache à représenter des éléments concrets pour une reconstitution de type historique, mais sans en devenir l'esclave. Ses contours peuvent parfois s'avérer un peu lâches pour conserver une impression de spontanéité, et il règle le degré de détails en fonction de la séquence, de précis, à vague. Dans cette introduction, le lecteur peut voir l'uniforme d'un policier, les voitures de police, les chaises vides dans le centre culturel, quelques rescapés en train d'être pris en charge, et la couronne de fleurs d'Inna, mais pas le détail des installations techniques ou de l'aménagement du bureau dans lequel elle répond à une interview par téléphone. Il en sera ainsi tout du long de ce tome, les endroits étant plus ou moins tangibles en fonction de la manière dont ils sont représentés. Par exemple, la cuisine de l'appartement des Shevchenko est dessinée avec plus de détails que la chambre des filles, sans que le lecteur ne puisse se faire une idée concrète des matériaux employés, de la qualité des meubles de cuisine. Par la suite, il se fait une idée assez vague de l'implantation des arbres à proximité de la scierie sans pouvoir reconnaître leur essence. Il dispose d'une impression générale de la disposition de la classe d'Inna, une peu plus précise du bureau de la directrice. Il reconnaît bien l'architecture très fonctionnelle de l'ensemble d'immeubles où habite Inna. Il peut voir l'amphithéâtre dans lequel elle effectue son premier discours devant les élèves, ou la boîte de nuit dans laquelle l'emmène Alekseï.

Rapidement le lecteur se rend compte que l'objectif de l'artiste n'est pas une reconstitution photographique des différents endroits de Kherson où s'est déroulée la vie d'Inna, mais plus de donner une bonne idée du lieu et de l'émotion qui habite la jeune fille. Pour ce faire, il utilise les couleurs de manière élégante : le blanc-gris à Copenhague pour une atmosphère froide et quelque peu mortifère, le brun foncé pour la pièce où Inna se trouve seule pour souligner son isolement, le marron tirant vers le gris lorsque Valery raconte une histoire à sa fille entre grisaille d'un quotidien terne et douceur d'une lumière tamisée, etc. le lecteur se rend compte que cette approche des couleurs apporte plus de consistance aux cases en complétant les traits encrés avec des textures et une ambiance lumineuse, et suggère un état d'esprit, celui de la jeune Inna qui s'avère communicatif. La narration visuelle réussit à montrer des lieux uniques sans s'encombrer de détails, et à rendre les personnages très humains, sans que le scénariste n'ait besoin d'expliciter ce qu'ils pensent. En particulier le jeu des acteurs et l'expressivité de leur visage, la justesse de leurs postures génère une empathie chez le lecteur qui éprouve la sensation de côtoyer de vraies personnes.

Les auteurs montrent aussi bien les années de développement d'Inna Shevchenko que des facettes de la société dans laquelle elle grandit, tout en restant au niveau de l'individu. Il est donc question de l'indépendance de l'Ukraine, encore récente (16 juillet 1990), du président Leonid Koutchma et de son successeur Viktor Ianoukovytch, de la corruption et de la criminalité, de la révolution orange de décembre 2004 / janvier 2005, de la mort du journaliste Gueorgui Gongadzé (1969-2000). Ces événements parlent plus au lecteur qui en est vaguement familier, ou sinon l'incite à aller consulter une encyclopédie en ligne, car le scénariste ne transforme pas cette (auto)biographie en cours d'histoire. de manière incidente, le lecteur voit Inna Shevchenko vivre dans cette société et comment elle y répond, elle s'y adapte. Effectivement, la narration ne la transforme ni en une héroïne, ni en une passionaria dont c'est le destin depuis la naissance. Elle vit dans le monde dont les forces systémiques lui parviennent par l'entremise des conséquences qu'elles ont sur les personnes qui les entourent. Elle voit la capacité de résilience de son père même si elle ne sait ni la nommer ni la conceptualiser. Elle perçoit la détresse de sa mère, quelques petits trafics, l'horreur de son oncle dont le fils a été victime d'un attentat, l'argent facile, la contradiction irrésoluble entre l'éducation scolaire et la place de la femme dans cette société à l'époque, etc. D'une certaine manière, ces circonstances extérieures la façonnent sans qu'elle ne manifeste elle-même de volonté propre, si ce n'est son caractère. Cette présentation se situe à l'opposé d'un destin romanesque ou de l'avènement d'une sauveuse. Sa vie est le fruit d'un concours de circonstances, dans une période donnée, à un endroit du monde particulier, avec un père qui soutient sa fille. Il ne s'agit pas d'admirer cette demoiselle, plus de la comprendre.

La couverture de cet album est très explicite : il s'agit de suivre l'enfance d'une demoiselle vivant dans une grande ville en Ukraine dans les années 1990/2000. En feuilletant l'album, la narration visuelle n'impressionne peut-être pas beaucoup, mais à la lecture elle s'avère très pertinente avec un savant dosage de ce qui est représenté, et une utilisation des couleurs pour accompagner et éveiller les émotions chez le lecteur. L'ouvrage ayant été écrit par un tiers, il s'agit d'une biographie à la première personne d'Inna Shevchenko, Simon Rochepeau la montrant faire l'expérience des événements du quotidien de la société ukrainienne à Kherson à cette époque, dépourvu de tout effet romantique, entre journal intime et reportage factuel. le lecteur apprécie de pouvoir ainsi faire l'expérience de cette vie et de ses singularités.
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On appris à connaitre Inna Shevchenko avec la bande dessinée Prénom : Inna, Tome 1, une enfance ukrainienne co-écrit et dessiné avec Thomas Azuélos et Simon Rochepeau.

