Les décompensations, les épisodes dépressifs et les T.S qui me conduisent à l'hôpital, arrivent 9 fois sur 10 avec la fin d'un texte. Bien souvent le point final me fait l'effet d'un uppercut, il me laisse littéralement KO. Soudain, je ne sais plus rien faire, ni changer une ampoule, ni ouvrir une lettre, ni nettoyer mes chiottes. Je deviens un véritable bon à rien. Je finis généralement ici, où je vois assez d'horreurs pour écrire un nouveau roman. Je prends des no... >Voir plus
Ce qu’ils appellent folie
N’est bien souvent
Qu’une hyper sensibilité
Qui permet aux foutraques
De percevoir
Ce qui restera toujours caché
Aux bien portants