Le corps a ses raisons

Merci à Babelio et à l'éditeur Points pour ce livre reçu dans le cadre de la Masse critique.
Cette méthode est une méthode assez ancienne, qui n'a pas eu l'heur de plaire au plus grand nombre et d'être populaire.
Et pourtant, des exercices très simples, respectueux de notre corps, sont en mesure de dénouer les tensions de notre corps, qui peuvent être tellement invalidantes.
Un gros plus serait d'avoir cette méthode illustrée. Ça rendrait la méthode plus attractive.
Je recommande ce livre qui m'a appris beaucoup !

A travers la relation de sa propre expérience de femme et de praticienne, l'auteure formule sa méthode qui vise, à travers des mouvements simples, à dénouer les tensions physiques. Elle rappelle également l'importance des liens indissociables entre corps et esprit, des énergies et de la prise de conscience de soi pour un mieux-être global. 45 ans après son écriture, certains concepts sont désormais acquis, mais les reformuler n'est jamais inutile.
Un livre reçu dans le cadre de Masse Critique Babelio.

Reçu dans un Masse critique en février 2021

Un conseil: commencez par la fin, puisque Les Préalables sont au dernier chapitre, vous gagnerez du temps.
Et attention à vous, vous entrez dans un monde de jugements à l'emporte-pièce (d'une patiente, qui n'a pas donné donné suite à ses "traitements", l'autrice écrit: elle n'a jamais eu le courage de remettre son propre corps, sa propre vie en questions) , de certitudes en tout genre, ,d'approximations anatomiques (merveilleux angles droits entre les orteils...un cercle complet qui devrait ainsi se former entre le petit doigt de pied et le gros orteil, si vous comptez bien , 4 espaces, 360°, c'est page 176. Mais pour obtenir ce merveilleux résultat, il faut visser puis dévisser chaque orteil. ). Et bien sûr, guérison assurée, de tous les maux, des douleurs, des impuissances, des frigidités, des angoisses, des arthroses. Un miracle vous dis-je.
Que le corps humain ne puisse se résumer à une juxtaposition d'organes, personne ne le nie. Mais ce fatras verbeux et arrogant, non, pitié pour les patients.