2ème volume d'une série dont je ne connais pas le titre et dont je n'ai pas lu le 1er, Générations perdues nous offre les aventures d'un groupe stéréotypée, à l'image des Conquérants de l'univers, où chaque personnage est présent pour assumer une fonction et rien d'autres.
Le super scientifique, le manuel, le touche-à-tout qui sait tout, et la potiche.
Ici
Richard-Bessiere propose une invention qui sent bon les années 50 mais élabore un virage vers une théorie qui sent (un peu trop) l'eugénisme.
Le professeur Harry Stewart prone tout simplement l'abolition des libertés dans le but d'assurer l'avenir et la sécurité de tous, et hormis notre héros (et encore) , tout le monde trouve ça normal.
Bref, au delà des idées societales périmées,
Richard-Bessiere nous sert ici un copié-collé de plusieurs de ses romans, où tout se répète et nul n' est surpris.
L'intention est véritablement de pondre un épisode, point.
Dans un but alimentaire, j'imagine.