À vingt-neuf ans, Inna Shevchenko, activiste féministe ukrainienne, est une figure majeure du mouvement Femen. Né en Ukraine en 2008, il se caractérise par des actions « seins nus » pour dénoncer l'utilisation du corps des femmes comme objet de violence, de trafic et de viol.

Elle a obtenu l'asile politique en France en 23 ans après avoir fait l'objet d'une enquête criminelle par la police ukrainienne

Ce récit, écrit à la première personne, raconte l'enfance (tome 1)d'Inna Shevchenko en Ukraine. Un récit sincère et authentique qui permet de mieux comprendre comment une petite fille craintive et timide est devenue cette icone rebelle et militante.

Mélangeant habilement récit documentaire et quelques scènes plus fictionnelles, ce premier tome, écrit à la première personne donc au plus près de sa jeune héroine , raconte à hauteur d'enfant comment une démocratie bien fragile s'éffrite peu à peu sous le joug de la corruption, de la criminalité et de l'abus de pouvoir.

D'abord observatrice un peu effrayée, Inna va vite passer du coté de l'action et de la rebellion.

Un tome 2 doit décrire son adolescence (tome 2) pour mieux comprendre tout son cheminement de cette figure de proue du féminisme international.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Je découvre avec ce diptyque l'histoire de Inna Schevchenko dont je ne connaissais, jusqu'à présent, que son visage, son nom et, bien sur, sa lutte.
La jeune femme nus explique donc dans les quelques pages de ce premier tome, son enfance dans une Ukraine sortie du communisme mais ni de la pauvreté ni de la misère.
Elle nous raconte sa famille, la solitude et l'incompréhension dont elle a été la victime mais elle nous démontre aussi son courage, son ambition et sa force.
A travers quelques scènes bien choisies et bien racontées, Inna nous fait comprendre le cheminement de pensée qui l'a conduite à réclamer son corps comme étant sa propriété et non uniquement l'objet des désirs d'un homme et qui ne se réalise qu'à travers lui.
Le dessin est assez typé et nerveux, assez simple pour n pas dire simpliste par moment. Je n'aime pas tout mais il s'accorde bien le récit.
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C'est la jeunesse d'une femen des plus connue, reconnue.
Cela n'a qu'un intérêt "historique" limité car c'est clairement, mais franchement une vision revolutionorangecentrée.
Sinon, j'ai trouvé les graphismes assez basiques, ressemblant typiquement à une mode "réalisme de l'est" qui ne l'est pas finalement.
J'ai eu du mal avec certaines proportions, des tailles de personnages fluctuantes.
Sinon la jeunesse de Inna est intéressante à suivre mais sans plus, il n'y a rien de très original. Je dirai même qu'en regard de la situation des ex-républiques soviétiques, elle semble avoir eu une jeunesse heureuse.
De là à penser que ses engagements ultérieurs, à l'instar d'autres jeunes femmes modernes et médiatiques (suivez mon regard vers le Nord Ouest), sont le fruit d'une petite bourgeoisie privilégiée, il n'y a qu'un pas que ma connaissance parcellaire de cette zone géographique ne me permet pas de franchir.
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critiques presse (1)
ActuaBD
09 mars 2021
La présence de ces activistes se caractérise par une explosion de couleurs qui accompagnent la libération des corps et des consciences et contraste avec la vie contrainte d’Inna, un mouvement de vie contre un système mortifère.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
La vie en Ukraine dans les années 1990 était incertaine, angoissante de silence et d'obscurité. Le chômage, la criminalité, el manque de nourriture et les humiliations, encore et toujours les humiliations… voilà ce que la période post-soviétique nous a offerts. Mais elle nous a aussi donné la liberté de rêver, de prendre des risques et de faire de notre mieux. La décennie des dures années 1990 de l'Ukraine post-soviétique a profondément marqué ma génération et contribué à construire ma personnalité. Je n'aurais pas choisi de lutter pour a propre indépendance si je n'avais pas grandi dans une société luttant pour sa propre survie. - Inna Shevchenko
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Valery, c'est trop dur, je n'irai plus à Varsovie. Les douaniers… j'ai essayé de m'enfuir, mais ils m'ont rattrapée. Ils ont ouvert mes sacs. Ils ont tout sorti. Ils ont commencé à me menacer. Et puis soudain, une femme est arrivée. La femme de l'un des douaniers. Quelle chance j'ai eue. Elle avait mon âge. En me voyant comme ça, elle a supplié son mari de me laisser partir. C'était si humiliant.
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Dans l'organisation de la vie scolaire, l'écart entre les enseignants et les étudiants doit être effacé. Les représentants des étudiants doivent avoir leur place aux réunions régulières du fonctionnement de l'école. Ils doivent représenter l'opinion des étudiants et rapporter leur voix. Les étudiants doivent avoir le droit de vote, car la démocratie commence par notre école.
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Un corps a été retrouvé ans une forêt à soixante-dix kilomètres de Kiev. Il a été identifié par les proches de Gongadzé comme étant celui du journaliste disparu depuis deux mois. Le corps a été décapité et trempé dans de l'acide. Des enregistrements audio impliquent le président Koutchma, son adjoint, ainsi que le ministre de l'intérieur.
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-"J'aime la nuit quand le vieux géant coupe l'électricité"
-" Le vieux géant ? comment tu peux encore y croire? Tu verras quand tu seras grande et que tu devras faire tes devoirs dans le noir!"
- "Afrique Europe Antarctique Arctique Océanie Asie Amérique"
- "Inna arrête ! Inna tu m'énerves !"
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Il ne devra plus y avoir d'orphelins sur cette terre
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